A propos d'Apollo XVII

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Quand Super Hasard, nous fait redécouvrir, un article de revue Ciel&Espace , exaltant "l'exploit" d'Apollo 17,
de Décembre 1972
.


I Introduction.

     Le 19 Octobre 2013, en explorant certains de nos dossiers, nous sommes tombés sur le n° 391 de la revue suivante :


Et en feuilletant cette revue, nous avons eu un petit sourire sous cape, en decouvrant un dossier central de 8 pages, consacré à "l'exploit", d'Apollo 17, dont les deux premieres sont très significatives de l'état d'esprit, à l'époque, des rédacteurs :

  

     Vous avez bien noté le fait, qu'en Déc 2002, pour les rédacteurs de la revue, cette mission d'Apollo 17, fut la : " Mission extraordinaire", et sur la photo où est mentionné cela, on aperçoit dejà une flèche rouge dessinnée par nos soins.

     Nous allons de nouveau ici, démontrer en effet, que cette mission fut en fait un extraordinaire canular, comme d'ailleurs l'ont été, toutes les autres missions "Apollo", sur la Lune.

II Genèse de l'affaire.


    Nous présumons alors que les rédacteurs de cette revue, n'avaient pas pris à l'époque connaissance de notre article paru dès le 30/04/2000, et placé à :

    Nous pensons aussi qu'ils n'avaient pas encore lu, non plus, l'admirable livre "Lumières sur la Lune" (le grand doute) de Philippe Lheureux, publié aux Editions Carnot en Novembre 2000:

  
Voir la nouvelle édition sur le site : http://lheureux.free.fr/


    De même, ces rédacteurs ont ignoré notre article adressé justement à la revue Ciel&Espace, paru à la date du 12/02/01 , et placé à :


    Ces rédacteurs auraient aussi pu, avoir largement, l'opportunité de découvrir notre article en date du 04/04/02 :


    Nous allons donc analyser d'abord certaines images d'Apollo 17, présentées avec ostentation, par cette revue et nous allons s'il le faut, nous référer aussi au site quasi officiel :


    Commençons si vous n'y voyez pas d'inconvénient par la photo intitulée "vol au-dessus de Tarus-littrow", où nous avons dejà placé une petite flèche rouge et région où parait-il étaient sensés descendre les astronautes d'Apollo 17.

a) Quand d'emblée, apparaît une structure bien insolite, que la revue a évitée de montrer.

    Dans cette étendue apparemment désertique, apparaît cependant vers le centre une structure très étrange et dont la coloration est remarquable. Est-ce un malheureux défaut de la photo ou bien une véritable structure implantée sur le sol lunaire ? Ou encore le LEM (module lunaire) qui est entrain de se poser bien que cette structure n'en ait pas du tout la forme ?


    Ah ...si nous avions l'échelle de cette photo, nous pourrions en déduire les mesures de cette structure vraiment insolite :

    Merci déjà mille fois à l'internaute béni qui pourrait nous fournir cette échelle .


     Recherchons alors l'image d'origine plus nette et sans la rayure, et présentons alors celle n° AS17-147-22465 du site quasi officiel déjà présenté :

::

et, on y voit alors que :


     A vous de juger, s'il est nécessaire d'en savoir plus...

b) Une affaire d'ombres projetées et de stuctures lumineuses parasites et de traces de roues absentes, et affaire non expliquée volontairement.

    Passons maintenant à l'image n° 1 suivante de la revue :


    On y voit pas grand chose d'anormal. Cependant, des infographistes qualifiés, pourraient trouver peut-être, des anomalies concernant les ombres du le LEM de cette photo, mais nous, nous ne sommes pas qualififiés pour cela. De même seuls des spécialistes pourront agrandir et vérifier les éléments un peu flous, que nous présentons dans les zones 1 et 2, et là nous ne pouvons rien affirmer :

  
Éléments de la Zone 1                                  Éléments de la zone 2

Par contre pas besoin de sortir de l'école Polytechnique pour découvrir dans les images qui vont suivre, certaines anomalies notoires :

  


    En effet les photos n° 4 et n° 9 de ce dossier de CIEL&espace, nous placent encore devant ce problème de feux lumineux, (jamais expliqués ni par la Nasa, ni par les rédacteurs de la revue), qui apparaissent dans le ciel lunaire et que certains chercheurs croyaient autrefois être des ovnis espions. Il a été aussi très commode de qualifier ces feux parasites de simples reflets sur l'objectif de la caméra surtout si l'on prend le soin d'éviter de dire de quels reflets d'objets lunaires, il s'agit. (Suivez donc les flèches rouges que nous avons placées sur les images ci-dessous :)

  

    Mais cette image n°9, répertoriée AS17-136-20760, nous réserve bien d'autres surprises :


et sur le site quasi officiel, on voit aussi que :

    Venons en, maintenant, à la photo n°6 de la revue, repertoriée AS17-134-20378, et notez bien le commentaire des rédacteurs de la revue :


    Pour mieux analyser, cette étrange photo n° 6, faisons d'abord ici, une première digression :

    Le monde entier, a admiré à l'époque, cette superbe photo d'Appollo 11 :


      Mais, on le sait, le site ARTivision, évite toute spéculation et bavardages non basés sur des faits précis concernant cette affaire de débarquement sur la Lune de Neil Armstrong et consorts.

     Pas besoin en effet, de sortir de Polytechnique, pour s'apercevoir que l'ombre de l'astronaute de droite, est bien plus longue, que celle de son confère. Les rayons du soleil viennent de l'infini et en plus ce Soleil est assez proche de l'horizon. Les deux ombres doivent être parallèles et surtout de même longueur, et comme on le voit ce n'est pas ici, le cas pour la longueur. Pour vérifier cette affirmation, nous avons réalisé la modeste expérience suivante :

      Un jour vers 16 h 20 locales, nous avons simplement placé dehors, deux bouteilles identiques d'eau minérale, et nous avons constaté de visu, que les ombres étaient parfaitement parallèles et que l'ombre portée mesurait 98 cm pour chacune d'elles .


       En conséquence, il s'en suit que :

- soit que les deux astronautes sont éclairés (sur Terre évidemment, par de puissants et différents projecteurs dans la zone de simulation du Névada ou de l'Arizona)...

- soit, pire encore , il s'agit d'un montage de deux photos différentes prises pour chaque astronaute séparément et, bien entendu, sur Terre.

      De plus, nous n'avons pas reçu, une seule réponse, concernant le gros point d'interrogation, que nous avions soulevé dans d'autres articles, et qui consiste à simplement dire : Qui a pu filmer et prendre ses images si bien agencées, des deux astronautes, évoluant côte à côte sur la Lune. On sait en effet que le troisième confrère nommé Collins , était très éloigné en haut dans le ciel lunaire et dirigeait le Module de Commande. Il ne pouvait donc, en aucune manière, prendre ces photos si claires !!

      Où était fixée la caméra en question, a-t-elle été commandée automatiquement à distance, ou a-t-elle filmé en continu, quitte à gaspiller de la pellicule, pourtant si précieuse en ce lieu ?

     Fin de la digression

A vous de juger...

     Revenons alors, à notre photo n°6 de la revue, et analysons d'abord, seulement le bas de cette photo, où nous avons repéré 3 petits rochers A et B et C, dont les ombres sont bien caractérisées :


     Le constat est clair : les ombres de cette photo ne sont pas du tout orthodoxes...Bien sûr, les habituels détracteurs trouveront encore des explications bidons à cette anomalie ( Illusions d'optique, terrains non plat etc...).

     Mais pour analyser maintenant, les deux traces de roues visibles sur cette photo, faisons ici une deuxième digression :

     Voici deux images de la fameuse jeep Willys, qui a brodé pendant des années, les films de guerre américains :

  

     Et voici les traces, que laisse cette jeep, dans la neige :


Et voyons cela d'encore plus près :

  

     On remarque alors, qu'il y a un décallage entre les structures de droite et celles de gauche de la roue d'une jeep Willys.

     Bien que nous ayons découvert que la plupart des traces de la jeep Willys, sont coupées à moitié ( et l'autre moitié ,comme dans cette image n° 6, n'étant qu'une dérisoire magouille photographique pour faire croire qu'il s'agit de la trace de la jeep LRV lunaire, dont les dessins de roues sont tels que ):

  

     Il nous reste cependant ces deux cas :

     Pour la photo AS15-87-11818 du site quasi officiel, vu plus haut, on découvre ceci :


     Il y a aussi la photo hélas plus floue, AS15-85-11435, où l' on découvre aussi, en bas à droite ceci :


     En conclusion, malgré toutes les manipulations faites autour des traces laissées sur le sol, il semble bien que l'on retrouve, par ci et par là, des structures qui ont bien l'air d'appartenir à une jeep Willys, et structures qui n'ont rien à faire sur la Lune car le carburateur de cette jeep a besoin d'air pour fonctionner et donc cette jeep ne pouurait circuler sur la Lune.

      Fin de la deuxième digression...

     Revoyons donc maintenant après ces explications notre photo n° 6 de la revue :


    Mais ce n'est pas tout, nous voyons en avant de l'image que les traces des roues de la jeep lunaire s'arrêtent brusquement et on ne peut savoir si elles se poursuivent plus loin à gauche, car l'image est coupée. Cette interruption des dessins des roues posent cependant un problème. Ces dessins sont si nets à certains endroits que l'on peut se poser la question ( en supposant qu'ils sont ceux des roues avant de la jeep), comment la jeep a pu reculer sans les écraser et nous ne parlons même pas des roues arrière dont on ne voit pas les traces sur le sol.
    On nous dira sans doute, que cette jeep a bien continué vers la gauche, ( mais où sont donc alors les roues arrières) ? On peut aussi imaginer, que ce sont les astronautes qui ont couvert de sable lunaire, ces dessins en fouillant par exemple un trou dans les environs. Cependant l'étalement du sable qui couvre ces dessins, semble bien à plat (voir la flèche rouge) pour qu'il soit jeté là par hasard. A vous de juger...



Nous arrivons maintenant à la photo clef de l'affaire Apollo17 :


      On note bien ici, que les rédacteurs de l'article ne mentionnent pas du tout, où et comment le garde-boue de la jeep lunaire a été cassé. Mais, on dit tout de même, que cela a eu lieu lors de la première sortie des "astronautes"


     Donc on devine que les "astronautes", d'Apollo 17, ont effectué après leur premier périple mouvementé, sur des "km de sol lunaire", une réparation de fortune du garde-boue de la roue arrière droite du LRV (Lunar Roving Vehicle). Mais, comme il n'avait pas sur la Lune, de treuil élévateur à portée de main, on se demande alors, comment ce LRV, a pu arriver à son emplacement actuel, sans laisser aucune trace de cette roue sur le sol, alors que des traces de pas, montrent bien que le sol est tout à fait meuble, à cet endroit.

    Mais c'est encore plus clair à la photo AS17-143-21933, du site quasi officiel précité et où l'on voit aussi au bas à droite, d'admirables traces de pas:


    Donc là, tout est clair, comme de l'eau de roche, et ce LRV, n'a pu être placé ici, qu'avec un élévateur bien terrestre, mais cela, dans un centre de simulation du Névada ou de l'Arizona, où l'on avait reconstitué l'apparence du sol lunaire. Mais, on a oublié de faire rouler un peu la jeep, avant de faire la photo. C'est le très petit détail qui, comme dans le célèbre film d'Alfred Hitchcock, sorti en 1954 : "Le crime était presque parfait" , a confondu le coupable...Point barre.

    Bien sûr, nous avons d'autres photos qui prouvent aussi clairement la supercherie...

Par exemple : Sur la photo AS17-133-20342 , du site quasi officiel, on découvre aussi ceci :


Là... chose bizarre, pas de traces de pas, de celui qui a pris la photo, mais en plus aucune traces des roues du LRV, ne sont présentes.

     Mais voyons cela de plus près :


A vous de juger .

     Mais analysons maintenant l'image n°11 de la revue :


     Notez bien l'affaire du carrotage prévu, qui est est brusquement annulé, alors que chaque action était minutée, des mois à l'avance, dans l'organigramme de la mission . Mais analysons cela de plus près :

.

     On voit donc clairement ici aussi, que les ombres projetés, diffèrent souvent, et de plus il y a une trace très floue de roue LRV, tout à fait insolite, alors qu'apparaissent à divers endroits, des traces de pas, magnifiques. Alors le poids de "l'astronaute", est-il ici donc bien superieur, à celui de la Jeep lunaire ?

     D'autre part, si vous analysé l'environnement immédiat du petit appareil nommé gnomon, soi-disant destiné à donner l'échelle de la photo et servir pour l' étalonnage des couleurs, on voit qu'il n'y a aucune trace de pas à ses pieds. Comment a-t-on fait pour le mettre en place ?


     Rebelote à la photo n°22, cependant bien colorée, mais toujours sans traces de pas. Voyez vous même :


Mais c'est encore plus clair à la photo AS17-146-22365 du site quasi officiel précité :


     A vous de juger tout cela !!

c) Quand il s'agit, de collines bien arronies et souvent toute blanches, en contradiction avec l'opinion des spécialites.

     Mais venons en maintenant à cette affaire de collines bien arrondie que l'on découvre dans tous les paysages lunaire des "Apollo"

Voici les couvertures une ouvrage de 1961 Wernher VON BRAUN, qui en connaissait certainement, un rayon sur les paysages lunaires :

  

     Comme on le voit, il n'y a là aucune colline arrondie, et le paysage est très déchiqueté.

     Mais demandons aussi au célèbre dessinateur belge Hergé (Conseillé parait-il par la NASA), de nous en dire aussi quelques mots imagés dans son abum de 1985 :

  

     Là encore, à aucun moment, on ne trouve de collines arrondies, mais, le même paysage acéré, rempli d'arêtes pointues.

     Mais les détracteurs diront encore, que ce sont des dessins et que chacun peut imaginer ce qu'il veut, en la demeure. Voyons donc un paysage lunaire authentique :

  

     Et pour ne pas subir la foudre des éditeurs, disons que la photo de gauche est tirée de l'ouvrage intitulé LA LUNE de F. LINK, publié chez A. Michel en 1970. L'image de droite est sortie de "Atlas of the Moon", d'Antonin Rükl, édité en 1991 par Hamlyn London.

     Comme on le voit, là non plus, on ne voit pas souvent de collines bien arrondies et bombées.

     Alors d'où viennent ces collines mamelonnées souvent blanchies, qui émaillent régulièrement les photos lunaires Apollo, de la NASA.

    Vraiment blanchies, conmme dans la photo, n° 6, répertoriée AS17-134-2037, déjà vue, plus haut :


     Et la super lessive, lave toujours plus blanc pour les collines d'Apollo17 :

   


     A vous de juger, et de nous dire, tant soit peu, de quelle lessive, il pourrait s'agir ! .

     Mais analysons maintenant, la photo n° 26 de la revue :


     En premier lieu, si l'on analyse le dos de "l'astronaute", qui brille comme un sou neuf, les rayons du Soleil devraient être, à peu près , dans la direction rouge indiquée sur l'image suivante. Les autres ombres sont en bleu et leur parallélisme, on le voit, est sujet à caution :


     Enfin pour cette image, on voit aussi que le LVR, n'a laissé aucune trace visible sur le sol dans son déplacement. Les traces devraient être dans le prolongement des segments en vert.


d) Quand, la revue Paris Match, 30 ans plus tôt , avait parlé d'Apollo 17 .

    Mais, comme il faut battre le fer pendant qui est chaud, remontons de d'environ 30 ans dans le temps, pour feuilleter une autre revue, qui a ses entrées à la NASA, comme nous, nous entrons dans notre cuisine. En effet tout de suite après l'exploit d'Apollo XVII, qui a eu lieu du 11 au 14 Décembre 1972, est sorti le 15 Janvier 1973, le Paris Match n° 1236, où figure un article avec d'admirables photos, d'un certain François Caviglioli :


    Mais, pour les puristes qui aiment voir les documents d'origine, voici en page 35, le haut d'article en question :


    Analysons alors d'abord, si vous le voulez bien, cette image de la page 43 :


    De nombreux indices étranges, nous interpellent aussi .

    Il y a bien sûr cette affaire d'ombres qui vont dans divers sens :


    Il y a d'autre part cette caméra qui est toute nue , et non protégée, par un sac bien adéquat, des dures radiations, circulant sur le sol lunaire et radiations qui détruiraient, vite fait, les sensibles pellicules photographiques de l'époque. Et, dans l'arrière plan, on voit encore, sur la gauche en haut deux collines arrondies et blancheatres insolites.

    De plus, la brillance du scaphandre de l'astronaute, contraste avec la paleur du sol, situé derriére lui, comme si l'astronaute avait été juxtaposé sur le paysage par une manipulation photographique.

    Mais il y a pire :

    Sur le super site :


, nous avons retrouvé cette photo du Paris Match, ( où les couleurs sont moins nettes sans doute furent-elles renforcées par la revue), sous le n° AS17-134-20425.


     Et en regardant attentivement autour des pieds de "l'astronaute" , vous y découvrirez des traces laissées par une jeep Willys, qui ne fonctionnerait pas sur la Lune, car il n'y a pas d'air pour son carburateur.


    Des spécialistes en photographie, en augmentant la luminosité et le contraste, feront certainement mieux que ceci :


    Mais allons maintenant plus loin dans l'exploration de ce Paris Match 1236.

    Il nous présente alors, sur deux pages entières, ( 44 et 45 ) (que nous ne pouvons capter entièrement avec notre petit scanner), cette image d'Apollo 17, que nous tirons du site apolloarchive.com sous le n° : AS17-I40-21496 :


    La légende accompagnant la même photo géante du Paris Match n° 1236 du 13 Janvier 1973, est alors : " Un rocher comme sur la Terre : ce monstrueux bloc de rocher est une autre découverte impressionnante.  Son aspect  déchiqueté et érodé contraste étrangement avec les formes lunaires habituelles, douces et arrondies, telles qu'on peut les voir se profiler à l'arrière plan. Au retour de ce dernier voyage, Apollo 17 a ainsi emporté une moisson fabuleuse d'échantillons que le géologue Harrison H. Schmitt a choisis avec discernement. 270 Kilogrammes de roches ont été  jusqu'à ce jour prélevés sur la lune puis déposés 350 000 kilomètres plus loin sur la Terre. ".

    Comme tout cela est bien envoyé, n'est-ce pas !!

    On s'aperçoit déjà, que ce rocher présente de nombreuses anfractuosités, contenant plusieurs angles droits, et même des trous carrés, que vous n'aurez aucun mal à déceler et qui donnent l'impression que ce rocher aurait été carrément sculpté. (Mais ce n'est qu'une impression que des spécialistes en mathématiques et topologie, n'auront aucun mal à préciser).

    Mais extrayons en, ces deux paties :

    
  

    Reprenons d'abord la photo de gauche, en y plaçant deux petites flèches :

  

    Au bout de flèche rouge n° 1, on découvre une sorte d'inscription voilée représentant un R, et un Y ou un 4. Plus bas, au bout de la flèche 2, on distingue comme une parcelle de la roche qui aurait été comme grattée et dont la couleur est plus foncée. Sur la photo d'à côté, nous avons volontairement accentué le contraste pour que cela soit plus net. On y voit alors parfaitement la forme géométrique de ce grattage, pour  y faire disparaître d'autres inscriptions, mais que l'on a cependant oublié sur les bords du grattage un V, qui apparaît bien nettement, et au-dessous duquel, pointent deux portions de droites bien parallèles.

    Évidemment, tout cela pourrait être le fruit du hasard. Mais dans le cas où des spécialistes en graphologie, démontreraient qu'il s'agit vraiment d'une écriture que l'on a essayé de camoufler, il n'est pas besoin d'insister sur les implications extraordinaires, que l'on pourrait en tirer. Aux spécialistes donc de répondre...

    Venons en alors, à la photo suivante, où nous avons placé une seule flèche :

  

    Au bout de la flèche rouge, on aperçoit une sorte forme circulaire très étrange, et qui pourrait être un outil oublié dans ce coin, ou mieux une sorte de crochet (il y en a, peut-être, d'autres cachés par derrière), pouvant servir à soulever la structure lègère en carton-pâte ou en plastique.


    D'ailleurs le sommet de ce rocher, paraît plutot applati, pour un bloc lunaire, car sur la Lune , on le sait, il n'y a pas en principe d'érosion, susceptible de le raboter de la sorte.

    Mais dans ce super n°1236 de Paris Match consacré à Apollo 17, nous avons aussi repéré l'image du véhicule lunaire (LRV)Lunar Roving Vehicle placé presque qu'au centre des deux grande pages 40 et 41, trop étendues pour notre scanner :

    Mais sur le site :

, nous avons retrouvé en format plus réduit, l'image globale en question :


    Voyons de plus près ce LRV (Lunar Roving Vehicle) du Paris Match :


qui correspond à la légende de la revue :: " ...Harrisson H. Schmitt parait isolé et perdu avec sa jeep dans ce paysage lunaire fantastique et désolé. C'est ici que vient d'être découverte pour la première fois une roche de couleur orange. Cette couleur est nettement visible de chaque côté du véhicule. trace d'une éruption volcanique ou de la présence d'eau voici des milliards d'années sur la Lune, cette roche sera analysée par les chercheurs. Son origine pose une nouvelle énigme.".

     Pas mal ce laïus très coloré n'est-ce pas !

     Ce que nous constatons d'emblée, c'est que l'on ne voit aucune trace de pas, ni surtout des roues du véhicule, ni devant, ni derrière. Comment a-t-il pu arriver au centre du paysage sans laisser de traces sur le sol. Bien sûr, on nous dira que c'est la dureté du sol qui en est responsable. Point Barre.

     Maintenant, il faut aussi remarquer les caractéristiques du symbole + pouvant servir, on le suppose, au cadrage des éléments du paysage comme le quadrillage établi par les archéologues sur le site d'un terrain ou sous la mer. Ce + devrait toujours se situer en avant des objets de l'image. Mais la photo du Paris Match, (voir aussi celle numérotée ( AS16-107-17446 du site déjà vu : http://www.apolloarchive.com/apollo_gallery.html), possède à ce sujet une anomalie notoire :


    Comme vous le voyez, la branche horizontale gauche et droite du + , passe bien derrière le bout des objets du LVR et même aussi presque toute la branche verticale du bas de ce + , disparait lui aussi, derrière le LVR. Ceci est la preuve absolue que cette photo a été réalisée par la juxtataposition de plusieurs photos, et l'opérateur de la NASA, ne s'est pas rendu compte de l'erreur lors du montage.

      Certains internautes ont cru démontrer que c'était le blanc qui saturait le trait noir de la croix, et le faisait disparaître. Dans notre article unplusdansespace.html, nous avons démontré que c'était faux, et voici alors deux images où le blanc ne gêne pas la croix :

   

      Terminons maintenant par cette dernière image du PM n°1236 en page 42 :


       Il est d'abord facile de constater que les deux roues de droite du véhicule n'ont laissé sur le sol, aucune trace visible, ni à l'avant, ni à l'arrière du véhicule. Seule une trace entre ces deux roues apparaît nettement sur le sol.

    Pour suivre cette affaire de plus près, reprenons notre étude faite à son sujet à notre article lettreouverteinternaute.html :

      En effet, si nous agrandissons donc cette trace pour y voir plus clair, on découvre alors, ceci :

  

      On voit alors que cette trace ne correspond pas du tout, au dessin que devrait laisser la roue de la jeep LRV, dont voici encore plus clairement le modèle :

  

    Voyez vous-même :

  

       Mais retrouvons la même photo référencée AS17-147-22526, sur le site presque officiel déjà vu :


, où l'on découvre ceci :


      On voit alors que :

  

      Les stries entre les deux roues ne sont presque plus visibles, comme si elles avaient été dénaturées, par une manipulation photographique quelconque.

e) Quand il convient, de poursuivre l'analyse des photos dans le site quasi officiel, où nous attendent d'autres surprises .

     Mais quittons désormais le PM n°1236 pour pénétrer plus avant dans les images du site quasi officiel déjà bien connu :


     Juxtaposons alors les photos suivantes commentées par notre ami Claude :

     Pour l'image AS17-145-22157 en notant bien l'ombre portée du gnomon, on a :

  

     Voyez maintenant l'ombre du gnomon, et le reste à cette image n° AS17-133-20328 :

  

     Et voici des images avec multiples "soleils" que les revues citées précédemment ont préféré ne pas montrer :

  

  

    A suivre ...

  

    Le nom des images, donne le numéro de la référence en question.

     Pas mal n'est-ce pas, cette kyrielle de points lumineux ,(et il y en a bien d'autres), et points lumineux, jamais bien sûr expliqués par la NASA...!! A vous de juger ...

     Mais en scrutant attentivement les images, on voit aussi, ceci de bien insolite :

  


    A vous de juger une fois de plus, tout cela...

    Mais il y a aussi cette affaire de cable qui jonche le sol :

      Voyez donc cette image référencée AS17-136-20704 :


    On voit, alors que le cable qui traverse toute la photo, ne présente aucune ombre sur le sol.

     Voyez donc aussi, cette image référencée AS17-134-20493, où on aurait voulu palier à cet inconvénient, mais on voit bien vite que cela ne va pas :


    Si l'on se base sur l'ombre portée par le rocher A, on voit alors que tige métallique verticale B, ne produit pas d'ombre ( Segment bleu) , et le début du cable, approximativement, aurait dû être la portion de ligne verte. Des spécialistes pourront certainement faire mieux que nous, qui avons de très faibles moyens.


     Mais il y a mieux , car voyez les grains de sable coincés dans les interstices de cette roue qui n'a pourtant pas roulé (voir plus haut ):

    Maintenant scrutez attentivement, la semelle présentée dans la photo AS17-134-20453 :


     Mais, voyons cela, en augmentant le contraste:


      Pas un grain de poussière n'est collé en dessous de la chaussure. Ne trouvez-vous pas cela bizarre ? "L'astronaute", est-il passé directement du LEM au LRV sans toucher le sol ? Quelle prouesse ? Aux spécialistes de répondre si une telle chose est possible !!!

      Mais soyons plus pointilleux encore : regardez la photo suivante, où nous avons tracé grosso modo deux lignes qui correspondent au bord droit des roues de LRV :


      On voit alors que les roues de droite du LRV n'ont laissé sur le sol aucune traces visibles dans la direction montrée. Dommage que l'on ne puisse pas voir le sol entre roues ( et on sait, plus haut, que cela a posé un gros problème ). Dommage aussi que l'on ne puisse pas voir un peu du sol qui précède la première roue de droite.

       A vous de juger une fois de plus, documents à l'appui.

    Venons en maintenant au point crucial de cette misson d'Apollo 17 : Le retour du Module Ascensionnel du LEM (Lunar Excursion Module), qui va transporter les deux "explorateurs lunaires" , Gene Cernan et Harrison Schmitt :


jusqu'au Module de Commande en orbite autour de la Lune avec "l'astronaute" qui n'a pas pu hélas fouler le sol de la Lune :


et le bouquet sera en conclusion tel que :


     Ces photos en couleurs, nous viennent du Ciel&Espace n° 391 de Décembre 2002.

     Mais avant de poursuivre notre exposé, il serait peut-être utile, de présenter ici le passage qui suit du site :


     " Lorsqu'en 1961 le président des États-Unis, John Fitzgerald Kennedy, fixe comme objectif à l'agence spatiale américaine d'envoyer des hommes sur la Lune avant la fin de la décennie, le programme spatial américain est encore balbutiant. Après avoir étudié plusieurs configurations pour le vaisseau spatial, la NASA choisit en 1962 d'avoir recours au LEM, module destiné au débarquement sur la Lune, malgré les interrogations que suscitent à cette époque le recours au rendez-vous orbital lunaire (LOR) que sous-tendait ce choix. Seule cette solution permettait en effet de tenir l'échéance fixée, en réduisant la masse à satelliser et en limitant les coûts et les risques techniques.

     Le LEM comporte deux étages : un étage de descente dont le rôle principal est de faire atterrir verticalement le module lunaire grâce à un moteur à poussée variable et un étage de remontée doté de son propre moteur et dans lequel se situe la cabine pressurisée où séjournent les astronautes. Malgré la complexité de sa mission et une contrainte de masse très sévère (15 tonnes), le LEM a réussi à six reprises à amener sans défaillance grave, et faire séjourner deux hommes dans un environnement lunaire particulièrement hostile et à l'époque mal connu..
"

     Vous avez bien noté, nous l'espérons, le fait que des spécialistes affirmaient que le rendez-vous lunaire posait déjà, à l'époque en 1962, de notoires interrogations et que malgré complexité de la mission, on a tout de même pu, réussir sans embages, 6 jonctions ( et on pourrait aussi ajouter celle d' Apollo10, donc cela fait 7 en tout ), entre un étage de remontée du LEM avec le Module de Commande, d'Apollo tournant autour de la Lune.

    Pour Apollo17, nous avons relevé, ces infos sur le site quasi officiel :


Et voici, dans l'ordre, les images correspondantes :

   

   

    Mais, il nous appartient maintenant de noter ici, ce fait important : Le 15 juillet 1975 fut lancé le vaisseau soviétique Soyouz 19 avec les cosmonautes A. léonov et V. kubasov et ils effectuèrent 96 révolutions autour du globe terrestre. Cette mission aurait été parfaitement routinière et sans intérêt majeur pour les médias , si l'un des derniers vaisseaux américains Apollo, ne s'y était pas venu amarrer pendant deux jours. Toute la manœuvre d'approche et le passage par le sas de contact, des visiteurs américains : T. Stafford , V.Brand et D.Slayton ont été largement filmés et retransmis dans toutes les télés, radios et presses du monde entier. Les deux équipages ont bien d'abord montré leur grande joie de se rencontrer et par la suite, ils ont expérimenté et testé les processus d'amarrage des deux vaisseaux pour toute nécessité ultérieure. Voir ci-dessous en effet, une photo de cette rencontre mémorable, montrant la joie profonde des astronautes :



    Mais justement maintenant, il nous vient à l'idée, que la Nasa n'a jamais montré pour aucune des missions "Apollo", (à notre connaissance bien sûr et les internautes qui en auraient la preuve, nous feraient un grand plaisir de nous l'envoyer ), ce qui serait somme toute tout à fait normal et bien chargé d'émotion, les retrouvailles des astronautes revenant de la Lune avec de leur compagnon d'infortune, qui lui fut privé, hélas, du débarquement, et qui est resté sagement dans le module de commande, à attendre leur retour et à suivre leurs évolutions sur notre satellite. Or ce dernier avait assurément, à sa disposition à l'intérieur de la cabine, une caméra pour filmer tout ce qui se passait autour.de lui ..

Aux spécialistes de répondre et de nous dire pourquoi aucune photo des retrouvailles n'a été montrée.

    Quelle joie ce serait pour lui de filmer le passage, par le sas d'entrée, après un retour si périlleux de ses deux compagnons et de montrer ensuite ces photos d'intense émotion au monde entier ?

    Non rien de tout cela ne nous a été présenté par la Nasa !!!

    On sait d'ailleurs maintenant, qu'en plus des caméras placées sur les vaisseaux Apollo , les astronautes possédaient chacun un appareil photo - un Hasselblad muni d'un objectif Carl Zeis - adapté à leurs combinaisons spatiales.

    Tout est donc clair, et et selon nous bien sûr, si aucune photo n'a été prise du retour de copains après leur escapade très risquée sur la Lune, c'est qu'il n'y a jamais eu de rendez-vous lunaire et cela pour aucune mission Apollo connues , car cette opération était effroyablement risquée, et c'est un exploit quasi miraculeux, que de réussir 6 rendez-vous lunaires sans aucune anicroche, à environ 400 000 km de la Terre, avec des ordinateurs très primitifs, qui n'avaient même pas à l'époque la puissance d'une calculatrice actuelle d'étudiant. Et cela en plus, malgré le terrible cône d'ombre électromagnétique, que représentait la Lune, vis à vis de la Terre, en fonction des positions des éléments des vaisseaux à joindre.

   C'était donc là, l'un des moments les plus cruciaux de la trajectoire suivie par ces astronautes revenant de la Lune et, c'est là, justement que nous avons le moins d'information et aucune image de cela.

      Tout de même, voilà deux astronautes qui ont risqué grandement leur vie sur la Lune, qui reviennent au bercail après des péripéties uniques en leur genre et qui sont accueillis, par un troisième compagnon, sans tambours ni trompettes, ni même une petite photo de souvenir ?...Ne trouvez-vous pas cela bien bizarre ?

      Nous attendons alors vos précieuses conclusions...

f) Quand la NASA fait des siennes pour présenter le site lunaire, où apparaîtrait le LEM d'Apollo 17.

     Voyons maintenant, une dernière image très significative du Ciel&Espace n°391 de Déc. 2002 :


     En analysant l'image étonnante intitulée "La mission de Ron EVANS", on ne distingue pas grand chose du prétendu LEM, bien placé sur le sol lunaire, et même en agrandissant 3 fois, le coin :


rien, de très significatif n'apparaît. De toute façon cette image n'a rien à voir avec celle qui suit, et qui fut montrée par la NASA en guise de site d'alunissage pour Apollo 17 :


     Cette affaire, nous avait été envoyée le 6 sept 2011, par l'ami Christian, et était alors placée sur le site qui a disparu bizarrement :


     Heureusement que l'on peut la retrouver, sur le site béni :


    Pour les puristes, on trouve aussi cela en anglais, directement sur le site de la NASA à :


     Mais, voyons de plus près de quoi il s'agit :


     Nous avons ici, heureusement, l'échelle, et on découvre que sur notre figure 100 m correspondent à 45 mm, et on voit aussi que la largeur du cratère noir, ou de la crique noire, où est posé le LEM tout blanc, fait approximativement 5 mm. La largeur réelle de la crique est donc donnée par l'expression ( 100 X 5)/45 = 11,1111... Pour plus de simplicité, et en raison de l'imprécision de nos mesures, arrondissons à 11 m. Et de plus, on admettra aussi que la crique a presque la forme d'un disque de 11 m de diamètre.


     Alors, le Webmaster, du site en question : "suivi du soleil", aurait pu se poser au moins la question de savoir, quelle fut la prouesse technique, à accomplir, pour poser avec une marge infime, (à l'époque en Déc 1972, il y a donc 41 ans) , le LEM Challenger, juste au centre de la crique en question parfaitement noire, et cela pour mettre en relief les caractéristiques bien blanches du LEM, (alors que l'on n'a jamais vu les constituants d'aucun LEM d'une telle blancheur). En effet, on s'interroge sur le fait, que si le prétendu Apollo 17 a "aluni" en Décembre 1972, alors à l'époque pouvait-il descendre dans une crique, d'à peine 11 m de large. D'ailleurs, on apprend que le LEM avait une longueur 5,4 m et une largeur 2 m, et en plus, il faut tenir compte de l'écartement des pieds que l'on appelle l'empattement . Sur le site :


, on découvre ceci :


     Donc ce train d'atterrissage, dont l'écartement est de 9, 45 m, comporte quatre jambes largement séparées, pour procurer la meilleure stabilité à la pose au sol. De plus, chaque jambe se termine par une semelle incurvée d'un diamètre de 94 cm, qui doit limiter l'enfoncement du LEM, même dans un sol très meuble.

      Un calcul élémentaire donne alors : 11 - 9,45 = 1,55 m  de battement à diviser encore par deux, donc 0,77 m de chaque côté, pour éviter de chevaucher le bord de la crique, sans doute un peu surélevé, comme on le voit sur l'image.

     Pourquoi prendre à l'époque, un tel risque inutile à 0,77 m près ?

     De plus comment savoir, avant la descente sur le sol lunaire, si le fond très noir de cette crique , était parfaitement plat, et non en forme d'entonnoir, ou bosselé , pour prendre le risque de s'y poser, alors que le champ immense d'à côté, offrait beaucoup plus de garantie pour la pose au sol. Quand aux rayures avoisinantes, n'importe quel infographiste qualifié, peut en réaliser de bien meilleures.

     Pour ARTivision, cette affaire de crique super providentielle, prouve que tout cela est encore bidon.

      Il y a aussi l'éventualité que cette crique noire ait été purement et simplement ajoutée, autour du prétendu LEM tout blanc, pour mieux le mettre en relief... et là encore, c'est une manipulation dérisoire, montrant que tout est faux dans cette affaire.

     A vous, une fois de plus, de juger tout cela compte tenu de nos petits moyens du bord...

III Conclusion.

     Nous pourrions bien sûr présenter beaucoup d'autres images du site quasi officiel des missions Apollo, mais cela pourrait entraîner une forte saturation chez nos aimables internautes.

     Ce qui valable ici, pour la mission Apollo17, s'applique dans les mêmes termes, pour toutes les autres missions, 11-12-14-15-16.

     Mais quelles sont donc, les raisons qui ont amené les américains, à monter cette farce cinématographique qui a berné pendant des décénies les médias et astronomes du monde entier ?

     Et ce qui est le plus surprenant, c'est l'Union Soviétique de l'époque, soi-disant en guerre froide, avec les américains, n'a absolument pas protesté contre cette mascarade !!

     Pour comprendre cela, nous invitons d'abord les novices, à bien attacher leur ceinture car à l'altitude, où l'on va évoluer, il risque d'y avoir de très fortes turbulences.

a) Premiere tentative d'explication :


     Elle nous vient d'un individu très contesté par les médias et autres scientifiques mal renseignés sur les choses cosmiques : George Adamski.

     En effet, il convient ici de replacer notre paragraphe z8) de notre article clef : FlasbackAdamskien1955.html :

"z8) Quand Adamski, soulève un fait inexplicable, concernant l'exploration lunaire, des soviétiques de l'époque.


     Il nous semble utile justement ici, de présenter le texte suivant de l'ouvrage publié chez Gallimard en Octobre 1986, tel que :


    "Les deux premières tentatives, d'Août et de Septembre 1958 furent des échecs. La troisième, le 8 novembre 1958, voit Pioneer 1 s'élever à 113000 km d'altitude (loin encore des 384 000 Km de moyenne qui nous s'éparent de notre satellite); la suivante, le 6 Décembre 1958 conduit à une performance moins bonne : 102 000 km d'altitude pour Pioneer 3 enfin le succès est acquis le 3 mars 1959 avec Pioneer-4 qui passe à 60 000 km de la Lune. Mais les soviétiques ont fait beaucoup mieux entre temps: Le 2 janvier 1959, ils ont lancé leur sonde Luna-1 (alors surnommé Lunik) qui est passé dix fois plus près de la Lune (à 6500 km seulement), quoiqu'elle soit beaucoup plus lourde: 361 kg, contre 5,9 kg seulement pour Pioneer 4...
     En outre l'exploit de Luna-1 n'est qu'un prélude. Le 12 Septembre 1959, Luna-2 prend à son tour la route de la Lune sur laquelle elle s'écrase deux jours plus tard, dans la Mer de la Sérénité. Pour la première fois, un objet construit par l'homme a atteint un autre corps céleste. La performance de Luna-3 lancé le 4 octobre 1959 est encore plus remarquable: passant derrière la Lune, elle obtient les premières photographies de la mystérieuse face cachée. "



    Voyons maintenant les pages suivantes de notre traduction privée du livre d'Adamski de 1961 "Flying Saucers Farwell":

  

    Notons ici que c'est le 15 Mai 1959, qu'Adamski, dit être arrivé à Amsterdam et qu'il fut reçu en audience privée par la Reine, le 18 Mai 1959.

    Et de plus il y a ceci en page 227:


    Mais d'après notre contrôle, cette brêve audition de la BBC, eu lieu le lendemain de la visite à la reine de Hollande, donc le 19 Mai 1959. Or l'ouvrage précité "La saga de l'espace", nous précise bien, que c'est seulement le 4 Octobre 1959, que les soviétiques ont lancé la sonde Luna-3, qui devait contourner la Lune, et photographier la face cachée invisible de la Terre, pour la première fois. Donc soit Adamski, s'est trompé de date de l'audition de la BBC, soit, si l'on retrouve cet entrefilet vocal de la BBC, à la date indiquée, alors depuis belle lurette, on nous prend pour des minus abrutis, à écarter absolument de la réalité cosmique.

    Aux spécialistes de répondre, aux questions que pose ici, cette incongruité manifeste.

    Pour les puristes, qui aiment partir des documents sources, voici d'abord la converture du Science et Vie 507 de Décembre 1959, qui parle de cet exploit soviétique de Luna III :


     Et voici la page 93, qui annonce l'exploit :


      Et enfin, voici les pages en question, montrant la photo de la face cachée de la Lune, prétendue photographiée pour la première fois, par les soviétiques :


        Et que celui qui sait lire, ce qui se dessine clairement entre ces lignes...s'interroge encore plus, sur tout cela...et cherche aussi, à en savoir plus...

     Mais, pour bien cibler le problème, reprenons vu son importance, ce passage d'Adamski de la page 227, déjà vue plus haut :

" J'étais curieux de savoir comment les Russes avaient gagné cette information. Mes amis et moi discutâmes les possdibilités, plus tard, le matin. Etait-il possible qu'un Russe eut fait une incursion comme-moi, ou qu'il eût reçu l'information de leur satellite, sur la Lune, qui suivit une orbite autour du soleil ?..( L'information reçue au moment où j'écris ceci semble confirmer qu'ils l'ont fait). "

     Alors avez-trouvé l'explication de l'incongruité ?

     Mais dans le texte qui précède, Adamski , ne dit pas clairement qu'il ne peut s'agir que du satellite Lunik 1, lancé le 2 Janvier 1959, qui, parait-il, serait passé seulement à 6500 km de la Lune. On était le 19 Mai 1959, et il est donc inutile d'évoquer Luna 2 du 12 Septembre 59, qui s'est dit-on écrasé sur la Lune, et encore moins on l'a vu Luna 3 lancé le 4 Octobre 1959.

     De plus Adamski ne dit pas non plus, quelle information il a reçue, et qui a confirmé ses soupçons. Comme vous le voyez donc Adamski ne pouvait pas tout dire de ce qu'il savait car cette information était, selon nous, d'une importance capitale, et relevait de notre impérieuse connaissance historique de l'Astronautique, et décidément cet Adamski , nous surprendra toujours davantage ...

     Nous allons donc tenter ici une explication de cette incongrutité, puisque personne jusqu'à présent, ne nous en a touché, deux mots.

     Alors, Messieurs les bien-pensants, n'est-il pas correct ici, de dire encore une fois, que les scientifiques, savants orthodoxes et les journalistes assermentés "interprètent souvent à la va vite, un fait médiatique, à défaut d'en connaître, sa structure véritable sous-jacente" .

     Pour aller plus loin, dans la déduction de tout ce qui précède, ARTivision, vient donc, en exclusivité(si vous trouvez que l'on parle de cela ailleurs, dans les mêmes termes, prière de nous en faire part SVP), de démontrer dans ce passage souligné en rouge de son dernier livre :


que dès 1961, au moins, il existait une connivence ultra-secréte, entre les puissances américaine et soviétique, et ces états avaient à l'époque, déjà mis le pied sur la Lune, bien avant la mascarade des américains, du 21 Juillet 1969, et mascarade qu'ARTivision, a été l'un des premiers du Web Français, à mettre à jour dès le 30/04/2000, dans son article :


     Puis, cela s'est poursuivi dans les articles très significatifs, déjà présentés plus haut :


     Donc, selon nous , ce court propos : " ...seems to confirm that they did." (...semble confirmer qu'ils l'ont fait), est sans doute le propos le plus important qu'Adamski ait jamais écrit, et cela est passé aux yeux des médias soi-disant curieux de nature, comme une lettre à la Poste, sans tambour, ni trompette. "

     Fin de citation

Deuxième tentative d'explication :


     Voici un passage d'un vieux Paris Match n°1242 du 24 Février 1973, que nous invitons les internautes curieux, à analyser avec le plus grand soin :


et voici un passage très significatif issu de notre article plutôt corsé vous le verrez :


     " Là, comme on le voit, nous passons d'une extrémité à l'autre. Où l'émotion bien humaine s'exprime avantageusement, selon nous, pour Hayes, voici que pour Armstrong décédé le 25 Août 2012, qui, dans une situation encore plus extraordinaire, puisqu'il s'agissait de débarquer sur un autre astre, (et là, il serait tout naturel, à notre avis, d'avoir à cet effet, le souffle coupé devant un tel paysage d'outre-terre), ce dernier, en véritable robot, refuse même de dire devant ces interlocuteurs seulement que la Lune est belle. Voilà, Messieurs les journalistes intrépides, un sujet d'article passionnant, que représente ce parallèle à faire entre deux explorateurs si opposés dans la conception de la Vie. Il y a là, même pour des étudiants en Psychiatrie, Psychologie ou autre Philosophie, une thèse toute trouvée et surtout jamais réalisée à notre connaissance, sur une étude comparative de ces deux modes d'expression, des explorateurs précités... ".

     Voici d'autre part un autre passage très significatif concernant l' affaire d'Armstrong, et passage que l'on peut trouver à notre article :


Début de citation :

     " Donc ce n'est pas comme le pense le France-Antilles du 27 Août 2012, présenté ci-dessus, , une affaire d'Humilité, qui a présidé au comportement aberrant d'Armstrong, mais, pour nous, la seule façon de comprendre ce comportement, c'est de se dire qu'Armstrong , a eu un sursaut évident, de dignité et de moralité, et a refusé de participer à cette mascarade cosmique, montée par son gouvernement et la NASA, pour de vulgaires questions de prestige politique, économique et militaire de sa nation. Point-Barre...

     Fin decitation.

      Disons alors que si de simples observateurs (avec de très faibles moyens), comme le Webmaster d'ARTivision, ou comme Phillipe Lheureux et bien d'autres, ont pu des années après, s'apercevoir que les photos produites par les américains de leur escapade sur la Lune, étaient absolument truquées, alors les spécialistes soviétiques de l'Espace, s'en sont aperçus dès 1969, et pourtant, ils n'ont rien dit.... C'est donc qu'ils étaient parfaitement complices de cette macarade, et le concept de Guerre froide, qui battait son plein à l'époque, n'est qu'un autre bluff, mis au point par les soviétiques et les américains, pour noyer le poisson, et poursuivre en douce leur scélérate collaboration avec Les Petits Gris, dont nous allons parler ci-dessous. De plus les soviétiques n'auraient jamais abandonné, leur dur système politique, sans , une raison d'Etat supérieure, à tout ce qui est économiquement et socialement valable. S'ils ont laché prise, c'est parce qu'ils ont appris l'existence effective d'un troisième larron, plus puissant que les américains et les soviétiques, et donc que ces deux derniers pays, n'avaient plus aucune raison de se taper dessus.

     Peut-être comprendrez-vous dès lors, un peu mieux, le dénouement surprenant, le 26 octobre 1962, de l'affaire des fusées de Cuba.

     Fin de citation

      Rappelons aussi au novice, que dès le 30/04/2000 dans notre article :


      Nous avions écrit ceci, qui est d'une très grande importance :

      " Mais il y a de plus, dans toute cette affaire, au moins une vérité indiscutable, c'est le fait que certains astronautes sont revenus de la Lune, totalement déboussolés et en particulier le premier d'entre eux Neil Armstrong qui est comme "un ours en cage" , et ne veut, parait-il, plus entendre du tout parler de la Lune et surtout le second Buzz Aldrin, qui aurait été interné deux fois et qui de plus aurait prononcé cette phrase très insolite, lors d'une interview : "On nous croit des héros, mais la Lune nous a brisés". Voir à ce sujet l'exceptionnel Paris Match n° 1242 du 24 Fév. 1973 dont le titre de l'article est à notre avis déjà, en lui même, très explicite: " Ils sont encore dans la Lune ".

     Il y a donc bien "anguille sous roche..."

      Certains sceptiques, qui voudraient encore mettre en doute, nos déclarations sur Neil Armstrong, l'homme nous dit-on, qui le premier, mis le pied sur un autre astre que la Terre, et qui aurait pu amplement en tirer de grands profit par les contrats publicitaires faramineux qui lui ont été proposés, voici quelques phrases tirées de la page 99 de l'ouvrage très documenté de Pietro Banucci intitulé "La Lune" publié aux Éditions Bordas 1989 :

      "Après son débarquement légendaire, sur la mer de la Tranquillité, Armstrong se replie sur lui-même, et évite, dans la mesure d possible, de parler du passé. Séjournant dans un quasi-exil à Cincinnati, il évite les journalistes et se contente d'un poste d'enseignant en technologie aérospatiale dans une université locale... A plusieurs reprises, il émet des opinions négatives sur la NASA. En Décembre 1972 après la mission Apollo 17 qui marque la fin de l'exploration humaine de notre satellite, il refuse une invitation de la NASA, à une cérémonie au cours de laquelle il aurait dû poser pour une photo avec les onze autres astronautes du programme Apollo. La photo de groupe est donc incomplète. . En Juillet 79, il refuse de se rendre à une party, à laquelle l'a invité le Président Nixon.. Il snobe également une réception donnée par l'ex-président en l'honneur des astronautes du programme Apollo , dans sa villa du Pacifique en Californie...

     Arrêtons là, voulez-vous, ces propos significatifs, qui justifient parfaitement, à notre avis, notre expression "un ours en cage" citée ci-dessus...

     Mais il y a aussi ceci : Lorsque l'astronaute Armstrong, a soi-disant débarqué sur la Lune (et cela, 5 heures avant l'heure prévue ce qui a désorganisé tous les programmes de médias qui suivaient l'événement ), il a flanqué la caméra dans une direction et elle n'a plus bougé ...

     Jamais il n'a fait (à notre connaissance bien sûr, et nous aimerions avoir la preuve du contraire), un panorama du paysage comme le fait tout alpiniste qui arrrive au sommet d'une montagne...

     C'est inadmissible, au prix où l'on avait soi-disant payé cette caméra... Des spécialistes ont démontré d'ailleurs, que la caméra n'avait aucune protection contre les dures conditions et radiations qui régnent sur la Lune, et que par conséquent, les films obtenus auraient été tous "brûlés"...

      Voilà, cher novice , quelques éléments très prosaïques et il y en a d'autres, qui nous invitent à croire qu'Armstrong, (qui est décédé le 25 Août 2012) , n'a probablement, jamais mis les pieds sur la Lune, et pour cause....

Troisième tentative d'explication :


       De plus, il n'y a désormais plus de raison, de ne pas croire les déclarations extraordinaires de Milton William Cooper, faites dans son ouvrage (paru en anglais en 1989, et en français en 1999) vraiment hors normes (Âmes sensibles s'abstenir) :

  


      Milton William Cooper, qui a été assassiné (sans doute par les forces de répression américaines ou autres) le 5 novembre 2001, à l'âge de 58 ans, dans des circonstances particulièrement troubles, à Eagar en Arizona.

      William Milton Cooper a servi dans la Marine américaine (la NAVY), dans un sous-marin d'abord, puis, il a été affecté sur un pétrolier, et peu après, au Vietnam lors de la guerre. Après quoi, il a été affecté à un travail de côte aux quartiers généraux du Commandeur en chef de la Flotte Pacifique.

      Voyons, ce qu'il nous dévoile sur cette affaire américano-soviétique et pages 31 et 32 de son livre :

      "C'est le président Kennedy qui a lancé le programme spatial "officiel" quand, dans son discours inaugural, (En fait il s'agit d'un dicours prononcé le 12 Septembre 1962 au stade de l’Université Rice près de Houston au Texas : note du webmaster ), il a confié aux Etats-Unis le mandat d'envoyer un homme sur la Lune avant la fin de la décennie. Malgré l'honnêteté de ses intentions, ce mandat permit néanmoins aux responsables de couler des sommes gigantesques vers les projets clandestins tout en détournant le peuple américain du véritable programme spatial. L'Union soviétique élabora un plan similaire qui visait le même objectif, car, en réalité, au moment même où Kennedy s'adressait à la nation, les deux superpuissances, de concert avec les aliénigènes, avaient déjà installé une base conjointe sur la Lune. Le 22 mai 1962, une sonde spatiale atterrit sur Mars et confirma que l'environnement y était propice à la vie. Il n'en fallait pas davantage pour qu'on s'y rendit aussitôt fonder une colonie. Il s'y trouve aujourd'hui des villes peuplées d'individus spécialement sélectionnés pour leurs compétences particulières , et provenant de toutes les cultures de la Terre. Si l'Union soviétique et les États-Unis ont, durant toutes ces années, affiché publiquement des politiques soi-disant antagonistes, c'était simplement pour avoir le loisir d'élaborer des projets de ce genre au nom de la Défense nationale, puisque, au fond ce sont les plus grands alliés du monde...

Curieux n'est-ce pas..!!!. Mais voici mieux, en pages 32 et 33 :

      " Depuis que nous avons commencé à pactiser avec les aliénigènes, nous avons acquis une technologie qui va bien au-delà de nos rêves les plus fous. Nous possédons et faisons voler actuellement au Nevada des engins de type anti-gravité alimentés à l’énergie nucléaire. Nos pilotes ont déjà fait des voyages interplanétaires dans ces engins et sont allés sur la Lune, Mars et d’autres planètes. On nous ment au sujet de la vraie nature de la Lune, des planètes Mars et Venus, et de l’état réel de la technologie que nous possédons aujourd’hui, à ce moment même.

      Il existe des régions sur la Lune où se développe une vie végétale (Note du Webmaster: Adamski ne disait pas autre chose. Voir notre article :


Les plantes y changent de couleurs avec les saisons, car il y a aussi des saisons sur la Lune puisque la Lune ne nous présente pas toujours exactement la même face, comme on le pense généralement [NDT: c’est le mouvement de précession de la Lune, qui la fait légèrement osciller sur elle-même, nous découvrant un peu plus des bords de sa face visible]. Il y a aussi des lacs artificiels ainsi que des étangs sur sa surface, et des nuages ont été observés et filmés dans son atmosphère. La pression atmosphérique lunaire étant beaucoup plus faible que sur la Terre, les cosmonautes doivent s'y adapter selon une technique de dépressurisation analogue à celle des plongeurs de profondeur. Cette pression est néanmoins suffisante pour qu'il ne leur soit pas nécessaire de revêtir une combinaison spatiale. Grâce au champ gravitationnel de la Lune, ils peuvent se maintenir à sa surface, munis simplement d'une bouteille d'oxygène comme des hommes-grenouilles.

      J'ai personnellement des photographies officielles de la NASA à ce sujet. Quelque unes sont publiées dans le livre de Fred Steckling intitulé We discovered Alien Bases on the Moon, et dans Someone Else is on the Moon. (Note du Webmaster : Nous avons déjà présenté ces ouvrages que nous posédons, dans d'autres articles). En 1969, une confrontation eu lieu entre les soviétiques et les américains sur la base lunaire. Les soviétiques ont essayé de prendre le contrôle de la base et ont pris les scientifiques américains et le personnel en otage. Nous avons pu restaurer l’ordre après pas moins de 66 morts. Les soviétiques ont suspendu leur programme pendant une période de 2 ans. Il y eu finalement réconciliation et nous avons recommencé à agir ensemble... ".


       Fin de citation.

      Pour mieux saisir, la portée extraordinaire de tout cela faisons ici une courte récapitulation : Milton William Cooper , nous précise alors que "
en réalité, au moment même où Kennedy s'adressait à la nation ( le 12 Sept 1962), les deux superpuissances, de concert avec les aliénigènes, avaient déjà installé une base conjointe sur la Lune"

       Donc dès le 12 Septembre 1962, il y avait déjà sur la Lune,, une base Russo-américaine, et on peut donc admettre sans risque d'erreur, que le 19 Mai 1959 ( le jour où Adamski, a entendu le comuniqué hors normes de la BBC), les conjurés avaient déjà posé le pied sur la Lune, pour y étudier et entamer, les prémices de l'installation de cette base. Donc bien qu'Adamski, n'ait pas expliqué, comment il a obtenu cette incroyable information, nous devons ici, lui tirer notre chapeau, pour nous avoir permis au moins 28 ans, (en partant de Janvier 1961, sortie du dernier livre d'Adamski), avant la sortie en 1989 du livre en anglais de Cooper "The Secret Government: The Origin, Identity, and Purpose of MJ-12 ", de toucher du doigt, subrepticement, les ressorts, d'un complot planétaire à l'égard de la catégorie de l'humanité, où le commun des mortels est exclus impitoyablement.

Quatrième tentative transcendante d'explication :


      Dans notre article Ameriquechocretournote.html , on peut lire ceci d'exeptionnel :

      " Et comment le programme spatial Apollo fût une couverture pour dissimuler une technologie bien supérieure. (Note du Webmaster: Là, nous sommes totalement soufflés, par cette révélation et nous aimerions en savoir vraiment plus ). Des voyages secrets ont eu lieu pour établir des bases sur la Lune et Mars, et explorer d’autres parties de notre système solaire depuis le début des années 60. ( Note du Webmaster : ARTivision, a bien parlé de l'utilisation de tunnels temporels, pour visiter certaines planètes et cette révélation sensationnelle, est confirmée par certains ouvrages.)"

     Nous avons fait chaque fois chou blanc en essayant de contacter un certain Australien nommé Tony Wicks, qui est à origne de ce texte tout à fait incoyable, que vous pouvez encore trouver, en français à :


et en anglais à :

     La phrase, vous le devinez, (entre autres choses extraordinaires), qui a fait tilt pour nous, est la suivante :

" ...et également comment le Programme lunaire d’Apollo était une technologie supérieure secrète. ".

Et en anglais cela donne: "...And how the Apollo Moon Program was a cover-up of higher technology."

      Nous avons même précisé plus haut, que nous étions totalement soufflés, par cette révélation et que nous aimerions en savoir vraiment plus.

     Cette phrase pourrait-elle signifier que les Américains sont bien montés sur la Lune, et pas avec le Lem et Apollo, mais avec les soucoupes des Petits Gris leurs complices ?

     Comme nous ne maîtrisons pas suffisamment la langue de Shakespeare, nous invitons tout internaute qui parle couramment l'anglais, à écrire à Monsieur Tony Wicks dont voilà l'url du site :


(Nous avons trouvé son e-mail de 2005 sur un vieux disque dur externe : andaw@ecn.net.au), et afin de lui demander d'être assez aimable pour se rapprocher du médium qui lui a transmis ce texte extraordinaire, afin qu'il ait la gentilesse de préciser, lui même, cette phrase insolite : "...And how the Apollo Moon Program was a cover-up of higher technology."
     Seule la réponse de ce médium, est à prendre en considération et non les commentaires d'une tierce personne quelconque.

     Il est ici, aussi à noter dans ce texte extraordinaire, que ce médium a bien spécifié en 2005, à deux reprises (en mettant assurément en danger sa vie ), que ce ne sont pas des terroristes qui ont fait sauter les tours du WTC à New York (probablement les fameux illuminati), mais, il est hélas passé un peu vite sur cette affaire de technologie secrète pour Apollo, affaire incroyable, qui à notre avis, fait aussi partie du Grand Bluff.

cinquième tentative transcendante d'explication :


      Dans notre article paru dès le 23 /07/2003 : Soriarévélations.html , on peut lire ceci, tout à fait hors normes :

Debut de citation :

    "De nombreux textes circulent ces temps-ci sur le Web parlant des Petits Gris, qui auraient conclu des accords avec certains dirigeants de cette planète. Une très courte phrase de Soria en page 26 du 5è livre, semble confirmer au moins leur existence :

      " Alors écoutez ceci : La vie se meut à la surface extérieure de cette planète (votre zone d'habitation) en poursuivant sa progression à l'intérieur de la croute Terrestre. (deuxième Zone) où résident des êtres (voir l'ouvrage Telos cité plus haut : note du Webmaster) hautement évolués ( il s'y trouve également des bases, très proches de la surface, habités par des extra-terrestres peu enclins à l'Amour et à la Lumière de Vie) et dans la troisième zone, le cœur de votre sphère de vie (Voir alors nos articles sur la Terre creuse: note du Webmaster). Vous abritez trois secteurs forts de Vie "

       La phrase en rouge ci-dessus est sans contestation relative à l'existence de méchants extraterrestres dans notre sous-sol, mais si ici, il n'est pas précisé ici que nos gouvernants ont pris contact avec ces êtres négatifs dans le paragraphe suivant, extrait  de notre article "Baiser maudit",   aucune ambiguité n'est plus possible à ce sujet  et tout cela tiré des pages 51 à 53 du  second livre de Soria: "- Maîtrise du corps ou  unité retrouvée " Sept.2001 :

      " Dans des coffres-forts cachés sous terre et bien gardés sont rassemblés tous les documents attestant des visites d'extra-terrestres et des expériences tentées sur eux. Vous pourrez lire également les traités signés entre vos gouvernements et les extra-terrestres peu scrupuleux de votre bien-être à tous. Vous êtes les esclaves des régimes en place. Aucun pays n'ignore ces traités. Nous avons pu observer toutes les réactions de vos gouvernants dans le but de garder leur pouvoir, jouant les apprentis sorciers avec des énergies qui les ont dépassés et mettant en danger l'équilibre de votre planète.

      Enfin très récemment, il y a eu le fabuleux texte de SaLuSa, que nous avons mis résolument en évidence à notre article :


où l'on trouve ces mots inouis :

      " il y a des preuves incontestables que la vie n’a pas seulement existé sur votre Lune et Mars, mais qu’elle existe encore en ce jour. Il est également connu qu’il existe une Terre intérieure, "la Terre Creuse", qui abrite des Êtres très avancés et nous ne faisons pas référence à des bases militaires souterraines qui abritent aussi bien des Humains que des Extraterrestres. Vous avez vraiment beaucoup à apprendre pour remettre vos connaissances à jour et certaines informations seront à la fois choquantes et sensationnelles..." " .

      Fin de citation

     Et que celui qui sait lire, ce qui se dessine clairement entre ces lignes... en tire la conclusion qui s'impose, et surtout , le besoin d'en savoir plus, documents à l'appui.

IV Prolongement révélateur significatif. ( en date du 02/04/2015).



     Nous avons noté, qu'au mois de Mars 2015, la chaîne de télévision "Planète +" a fait une sorte de retrospective concernant la Lune et la NASA. Nous avons suivi avec attention ces divers documentaires dont voici quelques images :

    

     Mais c'est surtout le dernier documentaire, relatif à la mission Apollo 17, de la NASA, qui nous interpelle grandement :


     Il va de soi, que ces Messieurs les rédacteurs, éditorialistes, journalistes et consorts , de la Chaîne en question, n'ont pas eu connaissance d'une seule ligne de notre dossier ci-dessus ( ou ils font semblant de l'ignorer), car ils n'ont à aucun moment flairé la mystification, et ils vont s'en mordre bientôt les doigts, exactement comme ces périodiques et consorts militaires, qui ont condamné en 1894, l'innocent Capitaine Alfred Dreyfus, pour de vulgaires raisons, ayant trait à l'orgueil du Corps Militaire et à la grandeur de la Nation de l'époque. Voir alors notre article :


     Disons finalement, une fois encore, si donc ces Messieurs les bien-pensants de Planète +, et consorts candides affiliés, que par exemple, (il y a beaucoup d'autres cas à expliquer), si, en partant du site quasi-officiel :


vous ne montrez pas, ces jours prochains, un autre documentaire, où vous donnerez clairement l'explication, déjà demandée plus haut, concernant cette photo AS17-137-20979 :


, et aussi cette autre photo : AS17-133-20342 :



, alors le site ARTivision, aura encore raison de croire assurément, que ce LRV, n'a pu être placé ici, qu'avec un élévateur bien terrestre, mais cela, dans un centre de simulation du Névada ou de l'Arizona, où l'on avait reconstitué l'apparence du sol lunaire. Mais, on a oublié de faire rouler un peu la jeep, avant de faire la photo. C'est le très petit détail, nous l'avons dèjà dit, qui, comme dans le célèbre film d'Alfred Hitchcock, sorti en 1954 : "Le crime était presque parfait", a confondu le coupable... et vous avec, les néophytes ultra conformistes, du Système pervers, qui vous trompe depuis des lustres...

     A bon entendeur salut...

     Article mis en page, le 26/10/2013, et revu le 27/10/2013, et revu le 28/10/2013, et revu le 29/10/2013, et revu le 30/10/2013, et revu le 04/11/2013, et revu le 09/11/2013, et revu le 10/11/2013, et revu le 11/11/2013, et revu le 12/11/2013, et revu le 13/11/2013, et revu le 14/11/2013, et revu le 15/11/2013, et revu le 16/11/2013, et revu le 17/11/2013, et revu le 18/11/2013, et revu le 18/09/2014, et revu le 02/04/2015.

IDYLLE Fred

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