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Quand la revue Ciel&Espace en Septembre 2012, présente une photo très insolite de Titan dont l'explication a été déjà grandement stigmatisée par ARTivision dans d'autres articles.
Et autres éléments .


I Introduction.

                 Le 21/09/2012, nous avons eu l'opportunité de découvrir dans une Grande Surface voisine de chez nous, le N° 508, de la revue d'astronomie "Ciel&Espace" de Sept. 2012, donc voici la couverture :


et en feuilletant ce fascicule, nous sommes tombés en arrêt, devant cette image en page 55 :



II Genèse de l'affaire.

     Mais, analysons de plus près, l'explication que donne la revue de la présence d'un disque très brillant au Pôle Nord de Titan. Titan, cet énorme satellite de Saturne (5150 km de diametre) plus gros que la Lune (3475 km) et même que Mercure (4879 km), aurait à sa surface des lacs d'hydrocarbures et consorts dont la surface serait si plane et lisse, qu'elle pourrait renvoyer la lumière solaire (avec une brillance inouie), vers une zone polaire discoïdale d'environ 250 km. Les rayons du soleil très lointain, devraient si l'on suit cette explication, arriver verticalement dans une partie restreinte de la zone polaire Nord de Titan (et surtout pas ailleurs comme par exemple à l'équateur) pour pouvoir être réflechis perpendiculairement au sol et traverser les couches supérieures très denses de l'atmosphère de Titan et pour ensuite jaillir sous la forme du disque super brillant au diamètre très net dont la limite tourne autour de 250 Km. Pas de diffusion et autres diffractions parasites aux alentours. Or les rayons du soleil ont une inclinaison bien définie en arrivant sur Titan, et ne peuvent en aucune manière être réfléchis sélectivelment juste au-dessus du pôle. Donc cette explication est tout à fait bidon et les scienfiques en question auraient mieux fait de dire avec beaucoup d'humilité , qu'ils ne savent pas de quoi il s'agit. Notons en passant, que cette humillité ne devrait en aucune facon être comme celle de Neil Armstrong, présentée par le journal de France-Antilles du 27 Août 2012 :



     Pour en savoir plus, prière de se reporter à l'article :

http://www.artivision.fr/docs/France-Antilles27Aout2012.html

     Mais revenons au disque brillant de Titan. Dans la revue "Science&Vie" suivante, nous dit-on ( Mr Emmanuel Monnier), dans le n° Spécial de Mars 2008:

, que le flux de lumière, qui arrive dans ces contrées reculées est 900 fois plus faible, qu'au voisinage de la Terre. Lisez cela vous-même :


, alors on se demande, comment ce flaiblard flux, pourra à 1,5 milliard de Km du Soleil, venir par une concentration quasi magique , exciter les épaisses couches atmosphériques de Titan (1200 km d'épaisseur km pour Titan, contre environ 100 km pour la Terre, voir plus bas le Science Magazine), juste au-dessus du pôle pour en illuminer souverainement, un inexplicable disque trop brillant, pour ne pas stupéfier l'observateur.

     Nous connaissions bien sûr, cette image insolite du pôle Nord de Titan. Mais comme il existe également une image semblable au Pôle sud (connue par ARTivision, dès 2004, et dont nous parlerons plus tard), nous nous sommes en effet demandés à un moment donné, si, au Pôle Nord de Titan, il pouvait aussi exister un tel disque lumineux ? Hélas nous sommes d'abord tombés sur cette image du pôle nord de cet astre, où subsiste une ombre notoire très génante, comme si l'on tenait à cacher quelque chose :



     Mais, le 14 Janvier 2010, super hasard, est venu une fois de plus, à notre secours, car en pénétrant occasionnellement, dans le site :

http://saturn.jpl.nasa.gov/photos/?subCategory=10

, à la rubrique concernant Titan ( faire bouger l'ascenseur à côté de GO jusqu'à Titan) , et alors on y découvre, dans le tableau n°1 de 12 clichés, cette extraordinaire image, reprise par le Ciel&Espace 508 de Sept 2012 en question dans cet article :


, avec comme explication en dessous : Reflection of Sunlight off Titan Lake.

     Mais, en droite ligne de cette incroyable affaire, présentons aussi ici, le super entrefilet, de la revue bien connue de notre ami Roch Sauquere "TOP SECRET" n° 47, publié en Février 2010. Et pour les puristes, qui aiment partir des sources, voici d'abord la photo de couverture de cette revue :


     Puis, voici l'image de cet entrefilet :


     Et voici maintenant le texte important de cet entrefilet (Les couleurs sont de nous bien sûr):

TITAN.

Un point lumineux récurrent.

      La NASA a dévoilé, samedi 18 Décembre 2009, une incroyable photographie de Titan. On y découvre une forte lueur jaune qui serait selon l'agence le reflet du soleil sur un lac de méthane.

     Ce "reflet spectaculaire" au pôle nord a été photographié par la mission Cassini depuis l'hémisphère nord de cette lune.

     Curieusement, par le passé, la NASA, nous a déjà montré plusieurs photos de Titan montrant déjà la même lumière au pôle Sud. Une première fois la NASA avait parlé de nuages et une autre fois de "tempête tropicale"... Nous vous parlions déjà de cette anomalie dans les news de TOP SECRET N°20, N°30, et aussi dans le Hors Série N°1 page 55-56. Sur certaines images la lumière semblait même jaillir de la planète. Alors ?

     Après nous avoir parlé de nuages de méthane, ou de tempête tropicale, et maintenant de lac de méthane, la question que nous avons envie de poser à la NASA, c'est comment expliquer qu'il y ait toujours ce même "reflet", très brillant, à la même place et d'un même diamètre ? Cette lumière n'est-elle pas plutôt issue de l'intérieur de Titan ? Ce qui nous ramène une nouvelle fois à l'hypothèse des "Planètes creuses"...

Source: http://solarsystem.nasa.gov/multimedia/gallery.cfm?Category=Planets&Object=Sat_Titan

     Fin de l'entrefilet.

     Pas mal du tout n'est ce pas,, cette explication officielle pour ce disque polaire nord si brillant ?, surtout si l'on sait (nous l'avons vu plus haut) que le Soleil est très loin de là, et que sa lumière devrait arriver à bout de souffle à cet endroit

     Mais, il existe aussi un petit corps céleste qui semble vouloir damer le pion à Titan, en matière de lumière insolite, venant dont on ne sait où ... Mais lisez donc ce qui suit plutôt :

    Le 09/09/05, nous avons eu le privilège de recevoir de l'ami Claudisa....le message suivant :

----- Original Message -----
Sent: Friday, September 09, 2005 1:34 PM
Subject: nouvelobs.com quotidien temps réel vous informe...

Pas beaucoup d'explication sur la tache de lumière !!!

La vraie nature de Cérès

Lire : http://www.sciencesetavenir.fr/actualite/espace/20050909.OBS8748/la-vraie-nature-de-ceres.html

    Amitiés

    Claudisa




    Et pour vous éviter d'aller patrouiller sur le Net, voici de quoi il sagit :

© Le Nouvel Observateur
 
La vraie nature de Cérès

Hubble a observé Cérès pendant une rotation complète (9 heures) afin de confirmer l’homogénéité de sa forme. (NASA/ESA/Parker, Thomas, McFadden)
 
 

L’astéroïde Cérès, le plus gros représentant connu de la ceinture principale d’astéroïdes située entre Mars et Jupiter, aurait pu être une planète. Si Jupiter ne s’était pas formée, si du même coup elle n’avait pas empêché nombre d’objets de la cette ceinture de continuer à grossir en acquérant de la matière, Cérès serait peut-être devenu une planète. La forme sphérique de l’astéroïde accrédite l’hypothèse d’un objet homogène, possédant un cœur et un manteau, selon une étude publiée cette semaine dans la revue Nature.

De nouvelles observations menées en décembre 2003 et janvier 2004 par le télescope spatial Hubble montrent que Cérès est un objet sphérique, pas aplati, suggèrant que sa forme est contrôlée par une force de gravité. De plus sa rotation correspond à une distribution homogène de la matière, expliquent Peter Thomas (Cornell University) et ses collègues.

Cérès pourraient donc être composé de deux couches : un cœur rocheux et un manteau riche en glace d’eau. Une structure comparable à certaines lunes glacées du système solaire. Pour se faire une idée plus précise et plus définitive, les chercheurs attendent avec impatience la mission Dawn, conçue pour rendre visite à Cérès et à Vesta, et qui se mettrait en orbite autour de Cérès en 2015.

Cécile Dumas
(09/09/05)

    Vous constatez effectivement, comme le souligne l'internaute Claude, que dans cet entrefilet, il n'est question nulle part de cette lumière éclatante qui éclabousse Cérès. Est-ce un reflet de la lumière lointaine de notre Soleil sur de la glace de l'astéroide? Aucune suggestion, ne nous est proposée. A vous de juger ce mutisme notoire.

    Nous avons aussi reçu d'autres aimables internautes, cet entrefilet qui est tiré du journal "20 minutes TOULOUSE", qui est offert gratuitement. Il est daté du 13 septembre 2005 :



    Vous voyez que là, nous apprenons que le diamètre de Cérès mesure 930 km, et surtout que les astronomes n'ont pour l'instant aucune explication à proposer au sujet de cette tache blanche très lumineuse qui apparaît sur les photos. Voilà une belle leçon de modestie et d'humilité ( ce qui manque beaucoup, on l'a vu plus haut, à certains), que nous offre ici ce journal "20 minutes de TOULOUSE".

    De plus, il faudrait pour en en savoir plus, pouvoir filmer l'autre hémisphère de Cérès et voir ainsi, si l'on y découvre aussi, une lumière éclatante similaire.

A vous de juger cette affaire insolite de Cérès documents à l'appui

     Affaire à suivre donc avec minutie.

      Mais remontons à la page 48, de la revue "Ciel&Espace" en question dans cet article : On y trouve aussi cette portion d'image que nous avons sélectionnée :



     Vous avez bien noté, nous l'espérons que l'auteur affirme cette phrase qui surprend : "Pourtant ses paysages et les phénomènes qui s'y déroulent nous semblent étonnament familiers."      Alors, on se demande, puisque les phénomènes sont si communs, pourquoi la revue a "oublié", une fois de plus, dans ce n° 508, de nous présenter, cette image pourtant tout à fait insolite du pôle sud de Titan :


      En effet, les amis fidèles d'ARTivision, savent depuis des lustres, que pour ce site la cerise sur le gâteau, est venue d'une image obtenue de Titan , filmé en fin Juin 04, par la sonde américaine Cassini Huygens lancée le 15 Octobre 1997 de Cap Canaveral Air Force Station, en Floride :

     Voici, quelques images présentées à l'époque :


     Comme l'internaute curieux, le remarquera, ce qui surprend grandement sur ces les premières photos de Titan,, c'est le point extrêmement lumineux que l'on aperçoit au bas de la planète, et, vu sa grosseur, ce point correspond en fait, à un disque superbement lumineux gigantesque.

     Plus haut, nous avons donc mis en exergue, le globe de couleur bleue, en l'agrandissant quelque peu ...

      Pas besoin de dire que c'est cet œil surprenant de Titan , extrêmement brillant , qui nous interpelle ci-dessus et où l'on voit nettement juste en-dessous une sorte réverbération, sur les couches de l'atmosphère de la planète prouvant que cette luminosité vient de l'intérieur . (voir le bout de la flèche rouge ci-dessous :



où apparaît la réverbération en question)

      Nous avons longtemps cherché, dans de nombreuses revues et journaux, les tenants et les aboutissants de cette affaire de disque brillant au Pôle sud de Titan. Très peu d'explications logiques, nous ont été fournies.

     Notons cependant l'article d'une scientifique astronome à l'Observatoire de Paris et spécialiste de Titan, paru dans le journal "Le Monde" du 10/11/04, et article dont nous avons placé intégralement les importants éléments à :

http://www.artivision.fr/docs/LeMonde101104.html

     De cet article précédent, nous allons extraire surtout la phrase suivante, qui a particulièrement retenu notre attention :

    " Les détails de l'atmosphère font également l'objet de toute l'attention des chercheurs. " "Notamment une sorte de nuage" - que l'on appelle ainsi faute de pouvoir mieux le qualifier - qui ressemble à un système météorologique complexe, un vortex tournant autour du pôle Sud de la planète ", raconte Mme Coustenis. "

     Voilà au moins le vocable "Vortex", qui apparaît ici. Nous notons donc bien, que Mme Athéna Coustenis, dit qu'elle ne sait pas, comment qualifier cette sorte de nuage ( elle évite cependant de parler de sa superbe brillance), que l'on aperçoit au Pôle Sud de Titan, tel qu'il se présentait à l'époque selon l'image que nous replaçons volontairement ici et dont le damétre, tourne selon nos modestes calculs, autour de 300 km :


     Voilà donc, enfin une astronome qui avoue que sur Titan, il y a "une sorte vortex nuageux" tournant au pôle sud de la planète, et vortex, qu'elle qualifie cependant de complexe météorologique. A vous de juger tout cela ...

     Mais ce n'est pas tout, d'autres scientifiques avouent aussi, leur incompréhension du phénomène :

     Ainsi sur le site suivant, qui hélas a disparu du Web ( merci d'avance à tout internaute qui en retrouvera le nouvel url) :
http://www.aerov.jussieu.fr/themes/APACHE/CVs/Rannou/RANNOU.html

on trouvait alors en 2004 , cette image :



:

     Et aussi, ces propos surprenants : "Un évènement particulier a été observé en octobre 2004. Le nuage du pôle sud est devenu extrêmement actif (Schaller et al., 2005) et a recouvert toute la région polaire. L'origine du phénomène et sa caractérisation physique sont encore largement inconnus. Il est probable que le "sursaut" de l'albédo de Titan que Griffith et al. (1998) a détecté est en fait un évènement similaire à celui-là.

     Tout est clair ici, on ne sait pas du tout de quoi il s'agit....

     Mais allons, voulez-vous, un peu plus loin :

     Sur le site officiel de l'époque :

http://solarsystem.nasa.gov/planets/profile.cfm?Object=Titan

, on découvre alors aussi ceci :



     Et, où nous avons souligné en rouge la phrase suivante tirée du texte intitulé : Saturn: Moons: Titan :
"Because of the extremely cold temperatures typical of celestial bodies that are that far away from the Sun, the structure of Titan's chemical atmosphere is in a state of deep freeze" .
 
, que nous traduirons modestement, par "En raison des températures extrêmement froides typiques des corps célestes qui sont bien éloignés  soleil, la structure de l'atmosphère chimique de Titan est dans un état de gel profond. "
 
     Cette phrase ambigüe ne signifie-t-elle pas, en clair , que la température d'une planète dépend de sa proximité avec notre Soleil, ce qui est totalement à l'opposé de ce que nous dit Pomar dans notre article : Byrdalice.html

     Or la photo présentée dans ce cadre précédent avec ses traînées très blanchâtres, placées au centre de l'image, ressemble comme deux gouttes d'eau, à celle de Titan parue dans le n° 321 de la revue Pour la Science de Juillet 2004. Mais nous dit-on, dans cette revue, cette image elle, ne vient pas Cassini Huygens, et fut prise, il y avait un certain temps, depuis le télescope Keck de Californie. Voyez vous même :


     Bizarre, n'est-ce pas, que tout cela !!!.

     A vous donc de juger, une fois de plus ces ambiguïtés, que nous exposent ici, les bien-pensants officiels .

     Pour les puristes, qui aiment partir des sources, disons que nous avons aussi découvert dans le même site, saturn.jpl.nasa.gov/, l'image suivante à la page 21, accompagnée de la mention : "Red spot on Titan" :


     Curieux n'est pas ce nuage qui brille admirablement, tout seul, au sommet de la planète !!!

     Et aussi, il y a les images connues suivantes, à la page 32 :


     Et en noir et blanc en agrandissant :


     L'image centrale est très nette et en considérant la brillance du disque au pôle sud que met bien en relief la couleur noire, et il ne saurait non plus ici, (d'après ce qui précède), être question de la réflexion des rayons d'un pâle Soleil sur de la glace.

     Mais voyons plutôt, ce qu'on trouve écrit, sous ces trois images en noir et blanc :


     Nous avons alors souligné en rouge, le passage qui nous interpelle ici, et que nous traduirons toujours très modestement par : "Un brillant nuage de particules de méthane est apparent dans les trois images près du pôle sud. Ce nuage demeure permanent au travers d'une vaste gamme de couleurs et cela indique que les particules qui le composent sont imposantes par rapport à la brume typique de particules entourant la planète, ce qui suggère une atmosphère dynamique active près du pôle Sud."

    Voilà donc encore cette affaire de méthane, que nous avions trouvé sur plusieurs sites, comme par exemple celui là :

http://www.astro5000.com/Ephemerides/news.php?doc=cassinihug_1_2004


     On y découvre alors, ces propos :

Le 3 juillet 2004 : La surface de Titan

"La sonde Cassini a pu prendre une photographie de la surface de Titan. Titan étant recouvert d’une atmosphère opaque (photo ci dessus à gauche) cette image a dû être réalisée par le spectromètre infrarouge de la sonde. Comme tous les spectromètre il lui est impossible de prendre directement une image de la surface, un spectromètre ne photographiant qu’une très étroite bande. Toutefois il est possible de modifier la position de cette bande affin de "scanner" l’objet à observer et donc prendre une image où on voit Titan avec une résolution verticale de 28 pixels (photo de droite). Selon les interprétations actuelles les zones jaunes sont des mers d’hydrocarbures, le vert de la glace, un nuage de méthane blanc est visible en bas."

      Pour finir et concernant un autre document à caractère scientifique et journalistique, replaçons ici le paragraphe XXIX de notre article placé à :

http://www.artivision.fr/docs/Byrdsuite.html

     Début de citation :

XXIX Quand la revue "Science Magazine " confirme encore l'image précédente du pôle Nord de Titan, et donne aussi sa déficiente interprétation (Paragraphe en date du 9/07/2010).


      Le 5/07/10, nous avons eu aussi le bénéfice de découvrir dans la même Grande Surface du coin, la revue Science Magazine26 des mois de Mai-Juin-juillet 2010 :


      Extrayons-en alors quelques titres et paragraphes significatifs que nous transmet un responsable des programmes d'explorations du Système solaire du CNES:


      Puis il y a :


     et voici enfin encore l'image inouie en question :


      Dans les images précédentes, nous avons souligné en rouge les termes qui nous interpellent directement. Ainsi donc, à près de 1,5 milliard de Km, les rayons de notre Soleil arrivent à percer sans problème, une atmosphère plus de 12 fois plus épaisse que la nôtre (1200 km au lieu de 100km), ensuite, ces rayons vont aller se refléter sur les zones sombres lisses (où le radar lui-même n'a pas d'écho), et retraverser cette épaisse atmosphère très dense pour donner ensuite cette source ponctuelle très lumineuse au Pôle Nord de Titan. Même si l'on imaginait que les lacs de méthane en question se trouvaient par magie, sous la forme d'un plasma chauffé à blanc par une énergie inconnue et providentielle, cela ne marcherait pas à cause de l'épaisseur de l'atmosphère. Donc toute cette explication officielle, ne tient absolument pas debout, d'autant plus que ce spécialiste des programmes d'exploration du Système solaire du CNES, évite soigneusement de comparer cette situation lumineuse insolite du Pôle Nord de Titan, avec celle encore plus extraordinaire du Pôle Sud de cet astre (voir l'image plus haut du Titan bleu avec flèche) "

Fin de citation...

      Dans la même page 55 du n° 508 du Ciel&Espace en question dans cet article, nous découvrons cette déclaration concernant la sonde Cassini-Huygens " Prévue pour durer quatre 4 ans, sa mission devrait durer jusqu'en Septembre 2017. elle aura alors effectué 127 survols de Titan scannant toute la surface en radar et en infrarouge" .

     Donc de mi 2004 à (nous supposons fin 2017) soit 13 ans de 12 mois de 30 jours + 180 j de 2004 donc dans au total 4860 jours il y aura 117 survols de Titan , Maintenant de mi 2004 à mi 2013, soit 3240 jours, il a eu : 3240 x 117/4860 = 78 environ survols de Titan. On s'étonne donc franchement qu'aucune autre photo du superbe vortex sud de Titan n'est apparue dans la presse spécialisée.
Ou so donc camouflées toutes ces superbes vues du super disque brillant du Pole sud de cet astre. A vous de juger, une fois de plus cette incongruité ...

 

     Nous extrayons alors, du texte précédent, les mots suivants :

" Un spectromètre de masse était aussi de la partie pour analyser les composants de l'atmosphère: elle est constituée d'azote à 90%. Mais on trouve, du méthane, du benzène, du diacéthylène... Près du pôle sud, ces composés forment un vaste tourbillon de nuages blancs. Découverte surprenante les particules nuageuses sont trop grandes pour être faites de méthane..."

     Nous avons vainement cherché ce tourbillon de nuages blancs au pôle sud de la planète, sur la photo suivante que nous présente aussi la revue :

 


     Ainsi donc, il paraît que ces taches blanches du pôle Sud de Titan, ne sont plus composées de méthane, alors que de nombreuses revues ne parlaient que de cela...Comme les "certitudes", concernant l'espace, se modifient rapidement, ces temps-ci.

     Comparons encore tout cela avec notre fameuse photo bleue de Titan, vue plus haut:

  


     A qui fera-t-on croire, que ces deux photos, représentent le même phénomène, sans qu'il y ait eu en Haut Lieu, une manipulation de l'image ? Mr Olivier de Goursac de la Socièté astronomique de France, fait (ici pour la photo de gauche, obtenue par Cassini Huygens, à partir du 26 octobre 2004) allusion à un tourbillon de nuages blancs (tourbillon vraiment non perceptible comme vous le voyez) alors que sa collègue Mme Athéna Coustenis, astronome à l'Observatoire de Paris, déjà présentée plus haut, parle elle, pour la photo de droite d'un vortex, tournant au pôle sud de la planète, et vortex qu'elle qualifie cependant de complexe météorologique. En parlant de tourbillon, ce monsieur Olivier de Goursac ne garde-t-il pas inconsciemment en mémoire, ce vortex de la photo bleue, qu'il a eu obligatoirement en main, à partir du 4 juillet 2004 ?

     De plus, la partie droite de l'image de Titan du "Figaro magazine" présente une luminosité remarquable, et Mr Olivier de Goursac, nous dit que c'est alors "notre soleil qui illumine par derrière, l'épaisse atmosphère de Titan". Or d'après ce que l'on a vu plus haut, et que disait Mr Emmanuel Monnier, le flux de lumière venant de notre soleil étant 900 fois plus faible dans cette région, par conséquent, cette lumière aurait bien du mal à éclairer si manisfestement, ce côté de Titan.

     Nous ne pouvons hélas, en dire plus, ici sur ce phénomêne surprenant, mais pour expliquer cela, au novice, qui a, à peine découvert deux ou trois articles d' ARTivision, nous l'invitons d'abord à bien attacher sa ceinture avant d'entrer dans les pages qui suivent, car à l'altitude où l'on va circuler, il risque d'y avoir de très fortes turbulences :

     Nous l'invitons donc à lire d'abord la fin de la note n° 6 , de notre article :

http://www.artivision.fr/docs/LaMerLibreduPoleNord.html

Et, pour en savoir plus :

http://www.artivision.fr/docs/Byrdalice.html

A vous de juger, une fois de plus, tout cela....

    Le moment est venu maintenant pour ARTivision de donner une explication concernant cette affaire de vortex insolites aux pôles de Titan et consorts.

    En effet toute cette affaire, vue plus haut, de disques brillants, aux pôles de Titan, et chez certains autres astres, serait vite classée par les détracteurs irréductibles habituels, comme des illusions d'optique, s'il n'y avait pas aussi, plus près de nous, par exemple à la planète Mars, ce genre d'images tout aussi surprenantes :

     En effet, nous allons alors présenter ici, des éléments prouvant catégoriquement que la planète Mars, nous offre aussi, depuis belle lurette, le moyen de résoudre définitivement, l'énigme fantastique, de ces affaires polaires.

    Commençons, si vous le voulez bien, par ce montage mosaïque, réalisé dès fin Sept 1902, par l'Observatoire Astronomique de Yerkes, appartenant à l'Université de Chicago à Williams Bay dans le Wisconsin :



     Traduisons grosso modo, le texte de l'image : " Vues de Mars prise à l'observatoire de Yerkes le 28 Septembre 1902, montrant, la prétendue la calotte neigeuse, se projetant au-delà du globe de la planète, ce qui exclut toute possibilité qu'elle soit faite de neige ou de glace."

    Voici d'ailleurs deux photos agrandies de ce panorama :

  


     Ces images sont extraites, page 80 bis, de l'ouvrage incontournable de Marshall B. Gardner (1920), et voici donc, une photo de l'auteur, suivie de celle de la couverture de l'ouvrage en question :

  

    Nous avons alors ici, le plaisir de vous transmettre un paragraphe en pages 84 et 85 :

     "Earlier writers, however, had noticed that the spots were brighter than the other surfaces of Mars, an astronomer, writing in the Scientific American Supplement as early as 1879, in effect, having made that observation. But this writer was not aware of the real nature of the light. In 1892 the celebrated English astronomer, J. Norman Lockyer, repeated in a periodical a number of observations he had made thirty years before and had then communicated to the Royal Astronomical Society of England. Here is a significant quotation :

     "The snow-zone was at times so bright that, like the crescent of the young moon, it appeared to project beyond the planet's limb. This effect of irradiation was frequently visible; on one occasion the snow spot was observed to shine like a nebulous star when the planet itself was obscured by clouds, a phenomenon noticed by Messrs. Beer and Madler, recorded in their valuable work, 'Fragments sur les Corps Celestes.' The brightness, however, seemed to vary very considerably, and at times, especially when the snow zone was near its minimum, it was by no means the prominent object it generally is upon the planet's disc."
"

     Traduisons, à peu près, cela :

     " Cependant, plus tôt, des écrivains , avaient remarqué que les taches étaient plus brillantes que les autres surfaces de Mars, et en effet, dès 1879, un astronome, écrivit dans le Supplément de la revue Scientific American , le fait qu'il avait découvert cette particularité. Mais cet écrivain n'était pas au courant de la vraie nature de cette luminosité. En 1892, le célèbre astronome anglais, J. Norman Lockyer, a repris dans un périodique un certain nombre d'observations qu'il avait faites, trente ans auparavant, et obsevations qu'il a ensuite communiqué à la Royal Astronomical Society d'Angleterre. Voici une citation significative :

     "La zone neigeuse, était parfois si brillante, que, comme le croissant de la lune montante, elle se projetait au-delà du globe de la planète. Cet effet de la luminosité, a été fréquemment constatable. Une fois même,la zone neigeuse, s'est mise à briller comme une nébuleuse, alors que la planète elle-même était obscurcie par les nuages. Ce phénomène fut remarqué par MM bière et Madler, et enregistré dans leur précieux ouvrage "Fragments sur les Corps Celestes". La luminosité, cependant, semble varier considérablement, et parfois, surtout quand la zone de neige est près de son minimum, elle n'est alors nullement l'objet en relief qui se projette généralement Au dessus de la planète."."

    Pour mieux encore illustrer tout cela, voici quelques autres images de Mars , déjà présentées sur notre site :

  


    Pas mal, n'est-ce pas, ces "couvre-chefs lumineux, ", bien en relief, au dessus de la planète !!!

    En voici encore d'autres, où l'on voit, que la calotte brille sompteusement, alors que la région environnante est dans l'ombre...

  


     Mais d'autre part, nous avons reçu, il y a bien longtemps, de notre ami M. Hertzog, si souvent évoqué dans nos articles, cette étrange photo de Mars, qui ressemble plutôt à un tableau d'artiste, mais qui montre aussi, cependant, une calotte polaire très brillante :



     Cette photo provenait à l'époque du site :
http://www.astronomyforum.net/astronomy-photos/511-mars-photos/16-mars.html

    Nous avons écrit au site : http://www.astronomyforum.net/sendmessage.php, pour savoir quel télescope avait pris cette photo et si elle avait été retouchée par la suite ? Hélas nous n'avons jusqu'à présent reçu aucune réponse. Peut-être qu'un intrépide internaute aura plus de chance que nous ! Courage donc.

     Cependant nous constatons que cette photo est étrangement ressemblante, à celle qui suit, et qui est placée , elle, dès 1920, en page 68 bis du fameux livre de Marshall B. Gardner. (Nous avons mis en français le texte qui apparaissait sous la photo).



    Il y a aussi, cette extraordinaire photo de Mars , prise le 31 Août 2003 par le "Griffith Satellite Observatory", lors de la fameuse opposition de 2003, où Mars, était alors au plus près de la Terre, à environ 56 millions de km :


    Nous insistons ici sur le fait que cette photo ne vient pas de la NASA,(qui vérouille et camoufle toutes images venant des sondes spatiales), mais du Griffith Observatory, à los Angeles, en Californie, (et qui existe depuis 1935), et photo que vous pouvez decouvrir actuellement à l'url :

http://web.archive.org/web/*/http://www.jplrecclubs.caltech.edu/astron/images/din/Griffith/Griffith.html


    Mais revenons à Marshall B. Gardner, et voyons comment, il explique tout cela :

A DIRECT SOURCE OF LIGHT

     No one who reads the above in the light of our theory can fail to see how it fits into it. A snow cap would not reflect light with so much more vividness than the other surfaces of the planet, and only direct beams of light coming from a central sun could give that luminous effect above the surface of the planet and varying as the atmosphere in the interior or above it was clouded or clear. Had it been a mere ice cap there would not have been this luminosity and, in particular, there would have been no luminosity when the planet was covered with clouds as Lockyer says it was. Furthermore, that luminosity is precisely what our own aurora borealis would look like if our planet was viewed from a great distance. And the light is the same in both cases.

     From that early date we jump to 1905 and find Percival Lowell again telling of a bright white "kernel" which he observed at the Southern end of the Martian north polar cap.

     That, then, is the situation. All the evidence points to the fact that it is light, and direct light at that, that causes what we have called the Martian ice-caps but which we ought to call the Martian polar openings. But perhaps the reader is still not convinced. He may recall that the writers who treat this aspect of Mars, whether or not they believe in the "canals" seem to have no doubt of the fact that at the poles we have snow or ice. We have already pointed out some inconsistencies in this view. Here are some other considerations that help to dispel that idea, and then, by turning to the planet Venus, we shall demonstrate absolutely that the polar circles are not snow, or ice, or even hoar-frost caps, but simply apertures leading to the inner and illuminated surface of the planet.


UNE SOURCE DIRECTE DE LUMIÈRE

     Aucun de ceux qui aurait pris connaissance des faits qui précèdent, ne peut manquer, à la la lumière de notre théorie, de voir comment ces faits s'y intègrent. Une calotte de neige ne pourrait pas réfléchir la lumière, avec une intendié plus grande que les autres surfaces de la planète, et seulement des faisceaux d'une lumière provenant diectement d'un soleil central, pourraient produire cet effet lumineux au-dessus de la surface de la planète et subir des variations en fonction du fait que l'atmosphère, à l'intérieur du globe ou au-dessus, soit assombri ou éclairci. Si elle avait été une calotte de glace pure, il n'y aurait pas eu cette luminosité, quand en particulier la planète est couverte de nuages, comme l'affirme Lockyer. En outre, cette luminosité est précisément ce que donnerait, nos propres aurores boréales, si notre planète était, vue à une grande distance. Et la lumière est la même dans les deux cas.

     De cette date du début, sautons à 1905 pour y trouver à nouveau Percival Lowell qui affirme avoir observer un "flash" éclatant sorir à l'extrémité sud de la calotte polaire nord de Mars.

     Voilà la situation. Tous les éléments de preuve montrent que ce "flash" est fait de lumière, et de lumière directionnelle en provenance de ce que nous avons appelé les calottes glaciaires martiennes, mais que nous devons appeler les ouvertures polaires martiennes. Mais peut-être le lecteur n'est toujours pas convaincu. Il peut se rappeler que, les écrivains qui traitent de cet aspect de Mars, (qu'ils aient ou non besoin de croire aux «canaux»), semblent avoir aucun doute sur le fait qu'au niveau des pôles, nous avons de la neige ou la glace. Nous avons déjà souligné certaines incohérences dans cette façon de voir. Voici quelques autres considérations qui contribuent à dissiper cette idée, et puis, en se tournant vers la planète Vénus, nous allons le démontrer absolument, que les diques polaires ne sont pas des calottes de neige ou de glace, ou même de givre, mais simplement des ouvertures menant à la surface intérieure et éclairée de la planète.


    Quant à prendre en considération, les documents de la NASA, où figurent certaines images, des pôles de Mars, comme par exemple, celles-ci :

  


, c'est du temps totalement perdu, car chacun sait, que rien n'est plus facile actuellement pour la NASA, de trafiquer des photos à sa convenance.

     Nous avons même, la preuve que cet organisme, considère le commun des mortels, comme un mouton innocent à qui on peut faire avaler n'importe quelle couleuvre mal dégrossie.

     Nous pourrions aussi montrer les Pôles de Mercure, Saturne, Jupiter etc... qui ont aussi des disques lumineux à leurs pôles, mais cela allongerait beaucoup trop cet article.

    Mais, si l'on a bien lu, la déclaration de Marshall B.Gardner placée plus haut, on voit alors qu'il fait allusion à un soleil placé au centre de la Terre creuse tel que nous le montre ce schéma bien connu des internautes d' ARTivision :


      Ce schéma tiré de l'ouvrage incontournable et devenu très rare:


et, livre de Raymond Bernard "La Terre creuse" paru chez ALbin Michel en 1971 et ouvrage qui a vraiment relancé de nos jours, la thèse de la Terre creuse, mise en exergue avec ferveur et une grande détermination par ARTivision dans plus de 60 articles de son site.

     Disons pour terminer aussi, que c'est donc, ce soleil central qui est à l'origine des supers disques lumineux qui apparaissent aux pôles des astres du système solaire, et qui est aussi responsable du phénomêne dit des aurores boréales, des régions polaires et régions, qui sont munies d'ouvertures pour laisser passer cette lumière centrale. Voyez alors celle-ci qui serait attribuée, à la région nord de notre planète Terre :


    Notre ami de longue date, Frédéric, nous explique que cette photo est extraite de la vidéo plutôt ancienne :

http://www.dailymotion.com/video/x9mgp5_hollow-earth-15-battle-of-armageddo_webcam

     Mais dès 2004, nous avions pu extraitre du site: http://www.pousada.ch/erde/pol.html qui hélas n'existe plus, cette image :



qui, comme on le voit, est la portion supérieure de la superbe photo précédente.

     Mais comme il existe de nombreux autres phénomènes polaires que nous n'avons pas le temps de décrire ici, voici un extrait d'un un passage atypique, de notre article lancé le 31/08/2012, et modifié très souvent depuis :

http://www.artivision.fr/docs/LaMerLibreduPoleNord.html

" Tout cela serait super, si les chercheurs hors normes, Williams REED et Marshall B.Gardner (voir le titre et la photo de leur ouvrage dans notre article : audelaGrandNord.html) eux, ne nous disaient pas (il y a plus de 100 ans pour Reed), que cette énorme dérive de la banquise, ne peut venir que de puissants fleuves sous-marins issus de l'intérieur de la Terre qui est creuse, et de plus, ces fleuves sont à l'origine de la création des icebergs, quand ils gêlent à la sortie des ouvertures polaires, où régne un froid terrible. Et c'est pour cela en plus que l'on constate que ces icebergs....sont uniquement faits d'eau douce ... Mais mieux encore , ils disent que les mammouths trouvés congelés sur les bords du bassin polaire viennent aussi de l'intérieur de la Terre, et pourquoi pas, c'est ARTivision qui le dit, cette incroyable baleine telle que :


info, vraiment surprenante, qui a surpris tout un chacun, au Canada, en Suisse, en Belgique, en Russie etc...et bien sûr en France ...et information qu'ARTivision cherche à vérifier, à tout prix , tant elle semble être un Poisson d'Avril . Nous avons d'abord bien sûr, vérifié dans tout le n° 500 de Mai 1959, si Science et Vie parlait de cette affaire comme d'un poisson d'Avril et, il n'y avait rien du tout sur cela, et d'ailleurs ce n'était pas, à l'époque, le genre de la maison, de lancer des poissons d'avril, alors que la revue n'est pas sortie semble-t-il, sur le marché, juste le premier Avril. Toute aide à ce sujet serait, bien sûr, tout à fait bénie .

     Si cela est vrai, il est donc déjà, de la plus haute importance, pour tout chercheur intéressé par cette théorie, qu'il puisse avoir sous la main une étude officielle démontrant que les icebergs sont bien constitués d'eau douce , car ces masses parfois gigantesques, ne peuvent en aucune manière, sortir de blocs de la banquise arctique qui est elle, est salée. Avis aux amateurs...."

    Fin de citation...

III Conclusion .


     Pour tirer une conclusion de circonstance, à cet article, il nous appartient ici pour guider un peu plus le profane, de faire appel à certaines sources transcendantes... En effet, le site ARTivision fait parfois appel, en toute confiance, à des informations venues d'univers parallèles, étant donnés, les nombreux coups de pouce que Super Hasard, lui a octoyés dans cette affaire inouïe de la Terre creuse.

    La première source, nous vient alors des pages 193 et 194 de l'ouvrage extraordinaire intitulé "LE VOYAGE A SHAMBHALLA" par Anne et Daniel Meurois-Givaudan publié en 1986 par les Editions Arista. On y trouve alors, ce passage à la fois, très significatif, et poétique en plus :

     " Votre terre est creuse, vous le savez, creuse comme le sont toutes les planètes du système solaire, aussi creuse qu'une noix sans ses cerneaux .
     Là également, vous attendent les prémices d'un avenir fabuleux ou plutôt d'un présent déjà bouillonnant en vous. Lorsque les sages disent aux hommes de chercher à l'intérieur d'eux mêmes, ils sont dans la vérité à tous les stades de compréhension. La Terre vous suggère en certaines contrées la grande flamme de son cœur. Elle la fait s'élancer vers le cieux comme le lotus flamboyant et tel un baiser d'union avec ce qui est en haut. Cette flamme ou plutôt ces flammes sont les aurores boréales ou australes. C'est la radiation cristalline du soleil intérieur enclos dans le grand être qui nous porte tous et qui jaillit par les pôles. C'est aussi une source vitale éthérique dont vous ne pouvez avoir idée. L'heure ne se présente pas encore d'éluder pour l'homme la totalité des mystères de l'Agartha et du continent central. Nous refusons de précipiter ce temps pour la sauvegarde de la majorité des consciences immatures. Vos gouvernements s'y refusent aussi, bien que partiellement informés, pour la sauvegarde de leur pouvoir
. "

     La deuxième source, nous vient d'un texte, qui soulèverait beaucoup d'émotion chez les mystiques :

     "La thèse retenue par vos scientifiques n'est pas conforme à la réalité. Le centre de la Terre est la demeure d'Êtres hautement évolués qui sont les gardiens des fonctions vitales de la planète, et le siège du grand Être qui gère la maintenance de l'assemblage des particules selon le schéma du Grand Constructeur.

   Votre centre de la Terre est creux et possède son propre Soleil générateur de Vie. Une flore y pousse également et reçoit la vie de milliers d'insectes, d'animaux. Désolée de lever ce voile, mais il faut regarder la vérité dans sa théorie pour la découvrir dans la matière.
  Vous regardez vers les étoiles mais ne connaissez pas la composition de votre Terre. Des portes donnent accès au sous-sol de votre planète. Naturellement, elles s'ouvriront dès votre allégeance au Soleil Central. L'intérieur de votre sphère est aussi beau que son extérieur, on y trouve des vallées, des monts, des lacs, des rivières comme dans votre géophysique externe. Les gardiens de ces portes sont très efficaces et le passage ne sera accordé qu'avec un décret du Soleil Central
.... "

      Fin de citation
        Tiré de la page 112 du livre de Soria "Les grandes Voies du Soleil", paru au Editions ARIANE en Avril 2001

La Troisième source, nous vient d'un texte, qui ferait sans doute rêver, les meilleurs auteurs de science fiction :

     "L'intérieur de votre Terre est creux ; un Soleil y réside, permettant la vie comme sur la croûte extérieure de cette planète. Chaque humanité vit dans une des réalités physiques d'Urantia Gaïa. Suivant le cercle d'influence atomique, certaines peuvent avoir des relations directes et physiques avec le peuple extérieur, vous. Ainsi, parmi les survols d'ovnis, quelques-uns sont imputables aux intraterrestres. L'harmonie interne de votre sphère d'accueil subirait des interférences si ces êtres n'intervenaient pas dans votre évolution. Il n'est pas rare que les scientifiques internes surveillent les travaux des vôtres, les aidant même en laissant des formules dans la matrice des ordinateurs ou en envoyant l'un des leurs se fondre au sein de votre multitude. Certains occupent des postes importants dans votre société, contrôlant ainsi les progrès, en favorisant certains ou en écartant d'autres, mais en tenant toujours compte de votre degré d' ouverture d' esprit, de vos faiblesses, de vos points forts et du maintien de l'équilibre du centre de la Terre. Parfois, des documents disparaissent, étant jugés sortis trop tôt, pour réapparaître dans une séquence plus appropriée. Il est temps de trouver un point de rencontre conscient entre eux et vous. Seule votre volonté de développer un échange sain, fraternel et respectueux entre chaque ethnie concrétisera cette rencontre. Pourtant, les habitants de l'intérieur de la Terre n'ont jamais été aussi ouverts à une telle éventualité. Votre conscience sera touchée par des informations révélant autant la vie stellaire que la vie intraterrestre. Il est même possible que certaines portes d'accès du centre de la Terre s'ouvrent à quelques-uns d'entre vous afin qu'ils puissent témoigner de la réalité de leur existence. Votre grand visionnaire et prophète Jules Verne vous a préparés aux ouvertures de ces temps nouveaux. Rapidement et étrangement, vous pourriez éprouver comme une surdose d'informations, déstabilisant ainsi vos croyances établies et fragilisant vos tendances à vous accrocher aux lois actuelles"

     Extrait pages 172 et 173 de "Voyage" tome III de Soria Edition Ariane Mars 2002.

IV Quand cette même revue Ciel&Espace dans son n° d'Octobre 2012, présente un article intitulé "Le dernier rêve d'Armstrong..."


      L'article commence ainsi : "Un héros discret s'est éteint le 25 Août 2012 "Le petit pas" de Neil Armstrong, le 21 Juillet 1969 , l'avait transformé en icone mondiale. Une célébrité qu'il a ensuite toujours cherché à fuir " signé Alain Cirou.

     Donc malgré les innombrables sites qui présentent clairement, le fait que presque toutes les photos de la NASA montrant les évolutions des prétendus astronautes sur la Lune sont truquées, cette revue prétend encore nous présenter, deux de ces photos et nous allons devoir encore démontrer, que ces photos n'ont pas été faites sur la Lune.

     Le site ARTivision, dans son article daté du 30/04/2000 et placé tel que :


a été l'un des premiers sites du Web français a mettre en évidence les bizarreries des photos de la Nasa et ensuite est venu l'ouvrage de Philippe Lheureux, , publié aux Editions Carnot en Décembre 2000, et dont le site est à : http://lheureux.free.fr/

     ARTivision a publié ensuite, de nombreux articles traitant de ce même sujet :

     Mais, bien avant l'arrivée de l'Internet, on doit savoir c'est que, d'abord, un américain même, qui a tout dévoilé, à ces risques et périls dès 1976. En effet tout cela est décrit parfaitement par un nommé Bill Reid Kaysing, dans un ouvrage paru aux USA en cette année, et intitulé "We never went to the Moon", publié par la Société of Metaphisicians LTD.

  

  

     Bill Reid Kaysing n'est pas le premier venu dans cette affaire, car c'est un ingénieur à la retraite de la société Rodketdyne qui construisait à l'époque, les moteurs d'Apollo. Son ouvrage, on s'en doute n'a jamais été traduit en français, et est tout simplement le précurseur incontestable, qui avait déjà à l'époque flairé le Gigantesque Bluff , à l'égard de l'Humanité entière, que représente le prétendu débarquement des astronautes américains sur la Lune par les fusées "Apollo" et les "LEM".

     Hélas aucun éditeur français, n'a eu le courage de traduire cet ouvrage et les gogos de toutes nature par exemple comme ceux si fiers de leurs revues d'astronomie, comme cette revue Ciel&Espace et consorts ont continué jusqu'à présent (octobre 2012, à nous radoter les exploits que furent pour eux, les débarquements lunaires d'Apollo 11, à Apollo 17 : (voir notre article : http://www.artivision.fr/docs/France-Antilles27Aout2012.html, daté du 09/09/2012 ) , et désormais les protagonistes des chaînes de télé ayant pignon sur rue, ont maintenant un gros travail à faire pour se recycler dans la connaissance de cette intolérable supercherie, et ils sont encore très réticents à admettre le fait inouï que la NASA les a abusé lamentablement.

     Si nous avons décidé d'écrire ce nouveau paragraphe qui va compléter notre article cité au-dessus, c'est qu'on y trouve aussi, en effet des propos significatifs qui soulignent clairement, s'il en était besoin, le caractère "d'ours en cage" d'Armstrong, que nous avons déjà évoqué dans l'article cité ci-dessus :

     Voyez vous-même :

     "Nombreux furent ceux qui cherchèrent à "faire parler" Neil Armstrong, de ces moments extraordinaires. Ceux qui marquaient par l'alunissage sur la mer de la Tranquilité, puis la marche sur un corps extraterrestre, l'entrée de l'humanité dans l'ère cosmique. Et beaucoup furent déçu...

     Le héros historique,apparaissait toujours comme tendu, sur la réserve, débitant des banalités destinées à faire retomber immédiatement tout exces d'enthousiasme . Lors d'un de ces derniers déplacements à Paris, où il intervenait dans le cadre d'un séminaire d'ebntreprise de la finance, Armstrong avait interdit toute présence de journaliste dans la salle et toute question non validée par les organisateurs...
".

     Et plus loin, on découvre la citation suivante, tirée de l'ouvrage "Bivouac sur la Lune" d'un certain Norman Mailler :

"L'attention se concentrait naturellement sur Armstrong puisqu'il commandait le vol, il semblait au début être le moins à l'aise. Il parlait avec de longs silences, il cherchait ses mots. quand il les trouvait, la banalité de leur contenu, faisait apparaître l'attente bien excessive... ".

     Arrêtons ici, voulez vous ces déclarations qui sans ambiguïté aucune, nous montrent qu'Armstrong, avait reçu des ordres pour ne rien dire de compromettant, sur les secrets de la Lune, orchestrés sournoisement par la NASA , car de plus, il savait que s'il parlait, les membres de sa famille et lui-même risquaient inéluctablement leur vie. Point Barre.

     Pour l'instant , n'étant un extralucide le Webmaster du site ARTivision est obligé de se poser la question cruciale : "Neil Armstrong a t-il jamais vraiment, un jour fouler le sol de la Lune en Juillet 1969 ?".

     Notons que dès le 29/08/05, nous avons reçu de l'ami Jean-Philippe G.........., des informations remarquables sur le changement dimensionnel, qui se prépare sur cette planète, en provenance de la plateforme ésotérique Arcturius. Ce message en date du 28/08/2005, correspondait à la channellistion n° #650. Vous pouvez encore retrouver le texte en question sur les sites :

      français :


     Et en anglais :


     Nous avons en ce qui nous concerne publié entirement, ce texte en couleurs et agrémenté de nos commentaires sur notre page :


     Notons surtout, que dans cette affaire, ni le nom l'entité transcendante, à l'orgine de ce message, ni même le nom du channel, ne furent révélés à l'époque, et pour cause...

     Voici donc ici une fois encore, le début de ce texte, puis le passage concernant les missions Apollo de cet extraordinaire texte :

VUE D’ENSEMBLE DES CHANGEMENTS IMPORTANTS DE LA CIVILISATION MONDIALE

Nouvelles révélations hors normes d'Arcturius .


INTRODUCTION

           Aussi incroyable que cela puisse paraître à beaucoup de monde, l’humanité terrestre traverse un processus de changement évolutionnaire dans sa manière d’expérimenter la vie. Nous devrions devenir une civilisation galactique qui inter-agirait positivement avec plusieurs civilisations de notre galaxie et univers, et aussi avec d’autres univers. C’est notre véritable destinée de passer d’une société basée sur la peur et la compétition à une société basée sur l’amour, la paix et l’harmonie. (Note du Webmaster: C'est exactement ce que nous avons stigmatisé dans notre conte très ésotérique: rencontreinso.html) L’actuel chaos est simplement une partie de l’accélération du changement... "


     Et voici maintenant la phrase, entre autres choses extraordinaires, qui a fait tilt pour nous :

" ...et également comment le Programme lunaire d’Apollo était une technologie supérieure secrète. ".

      Et en anglais cela donne: "...And how the Apollo Moon Program was a cover-up of higher technology."

     Mais une traduction plus fidèle pourrait être : "... et comment le Programme Apollo n'était qu'une couverture secrète pour une technologie supérieure ".

      Vous pensez bien, qu'une telle révélation, nous a, à l'époque, totalement soufflés.

     Cette phrase pourrait-elle signifier que les Américains sont bien montés sur la Lune, ( pas obligatoirement Armstrong et consorts), et pas avec le LEM d'Apollo, mais avec les soucoupes des Petits Gris leurs complices ?

     Compte-tenu de ce qui précède, cette phrase peut aussi signifier que le Programme Apollo était une couverture pour détourner d'importants crédits dédiés aux perfectionnements des bases souterraines américaines comme la Zone 51, Dulce et consorts..

     On peut aussi, concernant ce texte incroyable, contacter le Webmaster australien Terry Melanson, qui fut l'un des premiers internautes à placer ce texte sur son site :


      Nous invitons donc tout internaute qui maitrise bien la langue de Shakespeare, à écrire à ce Monsieur Terry Melanson , pour le prier d'être assez aimable pour demander au médium qui lui a transmis ce texte extraordinaire, d'avoir la gentilesse de préciser, lui même, cette phrase insolite : "...And how the Apollo Moon Program was a cover-up of higher technology."
     Seule la réponse de ce médium, est à prendre en considération et non les commentaires d'une tierce personne quelconque.

     Il est ici, aussi à noter dans ce texte extraordinaire, que ce médium a bien spécifié à deux reprises (en mettant assurément en danger sa vie ), que ce ne sont pas des terroristes qui ont fait sauter les tours du WTC à New York (probablement les fameux illuminatis), mais, il est hélas passé un peu vite sur cette affaire de technologie secrète pour Apollo, affaire incroyable, qui à notre avis, fait aussi partie du Grand Bluff.

     Il y a près plus trois ans, nous avons interrogé l'entité transcendente Soria, sur les attentats du WTC, et elle nous a fait une réponse de normand en transformant notre question, en une autre question : " ...êtes vous prêt à assimiler ce qui s'est réellement passé ? "

     Nous en avons déduit, que c'était une façon détournée de protéger Mme Régine Françoise Fauze, la dame qui est son channel en France. Nous n'avons pas donc pas insisté sur cela et nous n'avons plus posé cette question du WTC.

     Si cette démarche des internautes qui parlent anglais pouvait aboutir, nous aurions donc fait un très grand pas dans la découverte de l'incroyable secret concernant la Lune,(lancé il y a près de 7 ans en 2012 le 28/08/2005) et que nous cachent ces conjurés des USA. ( A bon entendeur salut. )

      Mais il existe, un autre texte transcendant , tiré de l'ouvrage , tome 2:



, où l'on trouve en page 117, ce passage surprenant : " ...La suivante est qu'ils ont en vérité déjà été sur la surface de votre Lune. Votre gouvernement a marché sur votre lune, l'un deux, n'est-ce pas ? En bien, entité, il y a déjà une merveilleuse base stellaire bâtie sur l'autre face de votre Lune. Elle est le fait d'observateurs pour ainsi dire venus d'au-delà de l'étoile polaire. C'est de là que viennent les grands vaisseaux appelés vaisseaux mère. ".

       Comme c'est un très grand dommage, que Ramtha , n'ait pas précisé, d'abord l'année, de ce démarquement lunaire, puis aussi, il ne dit pas si Armstrong a fait partie de ce voyage vers la Lune !! Mais, il dit cependant,l'un d'eux, comme s'il n'y avait pas eu, le deuxième nommé Aldrin. Pourquoi n'a t-il pas dit deux d'entre eux ont marché sur la Lune. Affaire à suivre de très près...

      Ce livre ayant été élaboré autour de 2004 et Ramtha devrait savoir qu'officiellement, il y a eu 12 astronautes depuis Apollo 11 à Apollo 17 qui ont soi-disant foulé le sol de la lune. Or, Ramtha ne parle que d'un seul americainNe trouvez-vous pas cela tout à fait bizarre ?

      Mais revenons à photo suivante présentée dans le n° d'Octobre 2012 et qui correspond au n° S69-40308 du site quasi officiel :


où l'on découvre ceci :


     Pas besoin, en effet, de sortir de Polytechnique, pour s'apercevoir que :

1°) l'ombre de l'astronaute de droite, est bien plus longue, que celle de son confère. Le Soleil étant assez proche de l'horizon, pour les deux astronautes, ce phénomène est inexplicable, car les deux ombres doivent être de même longueur. Pour vérifier cette affirmation, nous avons réalisé la modeste expérience suivante :

      Nous avons simplement un jour, placé dehors, deux bouteilles identiques d'eau minérale, et nous avons constaté de visu, que l'ombre portée mesurait 98cm, pour chacune des bouteilles :


       En conséquence, il s'en suit que :

- soit que les deux astronautes sont éclairés (sur Terre évidemment, par de puissants et différents projecteurs dans la zone de simulation du Névada ou de l'Arizona)...

- soit, pire encore, , il s'agit d'un montage de deux photos différentes prises pour chaque astronaute séparément et , bien entendu, sur Terre.

2°) Concentrons-nous maintenant sur le drapeau. Voici une autre image où l'on aperçoit le drapeau bien à part qui a laissé une ombre bien caractéristique sur le sol :


       Le mât ou hampe du drapeau, donne au sol une trace bien effilée distincte des astronautes.

      Mais comme le drapeau se trouve dans la photo du Ciel&Espace , en face de l'astronaute, voyons d'abord en augmentant le contraste, si il y a, au moins,, une trace d'ombre partant du pied de la hampe :


      Il semble, cependant qu'il y ait bien, une grossière trace très mal repérable.

       Ce drapeau devrait projeter une ombre notable sur la combinaison de l'astronaute, et ce n'est pas ici le cas. Avec nos faibles moyens, voilà, ce que cela pourrait donner :


3°) De plus, nous n'avons pas reçu, une seule réponse, concernant le gros point d'interrogation, que nous avions soulevé; dans d'autres articles, et qui consiste à simplement dire : Qui a pu filmer en hauteur, ses images si bien agencées, des deux astronautes, évoluant côte à côte sur la Lune. On sait en effet que le troisième confrère nommé Collins , était très éloigné en haut dans le ciel lunaire et dirigeait le "Module de Commande". Il ne pouvait donc, en aucune manière, prendre ces photos si claires ...

      Où était donc fixée la caméra en question ? A-t-elle été commandée automatiquement à distance, ou a-t-elle filmé en continu, quitte à gaspiller de la pellicule, pourtant si précieuse en ce lieu ?

      La réponse pourrait se trouver sur le site :


Où l'on découvre ceci :

Dans le LEM :

      Pour ce qui est du LEM qui nous intéresse le plus, il n'y avait qu'une seule sorte de caméra vidéo utilisée dans Appolo 11. De marque Westinghouse, elle diffusait 10 images par seconde sur 320 lignes, soit un équivalent de vidéo You­Tube de basse qualité aujourd'hui.


      La caméra d'Appolo 11 diffusait notamment les premiers pas de Neil Amstrong sur la lune (Res­to­red Videos From Apollo 11 Moon­walk). Elle était fixée dans le MESA, une trappe d'instruments située sur le côté du LEM. En descendant de l'échelle, Amstrong a tiré un levier qui a déployé ce MESA où la caméra était positionnée pour filmer exactement l'échelle. C'est ce qui explique qu'il n'y avait pas de vidéo d'Amstrong avant. Ensuite, Amstrong a pris la caméra et l'a posée sur un pied à une quinzaine de mètres du LEM pour filmer la pose du drapeau américain sur la lune. La transmission avait lieu en HF et en direct. Les transmissions consistaient en un flux d'informations numériques (à 52Kbits/secondes d'Appolo vers la terre pour toutes les mesures télémétriques) et des flux analogiques (TV, radio) transmis à la NASA qui les relayait sur terre avec des satellites divers et son réseau terrestre, les stations de réception étant dotées d'antennes de 9 à 64 mètres de diamètre.

      Ce n'était pas ce qu'il y avait de mieux d'un point de vue technologique à l'époque car au moment de la conception du programme Appolo, la télévision n'était pas encore une priorité. Les missions suivantes d'Appolo 11 ont bénéficié d'améliorations substantielles, notamment dans la couleur même si à l'époque, peu de foyers étaient équipés de postes en couleur. Certaines caméras étaient même télécommandées telles que celles qui étaient fixées sur le Rover lunaire (la jeep) ou sur le sol. C'est ainsi que furent prises les images du décolage du LEM, la caméra étant télécommandée avec une anticipation d'environ deux secondes pour tenir compte du temps de parcours des signaux entre la terre à la lune.

      Il y avait par ailleurs une caméra 16 mm argentique, le DAC d'origine Maurer, fonctionnant à 10 images seconde. C'était un com­pro­mis permettant de filmer à un nombre d'images faibles tout en prenant des photos de qualité correcte. Cette caméra a filmé l'alunissage maintenant bien connu, qui n'avait donc pas été diffusé en direct à l'époque, mais qui a servi à recréer l'événement audio­visuel après coup.


      Plusieurs appareils photo Hasselblad 500 EL 70 mm ont permis de prendre des dizaines de clichés de très bonne qualité. Ces appareils étaient motorisés et équipés d'objectifs Zeiss de grande qualité mais d'ouverture moyenne (5.6 pour l'un et 2.8 pour deux autres). Cette motorisation avait été réalisée pour la NASA, permettant aux astronautes de ne pas perdre de temps, et ensuite été appliquées aux versions commerciales de ces appareils. La pellicule était faite en polyester plus fin que les pellicules habituelles, permettant de conçevoir des magasins de pellicule pour 200 prises. A ce sujet existe une polémique autour de l'absence d'étoiles dans les photos, alimentée par les tenants de la thèse de l'absence d'alunissage et d'un coup monté de la NASA. En fait, l'explication est très simple : c'est lié à l'ouverture utilisée qui était adaptée à la grande luminosité du paysage lunaire, et donc pas assez grande pour capter les étoiles bien moins lumineuses dans le ciel (vu sur http://www.skywise711.com/Skeptic/MoonPics/MoonPics.html). Un des Hasselblad prenait des photos classiques (pour les médias) et l'autre, pour mesurer précisément la taille des éléments photographiés sur la surface lunaire, grâce à une plaque de verre avec des croix permettant de bien calibrer les photos prises.


      L'ensemble des photos prises par ces Hasselblad pendant la mission Appolo 11 est ici : http://www.lpi.usra.edu/resources/apollo/catalog/70mm/mission/?11 (1407 photos dont 232 prises sur la sur­face de la lune pen­dant les deux heures à l’extérieur du LEM).

      Enfin, la mission comprenait aussi un appareil photo stéréoscopiques 35 mm avec un flash intégré et un char­geur de film avec 100 paires d'images stéréoscopiques. Il a servi prendre 17 photos stéréoscopiques du sol lunaire en “close up”. La caméra était mon­tée dans un petit cylindre posé à même le sol, ci-dessous à droite (pho­tos prises ici :



      Fin de citation.

      Ce site nous apprend beaucoup de choses, de sauf l'essentiel qui nous intéresse ici, car vous l'avez bien lu, que la camera du LEM "était positionnée pour filmer exactement l'échelle. C'est ce qui explique qu'il n'y avait pas de vidéo d'Amstrong avant. Ensuite, Amstrong a pris la caméra et l'a posée sur un pied à une quinzaine de mètres du LEM pour filmer la pose du drapeau américain sur la lune.".

      Or les photos montrant, les évolutions simultanées d'Armstrong et d'Aldrin, ont bel et bien été filmées en hauteur et non au raz du sol à 15 mètres du LEM. Armstrong après son "Petit pas pour l'homme...", est-il remonté le long de l'échelle pour aller refixer la caméra dans le MESA, dans la position, qui l'aurait plaçée en direction du spot où se trouvait le drapeau ? Ou est-ce Aldrin, qui a fait ce travail ? Voilà ce que nous dit pas le long laïus précédent, et mouvements qui n'ont jamais été évoqués dans aucun média, bien que cela aurait entraîné des tracas bien embarrassants pour les astronautes dont les minutes d'occupation sur le sol lunaire, étaient très calibrées.

    Mais dès 30/04/2000, nous avions aussi analysé cette photo où Aldrin est au garde-à-vous en face du drapeau Américain :


    Sans vouloir jouer à un spécialiste de l'art photographique, analysons brièvement, si vous le voulez bien, la photo ci-dessus, qui représente l'astronaute Aldrin, au garde-à-vous, devant le drapeau américain et photo qui fut, dit-on, prise par Neil Armstrong, lors des 2h 32mn qu'a duré leur première visite lunaire, et où on découvre certaines anomalies, certes minimes, mais oh combien révélatrices:

- Examinons par exemple, si vous le voulez, le rocher X, en bas à droite de l'image. Il ne semble pas tellement plus grand que le pied de l'astronaute qui sert alors d'échelle. Ce rocher produit une ombre caractéristique d'une bonne largeur, alors que celle produite par Aldrin est ridiculement effilée (sans doute nous dira-ton qu'il s'agit d'un effet d'optique) .

- Le drapeau lui, a bien quelques ombres correspondant à ses plis, mais aucune ombre n'apparaît de lui sur le sol, comme d'ailleurs aussi pour son mât, à moins que ces ombres soient enfouies dans une mince excavation, (non apparente ici), et soient justement bien dissimulées par les petites crevasses laissées par les empreintes de l'astronaute.

- De même, de quelque manière que ce soit, le câble qui traîne sur le sol, ne présente aucune ombre, à aucun endroit. ne pas confondre ces ombres avec les replis du sol.

De plus ce cable est interrompu brusquement :


et certains diront vite que ce cable a été enfoui sous le sol par les pas des astronautes. essayez donc d'enfouir un cable allongé sur un sol déjà meuble avec vos chaussures aux pieds et vous verrez la difficulté que cela impose alors que le temps des astronaute était très precieux et ils n'allaient le gaspiller pour enfouir sous le sol un vulgaire cable. A vous de discuter de cela... et bon courage .

- D'autre part, si l'on sait que sur la Lune, la partie exposée au soleil, peut voir sa température monter jusqu'à 125° C, et la partie dans l'ombre voir sa température descendre jusqu'à - 175° C, sans doute lorsque le soleil est haut placé dans le ciel, on peut alors cependant s'étonner qu'Aldrin se soit mis juste en face pour recevoir les rayons du soleil de plein fouet, même si ce soleil est un peu bas sur l'horizon, car le manque d'atmosphère sur la Lune, n'est pas fait, dans ce cas, pour adoucir le rayonnement reçu, directement en provenance de ce soleil. D'ailleurs, il est aussi surprenant que l'on découvre un soleil éclatant sur la visière d' Aldrin, alors qu'il ne devrait pas briller de la sorte dans le noir du Cosmos (voir cette affaire de soleil à notre article BillieFayeWoodwardTelephone.html.

- Mieux on ne comprend pas que l'équipement respiratoire d'Aldrin, ne soit pas dans le noir parfait, comme l'est la partie droite du rocher X, pourtant pas très haut, et qu'au contraire le haut de cet équipement brille d'une manière incroyable, alors que la tête de l'astronaute devrait en cacher la majeure partie, ainsi d'ailleurs que son dos supérieur qui brille de tous les feux en contradiction avec la hauteur du soleil qui semble plutôt bas sur l'horizon. (voir encore l'ombre du rocher X).



     La zone indiquée semble recevoir sa lumière, d'un projecteur, placé juste en haut au-dessus.

     Venons en maintenant, au passage important suivant du laius précédent :" A ce sujet existe une polémique autour de l'absence d'étoiles dans les photos, alimentée par les tenants de la thèse de l'absence d'alunissage et d'un coup monté de la NASA. En fait, l'explication est très simple : c'est lié à l'ouverture utilisée qui était adaptée à la grande luminosité du paysage lunaire, et donc pas assez grande pour capter les étoiles bien moins lumineuses dans le ciel. "

     Comme nous ne sommes pas qualifiés, pour discuter de cette affaire d'ouverture de l'appareil qui était adaptée soi-disant à la grande luminosité du paysage lunaire, disons cependant qu'à l'heure actuelle la Science possède, le moyen de détecter le moindre petit point lumineux, en sur-exposition sur cliché. Mais on sait aussi, que le NASA a perdu, chose incroyable, les négatifs des photos d'Apollo 11, évitant ainsi toute vélléité de vérification, car elle sait en effet, que toute ces photos étaient bidonnées. Mais, à l'auteur du laius précédent, nous demandons alors pourquoi aussi, la NASA n'a jamais fourni la moindre explication aux lumières parasites, qui apparaisent sur certaines photos d'Apollo 11 (et aussi sur celles d'autres missions Apollo):

  

     Il y a environ 20 ans, nous pensions que ces deux disques lumineux étaient des Ovnis scrutateurs, mais maintenant nous pensons assurément, que ce ne sont que des refflets parasites, de projecteurs bien terrestres...

     Mais pendant que nous y sommes , au sujet ces lumières parasites, rien ne nous empêche d'en dire un peu plus, concernant cette fois Apollo 12, qui aurait touché le sol lunaire dans l'Océan des Tempêtes :


     3 soleils d'un coup, pour l'astronaute Pete Conrad, les bras chargés d'appareils formant un laboratoire Lunaire, cela fait beaucoup n'est-ce pas !!! D'autant que l'on voit ici parfaitement la réfraction et la diffusion des rayons lumineux, dans une atmosphère qui ne devrait pas, dit-on exister, sur la Lune. Et là encore, nous n'avons jamais découvert, quelque part, la moindre explication de la NASA, à ce sujet...

     Mais il y a, mieux encore. En effet début Février 71, nous avons eu droit pour Apollo 14, à 4 superbes soleils qui illuminaient la région lunaire de Fra Mauro...


    Mieux sur cette photo AS14-67-9367 une tache noire insolite sans doute, mal éliminée, fait désordre sur la photo :


    Et des rayons lumieux fusent à tout va, autour de cette tache noire, alors qu'on le sait, la Lune n'aurait pas d'atmosphère.

    De plus, si nous analysons, le LEM posé plus loin, on voit alors qu'il présente au sol une ombre ridicule, malgré la présence de ces 4 soleils...


Enfin le chariot à outils lunaire, nommé le MET (Modularized Equipment Transporter), sorte de brouette à deux roues, a laissé au sol, des traces tout à fait incohérentes, où les angles droits pullulent, et où l'écartement des roues ne semble pas respecté. Mais les détracteurs zélés, diront vite, qu'il s'agit , évidemment, d'une classique illusion d'optique...


    Mais voyons maintenant avec son explication, la longue image que nous présente la revue Ciel&Espace d' Octobre 2012, en question :



    Cette photo qui ne figure pas sur le site quasi officiel précité :


a été découpée en les éléments disparates : AS11-40-5956 puis AS11-40-5957, puis AS11-40-5959, puis AS11-40-5960, puis AS11-40-5961, puis AS11-40-5962.

    Notons y alors quelques incongruités :


    Voyons cela de plus près, avec l'image : AS11-40-5962



     Mais pendant que nous y sommes, pourquoi ne pas présenter aussi ici, certaines photos d'autres missions Apollo, qui montrent indiscutablement qu'elles ont été faites sur Terre et non sur la Lune:

    Voici par exemple sur la photo d'Apollo 15 : AS15-85-11435, une tentative de camoufflage de deux traces différentes du soi-disant véhicule lunaire LRV . Tentative très mal réussie ici, (il y en a bien d'autres plus nettes encore) :


    La trace en bas à droite, provient d'une jeep Willys bien connue dans les films de guerre americains :

  

    Cette ne peut rouler sur la Lune, car son carburateur a besoin d'air pour fonctionner.

    L'autre trace en bas à gauche vient de la jeep LRV dont la structure nous est donnée sur le site :

     Voici les photos des quatre roues juxtaposées de la jeep (LRV) :

  

       Que peut-on alors dire sur cette nouvelle affaire, de deux traces différentes de jeeps, avec celle de la Willys qui n'est, elle, jamais montée sur la Lune.

      Il y a aussi cette photo d'Apollo 15AS15-87-11818 visible sur le site :

où l'on découvre ceci :


Comme on le voit, impossible de confondre les traces des deux modèles de jeeps.

    En voulez vous un petit plus, de la même nature, venant cette fois d'Apollo 16 , et on verra que ce sont encore les Maîtres de la désinformation ciblée , qui ont élaboré cette célèbre photo d'Apollo 16 : NASA AS16-107-17446, :



     Et c'est, d'abord grâce au fait que nous possédions par le plus grand des hasards ( Hum hum ) un poster de 47,5 cm sur 40,5cm, de cette image célèbre, et aussi ensuite grâce à la perspicacité d'une aimable internaute, que nous avons pu en extraire, de cette photo célèbre une image surprenante :

       Pour mieux voir cela il est préférable de partir par exemple, du site :


      Puis placer la pastille contenant un + sur l'image et cliquer dessus pour l'agrandir et puis visualiser le coin presqu'en bas à droite. Après capture d'écran, et aidé d'un logiciel requis pour cela, vous pouvez obtenir la portion d'image suivante :


et avec nos commentaires on a alors :



     Là, encore on ne peut que constater que les deux traces de roues sont tout à fait differentes...

Désormais  les détracteurs endurcis et autres consorts zététiques qui n'ont de cesse de trouver une raison pour défendre la NASA, vont mordre la poussière, et alors ils vont tout penauds avouer, que la photo est bien truquée , qu'elle n'a pas été faite sur la Lune, mais que cela était voulu pour des raisons stratégiques, politiques ou autres, non communicables aux novices ...etc.. etc...

    D'ailleurs cette photo d'Apollo 16 présente bien d'autres anomalies inouies. Par exemple, analysons alors cette portion d'image:


      Il semblerait donc que là encore, ce flou inadmissible ici (vu la masse de la jeep LRV (Lunar Roving Vehicle) qui dépasse de loin celle de l'astronaute dont les pas sont nets), c'est une tentative de voiler, la trace encore embarrassante d'une jeep Willys par une manipulation photographique dérisoire.

       D'ailleurs, une autre anomalie saute aux yeux, quand on analyse de près le dessin des roues de cette photo AS16-107-17446. En effet d'après le site :


,on peut lire : " Pour faire face aux restrictions de masse et permettre la mobilité nécessaire sur la Lune, on développa des roues hors du commun. Outre les jantes en titane et les enjoliveurs en aluminium, celles-ci ne sont pas équipées de pneus conventionnels. En effet, l'enveloppe extérieure de celui-ci est fabriquée en treillage métallique."

       Ce treillis métallique brillant s'est semble-t-il métamorphosé ici en vulgaire pneu conventionnel à enrobement élastique et très terne. Voyez donc le dessin des sculptures :


    Pourquoi la NASA a-t-elle substitué ici pour Apollo 16, les vraies roues par des fausses ? Ces deux roues conventionnelles ne pouvaient en aucune manière fonctionner sur la Lune.

    Il y a eu aussi cette incroyable affaire de lettre C inscrite sur un rocher du paysage d'Appolo 16 vu plus haut. Voici donc à gauche une portion de notre poster de 1972, et à droite une portion de l'image de la page 39 du livre de Philippe Lheureux, paru aux Editions Carnot dès la fin 2000 "Lumières sur la Lune" (le grand doute) .

  


    Mais le Dimanche 6 Février 2005, nous avons pu enregistrer le volet de 30 minutes de la chaîne "Planète Choc" intitulé "l'espace intersidéral" de la série d'émission " théories du complot" :



    On y voit aussi cette lettre C, telle que :

   


    Mais pourquoi une lettre de l'alphabet devrait-elle être écrite sur roche de la surface lunaire ? Il ne peut s'agir que d'une roche utilisée par des studios du centre de simulation du Névada ou de l'Arizona, et cette lettre désigne un emplacement à respecter, et bien sûr ensuite il faut tourner cette roche pour cacher la lettre à la caméra

    Certains détracteurs zélés, n'ont pas hésité à dire que cette lettre C, comme le + placé à côté et utlisé pour le cadrage de la photo, n'est pas sur la roche, mais correspond uniquement, a des repères sur la pellicule. Mais hélàs, aucun d'eux n'a été capable de présenter le négatif en question avec le C correspondant. Donc, on en déduit qu'il s'agit bien, d'une erreur de manipulation, de cette pierre dans le studio en question. Point Barre.

     Mais si vous jetez un coup d'oeil sur la page actuelle suivante en relation avec la NASA :


    On voit alors, avec un grand étonnement, que sur le rocher en question, le C a disparu comme par enchantement. Ne trouvez-vous pas cette disparition plutôt suspecte ?



    Bien sûr, en fouillant encore un peu plus cette photo, on découvrirait d'autres anomalies notoires...

      C'est à vous qu'il appartient désormais, de juger tout cela, documents tangibles à l'appui.


     Article mis en page le 26/09/2012 , et revu le 27/09/2012, et revu le 29/09/2012, et revu le 30/09/2012, et revu le 01/10/2012, et revu le 03/11/2012, et revu le 04/11/2012, et revu le 06/11/2012, et revu le 08/11/2012, et revu le 11/11/2012 , et revu le 14/11/2012, et revu le 15/11/2012 , et revu le 06/02/2013, et revu le 02/04/2013, et revu le 31/08/2013.

Pour tout contact : fred.idylle@orange.fr

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