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Le mystère des formes aérodynamiques
de certaines sculptures antiques

I Introduction.

     Ce texte est un prolongement direct de notre article placé à :

http://www.artivision.fr/jouetdeMexico.html


    Cet article sera pour nous le moyen de rendre hommage aux chercheurs audacieux qui ont osé parler de l'existence d'avions dans les temps anciens. On sait déjà aussi, que des textes sanscrits racontant les épopées indiennes du Ramayana et du Mahabharata etc..datant de plusieurs millenaires, racontent l'existence de vaisseaux célestes puissamment armés appelés vimanas, et qui utilisaient, parait-il, la désintegration du mercure pour se propulser. Voir à ce sujet notre article en date du 10/03/1997, (oh là, comme le temps passe vite), et intitulé : "De la présence d'aéronefs dans les textes traditionnels indiens" et placé à :

http://www.artivision.fr/aeronef.html

II La genèse de l' affaire.

    En préambule, rendons hommage aux ouvrages ci-après, qui nous entretiennent de ces objets objets en formes d'avions, nous interpellant aujourd'hui:

    
  

    L'ouvrage de gauche de 1974 du celèbre Eric von Däniken, nous donne une idée, dès sa couverture, de ce qui nous interpelle dans cet article : un objet ressemblant à un chasseur moderne à deux ailes latérales placée pratiquement sur le bord inférieur du fuselage. Cet objet serait la possession d'un certain révérend Père Crespi. Cet objet très insolite et bien d'autres seraient d'après le Dr Arthur Polyslee de l'Aéronautical Institute de New York, "un poisson volant ou un oiseau". Un poisson peut être, mais un oiseau qui a deux ailes de chaque côté parfaitement planes et la queue bien verticale, cela ne s'est jamais vu. Et comme poisson identique à cela, faudrait déjà nous en montrer un modéle vivant ou même un fossile. Pas vu non plus jusqu'à présent.
    A la page 14 l'auteur nous présente ce modéle qui était exposé à l'époque à la State Bank de Bogota en Colombie:



Et l'auteur nous précise:

    " L'avant est massif, un peu comme les appareils américains lourds de type B 52 : La cabine du pilote, abritée par le pare-brise, surplombe le nez de l'appareil dont le fuselage repose sur deux surfaces porteuses rectilignes quoique légèrement arrondies. Deux ailerons stabilisateurs complètent ce modèle réduit d'un avion inca .

    Comment peut-on manquer d'imagination au point de parler d'oiseaux ou de poissons volants quand on se trouve en présence d'un modèle réduit d'avion ?

    L'or a toujours été un métal précieux et on en trouve, en général, dans les temples et dans les palais. Si on a décidé de réaliser tel objet en or c'est que :

a) On attachait du prix à l'objet en question,
b) On voulait assurer sa conservation,
c) On le réalisait donc dans un matériau approprié.

    A noter aussi qu'il n'est pas question de rapporter ces modèles réduits à quelque culte du poisson-oiseau. Un tel culte n'existait pas .
"

    De plus l'auteur nous dit encore que "la validité technique et aérodynamique de ce modéle réduit a été soigneusement vérifiée par des chercheurs de L'Aeronautical Institute de New York " :


    Sans doute d'autres détails à ce sujet seront découvert un jour.

    Mais voyons maintenant ce que l'on découvre dans le genre, dans le livre deJacques Bergier et de Georges H.Gallet.

    Il s'agit de l'article remarquable de Peter Krassa, journaliste écrivain autrichien qui a fait des recherches d'astro-Archeologie en URSS et en Chine. Il a publié, entre autres choses, deux ouvrages en allemand : "Quand les dieux jaunes arrivèrent" et "Dieu est venu des étoiles". Comme vous le voyez ces ouvrages annoncent bien la couleur des recherches entreprises

    "....De même, un autre objet ailé plus petit (5 cm), en or, qui figure dans les collections du musée de l'Or de la Banque de Colombie à Bogota, fut d'abord qualifié d' " ornement religieux " - poisson ou crocodile volant - datant du Ve au XIe siècle, jusqu'à ce qu'il fût examiné par l'Aeronautical Institute de New York (voir l'image précédente).

    Après un essai probant en soufflerie, l'écrivain scientifique américain Ivan T. Sanderson put déclarer qu'il ne représente pas du tout un animal volant quelconque mais est " de toute évidence, l'interprétation par un artiste de quelque chose qu'il a vu " et qui " ressemble tout à fait à un avion de combat à réaction et aile delta, ultra-moderne. " :


    Et même encore mieux, peut-on dire, à une "navette spatiale", d'autant plus que la Bolivie proche de l'équateur offre d'excellentes possibilités pour l'atterrissage et l'envol de véhicules spatiaux. On a retrouvé dix-huit autres petits « objets ailés » semblables dans divers musées et collections privées.
".

    On pourrait croire alors que ce genre de "modèles volants", ne se trouvent qu'en Amérique précomlobienne. Détromper vous, l'Egype, a aussi son mot à dire :

" ...Ne nous étonnons pas si un « objet ailé », trouve en 1898, dans une tombe près de Sakkara, étiqueté «oiseau» et placé au musée des Antiquités égyptiennes du Caire sous le n° 6 347 parmi d'autres objets similaires, resta un demi-siècle sans éveiller aucun intérêt.


    Ce ne fut qu'en 1969, que le Dr Khalil Messiha remarqua que cet « oiseau » était vraiment bizarre et l'examina de près. L'objet est en bois, en bon état, il pèse un peu plus de 39 g et mesure 14 cm; son « nez » dépasse de 3,2 cm les ailes qui ont une envergure de 18 cm, ses formes sont nettement aérodynamiques. Ses ailes sont étendues, horizontales mais sa « queue » est verticale, perpendiculaire aux ailes : Le Dr Messiha releva sur l'objet une petite inscription en égyptien archaïque signifiant « Don d'Amon », or Amon est le « Seigneur du Vent ». L'objet fut essayé en soufflerie; non seulement il est parfaitement apte à voler mais ses proportions seraient "idéales ». Tout le monde s'accorde aujourd'hui pour considérer l'objet 6 347 comme un modèle réduit d'avion - ou de planeur. Il ne possède, en effet, pas de « pattes » pour atterrir. Depuis, une quinzaine d'autres objets ailés ont été reconnus comme modèles réduits d'avions et présentés dans une exposition spéciale en 1972.
"

    Peut-être un jour, en découvrirez vous-même davantage... .

    Mais terminons voulez-vous, par cette dalle de Palenque très connue et qui défie copieusement notre imagination. Voici ce que nous en dit Peter Krassa:

    "...Et que dire du bas-relief de la dalle du sarcophage de Palenque ? Il représente un personnage assis et penché en avant qui fut interprété, en l'absence de toute logique, comme « un Indien devant un autel sacrificatoire ». En fait, ce personnage porte une combinaison allant du cou aux chevilles et serrée par une large ceinture, ainsi qu'un casque d'où sortent deux tuyaux dirigés vers l'arrière, et il semble agir avec les deux mains sur des commandes placées devant lui.(Note du Webmaster: il semblerait même que des jets de flammes ou de gaz s'échappent derrière l'engin.)


    Son attitude évoque irrésistiblement celle d'un astronaute pilotant un module de commande, et un expert de la NASA, l'ingénieur aéronautique John Sanderson 1a même pu reconstituer d'apres ce bas-relief l'aspect probable de cet engin spatial :


    De quoi faire frémir les archéologues officiels !
"

    Fin de citation.

      Le 31 Octobre 2008, à Tulum au Mexique, nous avons pu nous procurer une reproduction colorée et cadrée sur cuir de cette dalle de Palenque. En voici la partie centrale :



III Conclusion .

    Une fois de plus, le Passé de notre planète, nous interpelle de manière très surprenante. Gageons que cela ne fait que commencer et que la clé de bien des mystères de cette Terre, nous sera peut-être révélée, quand nos journalistes et chercheurs déterminés, auront démontré qu'en dehors de la Terre (par exemple sur la Lune ou sur les planètes voisines), les dieux (dont on a parlé plus haut), ont aussi laissé les traces de leur passage. Nous espérons, en effet vraiment, qu'un jour un intrépide chercheur pourra découvrir le négatif de l'image suivante pour en agrandir à l'aise les structures très insolites de la Lune que l'on y voit, et qui sont, la preuve incontournable de nos dires :

 


    Bon courage et ...à bon entendeur salut !

    Pour plus de détails sur cette affaire de négatif, prière de se reporter à l'article :

http://www.artivision.fr/Ameriquechocretour.html

    D'autre part le 29/08/06, nous avons reçu de l'aimable internaute Dalana, l'adresse d'un site qui en dit plus sur ces sculptures aérodynamiques antiques :
http://www.ldi5.com/archeo/ov.php

IV prolongement révélateur significatif en date du 01/10/06 .

     Le 27/09/06 , nous avons découvert dans nos dossiers une page du savant atomiste Jacques Bergier insérée dans le n° 300 spécial de Nostra magazine du début Jan.78 :


    Le titre de l'article est, voyez-le vous même, sans ambiguité, ni point d'interrogation :

L'ÉGYPTE DES PHARAONS CONNAISSAIT L'AVIATION.



    IL cherchait des ailes divines. Ce fut un avion qu'il trouva. Ainsi se résume la mésaventure -ou plutôt la très belle aventure scientifique - survenue au docteur Khalil Messiha, en 1969.

    Ce médecin et chercheur égyptien étudie, depuis longtemps, les dieux ailés qui furent l'objet d'un culte, sur les bords du Nil, à un moment quelconque de l'histoire.

    II avait acquis la quasi-certitude que l'Egypte antique avait mis au point certaines formes de vol mécanique. Mais jamais il n'avait songé à quelque chose d'aussi éla boré qu'un avion. Même au moment de sa trouvaille de 1969 il s'interdit de croire é un tel appareil : il crut à un simple planeur.

    II l'avait déniché dans les réserves mal inventoriées du musée des antiquités, au Caire. L'objet s'y empoussiérait depuis 1898. C'était une sorte de croix en bois , de sycomore - donc très résistant - d'un poids de 39 g seulement, de 18 cm d'empennage et de 14 pour la longueur du fuselage.

    Pas de pattes d'oiseau comme sur les autres "reliques", pas d'ornements ou motifs décoratifs, à l'exception d'une sorte d'oeil, à l'emplacement du "cockpit".

    Pour ne pas l'endommager, le docteur Khalil Messiha en fit exécuter une copie exacte en bois de balsa. Cette réplique fonctionna le mieux du monde. Il suffisait de la catapulter à la main pour lui faire décrire une courbe de vol longue et harmonieuse : les surfaces portantes étaient conçues de façon irréprochable.

    Le secrétariat d'Etat à la culture fit effectuer d'autres investigations qui furent couronnées de succès : on retrouva 14 planeurs de même genre qui furent présentés au publicdansuneexpositionetquelesscientifiques et techniciens purent étudier à loisir.(L'un des scientifiques plus passionnés fut le Scandinave Frede Melhedegaard, spécialiste des anciennes civilisations. ll dirige l'Institut Tout Ankh Amon qui, paradoxalement, ne se trouve pas au Caire mais à Stadil, au Danemark. C'est à son obligeance que je dois le plus clair de ces informations sur "l'avion des Pharaons" )

    Peu à peu se fit jour la stupéfiante interprétation : il ne s'agissait pas de planeur mais bel et bien d'avion.

    Le docteur Messiha est à peu près persuadé de la chose. II pense que ses très lointains ancêtres connaissaient certaines forces naturelles qui furent bien oubliées, ensuite, et qu'ils savaient en tirer parti; des forces capables de bien des prouesses et, notamment, de propulser des appareils dans l'atmosphère. Pas seulement des "modèles réduits" , mais des machines à l'échelle humaine.

    Certes, il n'y a aucune trace d'hélice ou de réacteur sur les "jouets de sycomore". Maison pense à une forme de dynamique expédiée depuis le sol dans l'axe de l'engin (peut-être en prenant "l'oeil" en ligne de mire).     Rêveries que tout cela? Non pas. Le docteur Messiha appuie sa nouvelle conviction sur d'autres éléments : il existe des textes, sous forme d'hiéroglyphes, qui décrivent des sources d'énergie, et c'est à leur décryptage qu'il consacre aujourd'hui ses efforts.

    Nous pourrions donc en apprendre beaucoup plus long à bref délai. Voilà qui paraît renforcer, en tout cas, la thèse d'une histoire de l'Egypte beaucoup plus ancienne qu'on ne l'a enseigné jusqu'ici. L'expplication d'une "chronologie longue", liant l'Egypte à plusieurs cycles de Sirius, chacun de 13000 ans, serait exacte.

    II y aurait eu une pré-Égypte. N'était-ce pas l'Atlantide? On est tenté, bien sûr, par ce rapprochement (A propos d'une "Atlantide méditerranéenne", on peut consulter le chapitre "La grande guerre entre les Atlantes et les Lybiens" de mon livre: Les Nouvelles énigmes de l'archéologie, paru aux Editions Retz.).

    Si de telles hypothèses se vérifiaient bon nombre d'énigmes se trouveraient résolues du même coup. Si les Egyptiens ont su se déplacer par la voie des airs, ils ont pu atteindre l'Amérique et même l'Australie. II ne faudrait plus s'étonner de trouver certaines inscriptions hiéroglyphiques sur ces deux continents.

    Fin de citation

     Article mis en page le 28/08/06 et revu le 02/10/06, puis le 06/10/06, puis le 16/07/07, puis le 23/06/08.

IDYLLE Fred

fred.idylle@orange.fr

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