II Genèse de l'affaire.
Nous présumons alors que les rédacteurs de cette revue, n'avaient pas pris à l'époque connaissance de notre article paru dès le
30/04/2000, et placé à :
Nous pensons aussi qu'ils n'avaient pas encore lu, non plus, l'admirable livre
"Lumières sur la Lune" (le grand doute) de
Philippe Lheureux, publié aux
Editions Carnot en Novembre 2000:
De même, ces rédacteurs ont ignoré notre article adressé justement à la revue
Ciel&Espace, paru à la date du
12/02/01 , et placé à :
Ces rédacteurs auraient aussi pu, avoir largement, l'opportunité de découvrir notre article en date du
04/04/02 :
Nous allons donc analyser d'abord certaines images d'
Apollo 17, présentées avec ostentation, par cette revue et nous allons s'il le faut, nous référer aussi au site quasi officiel :
Commençons
si vous n'y voyez pas d'inconvénient par la photo
intitulée
"vol au-dessus de Tarus-littrow", où nous avons dejà placé une petite flèche rouge et région où parait-il étaient sensés descendre les astronautes d'
Apollo 17.
a) Quand d'emblée, apparaît une structure bien insolite, que la revue a évitée de montrer.
Dans cette étendue apparemment désertique, apparaît cependant vers le centre
une structure très étrange et dont la coloration est remarquable. Est-ce un malheureux défaut de la photo ou bien une véritable structure implantée sur le sol lunaire ? Ou encore le LEM
(module lunaire) qui est entrain de se poser bien que cette structure n'en ait pas du tout la forme ?
Ah ...si nous avions l'échelle de cette photo, nous pourrions en déduire les mesures de
cette structure vraiment insolite :
Merci déjà mille fois à l'internaute
béni qui pourrait nous fournir cette échelle .
Recherchons alors l'image d'origine plus nette et sans la rayure, et présentons alors celle n°
AS17-147-22465 du site quasi officiel déjà présenté :
::
et, on y voit alors que :
A vous de juger, s'il est nécessaire d'en savoir plus...
b) Une affaire d'ombres projetées et de stuctures lumineuses parasites et de traces de roues absentes, et affaire non expliquée volontairement.
Passons maintenant à
l'image n° 1 suivante de la revue :
On y voit pas grand chose d'anormal. Cependant, des
infographistes qualifiés, pourraient trouver peut-être, des anomalies concernant les ombres du
le LEM de cette photo, mais nous, nous ne sommes pas qualififiés pour cela. De même seuls des spécialistes pourront agrandir et vérifier
les éléments un peu flous, que nous présentons dans les zones 1 et 2, et là nous ne pouvons rien affirmer :
Éléments de la Zone 1
Éléments de la zone 2
Par contre pas besoin de sortir de l'école Polytechnique pour découvrir dans les images qui vont suivre, certaines anomalies notoires :
En effet les photos
n° 4 et n° 9 de ce dossier de
CIEL&espace, nous placent encore devant ce problème de feux lumineux,
(jamais expliqués ni par la Nasa, ni par les rédacteurs de la revue), qui apparaissent dans le ciel lunaire et que certains chercheurs croyaient autrefois être des ovnis espions. Il a été aussi très commode de qualifier ces feux parasites de simples reflets sur l'objectif de la caméra surtout si l'on prend le soin d'éviter de dire de
quels reflets d'objets lunaires, il s'agit. (
Suivez donc les flèches rouges que nous avons placées sur les images ci-dessous :)
Mais cette image n°9, répertoriée AS17-136-20760, nous réserve bien d'autres surprises :
et sur le site quasi officiel, on voit aussi que :
Venons en, maintenant, à la photo n°6 de la revue, repertoriée
AS17-134-20378, et notez bien le commentaire des rédacteurs de la revue :
Pour mieux analyser, cette étrange photo n° 6, faisons d'abord ici,
une première digression :
Le monde entier, a admiré à l'époque, cette superbe photo
d'Appollo 11 :
Mais, on le sait, le site
ARTivision, évite toute spéculation et bavardages non basés sur des faits précis concernant cette affaire de débarquement sur la Lune de
Neil Armstrong et consorts.
Pas besoin en effet, de sortir de
Polytechnique, pour s'apercevoir que
l'ombre de l'astronaute de droite,
est bien plus longue, que celle de son confère. Les
rayons du soleil viennent de l'infini et
en plus ce Soleil est assez proche de l'horizon. Les deux ombres
doivent être parallèles et surtout de même longueur, et comme on le voit ce n'est pas ici, le cas pour la longueur. Pour vérifier cette affirmation, nous avons réalisé la modeste expérience suivante :
Un jour vers
16 h 20 locales, nous avons simplement placé dehors, deux bouteilles identiques d'eau minérale, et nous avons constaté de visu, que
les ombres étaient parfaitement parallèles et que l'ombre portée mesurait
98 cm pour chacune d'elles .
En conséquence, il s'en suit que :
- soit que les deux astronautes sont éclairés
(sur Terre évidemment, par de puissants et différents projecteurs dans la zone de simulation du Névada ou de l'Arizona)...
- soit,
pire encore , il s'agit
d'un montage de deux photos différentes prises pour chaque astronaute séparément et, bien entendu, sur Terre.
De plus,
nous n'avons pas reçu, une seule réponse, concernant
le gros point d'interrogation, que nous avions soulevé dans d'autres articles, et qui consiste à simplement dire :
Qui a pu filmer et prendre ses images si bien agencées, des deux astronautes, évoluant côte à côte sur la Lune. On sait en effet que le troisième confrère nommé
Collins , était très éloigné en haut dans le ciel lunaire et dirigeait le
Module de Commande. Il ne pouvait donc, en aucune manière, prendre ces photos si claires !!
Où était fixée la caméra en question, a-t-elle été commandée automatiquement à distance, ou a-t-elle filmé en continu, quitte à gaspiller de la pellicule, pourtant si précieuse en ce lieu ?
Fin de la digression
A vous de juger...
Revenons alors, à notre
photo n°6 de la revue, et analysons d'abord, seulement le bas de cette photo, où nous avons repéré 3 petits rochers A et B et C, dont les ombres sont bien caractérisées :
Le constat est clair : les ombres de cette photo
ne sont pas du tout orthodoxes...Bien sûr,
les habituels détracteurs trouveront encore
des explications bidons à cette anomalie
( Illusions d'optique, terrains non plat etc...).
Mais pour analyser maintenant, les deux traces de roues visibles sur cette photo, faisons ici une
deuxième digression :
Voici deux images de la fameuse
jeep Willys, qui a brodé pendant des années, les films de guerre américains :
Et voici les traces, que laisse cette jeep, dans la neige :
Et voyons cela d'encore plus près :
On remarque alors, qu'il y a un décallage entre les structures de droite et celles de gauche de la roue d'une jeep Willys.
Bien que nous ayons découvert que la plupart des traces de la jeep Willys, sont coupées à moitié
( et l'autre moitié ,comme dans cette image n° 6, n'étant qu'une dérisoire magouille photographique pour faire croire qu'il s'agit de la trace de la jeep LRV lunaire, dont les dessins de roues sont tels que ):
Il nous reste cependant ces deux cas :
Pour la photo
AS15-87-11818 du site quasi officiel, vu plus haut, on découvre ceci :
Il y a aussi la photo hélas plus floue,
AS15-85-11435, où l' on découvre aussi, en bas à droite ceci :
En conclusion, malgré toutes les manipulations faites autour des traces laissées sur le sol, il semble bien que l'on retrouve, par ci et par là, des structures qui ont bien l'air d'appartenir à une
jeep Willys, et
structures qui n'ont rien à faire sur la Lune car le carburateur de cette jeep a besoin d'air pour fonctionner et donc cette jeep ne pouurait circuler sur la Lune.
Fin de la
deuxième digression...
Revoyons donc maintenant après ces explications notre photo n° 6 de la revue :
Mais ce n'est pas tout, nous voyons en avant de l'image que les traces des roues de la jeep lunaire
s'arrêtent brusquement et on ne peut savoir si elles se poursuivent plus loin à gauche, car l'image est coupée. Cette interruption des dessins des roues posent cependant un problème. Ces dessins sont si nets à certains endroits que l'on peut se poser la question
( en supposant qu'ils sont ceux des roues avant de la jeep), comment la jeep a pu reculer sans les écraser et nous ne parlons même pas des roues arrière dont on ne voit pas les traces sur le sol.
On nous dira sans doute, que cette jeep a bien continué vers la gauche,
( mais où sont donc alors les roues arrières) ? On peut aussi imaginer, que ce sont les astronautes qui ont couvert de sable lunaire, ces dessins en fouillant par exemple un trou dans les environs. Cependant l'étalement du sable qui couvre ces dessins, semble bien à plat
(voir la flèche rouge) pour qu'il soit jeté là par hasard.
A vous de juger...
Nous arrivons maintenant à
la photo clef de
l'affaire Apollo17 :
On note bien ici, que les rédacteurs de l'article ne mentionnent pas du tout, où et comment le garde-boue de la jeep lunaire a été cassé. Mais, on dit tout de même, que cela a eu lieu
lors de la première sortie des
"astronautes"
Donc on devine que les
"astronautes",
d'Apollo 17, ont effectué après leur premier périple mouvementé, sur des
"km de sol lunaire", une réparation de fortune du garde-boue de la roue arrière droite du
LRV (Lunar Roving Vehicle). Mais, comme il n'avait pas sur la Lune, de
treuil élévateur à portée de main, on se demande alors, comment ce
LRV, a pu arriver à son emplacement actuel,
sans laisser aucune trace de cette roue sur le sol, alors que des traces de pas, montrent bien que
le sol est tout à fait meuble, à cet endroit.
Mais c'est encore plus clair à la photo
AS17-143-21933, du site quasi officiel précité et où l'on voit aussi au bas à droite, d'admirables traces de pas:
Donc là, tout est clair, comme de l'eau de roche, et
ce LRV, n'a pu être placé ici, qu'avec
un élévateur bien terrestre, mais cela, dans un centre
de simulation du Névada ou de l'Arizona, où l'on avait reconstitué
l'apparence du sol lunaire. Mais,
on a oublié de faire rouler un peu la jeep, avant de faire la photo. C'est
le très petit détail qui, comme dans le célèbre film
d'Alfred Hitchcock, sorti en 1954 :
"Le crime était presque parfait" , a confondu le coupable...
Point barre.
Bien sûr, nous avons d'autres photos
qui prouvent aussi clairement la supercherie...
Par exemple : Sur la photo
AS17-133-20342 , du site quasi officiel, on découvre aussi ceci :
Là... chose bizarre,
pas de traces de pas, de celui qui a pris la photo, mais en plus
aucune traces des roues du LRV, ne sont présentes.
Mais voyons cela de plus près :
A vous de juger .
Mais analysons maintenant
l'image n°11 de la revue :
Notez bien l'affaire du carrotage prévu, qui est
est brusquement annulé, alors que
chaque action était minutée, des mois à l'avance, dans l'organigramme de la mission . Mais analysons cela de plus près :
.
On voit donc clairement ici aussi, que les ombres projetés, diffèrent souvent, et de plus il y a une trace très floue de roue LRV,
tout à fait insolite, alors qu'apparaissent à divers endroits, des traces de pas, magnifiques. Alors le poids de
"l'astronaute", est-il ici donc bien superieur, à celui de la Jeep lunaire ?
D'autre part, si vous analysé l'environnement immédiat du petit appareil nommé
gnomon, soi-disant destiné à donner l'échelle de la photo et servir pour l' étalonnage des couleurs, on voit qu'il n'y a aucune trace de pas à ses pieds. Comment a-t-on fait pour le mettre en place ?
Rebelote à la photo n°22, cependant bien colorée, mais toujours
sans traces de pas. Voyez vous même :
Mais c'est encore plus clair à la photo
AS17-146-22365 du site quasi officiel précité :
A vous de juger tout cela !!
c) Quand il s'agit, de collines bien arronies et souvent toute blanches, en contradiction avec l'opinion des spécialites.
Mais venons en maintenant à cette affaire de collines bien arrondie que l'on découvre dans tous les paysages lunaire des
"Apollo"
Voici les couvertures une ouvrage de 1961
Wernher VON BRAUN, qui en connaissait certainement, un rayon sur les paysages lunaires :
Comme on le voit, il n'y a là aucune colline arrondie, et le paysage est très déchiqueté.
Mais demandons aussi au célèbre dessinateur belge
Hergé (Conseillé parait-il par la NASA), de nous en dire aussi quelques mots imagés dans son abum de 1985 :
Là encore, à aucun moment, on ne trouve de collines arrondies, mais, le même paysage acéré, rempli d'arêtes pointues.
Mais les détracteurs diront encore, que ce sont des dessins et que chacun peut imaginer ce qu'il veut, en la demeure. Voyons donc un paysage lunaire authentique :
Et pour ne pas subir la foudre des éditeurs, disons que la photo de gauche est tirée de l'ouvrage intitulé
LA LUNE de
F. LINK, publié chez
A. Michel en 1970. L'image de droite est sortie de
"Atlas of the Moon", d'
Antonin Rükl, édité en
1991 par
Hamlyn London.
Comme on le voit, là non plus, on ne voit pas souvent
de collines bien arrondies et bombées.
Alors d'où viennent
ces collines mamelonnées souvent blanchies, qui émaillent régulièrement
les photos lunaires Apollo, de la
NASA.
Vraiment blanchies, conmme dans la photo,
n° 6, répertoriée AS17-134-2037, déjà vue, plus haut :
Et
la super lessive, lave toujours plus blanc pour les collines d'
Apollo17 :