Venons en maintenant à l'épopée d'Apollo 12 (que John M. PRYTZ n'a pas cité, mais on sait, qu'il avait pu suivre à la télévision, cette mission qui a duré du 14 au 24 Nov.1969).

     C'est alors dans le n°367 de Déc. 2000 de la revue "Ciel & espace", nous avons eu droit à la présentation, sans aussi aucune explication, d'une des photos les plus surprenantes des missions lunaires, où l'on aperçoit, parait-il, "l'astronaute" , Conrad, d'Apollo 12 , circulant sur le sol de l'Océan des Tempêtes,, les bras chargés d'appareils formant dit-on, un laboratoire Lunaire de près de 200 kg et coûtant la bagatelle de 25 millions de dollars et qui comprenait un sismomètre, un appareil de mesure de poussière, un magnétomètre, un spectromètre, une analyseur d'ions et un instrument destiné à l'étude des éventuels gaz très raréfiés qui s'échappent encore de la croûte lunaire et qui formerait une atmosphère dont la densité est soit disant bien plus basse, dit-on, que le meilleur vide jamais réalisé sur Terre. Voilà donc cette photo déjà exposée, plus haut :


     Comme vous pouvez le remarquer, cette photo présente une superbe diffusion des rayons lumineux du soleil, diffusion qui ne s'explique que par la présence d'une épaisse atmosphère lunaire, et non pas seulement par la diffraction de ces rayons lumineux au travers du verre de l'objectif de l'appareil photographique, comme on l'a si vite dit, pour se débarrasser du problème.

     Mais, il y a en plus du Soleil, sur cette photo extraordinaire de la Lune, la présence de deux autres sources lumineuses, totalement inexpliquées, qui ont eu pour effet de plonger dans la plus grande perplexité, tous ceux qui s'interrogent vraiment sur les tenants et les aboutissants de l'épopée lunaire des américains, et sur les "cachotteries de la NASA".

     Certains diront vite, que c'est un defaut du développement de la péllicule de l'époque chez les photographes de la revue . Mais il faut savoir que l'on découvre aussi, cette même photo, sur le site quasi officiel, dejà présenté plus haut :

http://www.apolloarchive.com/apollo_gallery.html

,et cela, sous le n° AS12-46-6806 :

     

      Cette photo esy plus claire du côté de Conrad et on y voit même devant lui tout a fait à droite, un pompom très lumieux inexplicable. Notez bien que cette photo est aussi très colorée, ce qui n'est pas le cas de celle concernant la sonde spatiale Surveyor III (voir plus bas).

      Nous l'avons déjà dit plus haut, il y a de cela des années, nous avions cru, que ces disques lumineux, qui accompagnent, "le soleil" , de cette photo, étaient des ovnis espions.

     Mais, certains internautes avisés, diront aujourd'hui, que cela prouve simplement que Conrad, n'était pas sur la Lune , et que cette photo a été prise dans un centre de simulation du Névada ou ailleurs aux USA ...Point à la ligne...Et les disques lumineux en question, ne sont que des reflets des projecteurs sur des surfaces brillantes du site. Point Barre...

     Mais, le 25/05/2014, (donc en pleine fête des Mères), en cherchant dans nos dossiers, tout autre chose, nous sommes tombés sur ce dossier Spécial Lune, de 18 pages du Paris Match n° 1076 de Déc. 69, dossier que nous avons cru, avoir perdu depuis des années.

     Voici le haut du document :

     

     Voyons alors, les pages 66 et 67, de ce document. Nous avons rétréci, la partie centrale des deux pages en question, car elles dépassent de loin les capacités de notre petit scanner:


     On voit, alors que les deux sources lumineuses bizarres vues plus haut, en plus du Soleil, ont été gommées page 66, comme par enchantement, sur la même photo en couleur de ce Paris-Match n° 1076. Alors, bravo , tout de même à la revue "Ciel & Espace", d'avoir eu l'audace (sans en donner l'explication) de montrer ces sources lumineuses très insolites, et pourtant bien gênantes, puisque le "choc des photos", n'a pas été en 1969, assez puissant, pour que Paris Match , veuille bien nous les montrer.

     Revoyons encore ces deux images, en les superposant :



Les deux disques inexplicables, ont bien été effacés par leParis Match 1076...dans l'image du dessus. A vous de juger cette manipulation stupéfiante.

     Mais, nous savons aussi, que "les astronautes" d'Apollo12, ont visité Surveyor 3, une sonde lunaire américaine lancée le 17 avril 1967, et qui s'est posée sur la Lune le 20 avril 1967, sur la partie Mare Cognitum de l'Oceanus Procellarum .

     Apollo12, se serait posé dit-on, à près de 600 pieds ( voisin de 183 m ) de Surveyor 3.

     Mais revenons alors au dossier spécial de 18 pages du Paris Match n° 1076 de Déc. 69, intitlé "32 heures sur la Lune : d'Apollo 11 à Apollo 12, un formidable bond en avant"

     La sagesse populaire antillaise prétend que "C'est dans les vieilles marmites que l'on fait les meilleures soupes : Sé vyé Cana-nari ki ka fè bon soup" .      Il semblerait donc que ce dicton, puisse aussi s'appliquer, ici à ce dossier du n° 1076 de Paris Match et on va ici, voir, pourquoi !!

    En effet dans ce dossier on présente aussi les retrouvailles entre l'homme la sonde la sonde Surveyor 3 , qui s'était posée en douceur sur la Lune on le sait, en 1967.

    En effet, les "astronautes" Charles Conrad et Alan Bean, d'Apollo 12, auraient dit-on, retrouvé le 19 Nov. 1969, cette sonde Surveyor 3, envoyée deux ans plus tôt, sur la Lune. Un des buts supposés de la mission était précisément de visiter ce qui restait de cette sonde-robot et d'y prélever certaines parties métalliques et en particulier la caméra. Il s'agissait de vérifier l'état de conservation de ce matériel, après deux ans et demi d'exposition aux micrométéorites, aux radiations cosmiques, au vent solaire et aux poussées thermiques allant de -180 ° à + 120°.

Surveyor 3, a-t-il vraiment subi un changement de couleur insolite après ses deux années de séjour sur le sol lunaire et pourquoi exactement ? S'agit-il d'une "oxydation", que l'on veut cacher ? .

    Mais, voici aussi, à ce sujet la super portion de bande dessinée , que nous présente le Paris Match n° 1073, que nous pensons être du 18 Nov. 1969 (il manque la couverture), réalisée spécialement par le grand dessinateur Hergé, pour Paris Match à l'occasion de l'arrivée d' Apollo 12 sur la Lune :


    Vous avez bien noté n'est-ce pas, les termes employés : "Elle est maintenant "Ocre pâle" et aussi : elle a été cuite par le soleil.

     Il ne nous reste donc qu'à trouver les jolies photos couleur en question de la NASA ? Décidément les anciens numéros de Paris Match possèdent des perles d'informations très révélatrices, à analyser méticuleusement.

    Voyons alors ce qu'on en dit dans notre dossier du Paris-Match 1076 . On y trouve alors le passage suivant :

    " La rencontre des explorateurs lunaires et du robot est un instant émouvant . "Pour nous, il est plus précieux que le plus beau diamant", dit Conrad, qui constate que la carapace du Surveyor parait avoir été cuite par les 120 ° du midi lunaire. Ensuite Bean et Conrad, détachent la caméra de Surveyor, des câblages, un panneau de verre et la main du bras articulé du robot. Avant de partir, ils photographient (ci dessous) les trois traces de pieds de Surveyor, le 17 Avril 1969, lorsqu'il rebondit avant de s'immobiliser sur le sol lunaire. Elles annonçaient l'empreinte historique des pas d'Armstrong en Juillet dernier..."

    Vous avez bien noté l'expression "avoir été cuite" et aussi l'expression "annonçaient l'empreinte" , des pas d'Armstrong.

Voici donc ce que le dossier de Paris Match en question nous montre :

  

    Comme vous le voyez, les photos de ce Paris-Match montrant l'astronaute qui touche Surveyor 3, et le pied de ce dernier ont de superbes couleurs, que ne nous montre pas bizarrement, la photo en noir et blanc de la revue "Ciel & Espace" n°367 de Déc. 2000 :


    Vous retrouverez également ces photos sur les sites de la NASA, où les couleurs jaunâtres de Surveyor, brillent par leur absence, alors qu'il exciste bien d'autres photos couleur sur le site.

http://nssdc.gsfc.nasa.gov/imgcat/html/mission_page/EM_Apollo_12_page1.html

http://nssdc.gsfc.nasa.gov/imgcat/html/mission_page/EM_Apollo_12_page2.html

Mais allons aussi voir sur le site quasi officiel :

http://www.apolloarchive.com/apollo_gallery.html

  

     On pourrait ajouter beaucoup d'autres photos de Surveyor III, et nous n'avons pas trouver une seule autre en couleur. Merci à l'internaute qui en trouvera superbement, une...

    Donc, il semblerait que les photos précédentes en couleur de Paris-Match n'existent pas, et c'est pourquoi la revue "Ciel & Espace"en question, qui aurait, (nous l'admettons tout de même), les moyens de retrouver le cliché d'origine en couleur de cette photo, ne l'a pas présenté, et il est ahurissant de constater que c'est Paris-Match, qui a volontairement "colorisé" , son cliché ", pour "faire mieux". Donc comme vous le voyez "le choc des photos", est plutôt bidon ici . Mais cette histoire de Surveyor (qui aurait été cuit par les 120 degrés lunaire) est-elle aussi "bidonnée" ??. Un tel événement mérite tout de même que l'on s'interroge à son sujet, mais la revue "Ciel & Espace", a oublié, hélas, de nous en parler.

    Nous avons d'ailleurs, retrouvé cette photo noir et blanc de Surveyor 3, dans une ancienne revue américaine intitulée "People Press UFO Report" dans son n° de Mars 1975: Voici cette photo:


    Comme le papier de cette revue avait la même qualité que le papier journal, il est évident que la photo ci-dessus est moins lumineuse que celle de la revue "Ciel & Espace", mais cependant 25 plus tard, cette revue ne nous apprend rien de plus aujourd'hui sur ce "jaunissement notoire", pourtant insolite révélé par le Paris Match en question. Affaire à suivre donc. Aux spécialistes de répondre.

Mais Paris Match a aussi noté nous l'avons vu que "les trois traces de pieds de Surveyor, le 17 Avril 1969, lorsqu'il rebondit avant de s'immobiliser sur le sol lunaire".

  

     Mais, on se souvient aussi que malgré ses 16 tonnes, le LEM (Lunar Excursion Module), n'avait, lors de "l'alunissage", pour Apollo 11 et Apollo 12 , aux abords de ses pieds, montré, chose étonnante, aucun glissement ou ripage, sur le sol lunaire, comme on le voit pour Surveyor 3:

  


     Mais, il y a bien mieux dans cette affaire :

  


     On pourrait ajouter beaucoup d'autres photos, où n'apparaissent aucune trace de pas entre le LEM et Surveyor III. Bien sûr les fanas de la NASA , vous diront que les "astronautes", ont fait en grand détour pour aller filmer, par devant à la fois, Surveyor III et le LEM, plutot que d'utiliser la ligne droite. Mais pas besoin de sortir de Polytechnique, pour savoir que ce comportement serait totalement absurde.

     A vous de vous faire une opinion, et de poursuivre vos recherches là-dessus.

     On se souvient en effet que malgré ses 16 tonnes, le Lem (Lunar Excursion Module) n'avait, lors de "l'alunissage", pour Apollo 11 et Apollo 12 aux abords de ses pieds, montré, chose étonnante, aucun glissement ou ripage, sur le sol lunaire, comme on le voit pour Surveyor 3:

  


     Mais, il y a bien mieux dans cette affaire :

  


     On pourrait ajouter beaucoup d'autres photos, où n'apparaissent aucune trace de pas entre le LEM et Surveyor III. Bien sûr les fanas de la NASA , vous diront que les "astronautes", ont fait en grand détour pour aller filmer, par devant à la fois, Surveyor III et le LEM, plutot que d'utiliser la ligne droite. Mais pas besoin de sortir de Polytechnique, pour savoir que ce comportement serait totalement absurde.

     A vous de vous faire une opinion, et de poursuivre vos recherches là-dessus.

     Mais ce 06/04/2016, nous allons aussi vous présenter des éléments de la page 68, du dossier en question , en deux images à analyser avec une attention soutenue :

  


     7 h 30 de marche nous dit-on, avec un tel écartement des jambes , et écartement que des infographistes qualifiés et curieux démontreront aisément, qu'il est impossible, pour des "astronautes", engoncés dans leurs scaphandres plutôt rigides.

    Cela ne vous rappelle-t-il pas aussi cette photo d'Apollo11 ? :


     Bref, nous pourrions sortir ici beaucoup d'autres anonalies qui s'attachent aux photos d'Apollo 12, mais cela alourdirait beaucoup trop ce dossier. Mais pour terminer voici un dernier buzz que tout un chacun peut découvrir sur le site quasi officiel connu :

http://www.apolloarchive.com/apollo_gallery.html

     Jetons en effet, un petit coup d'œuil surcette incroyable photo d'Apollo 12 intitulée : AS12-49-7281 :


et en analysant la visière de plus près, on voit alors :


     Que font là cette faramineuse lumière, à gauche et aussi, partant d'elle, cette ribambelle de points très lumineux , qui pourraient être des sortes de projecteurs dont, on aurait caché les supports.

     Dailleurs, si l'on examine l'image du casque, dont l'individu représente, on le suppose Conrad, prenant la photo en question,:


      ,on voit alors que ce denier, semble posséder un objet blanc dans sa main droite, au lieu de tenir la caméra pour bien la diriger vers Bean, et cadrer normalement la photo. On ne voit pas bien hélas, la camera et surtout ce que fait la main gauche. Des spécialistes en infographie, pourraient certainement, de nos jours, nous en dire plus sur ce reflet de la visière de Bean.

     Et, si ces infographistes démontraient que la main gauche de Bean, pend simplement le long de son corps, sans toucher à la camera, se serait la preuve presqu'absolue, qu'il s'agit de manipulations photographiques, et d'un montage bidon. Avis aux amateurs.