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Quand, la Chaine ARTE, zappe formellement les trouvailles d'ARTivision, concernant ses découvertes sur la Lune, et les déclarations hors-normes du célèbre Amiral Byrd.

      Cet article est la suite directe de la page :

http://www.artivision.fr/Quand-ARTE-zappe-formellement-les-trouvailles-d-ARTivision3.html

Quatrième volet : Quand le site ARTivision, en remet une couche, concernant les phénomènes polaires de l'hémisphère boréal.

      Analysons alors, ce 3 Avril 2019, point par point, les diverses questions, que nous posait dès 1906, William Reed dans son ouvrage tel que :




      Dans l'ouvrage incontournable de 1974 de Brinsley le Poer Trench : "Secret of the Ages" :

  

, qui cite souvent Reed , on peut lire ceci :


       Notre modeste traduction pourrait être alors :

       "Cela conduit à notre prochaine question.


       Quelles sont les causes de la neige colorée dans la région de l'Arctique ?

      Nous avons déjà discuté de la neige noire , causée par des nuages de poussière. Mais il y a aussi l'étrange phénomène de la neige rouge, rose, vert, bleu et jaune ! Cette neige de couleur a également été analysée, et on a trouvé qu'elle contient de la matière végétale, censée venir de la fleur ou du pollen d'une plante.

      Aucune plante de la sorte n'est connue sur la surface de la Terre (Reed nous dit l'intérieur de la Terre est le seul endroit, qui peut nous fournir une réponse à la question. Comme les couleurs tombent à différentes périodes, il est juste de présumer que la fleur mûrit au moment de ces saisons ....

      Kane, dans son premier volume, à la page 44, dit: «Nous avons passé la` Crimson Cliffs de Sir John Ross dans la matinée du 5 Août. Les trainées of neige pouge, d'où elles tirent leur nom, peuvent être vus clairement à la distance de dix miles de la côte. Il avait une belle, profonde de teinte rose, pas du tout comme la tache brune que j'avais remarqué quand je fus à cet endroit plus tôt. Les gorges et les ravins où la neige s'était déposée étaient profondément colorés par elle, je n'ai aucune difficulté actuellement à justifier, la nomenclature peu poétique que Sir John Franklin a donnée, à cette localité, car si la surface enneigée a été plus diffusée, il ne fait aucun doute tôt dans la saison, que le pourpre était la couleur dominante ".
(3 : Reed William :The Phantom of the Pole, rechearch Edition page 210. Voir aussi de E.K.. Kane : Arctique Exploration in Search of Sir John Franklin 1853-55 J.B. Lippincot & Company Philadelphia 1856)

      Une fleur qui produit du pollen à profusion, doit avoir besoin des milliers d'hectares pour se dévélopper.

      Si, comme déjà indiqué, aucune de ces fleurs ne poussent sur Terre, alors le pollen doit surgir au travers de l'entrée polaire vers l'intérieur. Cela ne peut pas se produire à moins que la Terre soit creuse et l'air chaud qui monte de l'intérieur a distribué ce pollen sur la région arctique colorée "


      Fin de citation.


      Mais, (en reportant le 10e à une autre fois), voyons maintenant, le 11e point, relevé par Reed :

    Au chapitre IX, et à la page 114, on trouve en effet ceci :



    suivi de la gravure que Reed nous présente au sujet de ces rochers découverts sur les icebergs:



     Que, nous pourrions traduire grosso modo
:

Quand on trouve des rochers sur et dans la glace.


" Les explorateurs de l'Arctique, se sont longtemps demandés pourquoi des rochers, des graviers et du sable, sont souvent présents au dessus ou encastrés dans des icebergs et sur la banquise.

     De nombreux écrivains, proclament que des rochers sont chariés par les glaciers,et s'y retrouvent en incrustation, et cela jusqu'à ce qu'un iceberg parte à la dérive et puisse rencontrer un autre, pour alors fusionner."

     Reed refuse cette explication simpliste des écrivains.


      Divers explorateurs ont fait état en effet de la présence de nombreuses roches et de blocs de pierres, trouvés encastrés dans les icebergs. Ces blocs de pierres auraient été, soit projetés là, par un volcan en éruption, soit charriés par les fleuves de l'intérieur.

       Allez, voici encore un petit plus pour la route, qui se trouve dans le livre remarquable, de J.-R. BELLOT, de 1866, que nous possédons dans une édition de 2007, et que nous avons déjà présenté au volet 3, et intitulé :"Journal d'un voyage aux Mers Polaires" , où en pages 27 et 28, on découvre aussi, la mention d'un iceberg d'une couleur tout à fait hors normes :

  



      Tout cela représente des faits 
clairs et  nets, que les chercheurs sérieux, doivent absolument mettre en exergue, et faits qui ont été malheureusement occultés par les médias, qui ont pignon sur rue, et dont la mission est justement de nous informer sur les bizarreries de notre environnement.


     Mais faisons justement, un court résumé de quelques-uns, de ces mystères polaires, grâce au livre de notre ami Christiama Nimosus, que nous avons eu le privilège de rencontrer à Paris, lors de notre dernière visite :

  

    Et en pages 45 et 46, on trouve à titre seulement indicatif :

  

        Mais, justement ce 5 avril 2019, analysons de plus près, ce que nous dit plus haut, l'ami Christiama Nimosus tel que :



      Nous allons donc ici ce jour, faire état de l'incontournable Vérité concernant les icebergs, jamais discutée dans la médiasphère, et pour cause, car les scientifiques, n'ont pas, la moindre explication, à nous fournir à ce sujet.

       C'est donc aussi le moment d'exposer ce qui suit, venant de la revue Le Point, placée, il fut un temps, à :

http://www.lepoint.fr/science/les-icebergs-une-menace-eternelle-11-04-2012-1450320_25.

    On y voit alors d'abord ceci :


    Puis cela de très important :



     Ah...ah, tout de même, il y a des icebergs qui se détachent du Pôle Nord, et qui diffèrent de ceux venant du Groenland.

      Plus significative, est cette vue, tirée, il fut un temps, du site :

http://www.echosciences-grenoble.fr/agenda/sombre-avenir-pour-la-banquise


     En effet, on y voit un énorme iceberg, dont on a du mal à expliquer la présence, car en effet, ce ne sont pas les maigres précipications du coin, qui pourraient engendrer de tels monstres, et il n'y a pas à l'intérieur de la banquise nord, de continent solide, ( comme par exemple le Groenland ), d'où pourraient se détacher ces surprenants icebergs.

       Mais c'est " Le Livre Jaune n°6 " (début 2000) publié par les Editions Félix :(leseditionsfelix.com), qui va nous en dire un peu plus, et ouvrage, qui a mis très mal à l'aise, de très nombreux bien-pensants :



     Voici alors, ce que l'on trouve en page 246 de ce livre :

     " Mais qui peut dire d'où viennent les icebergs ? Ils ne viennent pas de la mer, car l'eau de mer est salée, et les icebergs ne contiennent que de l'eau douce, sans exception. La pluie ? "Comment cinq centimètres de précipitation annuelle, peuvent-ils créer de tels monstres de glace, comme nous les trouvons dans l'océan Arctique ?", se demande le chercheur Bernacchi, qui a exploré le pôle Sud avec Borchgrevink, de 1898 à 1900. Il n'y a pas de réponse rationnelle à cette question. Il a vu un iceberg de 80 kilomètres de large sur 650 kilomètres (!) de long, un iceberg qui va de Paris à Toulouse, qui s'est formé à la suite de cinq centimètres de précipitations annuelles ? Si on part du fait qu'il existe bien un pôle Nord et qu'il est recouvert de glace, comme tout le monde semble le supposer, d'innombrables explorateurs ont dû être pris d'hallucinations à partir de 80° de latitude nord. Ou alors, ils étaient en pleine possession de leurs moyens, et la théorie du pôle couvert de glace ne tient plus.... "

     Mais peut-être est-il utile de présenter aussi ici, la position officielle, en la matière, de ce passage extrait de notre article :

http://www.artivision.fr/articleLepotierde1952.html

    Disons pour les puristes, qui aiment remonter aux sources d'une information, que cet article est tiré du n° 422 de Nov. 1952 de "Science et Vie" que nous avons la grande chance de possèder :


Voici de quoi il s'agit :

     " Le floe, avons nous vu, est un morceau plus ou moins grand de la surface gelée de la mer. L'iceberg, au contraire, c'est un morceau de glacier terrestre qui, a glissé dans la mer. Il est donc constitué par une accumulation séculaire de neige.



( Note numérotée du Webmaster: Cette affaire d'icebergs en ballade, nous préoccupe depuis des lustres. En principe on dit que ces icebergs de l'Arctique viennent en majeure partie de l'immense glacier du Groenland .

    Mais voyons déjà, comment on parle de tout cela sur le Web...

Sur le site:
on apprend, que :

    Les icebergs sont relativement pérennes et leurs flancs peuvent facilement déchirer les tôles minces qui constituent les coques des navires. En conséquence, ils présentent un réel danger pour la navigation. Le naufrage le plus célèbre dû à une collision avec un iceberg est probablement le Naufrage du Titanic le 14 Avril 1912 voir notre article Titanic .html.

    Au cours du XXe siècle, plusieurs organisations furent créées pour l'étude et la surveillance des icebergs. Actuellement, l'International Ice Patrol contrôle et publie leur déplacement dans l'océan Atlantique nord.
    Les icebergs provenant de l'Antarctique sont suivis par le National Ice Center. Ceux qui mesurent plus de 10 milles marins (18,52 kilomètres) de longueur (plus grand axe) sont désignés par un nom composé d'une lettre indiquant le quadrant d'origine, suivie par un nombre, incrémenté pour chaque nouvel iceberg. La première lettre signifie que l'iceberg est issu :



    Ensuite, il fut un temps, sur le site :


"Avant que certains icebergs ne se dégradent complètement , ils peuvent parcourir des milliers de kilomètres. Originaire d'environ 75° de latitude nord dans la baie de Baffin, un iceberg peut parcourir jusqu'à 4000 km au sud à environ 40° de latitude nord (800 km au sud de Saint-Jean). Les Observations très rares dans les Bermudes et l'Irlande ont eu lieu bien au-delà de cette limite normale.

    Les icebergs résultent généralement de la fragmentation d'une masse de glace débouchant sur la mer (front de glacier, glace de barrière...). Cette fragmentation, appelée "vêlage", produit une masse de glace flottante pouvant alors dériver vers le large.

Très souvent, en raison de la taille de leur partie immergée, les icebergs s'échouent temporairement sur le fond qu'ils peuvent racler en y laissant leur empreinte, puis reprennent leur errance, parfois quelques années plus tard.

    Certains icebergs présentent des zébrures de teinte foncée correspondant à une formation géologique : ce sont de très anciens bancs de cendre volcanique ou des inclusions de moraines...Parfois, les icebergs présentent des zones de colorations rouges, orangées ou vertes qui sont dues à la présence de différentes sortes d'algues, les diatomées (Bacillariophyta)
".

    Mais aussi, il fut un temps, sur le site:


, on découvrait ceci :

    " Dans l'océan Arctique, les sources plus haute latitude des icebergs sont l'Archipel du Svalbard au nord de la Norvège et les îles de l'Arctique russe. La production des icebergs provenant de ces sources n'est pas grand-estimée 6.28 km cube (1,5 miles cubes) par an sur un total de 250 à 470 km cubes (60-110 miles cubes) pour toute la région arctique. On estime que 26 pour cent provient de Svalbard, 36 pour cent provient de la Terre Franz Josef, 32 pour cent est ajoutée par la Nouvelle-Zemble, environ 6 pour cent commence à Severnaya Zemlya, et de 0,3 pour cent proviennent de l'île Ouchakov. De nombreux icebergs provenant de ces sources pour entrer directement dans la mer de Barents peu profondes ou des mers de Kara, où ils échoué. Sentiers en boucle de banquise fragmentée sont laissés comme des icebergs aller au-delà des obstacles"

et , il fut un temps, sur le site :


    On découvrait le morcellement d'un bord de ce glacier.

  


    Ces images ont été réalisées, nous dit-on , grâce au radar Asar (Advanced Synthetic Aperture Radar), embarqué à bord du satellite Envisat.

    Hélas malgré le perfectionnement des satellites nous n'avons pas beaucoup vu de photos semblables pour les milliers d'icebergs qui circulent dans le bassin arctique:


    Fin de citation :

      Mais allons plus loin, et parlons un peu aussi de l'explorateur d'Adolphus W. Greely, qui avoue, de manière très surprenante, pour ne pas choquer ses lecteurs, devoir cacher certaines choses...

      C'est en effet, le 13 Avril 2007, que nous avons eu le plaisir de recevoir par la poste l'ouvrage de 580 pages, d'Adolphus W. Greely, édité en 1889, par la Librairie Hachette, mais paru dès 1886 à New York chez Charles Scribner's Sons, sous le titre "Three Years of Arctic Service" :


     En effet, déjà dans la préface de l'auteur, nous découvrons d'abord les propos suivants :

    " Depuis, la transmission au Département de la guerre de mes Rapports officiels, je n'ai épargné ni ma santé, ni mes forces pour préparer un livre qu'on me demandait de toutes parts : le ministre a bien voulu me permettre d'y reproduire les cartes, les dessins et les fragments de mon journal officiel.

    La plus grande partie de ce volume est basée toutefois sur mes notes personnelles :j'ai fait aussi de larges emprumts aux carnets très complets du lieutenant Lockwood et du sergent Brainard, les seuls, du reste, en outre du mien, qui aient été tenus quotodiennement pendant notre retraite vers le sud et le séjour à Camp Clay.

     De crainte que mes récits des merveilles de ces régions éloignées ne fussent taxés d'exagérations enthousiastes, je n'ai point osé reproduire la plupart des lignes écrites sous l'impression de phénomènes qu'on accuse si souvent les voyageurs de peindre de couleurs trop vives.....
"


     Vous avez bien noté, nous l'espèrons, que l'auteur nous explique qu'il a pris un soin tout particulier, à minimiser ( et nous le regrettons vivement ), l'impact de certains phénomènes bizarrement décrits par d'autres explorateurs, et survenus dans la zone polaire en question.

    Voilà une chose qui ne manque pas de nous interpeller au départ, car c'est justement ces phénomènes "embarrassants", qui font l'objet de toute l'attention du site ARTivision. Pourrait-il s'agir, par exemple, d'aurores boréales exceptionnelles, d'oiseaux qui disparaissent pendant l'hiver, de vestiges de Mammouths dans le permafrost, de bois flottant sur la Mer Arctique dont la provenance est inexplicable..etc..?

    C'est donc en ayant en tête, toujours d'une manière sous-jacente, ces interrogations que nous allons pénétrer plus avant dans ces relations d'événements polaires décrits dans l'ouvrage cité plus haut et dans d'autres ouvrages dont on parlera plus tard.

     Mais quittons ce bref historique de Greely, où il nous parle encore des exploits de Bessels, de Bryan, Chester, Tyson, Budington, Nares, Stephenson , Aldrich, etc., et passons au texte même du livre de ce Greely, où l'on peut lire en pages 33 et 34, une description surprenante d'icebergs, telle que :

    " ...La station elle-même est située sur un îlot de syénite, maigrement revêtu de sol et de gazon. Le point culminant en atteint à peine 30 mètres : pendant cette belle journée de juillet, (1882), les isbergues éparses sur le port étaient encore si nobreuses, que de là-haut nous en comptâmes plus de cent. Leurs énormes masses, dont l'éclatante blancheur tranche admirablement sur les teintes glauques de la mer, avaient souvent occupé, nos regards et nos pensées. Ces voyageuses aux ailes de neige ne sont général que des messagères de paix; mais, la veille nême, comme le navire entrait dans le port, la vaguelette soulevée par notre passage vint frapper paresseusement une superbe montagne de glace toute fouillée, toute sculptée en arches majestueuses, en tourelles rénelées, en colonnades grandioses, d'où jaillissaient des cascatelles. Cette si légère impulsion suffit pour détruire l'équilibre de l'isbergue; en quelques secondes le merveilleux édifice s'écroulait : la mer blanchissait d'écume sous la chute de myriades de débris; de tous côtés des vagues colossales la creusaient de leurs sillons. Nous tressaillions d'effroi au bruit formidable des détonations successives, tant la puissance irrésistible de cette fille des glaciers frappait de surprise les moins impressionnables d'entre nous. "

     Voici deux photos d'icebergs de l'ouvrage :

 

    On découvre d'emblée alors, le fait qu'à l'époque, en 1889, le traducteur considérait l'iceberg du genre féminin (et qu'il l'écrivait isbergue).

    D'autre part, on peut se demander si Greely qui, chose surprenante, considérait ces icebergs comme des "messagers de paix", et qui en admirait leurs énormes masses, et leur l'éclatante blancheur, savait qu'ils étaient faits d'eau douce. ? Aux historiens de répondre à cette épineuse question....

    D'ailleurs Greely, prétend aussi, comme beaucoup d'autres chercheurs actuellement, que ces icebergs sont "des filles de glaciers", alors que l'on a très peu de rapports photographiques montrant des icebergs se séparant de leurs masses glacières d'origine.

          Il nous appartient maintenant d'examiner ici, le très remarquable fascicule, de la revue de la revue "Sciences et Avenir"142 Hors série d'Avril-Mai 2005 :


    Tout ce qui précède dans les autres volets de cet article, concernant Titan, et en passant rapidement Mars, constitue selon nous bien sûr, un fait bien cadré dans le domaine scientifique, et qui pourtant ne figure pas dans les dix faits sélectionnés par la revue en question, et par exemple, près de 4 mois après, rien ne vient nous éclairer sur cette image, pourtant surprenante, de Titan :

Photo publiée par la NASA le 17 Déc. 2004

     Notons cependant que dans ce remarquable numéro spécial, de Sciences et Avenir, il y a en 7e position, un super article, où Mme Marie Noelle Houssais fait état d'une théorie prétenduement bien structurée, expliquant que "la dérive de la glace polaire", mise en évidence par Fridtjof Nansen en 1896, après une dérive de son navire le Fram durant 35 mois sur la banquise, est due, d'une part, au vent qui souffle dans le coin, et d'autre part à la force de Coriolis, bien connue et, nous dit-on, expliquée scientifiquement.

  

     Et pour les fortiches en Science, voici quelques éléments de cette théorie concernant la "force de Coriolis"

 


, et en couleurs, on découvre ceci :



     Tout cela serait super, si les chercheurs hors normes, Williams REED, et Marschall B.Gardner (voir le titre et la photo de leur ouvrage plus haut), eux, ne nous disaient pas (il y a plus de 100 ans pour Reed), que l' énorme dérive de la banquise ne peut venir que de puissants fleuves sous-marins issus de l'intérieur de la Terre, et de plus, ces fleuves sont à l'origine de la création des icebergs, quand ils gêlent à la sortie des "ouvertures polaires", où régne un froid terrible...

        Mais chacun sait que le site ARTivision reste très pragmatique dans ses recherches, et il aime explorer, des pistes tangibles et vérifiables si possible, et, c'est donc pour cela en plus, que si l'on constate que ces icebergs, sont uniquement faits d'eau douce, il est donc déjà, de la plus haute importance, que tout chercheur intéressé par cette théorie, puisse avoir sous la main une étude officielle, démontrant que les icebergs sont bien constitués uniquement d'eau douce , comme nous l'affirme en 1866 le sieur français J-R Bellot dans son ouvrage déjà présenté plus haut :

  

     Dans notre ouvrage, en page 23, on découvre ce texte :

  

     On voit donc ici que, dès 185I au moins (date du voyage en question), l'enseigne de vaisseau français J-R Bellot, savait parfaitement que les icebergs étaient fait d'eau douce ( Malheureusement il ne dit pas comment il l'a su, et comme on le voit, chaque petit détail a son importance dans cette affaire, car en effet, par exemple s'il avait cité un ouvrage ou un rapport scientifique où il avait découvert cela, le site ARTivision aurait tout fait, même par vents et marées, pour retrouver le document en question ).

     Mais, on voit aussi que, ce Mr Bellot, croit comme beaucoup de bien-pensants actuels, que ces icebergs ne sont que des morceaux de glace, détachés au hasard, des glaciers de l'Arctique.

     Il nous semble alors judicieux ( même s'il s'agit de l'autre pôle), de reprendre ici, pour le novice, le paragraphe XXVI , de notre article clef de cette affaire : Byrd.html :

     Début de citation :

" XXVI Un certain plus concernant la formation des icebergs en date du 18/10/07.


     Le Samedi 6 0ctobre 2007, nous avons eu le privilège de visualiser sur le Canal Sat, un volet de la Chaîne Voyage, consacré à l'Antarctique tel que :


     Après nous avoir présenté l'immense continent Antarctique, la narratrice d'une voix suave, nous explique que " Cette masse glacière de la taille d'un continent qui a persisté une éternité se fragmente désormais et se disperse en l'espace d'un instant. Le facteur d'évolution qui la retenait était la protection de la glace. Actuellement même les sections les plus larges se libèrent de la longue étreinte du pôle et ne font qu'accélérer leur fin. "

  


     C'est ainsi que l'on découvre des pans entiers de falaises de la calotte glacière qui s'effondrent dans l'océan en faisant des vagues gigantesques :

  


     Mais concernant "ces structures de glaces" qui plongent dans l'océan, la narratrice poursuit ainsi son commentaire : "...elles peuvent mesurer 175 km de long et 100 km de large, une fois détachées, peu d'entre elles dureront plus d'une dizaine d'années. Alors que d'immenses fleuves, abreuvent les autres continents, l'Antarctique se déverse dans la mer pour former une mosaïque d'icebergs ".

  
Noter bien qu'il ne s'agit pas d'une photo, mais d'un schéma en animation

  
Noter à droite, l'iceberg à la dérive, et le chemin parcouru, par ce dernier.


     Puis alors la narratrice poursuit ainsi son commentaire : "...Près de 5000 icebergs naissent chaque été soit 6 fois plus qu'en Arctique, soit 640 km3 de glace lancés à la mer autour du continent. Des millions de tonnes de cubes de glaces s'accummulent à la surface de l'océan. ".

  


     Et nous terminons par ceci : "Mais ce n'est rien en comparaison avec leur masse immergée qui peut atteindre 450 m de profondeur. Les neuf dixièmes de l'iceberg sont immergés, et c'est en dessous que leurs répercussions sont plus spectaculaires ".

  


     Ainsi donc, même avec nos satellites puissants, ou avec Google , cette émission a été incapable de nous montrer la photo d'un seul des 5000 icebergs, entrain de se détacher du continent. Seul un dessin animé a pu servir à nous montrer cela.

       Noter cependant que la narratrice, a tout de même évoqué, ( peut-être inconsciemment), "les immenses fleuves" des autres continents, en ignorant bien sur, ceux qui sortent par le trou polaire sud... Encore une, qui a loupé le coche, n'est ce pas !!! ".

      Fin de citation.

      Mais, ce 07 Avril 2019, Il nous appartient de reprendre cette autre affaire incroyable (que avons déjà exposée amplement dans de nombreux autres articles), que dès 1926, Byrd avait survolé le Pôle NORD, et, on le verra bien, cette affaire vaut son pesant d'or. car elle va nous permettre d'éclaicir, tant soit peu, pas mal d'interrogations concernant les expéditions de Byrd restées en suspens.

      Pour commencer, présentons cette importante digression concertant l'extraordinaire article de Monsieur Jean Brun, tiré de l'hebdomadaire Nostra, n° 425 de la semaine du 29 Mai au 4 Juin 1980, dont voici pour les puristes, la couverture importante :


      Et voici, le début de l'article, en page 15 :

     Selon cet article l' amiral Byrd, aurait vécu une aventure tout à fait exceptionnelle dans les glaces du Pôle Nord :

    Début de la digression :

    L'amiral Richard Evelyn BYRD, fut, Grand Chancelier de l'Ordre de la Fayette et de la Croix du Mérite, secrétaire perpétuel de l'Académie Fédérale de la Marine et des Sciences.

        Voici donc quelques lignes de cet article:

    "Byrd, accompagné d'un capitaine de vaisseau et de deux quartiers-maîtres, marchaient depuis des heures sur la banquise, escaladant les moutonnements chaotiques des glaces éternelles, dévalant de dangereux à-pics plus périlleux qu'un rocher vertical. Et soudain, du haut de la falaise blanche où l'expédition était parvenue au prix de mille dangers, ils découvrirent un spectacle inoubliable. Sous leurs yeux médusés s'étendait une longue vallée étroite et profonde couverte d'une végétation luxuriante et apparemment baignée d'un chaud soleil permanent. une véritable oasis de vie au milieu du grand désert de glace.
    D'un geste machinal, Richard Byrd consulta son thermomètre: - 58°! Son adjoint, le capitaine Fitin, nota sur le journal de marche:" Le 14 Juin 1926 à 74 m d'altitude à 12h 08 ". Les Quatre hommes se mirent à dérouler les échelles de corde pour rejoindre la merveilleuse prairie qui s'étendait à une centaine de mètres en contrebas au pied de la muraille de glace au sommet de laquelle ils se trouvaient.
    Après une longue heure de descente, ils avaient changé de monde : une plaine où régnait une végétation prolifique et presque paradisiaque s'étalait devant eux. La chaleur douce et pénétrante (le thermomètre indiquait 19°8) les obligea à quitter leurs équipement d'explorateurs polaires. Sous leurs pieds, ils foulaient une herbe drue et grasse. A perte de vue, en croyant à peine leurs yeux , Byrd et ses compagnons apercevaient des petits ruisseaux coupant les herbages naturels, des lacs, des collines boisées. A 1500 m environ, ils virent une tache brune qui se déplaçait lentement. Jumelles braquées, Richard Byrd observa un animal massif au pelage brun qui entra dans un fourré. Un animal qui ressemblait étrangement à un mammouth.
    Hélas! il fallait borner là, l'exploration de ce jour. La fatigue de chacun, le manque de vivres, l'épuisement des accumulateurs de radios faisaient un devoir au chef du détachement d'ordonner sans perdre un instant le retour au campement de base.
    Après avoir repris quelques forces et renouvelé leurs équipements, Byrd et ses compagnons prirent (à nouveau) la route pour tenter de retrouver ce qu'ils appelaient entre eux le "paradis perdu". Malheureusement, il leur fut impossible de retrouver la vallée. Située pratiquement à quelques kilomètres du pôle géographique, il avait été impossible au capitaine Fitin d'en effectuer le relevé des coordonnées topographiques. Sous leurs yeux médusés s'étendait une longue vallée étroite et profonde couverte d'une végétation luxuriante et apparemment baignée d'un chaud soleil permanent, une véritable oasis de vie au milieu du grand désert de glace.
    Fin de citation.


     Notons, qu'avec grand regret, nous n'avons pas trouvé les sources importantes relatives à cet extraordinaire récit de Mr Jean Brun, et nous ne pensons pas qu'il puisse s'agir du philosophe Jean Brun (1919-1994), qui fut professeur à l'Université de Dijon de 1961 à 1986. Nous implorons donc, avec la plus grande déférence, tout internaute qui connaîtrait ce Monsieur (s'il est encore vivant), de lui demander la nature des documents, où il a puisé, les éléments étranges de ce qui précède. Il y va de notre plus grande compréhension de la géographie de notre Terre, et, vous allez vous en rendre compte plus bas, il y va même aussi, de notre meilleure appréciation du contexte de notre système solaire. Merci d'avance...

     En effet, disons aussi ce jour, que le texte du Nostra n°425 de la semaine du 29 Mai au 4 Juin 1980, présenté ci-dessus sous la signature de l'énigmatique Monsieur Jean Brun, (qui pour une raison sans doute ultra secrète, n'a pas cité ses sources), n'était en fin de compte, qu'un court condensé, paru vers le 6 Avril 1972, d'un autre article bizarrement non signé, et paru dans la revue Nostradamus (ancêtre de Nostra)


     Fin de la digression.

     Mais, on aurait vite oublié, toute cette scabreuse affaire si, une vraie rebelotte, n'avait pas eu lieu, en 1929, au Pôle Sud...

    Rappelons aussi, (et nous l'avons déja exposé amplement dans d'autres articles), qu'effectivement en 1929, Byrd avait aussi survolé le Pôle Sud :

  


et, il avait alors aussi, participé à une incroyable émission de radio (disparue de la circulation), dont l'extraordinaire reportage, fut présenté aux pages 164 et 165 par l'écrivain célèbre Charles Berlitz. dans son ouvrage "Sans Trace" publié chez Flammarion en 1978 :

  

      Mais voyons quelque lignes préliminaires de ce récit incroyable:

      " Une curieuse légende, s'est instaurée à la suite du survol du pôle sud par l'amiral Richard E. Byrd en 1929. Elle a trait à un rapport radio qu'aurait lancé l'amiral Richard E. Byrd depuis son avion - rapport tellement incroyable qu'on préféra le taire officiellement - sur l'observation à laquelle il se serait livré dans les parages du pôle. Au cours de son vol, qui simultanément faisait l'objet d'un reportage radio, il émergea soudain d'un banc de brume et se retrouva en train de survoler une terre sans glace où il fut à même de distinguer de la végétation, des lacs, des animaux ressemblant à des mammouths ou à d'énormes buffles ainsi que des humains qui semblaient les garder...D'après certains chercheurs, spécialisés dans les domaines de la zoologie et de l'exploration. qui s'efforcèrent d'élucider ce rapport, la transmission fut interrompue et les parties de ce reportage qui avaient trait à ce phénomène insolite furent par la suite supprimées. (voir la suite à notre article : LegendesRespect-suite) .

      Mais, il y a aussi ce super article (déjà présenté au volet 2 ) de Monsieur Pascal Cazottes, tiré du Nexus 21 de Juin-Juillet 2002 qui est, (au cas où, un puriste le verrait, dans un vide-grenier quelconque) tel que :



     Voyons d'abord ce texte préliminaire :


     Et au bas du texte, on découvre plus clairement :


    Les phrases en rouge, sont assez claires et significatives, pour que nous n'ayons pas besoin d'en dire plus, n'est-ce pas ? On reste cependant bouche bée, en découvrant que c'est le génial mathématicien suisse Euler ( 1707-1783), (toute information à son sujet concernant un texte, où il affirme cette affaire de Terre creuse, serait la bienvenue), qui semble être le premier ( il y eu d'autres thèses bien moins superbes), à avoir conçu que la Terre pouvait, être creuse avec surtout, un soleil central, tel que le découvrirent ( voir notre article à : SmokyGod.html ), les norvégiens Olaf Jansen et son père, partis en voyage de découverte en 1829, en direction du Pôle Nord.

    Selon nous, ce mathématicien prodigieux, a dû recevoir en temps utile, une inspiration bien calibrée, pour nous produire une si remarquable thèse, qui n'est toujours pas admise dans nos universités, et thèse, qui remet en question toute notre connaissance de la géographie et de la géodynamique de notre planète Terre, et même la connaissance intime de notre système solaire.

    Si nous parlons ici de cette audacieuse hypothèse, d'une inspiration, venue d'ailleurs pour le prodige Euler (et pour bien d'autres écrivains comme Jules Verne), c'est, on le sait bien, parce que le site ARTivision, ne croit pas du tout, au banal Hasard, soumis à une simple fonction aléatoire, des rationalistes endurcis.

      Mais, poursuivons la découverte de ce super article, où il y a surtout le passage suivant en page 31, dont hélas l'auteur ne donne pas les sources...(Merci donc mille fois à l'internaute béni, qui pourrait nous dire, d'où est tiré ce texte inouï).


     " ...Mais cette découverte n'est rien comparée à celle que fit Byrd, le 14 juin 1947...

     Naturellement, Byrd et ses hommes n'hésitèrent pas un seul instant lorsqu'il s'est agi de prendre la décision d'atterrir. Une fois posés au sol, ils virent une masse sombre se déplacer à quelques 1500 mètres d'eux. Après avoir saisi ses jumelles, Richard Byrd put distinguer nettement un animal s'enfonçant dans un fourré, et identifia la bête en question comme étant semblable à un... mammouth ! Cependant, les compagnons durent renoncer à aller plus avant, car s'enfoncer dans ce lieu inconnu, sans aucune préparation préalable, aurait relevé de la plus folle témérité. Aussi, est-ce la mort dans l'âme que Byrd et ses hommes remontèrent dans l'avion afin de rejoindre le camp de base. Dés leur retour, ils ne manquèrent pas, bien entendu, d'informer leurs camarades restés sur place de leur fabuleuse découverte, et il fut décidé qu'une expédition plus conséquente s'en irait, dès le lendemain, explorer cette vallée des merveilles. Malheureusement, l'équipée ne réussit pas à retrouver ce lieu unique dont l'emplacement avait pourtant été localisé dans le secteur du pôle géographique. Dans l'hypothèse où cette histoire est vraie, il peut être envisagé que Byrd et ses hommes aient pénétré à l'intérieur de notre terre, sans même s'en apercevoir, en passant par une espèce de sas dont la porte aurait été ouverte au moment propice. Ce qui expliquerait, d'autre part, pourquoi le chemin ne put être retrouvé la fois suivante. Mais tout ceci n'est encore que spéculation gratuite.
"

     Fin de citation.


     En fin de compte, cette vallée des merveilles, était devenue introuvable, et inaccessible...


     Mais présentons maintenant, certains textes officiels, parlant de ces mammouths trouvés congelés, par ci par là, et dont certains avaient encore, de l'herbe dans la gueule :

    Voici ce que nous lisons par exemple, dans la revue le Point n° 1148 du 17 Septembre 1994 :



    Vous avez noté, nous l'esperons, l'expression :" émergent de temps à autre du permafrost de la steppe aussi "vivant" que pourrait l'être un éléphant contemporain conservé dans un congélateur." - Pas mal n'est-ce pas comme allusion ?

      Nous avons eu la chance de découvrir sur Google l'url d'un site qui diffuse de nombreuses images :


    Mais c'est l'image n° 21 qui a retenu particulièrement notre attention. Cette image extraordinaire est très probablement un montage, mais c'est très bien fait :


     On y voit, un mammouth encastré dans un glacier et ayant une patte qui émerge du bloc de glace.

     Voici aussi une autre vue d'artiste, tirée du livre "A Journey to the Earth's Interior" de Marshall B. Gardner page 222 bis :


     De toute façon, ces images trafiquées sans doute, ne sont pour nous qu'un prétexte pour faire pénétrer plus avant dans les tenants et les aboutissants d'une histoire absolument fantastique, qui est reliée, nous le pensons fermement, à l'affaire du trou polaire nord vue plus haut.

     Mais voyons de plus près quoi il s'agit :

     Tout est parti de l'ouvrage d' Immanuel Velikovsky, intitulé : " Mondes en collision" publié chez Stock en 1976 , (mais paru aux USA chez Mac Milan Company New York dès 1950) :


     On sait que les théories d'Immanuel Velikovsky qui ont trait à des bouleversements planétaires, ont été sévèrement combattues, par les Universités qui enseignaient que la Terre s'était formé progressivement sans cassure brutale, donc sans catastrophisme. Et maintenant, on pense parfaitement que les dinosaures auraient été exterminés à la suite de la chute sur Terre d'un météore géant. Donc on admet implicitement "les boulversements planétaires" préconisés par cet audacieux Velikovsky.

     Nous avons aussi l'ouvrage "Les grands bouleversements terrestres" du même auteur, également publié chez Stock en 1982 et dernièrement la revue ésotérique "Le monde de l'inconnu", lui a rendu un hommage très mérité sur de nombreuses pages... dans son n° 305 :


     Mais, découvrons alors, ce que nous avons souligné en rouge en pages 22 et 23 de "Mondes en collision" :


     Mais il y a mieux : En page en page 24 du même livre, nous lisons :

      " Dans leur estomac et entre les dents on a découvert de l'herbe et des feuilles non encore digérées. Preuve nouvelle de leur mort brutale. Des recherches ultérieures ont démontré que les brindilles et les feuilles trouvées dans leur estomac n'appartiennent pas à des plantes qui poussent dans les régions où moururent les animaux, mais beaucoup plus au sud , à plus de 1 500 km de là ."

     Il semblerait d'après  Velikovsky que les étranges informations que nous avons soulignées en rouge dans son texte, auraient été tirées des observations d'un certain  D.-F Hertz dans B. Digby, dans son ouvrage The mammoth (1926), page 9.

     Nous demandons alors à tout internaute possédant ce livre ou un autre, parlant de brins herbes découverts dans la gueule de mammouths congelés, d'avoir l'extrême amabilité de nous en toucher deux petits mots. Merci mille fois d'avance.

     Mais il est peut être utile de n'avoir pas qu'un son de cloche dans cette affaire de Mammouth congelé, et pour ceux qui n'ont pas encore lu notre article sur l'amiral Byrd , donnons ici quelques paragraphes du livre de Peter Kolosimo, publié chez A. Michel en Mai 1970 , et intitulé : " Terre énigmatique" :

  

     Cet auteur Peter Kolosimo, né en 1922, journaliste de vulgarisation scientifique et qui a côtoyé les savants Jacob Eugter, Hermann Oberth et Werner Von Braun ainsi que des savants soviétiques et qui a reçu l'important prix littéraire italien "le Premio Bancaracella" qui le fit connaître dans le monde entier après la traduction de ses ouvrages en 8 langues européennes.

      Peter Kolosimo, nous relate page 19, ceci :

     " Le mystère s' épaissit en 1901, quand on découvrit, au bord de la rivière Berescovka, une carcasse complète de mammouth. L'animal paraissait mort de froid en plein été. Le contenu de son estomac, était si bien conservé qu'il fut facile d'identifier les herbes qu'il avait absorbées: des boutons d'or, des haricots sauvages en pleine floraison, c'est-à-dire dans l'état où cette plante se trouve en fin Juillet ou début Août. La mort avait été subite: Dans la gueule de l'animal, il y avait encore des brins d'herbe et des fleurs. Sans aucun doute, il avait été surpris par une force prodigieuse, brusquement déchaînée qui l'avait transporté à des kilomètres de distance de son pâturage habituel. Une patte et le bassin fracturés, il était tombé à genoux et il était mort de froid... dans la saison la plus chaude de l'année. "

      C'est très curieux n'est ce pas?

      Dans un autre ouvrage publié également chez A. Michel en 1974 et intitulé "La Planète inconnue":

  

      Et on y découvre alors, ceci :

      "  Plus prudents furent les auteurs de la seconde découverte  en 1909 dans la vallée de Bérescova, toujours en Sibérie. Il y a quelques années , le corps d'un troisième mammouth non détérioré  revit le jour dans la toundra de la péninsule de Tamir, sur la côte de L'océan Glacial Arctique;  soumis à une autopsie, il révéla un détail qui excita l'imagination des journalistes et des écrivains. Dans l'estomac du gigantesque éléphant furent retrouvés intacts les restes de son dernier repas: de l'herbe et des fruits appartenant sans aucun doute à la flore d'une région très fertile. Cette constatation ne pouvait laisser la place qu'à une seule hypothèse : la mort des animaux devait avoir été brutale, déterminée par une catastrophe imprévisible: les Mammouths avaient certainement  été enveloppés, tout de suite  après leur mort , par un manteau de glace. Comment expliquer autrement leur extraordinaire conservation? "

     Ces hallucinantes narrations de  Peter Kolosimo semblent le plonger, comme tout un chacun d'ailleurs, dans la perplexité la plus totale, devant l'incroyable soudaineté du phénomène de congélation de l'animal, qui a dû surprendre bien des scientifiques et dont nous attendons toujours l'explication, autre que (ces informations de 1901 et 1909 sont-elles fiables?). De plus, nous constatons que malheureusement, l'auteur ne nous dit rien, sur la datation trouvée, pour les inflorescences recueillies dans la gueule de l'animal. Mais, et ce "mais" est d'une importance notoire, pensez-vous que cette datation aurait fait l'objet d'une déclaration à l'Académie des Sciences, si l'on avait trouvé que l'animal vivait à une époque très proche de nous et non pas du tout, il y a 20 000 ans, date supposée à laquelle vivaient ces mammouths ?

      Si l'on pouvait donc mettre la main sur les rapports des laboratoires qui ont fait les analyses, ( à condition que l'on ne les ait pas jetés à la poubelle), on pourrait peut-être tomber sur  un petit détail ou un commentaire ,  très significatif

      Mais, chacun sait aussi , en plus que l'on retrouve, de temps en temps, des mammouths congelés dans les terres glacées sibériennes, comme récemment le fameux Jarkov , découvert intact en 1997(posé de plus parait-il sur un tapis d'herbes) dans le permafrost de la toundra Sibérienne. (Nous attendons à ce sujet les rapports d'analyse)

     Le 30 Avril 2012, nous avons eu le privilège que regarder un remarquable documentaire sur la découverte plus récente en Sibérie d'un autre bébé mammouth qui, nous dit-on souvent dans ce documentaire, est d'une "stupéfiante conservation", bien qu'il soit vieux de 40 000 ans:



    Mais il y avait aussi bien avant, l'émission Thalassa intitulée   "Dans le sillage des Mammouths", et qui est passée le 20/10/01 en Métropole et reprise par la suite en Guadeloupe sur la Chaîne Tempo,qui n'existe plus.

    Nous reprenons ici, quelques propos tirés du documentaire (joint à cette émission) de Pierre Fauque, Bernard Buigues et Jean-Charles Deniau concernant l'extraction en 1999 du sol des glaces sibériennes du  mammouth cité plus haut nommé Jarkov et documentaire que nous avions eu la chance d'enregistrer auparavant sous le titre "Mammuthus"
 

    Commentaires du narrateur: "...La partie la plus délicate du travail commence . La fosse  est profonde de 6m. Alors il s'agit de tailler le permafrost à l'horizontal sous le mammouth. C'est à cet instant que Dick et Bernard font une vraie découverte. " Regarde ça, à certains endroits, il y a une drôle d'odeur . On dirait quelque chose d'organique. Si l'on s'approche, ça sent vraiment. C'est intéressant; ça a au moins 20 000 ans; incroyable, inimaginable, sous le mammouth, protégés par son corps au moment de sa mort, les plantes aquatiques sont intactes. Elles ont donc aussi plus de 20 000 ans." L'enthousiasme de Dick et Bernard est à son paroxysme . "C'est entrain de fondre et ça sent. Ouais l'odeur est  très très forte. C'est de la matière organique. - Regarde comment sont les restes - et la couleur sur celle là est très belle (Apparaît alors à l'écran une petite tige de plante d'une couleur éclatante verte ou jaune).- Tu peux voir le morceau coupé, il y a un trou dedans et c'est encore vert - Le plus magique pour moi, c'est la couleur;- elle est conservée d'une manière intacte.- Oui c'est très très spectaculaire - le froid et aussi l'argile favorisent une conservation extraordinaire des végétaux et du mammouth. Ce morceau est extrêmement riche, ce sont des végétaux qui proviennent d'un étant ou d'un petit lac - Cela va nous fournir de nouvelles informations sur la végétation aquatique à l'époque du mammouth."

fin de citation des commentaires du film  

     Notez bien  que dans le documentaire ci-dessus, l'on voit aussi un chercheur dégager du permafrost une énorme touffe de poils roux de l'animal, avec un simple sèche-cheveux. Comment peut-on encore après 20 000 ans, retrouver des poils aussi bien conservés qui ne s'effritent pas au toucher et dont la couleur et aussi l'odeur, n'ont même pas disparu ? Mais de plus, on fait état dans ce documentaire de la découverte de pousses de végétations encore vertes après 20 000 ans ? Et vous avez noté aussi, nous l'espérons, les termes dithyrambiques utilisés par le narrateur et aussi par les chercheurs: incroyable, inimaginable,   magique ,  très très spectaculaire,  etc.. mis en rouge dans le texte. On aimerait bien, n'est-ce pas, consulter les rapports de datation des organes trouvés et si bien conservés.....Ah si un aimable internaute pouvait mettre la main sur ces rapports (non trafiqués cela va de soi), alors comme tout deviendrait plus clair....

         L'explication serait d'après Gardner déjà cité: " que les mammouths sont des animaux qui habitent actuellement l'intérieur de la Terre. Certains d'entre eux arrivent jusqu'à la surface, transportés par les fleuves, et là, ils sont frigorifiés et enfermés dans des blocs de glace comme dans des cercueils à la sortie de l'ouverture polaire, puis ils dérivent ensuite avec les icebergs."    

    C'est à notre avis bien sûr, pour l'instant, la seule explication ( et nous publierons, ici, toute autre, meilleure que celle-là, que les internautes nous proposeraient ), capable de résoudre cet irritant problème de la soudaineté de la congélation qui s'attache au phénomène.

   

    En Sibérie, le long de la Léna, on a retrouvé les ossements et les défenses de milliers de mastodontes . L'opinion scientifique, on le sait, est unanime à penser que ce sont des vestiges de l'époque préhistorique. Les mammouths vivaient là, nous l'avons dit, il y a quelque 20 000 ans, mais ils furent anéantis dans une terrible et mystérieuse catastrophe. Cette catastrophe pourtant, est inconnue dans les annales, en raison justement de cette soudaineté, qui ne permet même pas à un mammouth de digérer l'herbe qu'il a dans la gueule.

    Mais terminons voulez-vous cette affaire de pachydermes par ces quelques lignes plus modernes, mais toutes aussi surprenantes glanées dans un article d'Hervé Ponchelet, tiré de l'hebdomadaire "Le Point" n° 1148 du 17 Sept. 1994:

    "...il provient d'une récente "chasse" aux mammouths dans le grand Nord Sibérien. Des mammouths qui, pourtant disparus depuis la fin de la dernière glaciation, émergent de temps à autre du permafrost, le sol toujours gelé de la steppe, aussi "vivants" que pourrait l'être un éléphant contemporain conservé dans un congélateur...Dans l'île de arctique de Wrangel des chercheurs russes n'ont-ils pas récemment trouvé des dents de mammouth à peine vieilles de 4000 ans? Une époque postérieure à la fin de la dernière glaciation qui, croyait-on, avait signé le glas des mastodontes. Particularité: ces dents ont appartenu à des mammouths nains ne dépassant pas 1,80m de hauteur, contre 3 m à leur ancêtres du continent. Troublant, car sur des fresques murales égyptiennes du temps des pharaons, un chercheur a découvert un éléphant nain qui ressemble bougrement à un mammouth laineux. D'ici à ce que l'on tombe comme le prétendent certaines légendes, sur des mammouths vivants...
    En 1977, coup de tonnerre. En attaquant à la lance à incendie les berges gelées de la rivière Kirgiliakh, dans la région de Magadan, des chercheurs d'or mettent à jour un bébé mammouth. Le corps (1,15 m de longueur, 100 Kg) est dans un état de conservation extraordinaire. L'animal auquel il ne manque que la toison, devait avoir 7 mois lors de son décès. L'autopsie, conduite à grand renfort de publicité pour la glorieuse science soviétique, permet de retrouver dans l'estomac et le tube digestif du mammoutheau surnommé Dima, son dernier repas. Dans son cœur, arrêté depuis 40 000 ans, 1,5 gramme de sang séché, dont globules blancs et rouges se distinguent encore.
    A l'époque, on commence à peine de parler de manipulation génétique. Pourtant, des biologistes soviétiques laissent entendre qu'à partir du noyau d'une cellule du mammouth de Magadan, placée dans un ovule énucléé d'éléphante d'Asie, on pourrait par clonage faire revivre le géant de la préhistoire.
"

    Vous avez bien noté, nous l'espérons, les termes vivants, troublant, état de conservation extraordinaire, coup de tonnerre, son dernier repas etc... qui montrent bien "la surprise" de l'auteur de l'article en question, devant le caractère insolite de cette affaire de Mammouth. Quant à la note finale, à la "Jurassic Park", nous avons bien voulu aussi, la citer, pour montrer encore une fois, "que la réalité pourrait rejoindre ici, bien vite la fiction."

    Mais, et ce "mais" est d'une importance notoire, pensez-vous que les datations avancées dans les divers cas précédents auraient fait l'objet d'une déclaration de circonstance à l'Académie des Sciences, si l'on avait trouvé que le mammouth congelé vivait à une époque très proche de nous, et non pas du tout, il y a 20 000 ans, date supposée à laquelle vivaient ces mammouths sur cette planète Terre ?

    Rappelez-vous les incroyables pressions subies par les scientifiques dans les deux cas suivants :

     Premier cas :

      1976, la momie de Ramsés II qui présentait des moisissures, fut envoyée en France par le Musée du Caire, pour des soins d'urgence. Des échantillons de la substance d'embaumement furent prélevés par Michelle Lescot, botaniste au Muséum d'Histoire Naturelle de Paris.

      Elle découvre alors avec ahurissement que ces échantillons contiennent des feuilles de tabac, ce qui parait impossible, d'après les connaissances actuelles, car le tabac n'a pu être rapporté en Égypte via l'Europe que 2700 ans plus tard au retour de Christophe Colomb.

Deuxième cas plus grave:

     16 ans plus tard en 1992 une découverte toute aussi étonnante va avoir lieu. Svelta Balabanova une toxicologue de Munich, chargée d'étudier les drogues utilisées pour réaliser la momie vieille de 3000 ans, d'Enouctaoui (écriture non garantie), une prêtresse égyptienne, découvre alors, elle aussi avec stupéfaction, que le corps de cette momie contient de grandes quantités de cocaïne et que de plus, l'analyse des cheveux prouvent que cette prêtresse en avait, elle même, consommée avant de mourir. Cette annonce fait l'effet d'une bombe, et la scientifique allemande reçoit alors des montagnes de lettres, presque menaçantes, des lettres d'insultes (vous avez bien lu, et ceci est à rapprocher de l'affaire Glozel citée dans un de nos articles ) disant que tout cela était absurde et impossible, car il était soi-disant prouvé, qu'avant Christophe Colomb, cette plante, la coca , d'où l'on extrait la cocaïne, n'existait nulle part ailleurs, qu'en Amérique. Et la toxicologue allemande, s'est vue alors obligée d'affirmer dans l'émission, qu'il ne peut y avoir d'erreur dans la méthode d'analyse, car cette méthode a fait ses preuves des centaines de fois.

A bon entendeur salut...

     Terminons cette affaire de congélation brûtale inexplicable, par ce petit plus, digne de surprendre les plus blasés des quidams lambda :

     Cette information provient du Science et Vie d'Avril 1959 n° 499 :

     Voici de quoi il s'agit, à droite de la couverture :

  

     Ce surprenant entrefilet est tiré de la page 33 d'une rubrique intitulée Le Monde en marche. Croyant à un poisson d'Avril, nous nous sommes précipités sur le n° 500 de Mai 1959, de la même revue, qui aurait dû nous avertir que cette information était un poisson d'avril, bien que ce n'était pas du tout le genre de la maison à l'époque. Nulle part dans ce n° 500, on ne parlait de cette affaire de baleine congelée. Nous y avons même trouvé, cet autre entrefilet, qui parle lui aussi, des baleines :


     Concernant l'affaire (qui seule nous intéresse ici) de la baleine congelée, nous n'avons pas souvenance, du tout, d'avoir à l'époque entendu une telle information (pourtant de taille) à la radio. Si vous l'avez entendue, Il est de la plus haute importance de nous le faire savoir. Nous avons déjà écrit à un organisme français du Spitzberg, hélas sans succès. Peut-être qu'un autre internaute béni, aura plus de chance, que nous.

     Même, en ces temps actuels certaines informations tombent et l'on n'a pas eu d'echo de cela quand l'événement a eu lieu. Voyez cette affaire de vol de roches lunaires, qui est restée sous le boisseau de la NASA, sans que les principaux médias en soient au courant...


     Il y a bien d'autres faits, de même nature, qui nous sont très bien occultés, et faits importants encore décrits par le livre jaune n° 6 suivant, un ouvrage, qui a mis très mal à l'aise, de très nombreux bien-pensants :



Où l'on peut lire :

    "En 1799, le pêcheur sibérien Schumachoff fait une incroyable découverte, un squelette entier de mammouth, congelé dans un bloc de glace. Les loups avaient commencé à dévorer la viande qui dégelait. Le squelette a pu être sauvé, il est exposé maintenant au Musée d'Histoire Naturelle de St-Petersbourg. Les os de mammouth ne sont pas rares en Sibérie. Sur les bords de la Lena, on en trouve de des milliers. On explique leur présence par une glaciation qui serait apparue brutalement, il y a 20 000 ans. Mais il existe une autre explication, plus inattendue. Marshall B. Gardner, un écrivain américain, l'a proposée en 1920. Les mammouths seraient des animaux qui viennent de l'intérieur de la Terre, leurs cadavres auraient été charriés par les grands fleuves qui sortent de l'ouverture du pôle, et se seraient échoués sur les côtes sibériennes. On a trouvé toutes sortes d'animaux surprenants dans les glaces de la banquise : des hippopotames, des lions, des hyènes et des rhinocéros. La position géographique particulière de leurs tombes peut s'expliquer par le fait que l'axe de la Terre a pu être inclinée beaucoup plus à une certaine époque, et la région polaire aurait ainsi connu un climat tempéré ou même subtropical, à une certaine époque... "

       Mais, il y a encore mieux dans l'émission d'époque, intitulée "Le mythe du déluge" de la Chaine PlanèteSat telle que :


    Voyons, ce que ce documentaire nous dit au sujet des mammouths.

    " ....Dans le sol perpétuellement gelé de la Sibérie et de l'Alaska on trouve des millons d'ossements mélès ayant appartenu à des animaux qui ont péri dans un cataclysme. Le grand mammouth, n'a pas succombé aux chasseurs de la préhistoire, il a été fauché par une catastrophe naturelle.

  

    Au début du 20e siècle, des trappeurs sibériens découvrent le squelette d'un animal gigantesque. on le déterre, puis on l'analyse.

  

    Son estomac contient des restes de plantes poussant dans un climat tempéré. L'animal a été congelé à une vitesse qui dépasse les capacités des congélateurs les plus modernes.

    Ce dont on est sûr, c'est qu'il a 12000 ou 13000 ans, un grand froid s'est abattu sur la Sibérie, qui ne s'est plus jamais réchaufé depuis.

    L'énigme des mammouths congelés en quelques heures a suscité quantités d'annectotes. Certaines sont véridiques d'autres non comme celle des steaks de mammouth servis à ferbanks en Alaska. L'une des annecdotes probablement authentique est celle du baron Wrangel, un naturaliste russe du 19é sur l'ile qu'il découvre dans l'archipel aux ours du Nord de la Sibérie et à laquelle il va donner son nom. Le sable était retenu par des digues de défenses de mammouths et des ossements d'autres animaux disparus lors d'une mistérieuse catatrophe primitives.

    Ces extinctions de masse, cette terrible activité volcanique, la rapidité de la fonte des glaces, tout cela semble indiquer qu'une immense révolution climatique a eu lieu, il y a 12 000, mais la cause de cette révolution reste énigmatique.


    Arrêtons là notre transcription suprenante, bien que nous aimerions en dire plus. Vous avez noté le fait que l'on parle, à un endroit, de " L'énigme des mammmouths congelés, en quelques heures", et a un autre endroit plus haut "L'animal a été congelé a une vitesse qui dépasse les capacité de congélateurs les plus modernes. La question qui se pose là, dans ce discours, est de savoir s'il faut quelques heures à un congélateur moderne pour figer conplétement un amimal qui n'a pas même pas le temps d'avaler l'herbe qu'il a dans sa gueule ? Ne trouvez vous pas qu'il y là comme un hic ?

    Et puis pourquoi des amimaux qui ne vivent pas mélangés entre eux comme des antilopes, des bisons, des loups, d'énormes félins... se retrouvent tous vautrés les uns sur les autres dans une mort inexplicable ? Vivaient-ils dans un paradis terrestre où le carnivore jouait avec l'herbivore pour aller par la suite bras-dessus bras-dessous au même cimetière quand l'heure était arrivé, cataclysme ou pas?

    Tout cela, on le voit, nous interpelle et nous avons cherché sur quelques sites internets la réponse :


     Nous ne contestons pas que la Sibérie ait changé de climat à une époque donnée et que divers animaux y vivaient alors. Mais hélas en ce qui concerne la soudaineté du phénomène qui a frappé, par exemple le mammouth de la Beresovka, c'est le silence glacial, si l'on peut nous autoriser ce jeu de mot de circonstance. A vous donc de juger tout cela.

    Voyez aussi donc (dans ce même documentaire de La Chaine Planète), en effet ce qui est arrivé à l'archéologue Jean Steen-Mackintyre qui en 1966 découvrit un site au Mexique, possédant des outils en pierre et des ossements humains qu'elle fait dater par divers laboratoires, persuadée que ces objets avaient, au plus, 20 000 ans date voisine de ce qui est accepté officiellement. Mais le résultat de ces laboratoires surprendra tout un chacun, car les objets furent datés de 250 000 ans. :



Jean Steen-Mackintyre qui voulait s'en tenir aux résultats des datations fut discréditée et elle perdit son emploi, car le site fut fermé par les autorités...Plus tard on trouva en Russie un site analogue vieux de 300 000 ans ce qui donnait bien raison à l' archéologue déchue Jean Steen-Mackintyre. Malheur donc à ceux qui osent défier les pontifes...

    Voici d'ailleurs la dernière image, un peu plus élaboréee de ce documentaire vue plus haut de la Chaine Planète :


    Merci cette fois-ci à la revue Pour la Science de Avril-Juin 2004: Dossier Hors Série n° 43 : La vie au temps des mammouths :


        Mais, ce jour, exposons aussi cette info que nous connaissons depuis le mois de Mai 2007, et info que nous avait transmise notre ami canadien André D..., nous fait part de la découverte à cette époque, d'un autre bébé mammouth en Sibérie (comme le Jarkov de 1999, vu plus haut) , voir d'abord le site :


      Mais, selon André D..., il y a aussi le site :


      Nous y extrayons avec déférence ces propos :

Découverte d'un bébé mammouth congelé en Sibérie.

Par Jean Etienne, Futura-Sciences.

     Un bébé mammouth congelé, qui se trouve dans un remarquable état de conservation, a été découvert en Sibérie par un gardien de troupeau de rennes en mai dernier.

    Le spécimen, qui serait mort il y a environ 10 000 ans, affleurait du sol gelé de la péninsule de Yamal. Il s'agit d'une petite femelle âgée de 6 mois, qui pèse 65 kg pour une taille de 85 cm et une longueur de 130 cm. Seules la queue et les oreilles semblent avoir été rongées, probablement par des prédateurs, tandis que sa trompe, ses futures défenses et des touffes de poils au niveau des pattes sont intactes.

     La carcasse est actuellement gardée au froid dans la ville de Salekhard, et a reçu la visite du directeur de l’institut zoologique de l’Académie des sciences de Russie, qui s'est déclaré enthousiasmé par l'exceptionnel état de conservation de l'animal. Une équipe internationale comprenant entre autres le Français Yves Coppens et le Hollandais Dick Moll doit bientôt se rendre sur place afin de procéder à des études de biologie moléculaire et de génétique sur ce spécimen.


Fin de citation

     Vous avez bien noté que les touffes de poils au niveau des pattes, sont intacts après 10 000 ans. Curieux n'est-ce pas ? Mais, même si la datation au carbone 14, ou une autre méthode de datation, nous affirmait que ces touffes n'avaient pas plus (par exemple) de 500 ans, Croyez-vous que l'on va crier cela sur les toits, ou plutôt se taire implacablement ?

     A vous de juger, une fois de plus, ces détails surprenants ...


      Mais le 31/07/07, nous avons de nouveau reçu de notre ami artiste peintre André Julien, l'adresse du site suivant :


dont nous vous invitons à parcourrir minutieusement l'article intitulé : " Les mystères des mammouths congelés"

     Nous ne reprendrons pas entièrement cette page, pour ne pas subir les foudres du Webmaster comme cela c'était passé avec un site où régnait le vocable "spectrosciences" qui a été jusqu'à écrire à l'Afnic , pour faire fermer notre site, pour avoir reproduit un petit article sur les pôles de Saturne, pourtant simple traduction d'un texte avec photo de la NASA.

     Notons cependant ce passage extraordinaire :

"....Certains scientifiques, que d'autres qualifient d'un peu douteux, ont vite introduit la rumeur d'une disparition catastrophique des mammouths retrouvés. Immanuel Vilkovsky et Peter Kolismo en font partie. Leurs théories s'accordent pour un catastrophisme hors du commun : les mammouths seraient morts de froid en plein été, ils auraient été congelés instantanément.

     Les amateurs de mystère se sont accaparés ces théories et les ont même développées. Aujourd'hui certaines personnes sont rendues à penser que les mammouths ont été les victimes d'un choc brutal, reprenant à leur compte la théorie de la surfusion. La surfusion, c'est le changement soudain de phase de l'eau par exemple. Ainsi donc, les mammouths auraient pu être tranquillement en train de traverser une rivière ou encore patauger dans un lac qui soudainement aurait gelé. Ce catastrophisme est encouragé par les tenants de ces hypothèses par l'état exceptionnel de conservation présumé des individus retrouvés....

     Comme le dit le proverbe, il n'y a pas de fumée sans feu, et le feu ici vient des récits des populations locales de Sibérie. Il n'est pas rare d'entendre ou de lire des récits qui insistent bien sur le fait que les mammouths retrouvés sont parfaitement conservés, si bien que leur chair est encore présente et comestible. Qu'en est-il vraiment ? Les paléontologues, qui étudient directement les mammouths gelés et donc qui sont les mieux placés pour en parler sérieusement tiennent un tout autre discours.

     Déjà, le terme de conservation exceptionnelle est relatif. Effectivement, on retrouve les parties molles de l'animal, chairs, estomac, etc. ce qui est tout à fait inattendu car ils sont morts il y a plus de 10 000 ans, en ce sens, c'est extraordinaire. Mais tout s'explique. Un tel état de conservation exige un ensevelissement rapide du cadavre de mammouth par des limons, boues et de l'eau qui gèle très rapidement pour sceller le sol, qui privé d'air devient un milieu de conservation privilégié car les attaques de bactéries ou autres insectes nécrophages sont très limitées....
"


      Dans cette affaire, nous avons l'impression que le journaliste a fait une synthèse très rapide, entre une interprétation du mot surfusion et la théorie de la Terre creuse, qu'il a certainement lu sur le Net (ne serait-ce que sur ARTivision), mais dont professionnellement il ne pouvait parler pour ne pas jeter le discrédit sur son journal. D'ailleurs on voit bien que cet article a été écrit rapidement à la volée, puisque ce journaliste n'a même pas pris la peine de vérifier l'écriture des noms Vilkovsky et Peter Kolismo , car il s'agit bien sûr (Il s'agit bien sûr d'd' Immanuel Velikovsky et et surtout de Peter Kolosimo, ce dernier ayant été largement mentionné plus haut.

      Donc on voit bien que ce communiqué évite soigneusement de parler de la théorie des ouvertures polaires, en parlant de surfusion, et on sait d'après ce que l'on a vu plus haut en parlant d'un certain mammouth que : "il était mort de froid... dans la saison la plus chaude de l'année "

      L'explication donnée dès 1920, la plus claire et déjà vue plus haut, serait on le sait, d'après Marshall B. Gardner : "...que les mammouths sont des animaux qui habitent actuellement l'intérieur de la Terre. Certains d'entre eux arrivent jusqu'à la surface, transportés par les fleuves, et là, ils sont frigorifiés et enfermés dans des blocs de glace comme dans des cercueils à la sortie de l'ouverture polaire, puis ils dérivent ensuite avec les icebergs."

      Le mieux serait donc n'est ce pas, pour clarifier tout cela, que l'on découvre actuellement un bébé mammouth pris dans la glace d'un iceberg à la dérive et avec de l'herbe fraîche dans la gueule... On a bien le droit de rêver un peu, non...

        Le même jour, nous avons eu le plaisir de recevoir la missive suivante de l'ami Ludovic F :

----- Original Message -----
From:Ludovic F......
To: Fred Idylle [Fred Idylle]
Sent: Thursday, August 02, 2007 6:59 AM
Subject: Petite rectification sur la surfusion

      Bonjour Fred,

      J'aimerais apporter une petite rectification sur l'extrait de l'article du "journal du Net". En effet il est dit : "La surfusion, c'est le changement soudain de phase de l'eau par exemple. Ainsi donc, les mammouths auraient pu être tranquillement en train de traverser une rivière ou encore patauger dans un lac qui soudainement aurait gelé".

      Ce n'est pas exact, cet article laisse entendre que les mamouths pourraient être dans de l'eau, donc à temperature normal, qui se refroidirait d'un seul coup pour geler. La surfusion ce n'est pas du tout ça. Le phénomène de surfusion à lieu dans les eaux particulierement pures, mais il ne s'agit pas du tout d'un refroidissement brutal, mais l'eau bien qu'étant, par exemple, à -10°c , reste à l'état liquide, on dit qu'elle est alors en état métastable. Il suffit d'une toute petite perturabtion pour que l'eau change d'état et se solidifie.
     Imaginons donc un lac en Sibérie a une température de -30° en etat de surfusion. Un mamouth approche, et au moment où il entre dans l'eau, elle passe de l'état liquide à l'état solide et il se retrouve instantanément prisonnier de la glace.

     Bien entendu, je ne fais que corriger la mauvaise explication de la surfusion. Cela ne me semble pas être une explication plausible car la surfusion ne peut avoir lieu qu'en hiver, donc aucune raison qu'on puisse retrouver des touffes d'herbes dans les pattes ou l'estomac.
     Cordialement.
     Ludovic F.....


      Merci donc à Ludovic F......pour cette explication très scientifique de la surfusion.

      En définitive cette affaire de mammouth congelés est beaucoup plus extraordinaire, que l'on veut bien, nous le faire croire, et c'est à vous désormais, qu'il convient de juger tout cela, en connaissance de cause...

         Mais, ce 11 Avril 2019, disons aussi, qu'il existe un autre phénomêne polaire incroyable (déjà évoqué dans d'autres volets), dont on ne parle jamais, dans les médias qui ont pignon sur rue, comme ARTE et ses consorts affiliés.

        Soulignons alors en rouge, le phénomène en question, dans le texte qui suit, et texte qui est tiré (on le sait déjà), du livre incontournable suivant :


, où en page 308 on trouve l'incroyable déclaration suivante de l'explorateur américain Elisha Kane, dès 1857 :


      Et voici une traduction de cet étrange paragraphe :

" Il est impossible, en rappelant les faits relatifs à cette découverte,- La neige fondue sur les rochers, les troupes d'oiseaux marins, la végétation augmentant de plus en plus, l'élévation du thermomètre dans l'eau, de ne pas être frappé de la probabilité d'un climat plus doux vers le pôle. Mais signaler les modifications de température au voisinage de la mer libre, ce n'est pas résoudre la question, qui reste sans réponse : Quelle est la cause de la Mer libre ? "

         Le phénomène qui précède a certainement inspiré , William Reed dès 1906, qui tenta alors de l'expliquer, tel que :

" Pourquoi il fait plus chaud près des pôles et que l'on y rencontre tant d'animaux ? "

     En effet dans son chapitre XII de 20 pages, tiré, on le sait, de son livre déjà vu plus haut :



intitulé "Why it is warmer near the poles " "Pourquoi fait-il plus chaud près des pôles" : Reed nous explique d'abord : " One of the principal proofs that the earth is hollow, is that it is warmer near the poles. If this be so, to what are we to attribute the heat? Nothing, however has been found to produce heat near the poles to make it warmer", que nous traduisons approximativement par : "Une des principales preuves concernant la terre creuse est qu'il fait plus chaud quand on s'approche des pôles. S'il en est ainsi, à quoi peut-on attribuer cette chaleur ? Rien cependant n'a pu être évoqué pour expliquer ce qui provoque cette augmentation de la chaleur aux abords des pôles."

    Reed nous cite le Capitain Hall : "In capitain Hall's last trip" page 166 is read : " We find this a much warmer country than we espected... we have found that the country abounds with life, and seals, game, geese, ducks, musk-cattle, rabbits wolves foxes bears pazrtriges lemmings, etc our sealers have shot two seals in the open water while at this encampement... " (Nous avons découvert une region plus chaude que nous l'espérions... Nous avons découvert une région débordante de vie et les phoques du gibier, des oies, des canards, du bétail musqué, des lapins, loups des renards des ours, des perdrix, des lemmings, etc..Nos chasseurs de phoques en ont abattus deux sur la mer libre alors que nous étions à notre camp)

    Nous ne pouvons évidemment citer tous les paragraphes que Reed évoque au sujet de Nansen, Peary , Greely , Schwatka, et Kane.

Cependant il nous appartient de citer aussi ici ce que pensait Marshall B. Gardner à ce sujet, dans son incontournable ouvrage, déjà présenté au 3e volet :

  


    Et à la page 123, on trouve alors :



    La traduction rapide, du début donne alors :

DE LA CHALEUR, OÛ LE FROID ÉTAIT ATTENDU

    
        Le 13 novembre, l'expédition s'est rapprochée un peu plus au nord, et le Dr Hayes, persuadé, comme il le croyait, que le pôle était une solide calotte glaciaire, est profondément déconcerté par le phénomène réel, auxquel il est confronté. Voici, la première expression de son journal "De pire en pire", faisant référence au fait que la neige tombait, ce qui était très désagréable sur le navire


     Et maintenant, voici le must:



     Mais voyons auusi, à ce sujet, ce que nous pouvous découvrir , dans notre ouvrage de 1996 tel que :



Page 94 : Autour du 81° de Lat Nord en Mai 1895 il est écrit: "Au milieu de cette banquise, nous ne nous attendions guère à rencontrer une faune ailée abondante. Aussi, grande fut notre surprise, le 13 mai, le jour de la Pentecôte, à la vue d'une mouette. À partir de cette date, quelques oiseaux viennent tous les jours voler autour de notre radeau de glace. Des pagophiles blanches (Larus ebccrrieccs L.), des mouettes tridactyles (Larcs tridact)rlus L.), des pétrels arctiques (Procillarica glacialis), parfois des mouettes bourgmestres (Larus glacccccs L.), des mouettes argentées (Laracs argentatus), des guillemots (Uria giylle). Une ou deux fois, nous aperçûmes des stercoraires (Lestris parasitica), et, le 31 juillet, un bruant des neiges.

    Le 3 août, nous eûmes la visite de mouettes de Ross (Rhodostethia rosea) et j'eus la bonne fortune de tuer trois jeunes exemplaires de cet oiseau rarissime. Ce mystérieux habitant de l'extrême nord, nul ne sait où il va, ni d'où il vient.

    Depuis que nous sommes dans ces parages, je l'ai toujours guetté ; le voici qui arrive juste au moment où je m'y attendais le moins.

    Le corps des trois mouettes de Ross que j'ai tuées mesurait une longueur de 0,32 m. Elles avaient le dos et les ailes gris, le ventre et les côtés blancs, légèrement teintés d'orange, et autour du cou un collier gris. Un peu plus tard ce plumage change. Le dos devient bleu, le ventre rose et le collier noir.

    Maintenant que ma résolution est prise de pousser une pointe vers l'extrême nord, toutes mes espérances sont concentrées sur les chiens. Je veille toujours sur eux de crainte de quelque accident et de quelque maladie, et non sans raison !

Le 28 Mai - Un doux mois de mai . Dans ces derniers jours à différentes reprises, le température s'est élevée de plusieur degrés au dessus de zéro. On peu se promener avec l'agréable illusion de se croire au pays. Rarement le thermomètre descent au dessus du point de congélation. en revanche , voici les brouillard s d'été. Le ciel couvert de nuages lumineux donne une sensation de pays du sud.

    A bord, l'élévation de la température est très sensible. Il n'est plus nécessaire d'allumer le poële du carré et la glace et le givre qui couvrent les parois du magasin commencent à fondre....


    Notons que finalement le 8 Avril 1895 arrivé à la 86° 2' 8" de Lat Nord long de 95° 47' 15 " E. Nansen et son compagnon Johansen décident d'abandonner la poursuite vers le pôle car la banquise devenait de plus en plus impraticable.

    Mais voyons ce qu'en dit aussi, Nansen dans notre ouvrage de 1996:

Page 148: "Le 26 (avril) à mon grand étonnement, je rencontre une piste fraîche de renard venant de L'O.-S-O. et allant vers l'est. Que diable est-il venu faire jusqu'au 85°?"

    Mais le 24 Juin lors du retour autour du 81°4' de Lat nord et 58° 48' long E, Nansen :page 175 "La nuit dernière, la température était si élevée que nous avons dû coucher sans couverture. Au retour de cette expédition cynégétique, je touve johansen profondément endormi ; un de ses pieds, absolument nu, passe en dehors de notre abri, sans qu'il ait la moindre sensation de froid".



        Mais voici un petit plus qui parle de cette affaire très paradoxale, de température qui augmente à mesure que l'on s'approche du Pôle Nord et, pour les puristes, qui recherchent des documents d'origine, il nous vient à l'idée de présenter ici l'ouvrage de 1818, (déjà presenté dans d'autres volets), d'un certain Daines Barrington, que nous avons sous la main :


     Et nous découvrons alors en page 37, ceci de très important et déjà vu plus haut :


      Une modeste traduction pourrait donner alors :

      " Le Capitaine Goulden, qui avait fait plus de trente voyages au Groenland, a rapporté à Sa Majesté, que, étant au Groenland pendant une vingtaine d'années, il fut en compagnie de deux Hollandais à l'est de l'île d'Edge. Comme les baleines fuyaient la côte, les deux Hollandais se déterminèrent à aller plus loin vers le nord, et après une quinzaine de jours, ils furent de retour. Ils dirent alors qu'ils avaient navigué jusqu'au 89 ° de latitude nord , et qu'ils ne rencontrèrent pas de glace, mais une mer libre et ouverte, et qui avait une configuration ressemblant à celle de la baie de Biscaye. M. Goulden n'étant pas satisfait par cette brutale révélation, ils lui ont présenté quatre journaux de bord des deux navires, qui en témoignaient catégoriquement, et cela, en quatre minutes, reçu l'agrément de tout un chacun. "

    Comme il serait intéressant n'est-ce pas, de retrouver la trace de la déclaration de ce Goulden, et bien sûr, aussi le nom de ces hollandais et surtout leurs journaux de bords, s'ils ont été conservés dans des bibliothèques !!!

      A la page 101 de ce super ouvrage, nous trouvons aussi ce passage :


      Et notre traduction pourrait donner, grosso modo :

       " Le célèbre Mr. Boyle, à partir de ces exemples et beaucoup d'autres, a rejeté la notion longtemps admise que le pôle est l'archétype du froid. Le Capitaine Jonas Poole, qui en 1610 a navigué dans un vaisseau de soixante-dix tonneaux pour faire des découvertes vers le Nord, a trouvé un temps chaud au voisinage du 79 ° de latitude, tandis que les étangs et les lacs étaient débloqués, ce qui le mit, dans l'espoir de trouver un été adouci, et qui l'a amené à croire que le passage ( note du Webmaster : passage nordique généralement est-ouest ou ouest-est très recherché) , pourrait être trouvé plus rapidement, en passant par le pôle de quelque manière que ce soit; et c'est pour cette raison que le soleil a donné une grande chaleur là, et que la glace était loin d'être aussi épaisse que ce qu'il avait rencontré à la latitude de 73 °. En effet, les Hollandais, qui prétendent avoir avancé à un degré du pôle, ont dit qu' il y faisait aussi chaud là que pendant l'été à Amsterdam. "

      Autrement dit, tout se tient, et dans notre article : http://www.artivision.fr/Buffon.html on a découvert, que Le Comte de Buffon, parle ouvertement de "la mer libre du pole Nord", ce que l'on évite assurément, de développer dans nos universités. Ce Comte de BUFFON, (1707-1788), fut Naturaliste, biologiste écrivain...Intendant du jardin du roi en 1739 (jardin des plantes) et qui fut élu à l'Académie Française 23 Juin 1753, a donc eu les mêmes sources que l'ouvrage de Daines Barrington cité ci-dessus, car on y retrouve les mêmes déclarations dans son "HISTOIRE NATURELLE, GÉNÉRALE ET PARTICULIERE, AVEC LA DESCRIPTION DU CABINET DU ROY", ouvrage publié à partir de 1749....

      A bon entendeur salut !... et Messieurs les journalistes blasés et zététiques, toujours avides de scoops atypiques, et autres consorts astronomes et cosmologistes officiels bien engoncés dans vos cocons feutrés, du Système actuel, et système qui cache des vérités inouies au commun de mortels pour de vulgaires raisons d'hégémonie, politique, culturelle, économique et surtout militaire, vous devez savoir alors, que c'est donc une très grave erreur, de traiter tous les audacieux chercheurs précédents, ( le conte de Buffon, Daines Barrinton, Elisha Kane, I.I Hayes, Fridjord Nansen, William Reed, Marshall B.Gardner,...etc...), qui ont osé dire, il y a des lustres, la vérité au sujet des phénomènes polaires cités ci-dessus, et de traitér aussi indirectement, ces audacieux, de zinzins hurluberlus, alors que le super déballage cosmique, est en route actuellement et va vous obliger à prendre le train en marche. Mais attention alors, car vous risquez grandemernt de glisser, la tête première, sur le ballast et de la fendre ainsi, sur les dures traverses, de la voie ferrée...

      Autrement, il ne vous restera, qu'à raser les murs le soir, pour que l'on ne vous reconnaisse pas, et que l'on ne vous montre pas ostensiblement du doigt.


      A bon entendeur salut...Et mieux vaut bien attacher sa ceinture, car le plus fantastique, est assurément pour bientôt...


      Cependant nous apprenons à l'instant, que les scientifiques, ont réussi enfin à photographier un prétendu trou noir cosmique, tel que :


      Pourtant en 1992, on était aussi heureux d'exiber cette autre image et on ne parlait surtout pas , dans ce cas, de parhélie autrement dit, des phénomènes dus à des illusions d'optique :


      Mais alors, l'on note aussi, que ces Messieurs les scientifiques, vont à perpette (près de 50 millions d'années-Lumière), chercher l'image d'un obscur vortex, nommé Trou Noir, mais, qu'ils sont incapables de voir, celui bien plus voisin d'eux, très lumineux de l'astre nommé Titan, satellite de Saturne, tel que :



      On revoit ici, très nettement ( bout de la flèche rouge), la sorte de superbe réverbération, prouvant que la luminosité du disque, vient bien de l'intérieur de l'astre.

      Il faut aussi remarquer surtout, que c'est parce que la sonde Cassini Huygens, avait été mise au point par plusieurs nations, dont l'Allemagne, la France, l'Italie..., que ces pays et d'autres, ont eu un accès direct en temps réel, aux informations de la sonde. Donc la NASA, a été prise de court, et n'a pas eu le temps de nous cacher ce disque extrêmement lumineux, qui est apparu au Pôle Sud de Titan.....

      Mais revenons à cette extraordinaire affaire des ummites. Voilà alors des lustres, que ces deniers, lors d'une conversation téléphonique bien ciblée, ont dévoilé le fait, que les trous noirs n'existent pas dans notre univers, ce que l'astrophysicien Jean-Pierre Petit, (qui a lui aussi reçu en 1992, une lettre ummite venant de Ryad), a l'air de confirmer, au grand dam, de ses confères académiques...

      Ce Jean-Pierre Petit, a écrit deux livres, parus en Novembre 1991 et en Août 1995, où, il fait des révélations fracassantes, sur ce sujet des ummites :


  

  

         Ces Ummites, qui prétendent venir d'une étoile nommée Wolf 424, située à 14,6 années-lumière de la Terre (Voir le volet 3 de cet article sur ARTE), (et pour ceux qui ignorent tout de cette incroyable affaire, prière SVP de consulter le récent petit fascicule d'Octobre 2018, tel que :


qui y consacre 12 pages)
, nous donnent des détails très minutieux sur leur débarquement en France (Cocorico) le 28 Mars 1950 entre Digne et la Javie, dans le département des Basses-Alpes. Ils affirment avoir : "creuser dans le sol à huit mètres de profondeur, une mini base dont l'accès est parfaitement camouflée et qui est en forme de galerie de 4 métres de longueur, étayée par des cintres extensibles modulaires, faits d'un alliage de magnésium et se trouvant dans l'un des contreforts montagneux de la région à proximité du Pic du Cheval-Blanc dont le sommet culmine à 2323 mètres "
.


         Ces ummites, affirment, entre autres choses extrordinaires, pouvoir résoudre vite fait et bien fait, nos problèmes d'élimination des déchets, en utilisant un appareil de leur fabrication, capable de casser toute matière pour la transformer en oxygène ou hydrogène. Mais, cet appareil ne pouvait nous être confié, car nous ne sommes pas assez mûrs et sages pour l'utiliser à bon escient.

      En effet, pas besoin de dire, les ravages que ferait un dictateur en possession d'une telle machine et pas besoin, n'est-ce pas !... de remonter dans les temps anciens, pour découvrir cela :



       Il nous appartient donc ce jour, de présenter, une fois encore, la sublime méditation du Maitre de Findhorn, ce qui va, une fois de plus, faire tiquer de dépit, nos détracteurs zététiques habituels et autres consorts intellectuels blasés de l'orgueilleux système actuel .

     Ce Grand Maitre de Findhorn, évoque ici, d'une part cette notion de vies multiples de l'être humain, mais aussi, d'autre part, il nous invite à vivre au jour le jour, comme nous le préconisait étonnamment, un autre Maître du texte biblique.

    
Tu es dans le monde mais tu n'es pas de ce monde.

Il est inutile de laisser les façons
d'être du monde t'enfoncer
.

Jouis-en mais n'essaye pas de les posséder

et ne leur permets pas de te posséder.

Dans le Nouvel Age, il n'est pas nécessaire
d'être vêtu de hardes et couvert de cendres,

ou d'aller partout en déclarant que tu es un misérable pécheur

et n'es pas digne d'être appelé l' enfant bien-aimé de
La Source .

Cet enseignement appartient aux temps anciens
et il est faux et sans réalité.

Accepte le fait que nous faisons Un
avec Cette Source et qu'elle est en toi .

Sens-toi tiré hors des ténèbres de cet enseignement erroné
vers la lumière glorieuse.

Laisse l'ancien derrière
et laisse-le mourir d'une mort naturelle.

Entre dans Le Nouveau,
renais en Esprit et en Vérité,

et découvre la signification de la vraie liberté.

La Source a besoin de toi libre
et non pas ligoté par toi-même

et par le souci de ta propre personne.
Sois comme un tout petit enfant, libre et joyeux,

et vis dans l'éternel présent
.


***********************

La petite voix : Eileen Caddy. Le Souffle d'or (1994).
Méditation pour le 11 Avril, après adaptation d'ARTivision.

      Voilà donc un texte, qui va certainement mettre très mal à l'aise, les bien-pensants affairistes et autres philosophes et consorts fervents adeptes de la prospective technologique débridée.

     Chose très surprenante, ce texte qui ne court pas les rues, comme modèle de "fake news", s'aligne, aussi sur un discours, très peu discuté, dans nos universités et issu dès 1955 de l'ouvrage :


     Le texte de ce livre peut être désormais trouvé alors sur le site :


     Cet ouvrage fut traduit en français seulement en 1979, chez Michel Moutet Editeur sous le titre "A l'intérieur des vaisseaux de l'espace" :


      où l'on touve en effet, page 105 ceci :

     
" - l'homme, n'est pas une manifestation temporaire. Il est une manifestation éternelle. Et ceux de nous qui ont appris cette vérité vivent dans un continuel présent, car c'est toujours le présent... "


     Dur... dur, n'est-ce pas !! cette phrase surprenante pour nos bien-pensants et consorts intellectuels blasés du système et surtout venant d'après eux, d'un gourou de secte, et d'un barman distributeur de hot-dogs et de coca-colas dans sa résidence à Palomar Gardens en Californie... Il est vrai que chacun sait que "quand on veut noyer son chien, on l'accuse de la rage".

     Mieux, pour bien assimiler, ces choses étranges, il est peut-être utile, pour le puriste de rejoindre le site :


, où l'on peut découvrir, ces mots totalement ahurissants :

"Dans la Fédération Galactique de la lumière, il y a une majorité d’extraterrestres humains du système stellaire Pléiadien, de Sirius A, d’Arcturiens, d’Herculiens, d’Andromédiens, d’Alfa Centuriens, d’Ummites, de Procyons, de Centuars Tau, de Lyens et bien plus encore. Les Lyriens sont particulièrement intéressants, car il a été dit qu’ils représentent la race humaine originelle qui s’est développée dans le système Vega. Les autres représentent des colonies humaines développées plus tard, ce que nous sommes aussi... "


     Ce qui est encore plus surprenant, c'est que ce même discours d'Adamki, vu ci-dessus, et axé sur ce concept du Temps présent, est repris, plus de 31 ans après, par Le Maître de Findhorn (ce 11 avril), et plus de 46 ans après par l'entité transcendante Soria tel qu' en page 14, de son premier livre de 2001, on trouve ceci :

 

    " Le passé est dans le présent et le futur l'est aussi. Illusion du temps. il n'y a pas de passé ni de futur; seul existe le moment présent; cette notion va prendre corps et sera assimilée dans les dix ans à venir. D'ici là, les événements futurs viendront du chemin ouvert par vos pensées. La lumière dégagée depuis cinquante ans a aplani beaucoup de difficultés et d'épreuves, et a sauvegardé votre planète."


    Nous ajoutons enfin que cette notion révolutionnaire du temps cosmique semblait être connue du Maître Jésus-Christ, puisque qu'il préconisait ouvertement de "ne pas se préoccuper du lendemain et de vivre au jour le jour", sans doute pour mieux s'ancrer dans l'énergie relevant de la quatrième dimension, ce qui lui permettait évidemment de réaliser ce que nous avons appelé "des miracles", et miracles qu'il avouait, lui même, être à la portée de chacun de nous.

       Rappelons, à toutes fins utiles, que ce Maitre de Findhorn est une pure transfiguration pragmatique d' ARTivision, de l'entité qui s'est exprimée en anglais dés 1986, par l'intermédiaire d Eileen Caddy ( voir le site : Findhorn.html) .

       Revoyons donc aussi ce jour, la méditation, tout aussu sublime, qu'il nous avait faite le 31 Janvier, juste passé :

Elève ta conscience et découvre que tu es sans âge.
Tu es aussi jeune que le Temps, aussi vieux que l'Éternité.

En vivant pleinement et de manière splendide
dans l'éternel présent
tu es toujours aussi jeune
que le présent.
Tu renais constamment dans l'Esprit et la vérité.

Tu ne peux pas demeurer statique dans cette vie spirituelle;
il y a toujours quelque chose de nouveau
et de passionnant à apprendre et à faire.

La vigilance te garde toujours alerte et jeune.

C'est lorsque le mental devient vieux et ennuyeux

que la vie perd toute son étincelle et tout son zeste.

Si tu n'arrives pas à comprendre une nouvelle vérité avec le mental,
reste calme et élève ta conscience, accorde-toi avec,

l'Intelligence universelle infinie
et sois UN avec ELLE et tu pourras
comprendre toute chose.

Garde ton esprit alerte, et jamais tu ne pourras vieillir.

La fontaine de jouvence est ta conscience
;

la joie de vivre est l'élixir de Vie!



La petite voix : Eileen Caddy Le Souffle d'or (1989).
Méditation pour le 31 Janvier, après adaptation d'ARTivision.


     Rappelons qu'Eileen Caddy, était la cheville ouvrière, de ce que l'on a appelé, les jardins de Findhorn...



     Ce maitre nous dit d'abord, que nous devont vivre dans "l'éternel Présént" , et il le répète donc, dans beaucoup d'autres textes, ce qui n'est pas habituellement, la façon de vivre des humains de cette Terre, qui pensent avant tout qu'au lendemain, qui selon eux, devrait être meilleur, que le présent. Et, d'après ce Maitre, c'est une grave erreur...

     Que celui qui a eu la patience de lire attentivement, ce qui précède, en tire le bienfait plein d'éclaircissements qui s'impose, et surtout le désir latent, d'en savoir bien plus.

       Mais ce 15 Avril 2019, avant d'en dire plus sur le "Passé légendaire" de notre planète, il nous vient à l'idée, de faire ici une deuxiéme digression afin de demander, à ces Messieurs les journalistes et consorts éditoriastes du même consortium didactique, voulant nous instruire avec de belles images bien choisies, et surtout pas comme celles-ci qui remettent en cause toute la connaissance de notre prétendue civilisation moderne, comme par exemple, ces images vues déjà au premier volet de cet article, , et images que personne n'a pu démontrer encore, qu'elles étaient fallacieuses...


       L'image de droite, d'après nous, monterait des éléments suprenant comme ceux- ci :


        Comment se fait-il donc, que ces Messieurs d'ARTE et leurs disciples associés, qui ont les moyens d'augmenter admirablement en 3 D, la résolution graphique de ces images, se sont tus lamentablement parce qu'elles viennent de la Lune, une zone assurément réservée d'après ARTivision aux Aliens, et, selon les légendes bien terrestres, c'était aussi, une zone qui était résevée... aux DIEUX ?

        Mais avant de plonger, dans une superbe légende, venue des pays froids, et qui nous a sapé, à l'époque, carrément le moral, ce jour, reprenons en partie ce que nous avons déjà écrit dans le premier volet, et comme l'expriment parfois, les anglo-saxons : "Let us make hay, while the sun shines" (faisons du foin, quand le Soleil brille),voici donc,une affaire très renversante, qui nous a été confiée dés 1955, dans l'ouvrage déjà vu plus haut :


par un quidam, qui a refusé absolument que son propos, soit écrit sous la forme d'un récit de science-fiction,
ce qui à l'époque, lui aurait assurément, rapporté un bon paquet de dollars :


    Cet ouvrage, on le sait, ne sortira en français, que 24 ans plus tard, chez Moutet Editeur en 1979


         On peut alors lire à la page 81, ce passage renversant :

" - Beaucoup de vos savants ont exprimé l'idée, que la Lune est un corps mort. Si cela était vrai et que la Lune était morte, suivant le sens que vous donnez à ce mot, il y a longtemps qu'elle aurait disparu de l'espace par désintégration. Non ! Elle est bien vivante et supporte une vie qui comprend des humains. Nous avons, nous mêmes, un grand laboratoire, hors de la vue de la Terre, dans la section tempérée et fraîche de ce corps."

     Dur... dur, donc n'est-ce pas !! cette énorme affirmation, qui dit qu'avant Juillet 1969, il y avait bien déjà, des humains sur la Lune.

     Avouez tout de même, Messieurs les psycho-sociaux (comme on les appelle en ufologie), que cet Adamski devait être gonflé à bloc, pour prendre à l'époque, en 1955, carrément le contrepied, des déclarations officielles à ce sujet...
,et contre toute attente, il a osé horripiler les astronomes et leurs consorts affiliés, en les carressant assurément à rebrousse-poil...


         C'est sans doute pour cela, que l'on n'a pas fini de se poser des questions cruciales sur l'affaire surprenante des funérailles d' Adamski, et affaire qui a fait couler beaucoup d'encre. Nous avons cependant, dans notre bibliothèque le n° 39 de la revue "Planète" de Mars-Avril 1968 présentée ci-dessous :

    Mais, pour les puristes, il convient aussi d'expliquer ici, que la revue "Planète" très avant-gardiste pour l'époque, démarra en Novembre 1961 et stoppa hélas en fin 1970. Elle se présentait comme un ouvrage d'environ 200 pages et de 17,5 cm de largeur, pour 20 cm de hauteur et 1 cm d'épaisseur et pouvait ainsi être directement placée, debout dans une bibliothèque :

     Voici donc la couverture du n° 39 de Mars-Avril 1968 :



     Et voici, ce que l'on peut lire en page 153 concernant, l'article évoqué, du Groupe XXX :


et voici notre composition, des pages fin 161, et tout 162 :


      Cet article est donc, selon nous bien sûr, l'un des plus importants écrit sur le sujet des Ovnis, et ces Messieurs les astronomes, astrophysiciens et consorts simples spationautes en vogue, béni-oui-oui de la NASA..., n'ont plus qu'à aller se rhabiller...


      Allez, voici un petit plus, très signigicatif sur cette affaire scabreuse de cimetière :

      En effet dans l'ouvrage de Juin 1976 ci-après :

  

, nous lisons les propos suivants concernant Adamski : "En 1959, fut organisée à Rome une conférence à son intention. Trois cents personnes y assistaient donc trente journalistes. Et pourtant pas un seul des organes de presse n'y fit jamais allusion. Au cours, de ce débat Adamski avait rapporté tous les détails de ses voyages, et expliqué le fonctionnement précis des Soucoupes volantes, précisant que le seul but des extra-terrestres était celui de notre sauvegarde. Mais il semble que personne ne l'ait pris au sérieux ou plutôt - c'est ce qu'affirment les ufologues - il semblerait que les autorités aient interdit toute diffusion de ses récits.

      Alors, que doit-on penser de cet homme à la fois pacifique et révolutionnaire (je veux dire, qui révolutionne l'astronautique), bafoué et humilié, à qui le gouvernement américain a offert une des plus belles sépultures du cimetière d'Arlington ? C'est sur cette même colline d'Arlington, d'où l'on découvre toute la capitale des Etats-Unis, la Maison Blanche, la coupole du Capitole et le monument de Lincoln, que reposent les frères Kennedy.

      On l'appelle aussi la "colline des héros" ... Héros qui furent honorés de leur vivant, mais aussi humbles héros méconnus. Ce fait troublant ne manque pas de nous étonner. De quel fait, de quels services, de quelles révélations au regard de George Adamski, l'Etat américain était-il débiteur ? Est-il vrai que la CIA qui exerçait désormais son contrôle sur la Commission Condon, avait persuadé Adamski de ne plus tenir de conférences, de ne plus accepter d'interviews, de ne plus "révéler" ses rencontres avec les extra-terrestres ?

      Est-il vrai que les savants de l'armée se liguèrent pour ridiculiser cet homme et en ébranler ainsi la personnalité ? Qui pourra jamais répondre à cette série de questions ? La seule vraie réponse est sans doute, dans cette tombe, sur la "Colline des héros".
"


Fin de citation

      On a en effet beaucoup palabré sur le fait qu' Adamski ait été enterré au cimetière d'Arlington à Washington et les nombreux détracteurs irréductibles nous disent qu'il n'y a , aucun mystère, car cela résulte du simple fait qu' Adamski était un vétéran de la deuxième guerre mondiale, et qu'il avait donc parfaitement le droit de reposer dans ce cimetière. Mais il suffirait pourtant pour faire vérifier cette assertion qu'un intrépide journaliste américain ou pas, découvre la liste des militaires qui appartenaient à la même cellule du Corps d'Armée Adamski (officiers compris) et de voir, par la suite, combien de ces derniers ont été enterrés à Arlington, à côté de leur frère de combat : Adamski. On pourrait aussi avec un peu de chance trouver un document donnant les critères d'admission à ce cimetière, et voir sur le livret militaire Adamski, s'il répondait à au moins un de ces critères. Bon courage aux chercheurs passionnés...

       D'ailleurs, concernant encore ces Messieurs d'ARTE et leurs homologues associés, nous leur demandons ici, pourquoi depuis des lustres, ils ont oublié, de nous dire, dans leurs nombreux documentaires, si le fameux laboratoire mentionné ci-dessus par Adamski, pouvait avoir un rapport quelconque, avec cette superstructure incroyable, qui fait près de 30 km de long, et placée sur la face cachée de la Lune,
telle que :


et avec certains agrandissements, on a :


       Nous avons, dans de très nombreux articles, présenté cette affaire et jusqu'a présent hélas c'est pourtant le glaçant silence de la pierre tombale qui a suivi la publication dès le 28/08/1998 (donc il y a 21 ans en 2019), de notre article clef sur ce sujet :


     Pourtant, les ufologues (qui s'occupent de l'espace et des Ovnis), avaient bien été avertis, par nos soins, dès le mois d'Avril 1974, (il y a donc 45 ans de cela, en 2019), de cette affaire extraordinaire, comme le montre la revue d'ufologie Ouranos de l'époque :

  

     Et voici le texte de présentation :

  

     Hélas cela ne fut pourtant, jusqu'à présent, qu'un simple coup d'épée dans l'eau stagnante de leur indifférence...

     Cependant un jeune écrivain, plutôt inexpérimenté, a bien voulu parler de cette affaire, dans son ouvrage de 1979, tel que :


     Sans même savoir, que l'information en question, se trouvait dans le Paris Match 1028 du 18 janvier 1969, il a écrit à la page 209 de son ouvrage, ce laïus très hargneux :


     Des années, après il a contacté le Webmaster d' ARTivision, et il s'en est excusé, quand il a compris, qu'il avait, lamentablement loupé le coche, que nous avions positionné, juste devant sa porte.

      Il en sera de même, d'ailleurs, bientôt, pour tous les disciples et les béni-oui-oui de la NASA..., qu'il a pu inspirer, à l'époque. Point Barre...

     Fin de la 2e digression.

.      Après cette utile digression, voyons maintenant donc par exemple, ce que l'on découvre ce jour, dans une légende grecque, (hélas que l'on ne saurait datée avec précision), et qui prouve encore qu'au Pôle Nord, il a bien existé, autrefois, l'accès à une civilisation fantastique,les êtres qui y figuraient, vivaient des siècles...

            Et ceci, nous amème tout naturellement à plonger dans l'Antiquité grecque, où l'on parle du Dieu Apollon.

      Voyons d'abord, ce que nous dit le Petit Dictionnaire Larousse de 1988, au sujet de cet Apollon:


     Plongeons donc très succinctement, dans cette affaire dite légendaire du Dieu Apollon, et remontons alors à ce Passé lointain, pourtant, bien plus extraordinaire que les bien-pensants, ne se l'imaginent et passé lointain, si bien explicité par notre Lord anglais, Brinsley le Poer Trench, déjà présenté largement sur notre site, ainsi que le fut cet ouvrage, qui est paru, dans la collection de poche J'ai Lu, dès 1968 sous le n° A 252 :

  

        Mais, lisez plutot ceci, qui est formé, d'extraits tirés des pages 15 et 17 du livre en question de 1968 :


        On découvre là, que le Dieu grec Apollon, se déplaçait dans un char de feu, tiré par des cygnes, et on peut donc là, imaginer qu'il s'agissait d'un engin, ressemblant à ce que l'on appelait aux Indes un vimana, ayant une forme de cygne, ou décoré avec des dessins en forme de cygnes.

       Mais où les rationalistes endurcis, vont une fois de plus, mordre une amère poussière, c'est lorsqu'ils apprendront, que cet Apollon, allait régulièrement se resourcer dans une sorte d' Eden, situé, à notre plus grande stupéfaction, au Pôle Nord.

     Sortons alors à nouveau de nos dossiers, cette affaire de l'Hyperborée de la mythologie grecque, qui nous interpelle aussi, grandement. (Voir aussi à ce sujet notre article :


qui met alors les points sur les Is , dans cette affaire)


      En effet, nous avons sous la main, en ce moment, ce petit fascicule :



       Et, voyons tout de suite, ce qui pouvait être lu, (c'est cela que l'on appelle, une légende), sur les grecs dans leur glorieuse tradition...

    Pour être loyal, disons déjà, que pour faire plus condensé, nous avons recomposé les colonnes de ce texte :



    Nous avons bien lu, et même bien relu, les mots soulignés en rouge, de ce texte inouï.

     Mais, nous avons aussi reçu, il y a quelque temps, de Paris, de notre ancien élève Jean-François, le document suivant, tiré de cet admirable fascicule, qu'il est bien sûr, très préférable, de lire avec une grande attention.


      Et justement en page 39, voilà ce que l'on peut y découvrir :


      Inutile de dire, n'est-ce pas, qu'il convient d'avoir vraiment sous la main, ces deux précédents fascicules, pour en savoir bien plus...

      Il ne nous reste, maintenant, qu'à nous poser la question cruciale :

       " Pourquoi donc ces grecs situaient leur "Paradis ", justement au Pôle Nord, qui est pour nos savants actuels, situé dans une zone extrêmement froide et désertique ?" .

    De plus, on apprend que le dieu "Apollon", rencontra les hyperboréens, peuple vénérable qui ne connaît ni la maladie, ni la vieillesse...

    Curieux n'est-ce pas !!!... Mais la suite qui vient, sera encore plus fantastique, que ne sauraient l'imaginer, nos meilleurs auteurs de Science-Fiction...

       Bien sûr, les psycho-sociaux, (Psychologues, Psychiatres, Anthropologues, Sociologues officiels et consorts affiliés), vous diront, vite fait, que cela n'est qu'un mythe, qui est à relier à l'imagination fertile de l'humain. Point à la ligne...

    Mais ce 17 Avril 2019, le site ARTivision, va démontrer ici noir sur blanc , que ces zélés détracteurs cités, juste au-dessus,, se fourrent le doigt dans l'œil, jusqu'au coude, sans de plus, s'en rendre compte.

    La sagesse populaire antillaise prétend que :

"Sé vyé Cana-nari ki ka fè bon soup ".
"C'est dans les vieilles marmites que l'on fait les meilleures soupes".


    Ainsi la confirmation des propos des hyperboréens, qui ne connaîssent ni la maladie, ni la vieillesse, nous est venue d'un ancien ouvrage publié dès 1924.

    En effet, tout cela, nous est explicitement présenté, dans l'ouvrage surprenant, "Bêtes Hommes et Dieux", du Dr Ferdinand Ossendowski, voyageur polonais illustre, homme de science et écrivain, dont le manuscrit original a été publié cette année là chez Plon, et dont nous ne possèdons que l'édition de poche, publiée au 2e trim. 1970 chez l'éditeur "J'ai lu"A 202, dans la prestigieuse collection hélas disparue, "L'aventure mystérieuse du Cosmos et des civilisations disparues" :

  

     Voici quelques bribes, des pages en question :

     " Le lama Turgut qui fit le voyage d'Ourga à Pékin avec moi, me donna d'autres détails :

     "La Capitale d'Agarthi est entourée de villes où habitent des grands prêtres et des savants. Elle rappelle Lhassa où le palais du Dalaï lama, le Potala, se trouve au sommet d'une montagne recouverte de temples et de monastères. le trône du Roi du Monde est entouré de deux millions de dieux incarnés Ce sont les Saints panditas...

     ...Ils peuvent dessécher les mers, changer les continents en océans et répendre les montagnes parmi les sables du désert. A leur commandement, les arbres, les herbes et les buissons se mettent à pousser; des hommes vieux et faibles deviennent jeunes et vigoureux et les morts ressussitent. Dans d'étranges chariots, inconnus de nous, ils franchissent à toute vitesse les étroits couloirs à l'intérieur de notre planète
""
.


Fin de citation.

      Avouons, que ces propos du Dr F. Ossendowski, surclassent de très loin, les meilleurs auteurs de Science-Fiction, et à l'époque, même un tabloid très réputé, et avide de scoops journalistiques sensationnels, n'aurait pas eu le courage de publier ce qui précède...

     Ceci prouve de plus que le peuple de l'intérieur a des millénaires d'avance sur nous dans la compréhension du Cosmos, et de sa manifestation sur la Terre que nous appelons La Nature. Voir à ce sujet, notre article très écologiste :


      Mais le site ARTivision, va démontrer, que cette affaire de longévité, et du Temps qui passe, est surtout fonction de la structuration de nos pensées . Mais hélas, cela n'est pas encore enseigné officiellement dans nos universités et nos écoles ...

      Nous invitons alors aimablement, ces détracteurs mal inspirés, à lire alors bien attentivement, ce qui suit, et qui est tiré de la page 37, de l'ouvrage d' Aurélia Louise Jones et de Dianne Robbins, nommé "Telos: Révélations sur la Nouvelle Lémurie", :

  


Et, en page 37, on trouve :


      Et pour ceux qui pourraient croire, qu'il y a eu une erreur dans l'impression des zéros, concernant l'âge actuel des Lémuriens, disons alors qu' en page 10, de ce même ouvrage, on trouve aussi déjà ceci :

      " Le peuple fut informé par ses religieux que d'ici moins de 15 000 ans, ses terres seraient complétement submergées. L'espérance de vie étaient généralement de 20 000 ans à 30 000 ans, et l'on comprit que le nombre de ceux qui avaient suscité ces conflits connaîtrait une fin apocalyptique ".

      Dur... Dur, n'est-ce pas à encaisser ...mais le meilleur est encore à venir...


       On pourrait se tordre de rire en douce, s'il n'y avait pas aussi cette déclaration hors norme du colonel Billie Faye Woodard, qui a eu le très grand privilège de vivre malgré lui, dans la Terre creuse, et qui affirme aussi que le peuple de l'intérieur, qu'il a eu l'immense privilège, de visiter, ne connaît pas la maladie, ni la veillesse, Voir alors nos articles :




     " Mon guide Zora, un scientifique de la Terre Intérieure, qui est vieux de 150 000 ans, m'a révélé le fait que ma sœur et moi-même sont à l'origine, de la Terre Intérieure, où vivent nos vrais parents. Quand notre Père de la surface, nous a récupérés chez l'organisme s'occupant d' enfants adoptés, nous ne parlions aucune langue connue, de toute Terre extérieure.

      Mon type de sang est inconnu. Je n'ai jamais eu de maladie quelconque. Mon sang a été examiné par un médecin et détruit toute infection virale lorsqu'il est combiné avec d'autres échantillons de sang dans un laboratoire..."


      Mais, il faut aussi savoir que Billie, raconte qu'il vivait en Alaska en 1986, après ses incroyables aventures dans la Terre creuse. Alors il ne pouvait pas lire les ouvrages Telos 1 et Telos 2, non encore parus, et qui parlent de cette incroyable longévité des lémuriens ( entre 10 000 et 30 000 ans), ce qui est déjà énorme.

      Or Billie affirme que son Guide scientifique Zora, de l'intérieur de la Terre, avait 100 000 ans. Et, si vous croyez, qu'il a été assez fou pour imaginer cela... Alors bravo, pour votre superbe suggestion...

      Cependant pour les puristes, (qui eux, évitent de lire en diagonales, comme les detracteurs zététiques, les lignes toujours mystérieuses d' ARTivision), disons, une fois de plus, que rien ne se passe par hasard sur ce site, qui est avant tout, un site mystico-rationaliste, (mot on le sait, que vous ne trouverez dans aucun dictionnaire), et pour cela ce site, intégre pleinement des affaires dites transcendantes, de très haut niveau et affaires tout-à-fait hors-normes qui ne sont pas n'est pas enseignées dans nos écoles et nos universités, et affaires qui nous sont dévoilées admirablement, par ceux que nous appelons les Maîtres tels que par exemple, ( Sananda, Dratzo, SaLuSa, Mikaël, Dorian, Soria, Saint-Germain, Catherine, Nicole ...etc...).

        Voici donc ici, le sublime propos transcendant Grand Maitre nommé SaLuSa, paru le 16 Sept 2011 à :


qui, nous explique cela :

    " Nous vous rappelons que contrairement à votre cycle précédent, dans celui-ci, il nous fut accordé l'autorité d'intervenir d'une certaine manière ; sinon les forces des ténèbres auraient maintenant détruit la Terre et toute vie sur elle. Cette fois vous vous trouvez à la conclusion de vos expériences dans la dualité, et c'est pourquoi vous allez bientôt rencontrer vos ancêtres de la Terre Intérieure.En ce qui concerne votre niveau de conscience, vous avez suffisamment progressé pour renouveler votre lien avec eux et ensemble vous apprendrez davantage sur vos antécédents. Ce ne sera pas entièrement nouveau pour vous tous, car des contacts avec eux ont été établis de temps en temps avec ceux qui se sont retrouvés pénétrer dans la Terre Intérieure. Les plus notables d'entre eux furent l'amiral Byrd et le colonel Faye Billie Woodard dont les expériences sont bien documentées."


    Fin de citation.

         Surprenant n'est-ce pas, que tout cela !!!

       Mais, pour gagner un temps fou, voici (sans changer les formes et la taille de l'écriture), la méditation en date du 22 Avril, du Très Grand Maître de Findhorn :


La petite voix : Eileen Caddy. Le Souffle d'or (1994).
Méditation pour le 22 Avril, après mise en couleurs d'ARTivision.

       Autrement dit, ce n'est pas le Temps qui manque à chacun, mais, c'est la façon de le concevoir, qui fait défaut.

        Cependant, il nous vient aussi à l'idée, de présentér aussi ici, une information reliée à cette affaire du peuple souterrain, cité ci-dessus, et qui vit des siécles. en parlant d'une ville de l'intérieur nommée Shamballa.

        Voici donc, ce que disait à ce sujet, il y a déjà 43 ans (en 2019) Andrew Tomas dans un ouvrage de circonstance désormais incontournable : "Shambhala oasis de Lumière", publié aux Éditions Robert Laffont en 1976 :

  

     Voyons alors le passage clef de ce livre:

" Dans un article écrit en Asie Centrale en 1935. Nicolas Roerich, (Note du Webmaster: Professeur , explorateur, peintre auteur de l'ouvrage "Heart of Asia" : cœur de l'Asie ), relate ses rencontres avec les indigènes qui lui ont parlé (Les Gardiens ) : " Lorsqu'ils surgissent, en plein désert, lui dirent-ils, chacun se demande d'abord où fut le point de départ de ce long voyage dans cette immense région sans eau, et comment ils purent le réaliser, mais de longues, longues cavernes sans fin ont été découvertes ". Sans l'existence de ces tunnels, l'apparition des gardiens au cœur du Gobi poserait, en effet, une énigme.

     Parler de véhicules circulant à travers des galeries creusées sous les déserts et les montagnes fait penser à la science-fiction, de plus, cette tradition remonte à une époque où le monde occidental ne possédait aucune machine. Mentionner des vaisseaux aériens aperçus dans la zone de Shambhala paraît également fantaisiste mais comme l'expédition de Roerich avançait au voisinage des montagnes de Karakoram, en 1926, ses membres virent tout à coup dans le ciel clair du matin,un disque qui scintillait au-dessus de cette région désertique. Son vol fut observé à l'aide de trois puissantes jumelles. Inopinément, l'engin changea son cap, du sud au sud-ouest, pour disparaître derrière les cimes enneigées de la chaîne de Humboldt (Humboldt Range). Aucun avion, aucun ballon n'aurait pu, en 1926, survoler cette partie isolée de la Chine occidentale. Des machines volantes d'un type inconnu étaient seules capables de réussir les manoeuvres aériennes rapportées par Roerich. A la vue du disque dans le ciel, les lamas qui participaient à son expédition s'exclamèrent :

" Voici le Signe de Shambhala "...


    L'alpiniste anglais, Frank Smythe eut une expérience identique au mont Everest, en 1933. A 9 000 mètres d'altitude, il vit deux sombres objets évoluer dans le ciel. L'un avait des ailes épaisses, l'autre une sorte de bec. Les deux vaisseaux aériens ou spatiaux, étaient nimbés d'un halo. Smythe fut profondément intrigué, cependant, après avoir identifié les pics et les glaciers qui l'entouraient, il fut convaincu de n'être pas victime d'une hallucination. Les objets volants, vus par Roerich et Smythe étaient-ils des engins aériens ou spatiaux venus de Shambhala ? C'est du moins l'explication que, déjà, je proposai à Shanghai en 1935, et elle est encore valable aujourd'hui, faute d'une conclusion plus satisfaisante."


      Fin de citation.

      Nous pourrions en dire bien plus sur cet ouvrage du grand explorateur que fut aussi Andrew Tomas, mais il convient évidemment de préférence de se procurer cet ouvrage remarquable, pour pénétrer vraiment au cœur de ce grand mystère, qu'est Shambhala.

        Mais, ce 20 Avril 2019, nous allons poursuivre notre exploration des faits insolites qui s'attachent aux régions polaires, et pour débuter, présentons ici, quelques bribes de l'article de Mr Pierre Gendron et article paru dans le Science et Vie n° 449 de Février 1955 . (C'est dans les vieilles marmites, que l'on fait les meilleures soupes) :


       Et à la page 82, on trouve ceci :


    Cet article annonçait déjà aussi la couleur, puisqu'il est intitulé :

"Une mission de 3000 savants à l'assaut des terres inconnues du Pôle Sud ".


    Mais voyons en donc, quelques passages significatifs:

"... A l'automne 55, des navires polaires lourdement chargés quitteront successivement la France, l'Angleterre, les Etats-Unis , la Nouvelle-Zélande, L'Afrique du Sud, l'Australie, le Chili, L'Argentine, pour cingler vers le pôle Antarctique. Ils iront installer de nouvelles bases sur le continet polaire austral, bases qui seront occupées un an plus tard par des centaines de techniciens et de savants. Ainsi la France va réoccuper la Terre Adélie à Pointe Géologie, et innovera une base avancée à 350 km à l'intérieur du continent antarctique, là même où se situera le pôle magnétique en 1957...

     ...Quant aux Etats-Unis, ils préparent une expédition fabuleuse décidée à dévoiler les derniers mystères du Pôle Sud. Déjà en 1947, L'expédition "High Jump" dirigée par Byrd, avait bouleversé toutes les données cartographiques du continent en photographiant 800 000 Km² de côtes. Mais en 1957, 10000 hommes, 50 navires spéciaux, une flotte aérienne et sous-marine considérable, des véhicules amphibies et des camions géants, concus spécialement pour la glace, comptent achever la reconnaissance totale de l'immence empire glacé.

    Les observations accumulées par les nombreux explorateurs permettent, cependant d'avoir aujourd'hui (En 1955 bien sûr) une vue générale assez exacte du continent Antarctique : c'est un gigantesque bouclier convexe de 14 millions de km² couvrant le pôle Sud. S'il était situé dans l'hémisphère nord, une de ses extrémités reposerait sur le Danemark et l'autre en Alaska. Il est aussi vaste que les Etats-unis et l'Europe ensemble.

     ...Suivant les dernières évaluations de l'expédition Byrd, la chaîne de Reine Maud, longue de 2500 km aurait une altitude moyenne de 4000 mètres. Les plus hauts massifs sont découpés en dents de scie ou en aiguille et atteignent souvent de 5000 mètres.

     Fait extraordinaire, dans la partie centrale de cette chaîne, Byrd a survolé, en 1947, un immense Colorado dépourvu de glace, dont les falaises roses, rouges et pourpres montraient, à ciel ouvert, sur des centaines de km de longueur, les veines noires d'un des plus importants glissements houillers du monde. Un peu plus loin se dressaient d'étranges montagnes de basaltes de forme hexagonale sur un haut plateau tabulaire.

      Dans la Terre de Marie-Byrd, tout au long de la Chaîne du Comité exécutif, les récentes explorations américaines ont découvert et survolé un sommet qui serait pour l'instant, le point culminant du Pôle Sud avec 7000 mètres d'élévation.

      ...L'expédition allemande "Schwabenland", en 1937, et plus récemment encore l'expédition norvégienne, suédoise et anglaise "Maudheim" ont photographié en totalité et exploré en partie une autre chaîne côtière, celle de la Nouvelle-Souabe longue également d'un millier de km qui reconstitue, en plein désert de glace, le merveilleux spectacle de nos plus belles chaînes alpines européennes.

     Il serait faut de prendre aujourd'hui le Pôle Sud pour une terre morte et ensevelie dans la glace. Au cours des milliers d'explorations aériennes de l'expédition "High Jump" , en 1947, les aviateurs ont eu la surprise de découvrir, en plusieurs points, de vastes zones entièrement libres de glaces où étincelaient d'admirables lacs bleus ou rouges. Sur certains d'entre eux, des hydravions purent se poser. Les équipages se baignèrent dans une eau à température " relativement élevée" et purent recueillir des mousses, des lichens et des algues. L'origine de ces oasis mystérieuses est encore inconnue. Elles sont peut-être le résultat de phénomènes volcaniques ou géologiques.

     Le continent antarctique existe la curiosité des paléontologues, car il contient des indices fossiles qui peuvent conduire à la revision totale de certains chapitres de l'histoire de la vie et de l'évolution. Les étonnantes ressemblances entre la flore et la faune d'Amérique du Sud et celles d'Australie et de Tasmanie d'une part, entre celles de Madagascar et celles de la nouvelle-Zélande d'autre part, sont restées pratiquement inexpliquées jusqu'à ce jour.

     La plupart des naturalistes sont conduits aujourd'hui à admettre la nécessité de "Ponts" continentaux engloutis. Ainsi l'Antarctique aurait été, alors, non seulement le relais entre les divers continents de l'hémisphère Sud, mais aussi un foyer de rayonnement de formes vivantes. La découvertes de mines de charbon, de plantes fossiles spécifiques des régions tropicales ,(glossoptéris, troncs d'arbres silicifiés) en de nombreux points, en même temps que la présence de haut fond au large des continents en présence confirment cette hypothèse..."


     Fin de citation.


     Arrêtons ici voulez vous, cette transcription des quelques phrases de cet article très instructif de Mr Gendron. Vous avez cependant noté les termes étranges utilisés : Fait extraordinaire, merveilleux spectacle, admirables lacs, témpérature "relativement" élevée, l'origine de ces oasis mystérieuses est encore inconnue, plantes fossiles spécifiques des régions tropicales...

      Et, une fois de plus, on s'étonne que l'on ne nous ait jamais montré des images de ces lacs bleus ou rouges, où l'on peut si aisément se baigner en plein Antarctique et qu'une agence touristique futée n'en ait pas profité pour y transporter des audacieux voyageurs avides de sensations fortes...

     On découvre aussi que dans cet article, l'auteur ne mentionne jamais termes de Benguer ou Bunger dont on parlera plus bas, sans doute en ignorait-il en 1955 l'existence...

     Vous avez aussi bien lu que l'auteur parle de l'envoi en 1957, de 10 000 hommes et d'une véritable armada, pour aller soi-disant reconnaître des immensités que tout un chacun considère comme glacées et très inhospitalières, où les températures en dessous de 50° sont monnaie courante et surtout où l'épaisseur de la glace peut atteindre jusqu'à 4200 m, d'après le super dessin en perspective suivant, tiré du Paris Match n° 1088 du 14 Mars 1970 :



        Une question se pose donc ici : " Pourquoi vraiment a-t-on pu engager une armada de 10 000 hommes au moins pour aller seulement reconnaître et cartographier un continent si couvert de montagnes de glace, de neige à perte de vue et où le froid est particulièrement insupportable? ".

       Ne pensez-vous pas que cela cache vraiment des motivations d'une importance capitale non révélées au commun des mortels ?

      Mais allons donc plus loin, dans cette scabreuse affaire :

      C'est le 17 Aoôt 2014, que le Webmaster, du site ARTivision, a eu l'heureuse opportunité de tomber sur un entrefilet d'un journal canadien, placé sur Google à l'url :


:

     Cet entrefilet venant de l'Agence bien connue, "Associated Press", concerne on le voit, une prochaine expédition dirigée par l'explorateur nord américain Richard E. Byrd, dont les exploits furent souvent évoqués, dans nos articles .

    Traduisons avec l'aide de notre amie, Nicole, le debut du texte en question :

     La Marine Américaine s'efforce de calmer les appréhensions des Soviétiques, concernant ses manœuvres en Antarctique.

     Les USA, se rendant compte de l'inquiétude des Russes concernant leurs manœuvres militaires dans l'Arctique, ont donc choisi l'autre Pôle (Note du Webmaster n°1 : donc l'Antarctique) aux conditions climatiques similaires pour effectuer des entraînements pour les navires et tester les armements dans des conditions d'extrême rigueur.

     Une déclaration donnant des détails sur la prochaine expédition en Antarctique, la définit comme étant "de nature essentiellement militaire"
pour "préparer la Marine à affronter des conditions de froid extrême en vue d'opérations futures ... etc ...". (Note du Webmaster : Ceci est déjà très bizarre. Pourquoi faut-il, maintenant, une opération militaire de la Navy en zone glaciale, alors que la guerre est terminée avec l'Allemagne et le Japon. Les soviétiques pourraient alors se dire à juste titre : "Ces américains ont-ils l'intention de s'entraîner au froid sibérien, pour nous y attaquer par la suite ?" )

   Rappelons les quelques lignes, de l'ami Jean ANNE ( hélas décédé le 17/01/03 : Que son âme repose en Paix, désormais) .

       En effet Jean Anne, qui fut à une certaine époque, inspecteur général maritime pour toute la côte d'Afrique, des navires, cargos de commerce, lesquels dans les années 1960/1962, faisaient escale au Gabon pour y charger du bois vers les ports du Nord de l'Europe. C'était un ancien déporté et évadé, ayant appris la langue de Goethe , pendant ces moments tragiques, a su inspirer confiance aux commandants allemands, de certains de ces navires et recueillir ainsi leurs incroyables confidences. Dans son article : euxnousail.html, il nous en dit un peu plus, sur l'éxpédition High Jump : dans son remarquable texte intitulé : Eux, nous & ailleurs

            Voila donc quelques bribes de ce qu'il nous disait alors :

      " " Début de citation :

      " ...Dans la prévision d’un inévitable second conflit mondial, l’Allemagne nazie se préparait méthodiquement. Entre autres préparatifs il était indispensable de prévoir une logistique performante pour la guerre maritime, outre les accords secrets avec des « alliés du Grand Reich » et amis potentiels dans certains pays d’Amérique du Sud pour le ravitaillement et l’avitaillement des navires de guerre, il fallait une base solide et inattaquable pour les sous-marins de la Kriegsmarine. En 1938, un porte-avion le « SCHWABENLAND» embarqua une expédition vers l’ANTARCTIQUE et, arrivés à l’endroit prévu, situé entre le 10° méridien Ouest et le 20° Est et entre le 70° et 75° parallèle Sud (à 10° sous le cercle polaire antarctique), une région libre de glace avec lacs et montagnes bordé au nord par l’Océan Atlantique, les allemands s’attribuèrent 600.000 km carrés de terrains qu’ils baptisèrent « NEU SCHWABENLAND », appellation géographique figurant toujours sur nos atlas sous le nom anglicisé de NEW SCHWABENLAND.. Des flottes entières de sous-marins du type U21 et U23 firent route vers ce territoire et des centaines de submersibles allemands équipés du schnorkel, connu sous le nom de tuba Walter, leur permettant de naviguer sous l’eau durant plusieurs semaines, se dirigèrent vers ce havre et nul ne les revit.  L'image suivante pourrait symboliser tout cela:


    Il est raisonnable de penser que ces sous-marins ne partaient pas à vide, mais outre des "équipages constitués de nombreux techniciens spécialisés", fuyant l’occupation alliée en Allemagne après la défaite, et du matériel sophistiqué y furent débarqués, et aussi certainement des disques volants en pièces détachées ou tout au moins tous les plans et documents technologiques permettant de les construire y furent mis à l’abri... Ce n’est pas sans une bonne raison évidente que fin 1946, sous le commandement de l’amiral Richard, Evelyn BYRD, ayant un passé d’explorateur de l’Antarctique, une expédition baptisée "High Jump" se composant, en plus du navire amiral "Mount Olympus" de deux brise-glace le "Burton Island" et le "North Wind", les transports de troupes "Pine Island" et "Curritruck", les destroyers "Brownson" et "Henderson", le porte-avions "Philippine Sea" et quatre autres navires, « Cannistead », « Capacan », « 3Yancey » et le « Merrick », 4000 marines et 200 avions embarqués avec toute une logistique de guerre prévue pour une opération de plusieurs mois , partit de la base US de Norfolk en Virginie le 2 Décembre 1946 avec pour objectif parfaitement ciblé, la base de Neu Schwabenland. Après avoir installé un camp de base sur une zone centrale à Little America, les zones est et ouest étant couvertes par des patrouilles maritimes et aériennes, le 13 Février 1947 les vols de reconnaissance sur l’objectif commencèrent, mais la perte d’avions et aussi surtout après avoir constaté que les occupants de Neu Schwabenland disposant d’une telle supériorité technologique inattendue seraient invincibles face à la logistique militaire dont était dotée les américains et leurs alliés du moment, le 3 Mars 1947, ordre fut donné à toute l’armada d’abandonner l’aventure et de regagner Norfolk.. Ce à quoi cette expédition fut confrontée reste encore un mystère bien épais...

          Le 5 Mars 1947 , le journaliste Lee van Atta, accrédité lors de cette expédition, publia dans les colonnes du plus grand quotidien sud-américain, le "Mercurio"  une interview de l’amiral Byrd au cours de laquelle il déclara en substance: "C’est dur à entendre, mais dans le cas d’une nouvelle guerre il faudra s’attendre à des attaques d’avions qui peuvent voler d’un pôle à un autre" :



     Il laissa aussi comprendre: "Qu’il y avait là bas une civilisation avancée qui se servait d’une technologie supérieure". Rappelons nous que ces événements se sont passés en 1947.. En résumé que conclure de tout cela : Il y a déjà des millénaires que sur terre, des hommes de civilisations disparues disposant de technologies avancées firent voler des engins, tout comme un peu avant le milieu de notre XX° d’autres furent également capables de rééditer ces "exploits " technologiques dont l’homme de la rue n’a jamais entendu parler, pas plus qu’il ne soupçonne quelle peut bien être la source d’énergie en permettant le fonctionnement. "


      Fin de citation

      Rappelons aussi brièvement, ce qui apparait dans l'incontournable et extraordinaire document d'ARTivision, déjà présenté, dans les volets 2 et 3 de cet article sur ARTE, tel que :

     Entre autres choses importantes en effet, on découvre surtout ceci :

"I'd like somebody to get into that vast unknown area on the other side of the pole "


     Cette affirmation de Byrd est superbe et très explicite:

" J'aimerais que quelqu'un pénètre dans cette immense zone inconnue, au-delà du Pôle"...


       Que dire de plus ici, sinon que, Byrd, vient là de mettre le pied carrément dans le plat. Que ceux qui veulent encore le dédouaner concernant sa découverte extraordinaire, et la considérant comme tout à fait banale, continuent à fourrer la tête sous le sable comme l'autruche, jusqu'à ce qu'ils soient bientôt balayés par le souffle puissant qui approche à grands pas, des révélations incontournables ...

     Mais ce jour, voyons aussi d'autres entrefilets, où il est question de découvertes d'oasis insolites en plein Antarctique par Byrd, et autres consorts explorateurs du coin, et commençons, si vous le voulez bien, par cet entrefilet daté du 12 Février 1947, extrait du "Millaukee Sentinel" en première page sur le site :



     Laissons aux spécialistes de la langue de Shakespeare, le soin de sortir une traduction convenable de ce texte important et contentons nous, modestement du début :

Des aviateurs voient des lacs internes avec des pics foncés.

Par ALton L. BLAKESLEE
Représentant du "Combined American Press"

A bord de USS Olympus Mount fev 11 (Ins)


     La découverte sur le sol glacé du continent Antarctique d'une remarquable "oasis intérieure de couleur pois vert boueuse" et de buttes sombres apparemment de terre nue, a été annoncée aujourd'hui.

   Cette découverte pourrait être une des plus importantes faites par l'expédition de la NAVY

    40 miles (voisins de 66,3 km) d'une region de lacs surplombés de buttes coniques s'élevant jusqu'à 500 pieds ( voisins de 165 m ) coniques dans une zone completement vide de glace placée au voisinage de la Knox Coast par les aviateurs du corps expéditionnaire Ouest le "Tast group" par les avions de la Marine , Lundi. Le capitaine Robert Quackenbush chef d' équipe a déclaré: " La decouverte de lacs et de mornes ressemblant d'en haut à des langues de chocholat permet de supposer que la zone pourrait être suffisamment chaude pour supporter une installation humaine à l'année...etc ... "

          Fin de citation. >


     Dommage que l'on n'ait jamais plus entendu des échos de cette installation d'humains dans le coin.


     Mais voyons alors un autre son de cloche :

    Le 17 Février 2011, nous avons reçu de l'ami Christophe, la missive suivante:

----- Original Message -----
From: Christophe G.......
To: fred Idylle
Sent: Thursday, February 17, 2011 11:39 PM
Subject: Re: NEWS PAPER OF BYRD
     Cher Fred,

     Voici un petit exemple de documents officels du New-York Times qui parlent de ce qui polarise en ce moment ARTivision.

     Pour info je te joins l'url du site et en pj, les docs que j'ai pu télécharger. Bonne chance pour d'autres découvertes...

source :


     Sur ce site tu trouveras, prés de 3778 articles de ce journal concernant Byrd !

     Bien à toi.

     Christophe.

      En ouvrant le document : Byrd N 55 1947 87505528.pdf, on trouve alors pratiquement toutes les photos d'ARTivision consacrées à l'amiral Byrd , et en particulier cette photo, hélas un peu floue, du New York Times du 19 Février 1947 :

     Traduisons approximativement les lignes soulignées en rouge : " Après avoir quitté le Pôle, l'Amiral Byrd dirigea les avions vers la droite afin d'explorer la région qu'il avait décrite comme "la zone la plus inaccessible a la surface de la terre".

     Toujours cette affaire de région inaccessible et évidemment Byrd, ne nous explique pas du tout ce que cela signifie.
     Puis, il y a cette carte de l'expédition :

     Sous la carte, on découvre l'affaire d'une région couverte de mystérieux lacs, et dans les lignes qui suivent, c'est l'affaire de l'Oasis de Bunger, qui est évoquée, sans que l'on nous en dise beaucoup plus, que ce que nous connaissons déjà :


     Mais quelques jours plus tard, on nous en dira tout de même, un peu plus dans le document ByrdOASIS87720893.pdf suivant :


    Notre modeste traduction donne à peu près cela :

     " Oasis dans l'Antarctique.

     La découverte d'une seconde "oasis" dans l'Antarctique par des aviateurs performants de l'amiral Byrd semble confirmer le fait que le continent polaire sud n'est pas le simple étalage continu de zones congelées tel que le monde le conçoit. L'existence de vastes étendues de terre nue parsemées de lacs d'eau douce suggère la possibilité d'établir là, des colonies permanentes, à partir de laquelle les ressources minérales de ces régions accidentées, pourraient être exploitée pour le bénéfice de l'humanité. (Note du Webmaster: Hum, humm...Chacun sait que ce sont toujours les mêmes, bien assis dans la société, qui en profitent).

     Les oasis sont associées dans notre esprit à des palmiers qui poussent dans le désert. Inutile de dire, qu' il n'y en a aucun de ces oasis dans l'Antarctique. (Note du Webmaster :...Bien sûr, c'est le journaliste du New York Times qui parle, et non Byrd)...

     Mais dans l'un des lacs au moins, une trace de vie végétale a été trouvée. Ce lac est environné d'une la glace mince, dans son eau tiede vivent des algues et aussi on y trouve des cristaux minéraux. En effet, cette présence d'algues pourrait être l'origine de la couleur extraordinaire de ces lacs qui, lors de leur survol, donnait l'impression d'une illusion d'optique. Un hydravion se posa sur la surface d'un lac et a changé cette illusion en un fait surprenant explicable. Les lacs étaient là, non gelés. La zone autour d'eux était libre de glace, avec des plages assez larges pour accueillir des escadrons d'avions. Des affleurements coniques de roche rouge foncé ou rose s'apparentaient à de petits volcans. Tout le reste dans cette terre étrangère reste mystérieux et inexpliqué.

     Une expédition scientifique est maintenant sur le chemin de l' Oasis de Bunger. Peut-être qu'au retour des explorateurs Byrd, leur rapport affinera notre information. Il serait important de savoir si ces oasis sont alimentées par des sources chaudes ou s'ils sont simplement des zones ouvertes, comme des tranchées au travers d'un glacier. Cela intéresse le développement futur du continent sud, pour ses sources chaudes, et ses clairières volcaniques qui pourraient être en mesure de soutenir l'activité humaine toute l'année. Quelle que soit l'importance de ces oasis polaires insoupçonnée peuvent avoir, elles sont certainement les plus surprenantes découvertes de l'opération Highjump."


     Vous avez bien noté, que le journaliste du New York Times, a été subjugué, par la présence surprenante, de ces oasis dans une région de l'Antarctique où le - 50°, est plutôt souvent de rigueur .

      A vous de juger, cette nouvelle approche de l'affaire, documents à l'appui.

     En Février 1947, à peu près à l'époque où l'amiral Byrd accomplissait son vol mémorable au-delà du Pôle Nord, une importante découverte était faite dans l'Antarctique, celle de "l'Oasis de Bunger"(dont nous présenterons plus bas la version la revue "Science & Vie" de 1960).

     Nous lisons aussi, dans le livre de R. Bernard :

  

" Le capitaine David Bunger de la Marine Américaine, en mission avec son hydravion pour " l'opération High-Jump " de 1946 à 1947 avait quitté la base de Shackleton près de la Côte de la reine Marie dans la Terre de Wilkes, et volait vers l'intérieur du continent antarctique quand il aperçut une région sans glace, avec de lacs de plus de 4km de long aux multiples couleurs et entourés de murailles de glace. Le capitaine Bunger posa son appareil sur l'un de ces lacs et aperçu que l'eau était plus chaude que dans l'océan des environs. Comment expliquer la présence d'une telle oasis en plein Antarctique, qui bénéficiait de températures plus clémentes comme-ci comme au pôle Nord, cette oasis se trouvait aussi dans la dépression polaire sud ? Ce territoire sans glace d'environ 600 km carrés représentait une trop grand étendue pour être affecté par une source de chaleur volcanique. Les courants de vents chauds en provenance de l'intérieur de la Terre par l'ouverture proche, expliqueraient davantage cette anomalie."
     Mais pour le novice qui découvre ARTivision, par cet article, en voici un certain plus sur cette "oasis", dite de Bunger ou Benguer :

     En Mars 1960, justement nous l'avons déjà évoqué dans d'autres articles, la revue "Science et Vie", dans son n° 510:


nous présentait un événement extraordinaire, qui, chose bizarre, à notre connaissance, n'a plus jamais été repris par la suite dans les colonnes de cette revue, à savoir le fait que les savants soviétiques ont pu visiter, ce que la revue appelle l' "Oasis" de Benguer .( Notez bien l'écriture du mot avec un e ( Ben à la place de Bun), et un "u"de plus et notez surtout les guillemets qui prouvent que le rédacteur de l'article ne pense pas qu'il puisse s'agir d'une véritable Oasis ), 500 km carrés, nous dit-on pourtant, de sol complètement libre de glace, une température de 25° (voisine donc de la température moyenne de notre île de la Guadeloupe), des lacs et des cours d'eau, une maigre végétation de lichens et de mousse, des oiseaux de plusieurs espèces. Notez aussi la prétendue explication qui, devrait être capable de nous faire croire, qu'une température plus basse que -80 degrés, peut passer d'un coup à plus +25 degrés par uniquement la présence de barrages naturels et l'action adoucissante de l'océan (Voir la photo du "Science et Vie" 510):)


  
     Voilà donc, que l'on apprend dans une revue comme "Science & Vie" (qui se veut sérieuse), qu'il existe bien, au Pôle Sud, une zone "paradisiaque", où certains milliardaires n'auraient pas hésité une seconde pour aller s'y s'installer, en transportant par hélicoptère bien sûr, tout le nécessaire, et pour y couler des jours paisibles, sans la présence des curieux. Mais, à notre connaissance, rien de tout cela, ne nous a plus jamais été montré, ni discuté, depuis lors, dans cette revue... A vous de juger...

    Mais cette oasis de Bunger ou Benguer, est-elle désormais reconnue dans les sphéres officielles ? Voici deux ouvrages qui sont en principe réservés aux chercheurs des Universités dans la collection Que sais-je publiés aux Presses Universitaires de France :

  


    Dans le fascicule de Mai 1942 de Mr André Cailleux, voilà le si peu que l'on puisse trouver au sujet de cette oasis de Bunger:

  


    Sur l'image de gauche en page 29, on mentionne bien, comme vous le voyez, cette oasis de Bunger sans plus d'explication ( pas sa température ) et à la page 35 l'image de droite, nous présente la raison de l'augmentation de la température à certains endroits de l'Antarctique: Le sol dépourvu de glace absorbe mieux le rayonnement du soleil et cette température peut ainsi monter jusqu'à 32 °. C'est à peu près l'explication qui a été fourni par le Science et vie n° 510 de Mars 1960 (cité justement ci-dessus), qui lui, ose donner au moins la température de cette oasis de Bunger (ou Bunguer):25° C.

    Quant à l'ouvrage de 1942 de Mr A Thomazi, Bunger et son oasis n'en font pas du tout partie. On y parle bien, des explorateurs polaires comme Hayes, Hall, Greely, Nansen, mais aucune mention n'est faite, de la mer libre, d'icebergs faits d'eau douce, ni d'oiseaux se dirigeant vers le pôle Pôle Nord , ni même de l'aurore boréale, un phénomêne pourtant spectaculaire, qui marque les esprits, et détails, souvent mentionnés par ARTivision dans plus d'une centaine d'articles,, consacrés à ces sujets...

          A vous de juger, tout cela...documents à l'appui
.

       Mais ce 22 Avril 2019, disons que nous avons appris les terribles attentats, qui viennent d'avoir lieu au Sri Lanka, et sur le site :


      On découvre ceci :


      Une fois de plus, le site ARTivision, affirme que ces massacres auraient parfaitement pu être évité, si nos Gouvernants avaient eu le courage d'avouer au monde entier (Et ils seront bien obligés d'avouer bientôt tout cela, vu le développement frénétique des moyens de communication sur Terre) que nous sommes bien arrivés au Temps des Révélations, et que les conjurés d'En-Haut, qui tirent sournoisement les ficelles, n'ont donc désormais que deux solutions, pour neutraliser rapidement et très efficacement, les piètres velléités, des révolutionnaires "va-t-en-guerre" :

- Soit, avouer, le fait que la Lune est habitée, depuis des lustres par des entités très évoluées, (dont la technologie dépasse de très loin la nôtre),et entités qui nous considèrent comme des ninus batailleurs insignifiants...

- Soit, avouer aussi, le fait que l'affaire Roswell, est authentique, et prouve clairement que d'autres êtres cosmiques, visitent la Terre depuis des siècles.
Point à la ligne....


      Rappelons alors, une fois de plus, aux fanatiques religieux et autres anarchistes va-t-en-guerre notoires, (qui pullulent désormais), de notre socièté bancale actuelle, qu'ARTivision, a démontré, noir sur blanc,
que de nombreux textes, nous venant du Passé, ont été trafiqués selon l'humeur et la droiture, des transmetteurs et des traducteurs de toute nature...

       Nous pouvons même affimer, que, par exemple, en considérant, ceux qui ne jurent que par la Bible ( nous préférons parler des textes bibliques, car chaque confession possède sa propre Bible, différente des autres), il faut alors savoir, que le texte d'origine en hébreu, vient de récits, qui se répétèrent oralement d'abord d'une génération à l'autre, par les anciens des villages du peuple hébreu, et ce n'est que quelques siècles avant J.C, que l'on a pu coucher ces récits sur des parchemins. Autrement dit, la Bible, adorée par certains, n'est que le compte-rendu, du condensé, du résumé, d'événements extraordinaires, qui se sont passés dans les temps anciens, et qui ont été plus ou moins traduits de générations en générations, avec toutes les lacunes, les erreurs, et omissions, voulues ou pas, par les copistes et vecteurs, des textes en question.

       Le site ARTivision, a produit de nombreux documents qui prouvent que l'Ancien Testament, parle clairement d'êtres supérieurs nommés Elohim, qui ont trafiqué et manipulé le contexte planétaire terrestre...

       Mais jetons un bref coup d'oeil à l'entrefilet suivant, paru après le massacre de Trèbes, près de la ville de Carcassone, le Vendredi 23/03/2018, où le lieutenant-colonel Arnaud Beltrame, a perdu la vie, avec 3 autres victimes, à cause d'un tireur ignare, qui se revendiquait de l'Etat islamique:



       Et la suite du bas à gauche devient :



        Vous avez bien lu, nous l'espérons, cet aphorisme séculaire et récurent, "C'est le même Dieu que nous adorons entre musulmans, chrétiens et juifs"

        Hélas le site ARTivision, s'est fait pendant déjà 22 ans (en 2019), un strict devoir de démontrer que cet aphorisme est totalement faux, car, il n'est plus besoin de sortir de l'école Polytechnique, pour s'apercevoir que ( par exemple) , le Dieu de l'Ancien Testament, n'est qu'un transfuge, sur le tard, des Elohim... dont le nom très mal traduit, figure bien dans le texte en question, et que par ailleurs chacun peut l'affirmer et le vérifier, que Le Maître Jésus n'a jamais écrit nulle part, que l'Elohim de l'Ancien Testament, était son père spirituel, , dont il rejette d'ailleurs a priori, et assurément, la " loi du Talion", car il affirme clairement : "Vous avez appris qu'il a été dit :" œil pour œil , et dent pour dent ". Mais moi, je vous dis de ne pas résister au méchant... " Matthieu V-38.

      Ceci n'est-il pas bien l'application de la théorie de la "Non Violence", si chère au Mahatma Gandhi, et théorie qui a fait parfois ses preuves ?


      Mais disons aussi que le Dieu de l'Ancien Testament,, que l'on a aussi appelé YHWH, Iavhé, Yahveh, Jéhovah, Adonaï, Êternel, le Seigneur, El shaddaï, the Lord... etc... , n'était en fait qu'un ancètre bien terrestre, de ces les dieux sumériens à peine présentés dans notre premier volet, et qui aimait décimer les peuples, qui ne faisaient pas partie de la communauté humaine très sélective, qu'il avait choisie, et sur laquelle, il pratiquait un eugénisme sévère : voir notre article très significatif:


      Donc pour en revenir aux attentats précédents, que les autorités n'arrivent pas à circonscrire par leurs classiques et dérisoires manœuvres, seules nous restent, les options claires et nettes , déjà présentées plus haut,, sachant depuis des lustres, que ces deux faits extraordinaires, ont été cachés à l'humanité entière, pour de vulgaires questions de stratégies militaires et d'hégémonie politique et économique, et donc pour satisfaire les désirs de puissance des nations, alors que la connaissance de ces événements, porte en elle-même, la raison majeure d'unir l'Humanité, et d'en finir une fois pour toutes, avec ces guerres et tueries dérisoires, qui la déchirent depuis des siècles ...

      Peut-être alors aussi Messieurs les Hauts Dirigeants de cette planète, qui êtes très embarrassés avec ces barbares de jihadistes et autres consorts anarchistes révolutionnaires, qui massacrent sur cette Terre, leurs frères de misère, arriverez-vous alors, à les dé-radicaliser, en leur montrant, au moins, la supersructure du ParisMatch 1028 de la face cachée de Lune, déjà présentée ci-dessus; et dont aucun quidam cultivé actuel, ne peut nous en expliquer, la présence...


      On peut alors pratiquement affirmer, que ces barbares de jihadistes et d'anarchistes va-t-en-guerre, feront sans doute leur acte de contrition, en apprenant qu'ils ne sont que des minus minables, sur cette planète, par rapport à d'autres êtres, qui la visitent régulièrement sans vouloir nous contacter, et mettre le pied dans notre fourmillière débridée et dérisoire...

      Mais pour compléter les étranges propos concernant l'Amiral Byrd, de feu l'ami Jean ANNE déjà vus plus haut, ajoutons les propos renversants, d'un certain COREY GOODE très grand lanceur d'alerte (en anglais Whistleblower), et dont les révélations incroyables, dépassent de loin le cadre restreint, ayant de faibles moyens, du site ARTivision, et dont cependant les révélations, sont elles, plutôt prosaïques:


Photo tirée de Google

       N'ayant aucun document (Photo, écrit déclassifié ou pas) prouvant les dires de ce Monsieur COREY GOODE, nous avons jusqu'à présent, éviter de parler de ses fracassantes déclarations dans cet article.

       Cependant, ce jour, étant donnée les affreux attentats arrivés au Sri Lanka, tirons alors du site :



       " Deuxième partie d'une série de réponses par courriel à des questions et réponses du 14 avril 2015, le dénonciateur du Programme spatial secret, "Corey Goode" (alias GoodETxSG), révèle plus d'informations sur les bases secrètes sur la Lune et les programmes spatiaux militaires classifiés.

       Corey décrit la Lune comme un espace neutre utilisé par divers programmes spatiaux secrets et diverses civilisations extraterrestres, qui ont établi des "zones d'ambassade". Il décrit la Lune comme très similaire à l'Antarctique, qui est utilisée par de nombreuses nations, qui respectent les traités internationaux pour son usage pacifique, même si certaines nations peuvent être ennemies.

       Fait significatif, la description de Corey de la Lune comme zone diplomatique utilisée par de multiples programmes spatiaux et races extraterrestres correspond à celle d'un autre dénonciateur de programmes spatiaux secrets, Randy Cramer (alias Captain Kaye), qui avait révélé ce qui se passait sur la Lune lors d'une entrevue en avril 2014.

       C'est un peu comme à l'Antarctique, il y a ces différentes régions où différents pays et personnes peuvent dire que nous avons obtenu cette région, et nous l'avons obtenue, et tout le monde respecte la revendication ou la région de tout le monde? Que les gens soient amicaux ou hostiles, c'est une sorte de territoire neutre, donc il y a des endroits où ceux qui ne s'entendent pas avec les autres ne peuvent pas être trop éloignés les uns des autres. Mais ils ne s'attaquent pas les uns aux autres... quelle que soit la raison pour laquelle les contrats, les arrangements diplomatiques sont là pour ça"


     Fin de citation


    Mais, concernant justement l'Antarctique, et "comme il faut battre le fer pendant qu'il est chaud", voici, encore une superbe déclaration du sieur Corey Goode, qui confirme tant soit peu, ce qu' ARTivision, a déjà dévoilé au sujet de l'opération High Jump, de l'amiral Byrd des USA.

       En effet sur le site :



        On découvre ceci :

Q7. Vous avez dit que les nazis ont établi une base sur la Lune, et cela a été construit plus tard sur la création du commandement des opérations lunaires. Quand les nazis ont-ils établi leur base lunaire?

       " Ils avaient tenté à plusieurs reprises de créer une base lunaire qui ne s'était pas très bien passée depuis les années 1930. Ils ont trouvé un bâtiment ancien qui a été construit par des êtres beaucoup plus grands et qu'ils ont pu cimenter et réparer suffisamment pour le pressuriser et l'utiliser comme base temporaire pendant qu'ils construisaient la base souterraine qui avait quelques structures visibles à la surface dont l'une avait la forme d'une croix gammée. (Note du Webmaster : voir les photos suivantes que seuls des spécialistes de la Lune, peuvent authentifier :

Première image dont l'url, est placé tel :



Deuxième image, hélas plutôt floue, est placée à l'url, tel que : :



      Des infographistes curieux et audacieux, devraient pouvoir nous mettre vite fait en 3D, si elles sont authentiques, bien sûr, ces extrordinaires images de croix gammées, mais hélas, on ne voit rien venir de plus saillant... Fin de la note sur les croix gammées)


      Cette base était encore en construction lorsqu'ils ont conclu avec les Américains, au début des années 1950, les accords qui leur donnaient accès à la Puissance industrielle, ce qui leur avait coûté la guerre d'Europe. Ils ont maintenant utilisé cette puissance industrielle ("connue ensuite en tant que "Complexe Militaro-Industriel") en leur faveur et ont construit une base massive qui a coulé sur plusieurs niveaux dans une "forme en cloche" et les structures de surface construites autour des anciennes structures pour devenir ce que nous appelons aujourd'hui le Commandement des Opérations Lunaires (LOC).

Q8. Quel groupe d'extraterrestres aida les nazis dans leur combat avec l'amiral Byrd en 1946/1947 et développa une présence hors du monde?

       Il y a eu l'aide de la Fédération Draco ainsi que d'un groupe que les NAZI ont été amenés à croire qu'ils étaient des ET (appelés "Arianni" ou "Aryens", parfois appelés "Nordics") mais qui étaient en fait une civilisation Humaine Ancienne de type "Civilisation de Rupture" de la Terre, qui avait développé un Programme Spatial (appelé "La Flotte d'Argent") et créé de vastes bases sous les montagnes himalayennes (la plus grande au Tibet).

       Le premier vaisseau qu'ils construisirent utilisait des turbines Mercury, et les moteurs électro-gravité furent développés avec l'aide de ce groupe. Encore une fois, les NAZI et à ce jour beaucoup d'humains de la Terre qui sont en contact avec eux et d'autres les croient être des ET (à cause de leurs manipulations) alors qu'ils sont en fait des humains basés sur la Terre issus des anciennes civilisations ayant vécu une "Civilisation de Rupture".

       J'ai fortement évité de parler en profondeur des quelques civilisations terrestres anciennes qui ont des programmes spatiaux et des bases massives sur la Terre, la Lune et ailleurs dans le système Sol et d'autres systèmes Sol. Certains d'entre eux ont été extrêmement trompeurs et ont convaincu certaines personnes qu'ils sont des groupes d'ET qui sont là pour aider l'Humanité....

       Ce qui est encore plus troublant, ce sont ses révélations au sujet d'un programme spatial nazi secret qui est devenu opérationnel pendant la Seconde Guerre mondiale malgré la défaite des puissances de l'Axe. Les nazis, selon Corey, se sont échappés dans des bases secrètes en Amérique du Sud et en Antarctique, où ils ont établi une alliance avec un groupe d'extraterrestres appelés les Reptiliens Draco. Les nazis réussissent alors à vaincre une expédition militaire punitive de l'amiral Byrd appelée Opération Highjump en 1947. Corey dit qu'après une démonstration de supériorité technologique nazie lors du passage de l'OVNI de Washington en 1952, l'administration Truman et Eisenhower ont négocié des accords avec la civilisation dissidente nazie. Les nazis ont ensuite infiltré le système de sécurité nationale des États-Unis d'une manière qui a sapé l'indépendance et l'intégrité de divers programmes spatiaux américains et internationaux, tant civils que militaires. Le travail d'esclave était une pratique majeure dans les industries nazies de la Seconde Guerre mondiale, il semble que cela se poursuit avec les organisations que la civilisation nazie séparatiste a infiltré comme ICC opérations sur Mars.


Michael E. Salla, Ph. D.

       Comme on le voit, ce Monsieur Corey Goode, n'y va pas avec le dos de la cuillère, mais aucune photo, et aucune preuve tangible, ne viennent appuyer ses déclarations.

      Ce que raconte ce Corey Goode, serait vite considéré comme de la Science-Fiction, s'il n'y avait pas, ces autres lanceurs d'alerte, tels que les nommés, McClelland, Johnston, Musgrave, aussi d'autres comme les Andrew D. Basiago, Michael Relfe, Arthur Neumann, Henry Deacon, et surtout Carolyn Hamlett, qui dit avoir vu une base de la Lune, où elle a été emmenée, après avoir été enlevée, et il y a aussi Niara Terela Isley ( et cette dernière a même publié un ouvrage intitulé Facing the Shadow, Embracing the Light (2013)). Il y a aussi Laura Magdalen Eisenhower (petie fille du Président bien connu), qui parle de bases installées sur Mars, depuis belle lurette. (Voir alors le site: basiago-et-eisenhower.html).

      Mais, il y a encore mieux, quand les Corey Goode, et Vladimir Terziski, parlent de consortium astronautiques de diverses flottes militaires de terriens, utilisant des énergies inconnues ici bas comme l'antigravitation, et expliquant l'arrivée des allemands sur la Lune, dès 1942, puis des russes et des américains dès les années 50. Dur... Dur, à encaisser n'est-ce pas !!!

     A vous de juger tout cela, en connaissance de cause...

        Mais, ce 24 Avril 2019, au lieu de poursuivre, notre exploration des mystères polaires de notre planète, nous sommes obligés ici, étant donnés, les affreux événements de Sri Lanka, de monter le niveau de notre exposé, afin de confondre véritablement, les naïfs moutons de Panurge, qui se sont laissés berner par le chant hypocrite, des sirènes des Hauts Dirigeants déloyaux, de cette planète.

        Allons alors directement à la découverte sensationnelle, d' ARTivision, (qui pourtant n'a fait ni chaud, ni froid, aux astronomes et consorts cosmologistes ou autres intellectuels blasés officiels, et nous espérons que là, les journalistes de la chaine ARTE et consorts affilliés, ne vont pas une fois de plus, fourrer la tête sous le sable ainsi :

tiré de L'ouvrage "A identifier et le cas ADAMSKI" de J.G.DOHMEN 1972 )

     Disons alors, que pour résumer cette affaire extraordinaire, elle consiste en la découverte d'un monolithe très structuré, et d'une arche gigantesque dans le cratère Rutherford de la Lune, sur un bord du grand Clavius...

      Toute cette affaire a démarré, vers la fin de l'année 2001, quand le Webmaster du site ARTivision, ( site on le sait, en priorité artistique), découvre dans sa bibliothèque, ( Merci une fois encore à Super Hasard), un ouvrage de vulgarisation en astronomie où apparaissent, dans le cratère Rutherford, de la Lune des structures tout à fait insolites, visibles à l'œil nu, et structures qui ont été neutralisées, sur toutes les autres photos de la NASA. ( et en cherchant bien un peu, on trouverait certainement beaucoup d'autres structures de même nature. Bravo à l'infographiste curieux qui les découvrira).

     Cet ouvrage, que nous possédons dès l'année 1973, porte le titre "Des Astres, de la vie et des Hommes", de l'astrophysicien américain Robert Jastrow, ( 7 Sept 1925 - 8 Février 2008), et publié en 1972 par les Editions du Seuil à Paris, sises à l'époque au 27, rue Jacob, Paris 6e :


     Et à la page 86, de cet ouvrage, on découvre cette image :


     Et si nous agrandissons, la partie encadrée, on obtient en page 87:


     Mais voyons cela de plus près :


     Jetons maintenant un rapide coup d'oeil sur le grand cratère Clavius, où nous apercevons une étrange configuration dans le petit cratère Rutherford (61 ° S, 9 ° W).

      Et voici maintenant un agrandissement de la zone cerclée de rouge :

  


     Selon nous bien sûr, on y découvre, une profusion des formes géométriques spéciales, avec de nombreux blocs à bords parallèles et à angles droits. Tout cela ne laisse, aucun doute, sur le caractère artificiel des structures que l'on y voit, et cependant Mr Jastrow, n'y fait nullement allusion dans son ouvrage, et c'est , pour un quidam bien candide, vraiment, fourrer la tête sous le sable, comme l'autruche, pour n'y voir que des formes naturelles...

     Cet ouvrage qui est paru en anglais dès 1967, est très connu dans les milieux de l'Astronomie anglosaxone, sous le titre "Red Giants and White Dwarfs", de Robert JASTROW, chez Harper and Row Publishers incorporeted, à l'époque situé à : 49 East 33rd Street New York N.Y. 10016 .

      Nous avons le privilège de possèder la 3 ème édition de 1969, en version de poche, publiée par The New American library (Signet Science book Y4741) et dont voici les deux couvertures:

   


     En page 109, on trouve alors bien sûr, la même image, et en l'agrandissant, on a :


     La flèche rouge nous indique que le complexe très structuré de Rutherford, est toujours là. et on y voit bien une sorte d'obélisque surélévé sur une plateforme carrée. On y voit aussi cette sorte d'arche gigantesque en suspension sur du vide, puisque son ombre, apparaît en-dessous de son extrémité comme l'indique la flèche bleue. Notons toujours à droite de cette arche, de nombreux blocs à bords parallèles ou orthogonaux .

     Surprenant n'est-ce pas...que tout cela !!!

     Nous avons même poussé l'audace, à commander la version plus récente de 1990, du livre de Robert Jastrow, et aussi intitulé "Red Giants and White Dwarfs", considéralement agrémenté d'images nouvelles dont plusieurs en couleur ( le cratère Rutherford y est aussi ignoré totalement), pourtant, il y figure telle que :

  


      Et, en page 119, on y trouve aussi ceci, de déjà vu :



     La photo ci-dessus est de l'observatoire du Mont Wilson, et devrait remonter à plus de 50 ans, à l'époque, on le sait, où personne ne se préoccupait de traces d'extraterrestres sur la Lune...

     Le négatif de cette photo, doit bien dormir quelque part dans les dossiers de Mr Robert Jastrow, et il faut absolument le retrouver. Mais hélas, ce Mr est décédé en Février 2008, et c'est surtout lui, qui aurait pu nous dire, où avait été archivé, ce négatif.

          C'est alors que, nous avons ensuite eu l'idée de demander notre ami londonien Eric Barkian de se charger de contacter l'Editeur américain Harper and Row pour savoir s'il avait gardé par chance, une copie de ce très précieux négatif :

   Voici la missive que nous avons reçue de lui :

----- Original Message -----
From: Eric Barkian
To: fred.idylle
Sent: Monday, February 28, 2005 12:49 PM
Subject: Echos de mes recherches "Red Giants and White Dwarfs"

Cher Fred,

   Vous m'avez contacté, le mois dernier, afin de vous aider à retrouver le négatif d'une photo publiée en 1971 dans l'ouvrage "Red Giants and White Dwarfs" de Robert Jastrow aux Editions Harper and Row.

   Mes recherches se sont vite orientées vers le groupe d'Edition Harper Collins auquel j'envoyai une requête et qui m'informait, quelques jours plus tard que le groupe n'était plus propriétaire des droits d'auteurs et n'avaient donc plus le document en question en leur possession. Il m'était précisé que puisque le livre n'était plus publié, il était très improbable que le négatif existe encore et m'était suggéré de contacter le cabinet Greenbaum, Wolff & Ernst, à New york, spécialisé dans les transactions de droits intellectuels.

Mes investigations m'apprenaient que ce cabinet n'existait plus.

   Il me restait, comme vous l'aviez vous même suggéré, à explorer une derniere piste: contacter l'observatoire qui avait pris la photo, celui du Mont Wilson.

   Apres une rapide visite sur leur site, je leur addressai un e-mail pour leur faire part de mes recherches.

   L'observatoire me conseillait de prendre contact avec L'observatoire de l'Institution Carnegie de Washington qui mettait un point final à ma recherche en m'informant que l'Institution n'avait plus de copie du négatif en question et qu'il était improbable que celui-ci existe encore.

   A bientot donc.
Eric.


   Comme vous le voyez, chers puristes le Maître Temps, a fait son œuvre, et il fallait hélas penser à tout cela plus tôt, surtout si l'on avait les moyens, comme certains éditorialites et groupes médiatiques qui ont pignon sur rue dans cette socièté. Mais ils préferaient à l'èpoque donc fuir les reportages conduisant à la découverte d'une dimension plus cosmique de notre humanité.

        En voici un exemple, parmi tant d'autres :

   En effet, plusieurs Chaînes de Télévision, n'ont-elles pas, il y a quelques temps, dépêché juqu'aux USA, des "super envoyés spéciaux", pour retrouver les méfaits d'un habile escroc qui a grugé de nombreuses personnalités importantes du Show Business, comme s'il n'y a avait rien mieux à faire que d'encourager d'autres escros, à agir davantage, encore dans le même sens, pour faire ensuite, la Une des journaux à sensation, bien que l'on sache que ce genre d'émission pourrait très modestement, servir aussi à avertir les gens encore crédules qui ont pourtant déjà été mis en garde par la presse et la radio ? Mais n'y a-t-il pas, n'est-ce pas, bien plus de sujets importants, à monter en épingle, que cette affaire d'escroc, dans ces temps difficiles de la planète ? A vous de juger !

      Donc, Messieurs, les journalistes, les astronomes et consorts écrivains, et autres bibliothécaires, qui ont eu en main le livre de Jastrow en question et qui n'ont absolument rien vu concernant ces structures fantastiques de ce petit cratère Rutherford, placé on le sait, à la page 87 du livre en français, peuvent faire leur mea culpa, en découvrant la superbe phrase de Lionel Hubert dans son ouvrage : "les phénomènes Psi", aux Editions F. Lanore, Avril 83, page 61 :


"Ce n'est pas la lumière qui manque... mais, c'est le désir de voir, qui fait défaut"

     Mais, comme il n'est jamais bon d'avoir un seul son de cloche ( bien que cette fois notre cratère Rutherford apparait ici, dans 3 ouvrages de 3 éditions différentes, que nous possédons), nous devons une, fois encore, remercier vivement Super Hasard, pour nous avoir permis de mettre la main, sur une autre image du cratère Rutherford, ne venant pas de la NASA....

     En effet, en feuilletant, un peu plus avant, cette même revue (déjà mentionnée plus haut), de Science&Vie d'Avril 1964, dont étant donnée son importance, nous vous donnons une fois de plus, la couverture :


     En arrivant alors, jusqu'à la page 69 de cette revue, devenue incontournable pour ARTivision, nous sommes tombés à la renverse, en y découvrant une photo, pas très superbe, il est vrai, mais assez significative, de, devinez de quoi...

du cratère Rutherford, et qui de fait, est tel que :


      Un spécialiste pourra dire un jour, si cette image a été retouchée ou pas. Nous n'en avons pas la capacité. Cependant faisons une petite comparaison, et voilà ce que cela donne :



      Il y a beaucoup de concordances entre ces deux photos n'est-ce pas !!!

     Peut-être aussi qu'un aimable internaute parlant l'anglais couramment, pourrait-il obtenir une autre photo de Rutherford, d'un autre observatoire astronomique (par exemple celui du télescope terrestre Keck du Mont Mauna Kea, à Hawaii. Nous avons écrit pour cela le 5 Mars 2009, par envoi postal, à l'Observatoire en question, et nous n'avons jusqu'à ce jour, reçu aucune reponse, Voir les pages en question placées à :


         Peut-être chers puristes, que vous aurez plus de chance que nous, en écrivant au Grand Télescope des Canaries, GTC) . Mais nous, nous refusons évidemment toute photo venant de la NASA, surtout par la sonde Clémentine.

         C'est alors qu'intervient, notre ami passionné des choses de l'espace, José Frendelvel:

    Le 20/02/02 nous avons reçu de l'ami José le message suivant:

----- Original Message -----
From:José F.
To Fred Idylle
Sent: Wednesday, February 20, 2002 1:18 PM
Subject: Re: revelations à Clavius

Cher Fred

    J'ai pris le temps de regarder de plus près cette zone lunaire car l'impression d'une colonne est en effet assez saisissante. Toutefois cette colonne au centre du cratère Rutherford devrait alors des dimensions gigantesques puisque le cratère Rotherford fait 48 km de diamètre.
  Voici la zone des cratères Clavius et Rutherford vue par la sonde Lunar Orbiter 4 en 1967 (4-130-h3.jpg).

   

   Cette photo correspond à peu près à la zone encadrée de la seconde image. Clavius est le grand cratère, tandis que Rutherford est le petit cratère interne cerclée en rouge pointillé.
  La forme de colonne est déjà nettement moins évidente.
  Alors que la photo de Lunar Orbiter est prise pratiquement à la verticale du lieu, celle du Mont Wilson est prise très en biais. Par conséquent s'il y avait une immense colonne  au centre de Rutherford, elle ne devrait pas apparaître dirigée vers le haut, mais vers le bas-gauche.
     Voici maintenant des photos de la sonde Clémentine en 1994.
    Le cratère Rutherford est toujours encerclé en rouge.

 


   Il semble donc à priori que cette "colonne"soit due à un effet d'ombre.
  Par ailleurs c'est en explorant ainsi piste après piste que l'on finira par trouver quelque chose.
  Bien cordialement.
..........
     Revoyons alors les images de Rutherford vues par Clémentine de José Frendelvel :

 


     A moins que cela soit dû à un jeu de lumières parasites, qui annulle tout relief notable, nous voyons clairement que ces deux photos de Rutherford sont totalement différentes de celle de Jastrow vue plus haut.

     Le vendredi 3 Octobre 2014, nous avons reçu de notre amie très vigilanteAurélia (http://www.unepetitelumierepourchacun.com ), les photo de Rutherford prise à l'époque par Clémentine, et aussi par la sonde lunaire LRO :

   

    Puis concernant la sonde lunaire LRO :

   

     Jamais on ne voit le pilier central et surtout la fameuse arche, si bien caractérisée .

     Cela n'a rien à voir, n'est-ce pas avec la photo de Clémentine. Voyez plutôt :

     


     A vous de juger ces étranges différences, de formes et de structures de ces deux images.

    Nous avons alors, encore ici, une preuve absolue, que l'on se moque majestueusement, de nous.

     Alors, pensez-vous que la NASA soit encore crédible ?

   Bravo donc à l'ami josé Frandelvel, pour les informations précieuses et rapides qu'il nous apporte sur le cratère Clavius et son petit voisin Rutherford.. C'est là que l'on voit combien l'internet est un précieux média.
   En ce qui concerne les images transmises, nous constatons d'une part que l'image de Luna orbiter 4, tout en montrant un pilier bien moins structuré que celui du Mont Wilson, présente juste à sa gauche une forme très en relief en W évasé, tandis que l'image de sonde Clémentine, où la résolution est plus grande, ne nous montre plus du tout ce W et de plus le pilier est devenu comme par enchantement une colline aux formes bien arrondies.

     D'autre part, nous avons découvert comme par hasard le 22/02/02, une autre photo de Clavius  prise par un télescope de 305mm Schmidt-Cassegrain:

    Bien que l'intérieur de Rutherford, soit malheureusement dans l'ombre, le bout de la flèche fait apparaître cependant une structure bizarre, jointe à une flèche pointue, qui ne semble pas être du tout apparente, sur les photos de la sonde Clémentine. Sans doute, nous dira-t-on que, c'est encore un effet d'optique qui nous cache la structure en question :

         Notez bien aussi que les dirigeants du fameux télescope Hubble, ne nous ont jamais officiellement, présenté une seule petite photo de Rutherford. Si vous en trouvez une dans un petit coin ne nous oubliez pas Messieurs les journalistes curieux d' ARTE ...

A vous de juger.

         Mais voici un petit plus significatif tiré du site : http://www.astrosurf.com/iluj/5%20fevrier%202012.html


          Pas besoin de sortir de Polytechnique pour voir que là encore, le cratère Rutherford a été caviardé à souhait, et mesurons en mm, les deux cratères Clavius et Rutherford :


      Comme les résultats dépendent de l'agrandissement choisi, les mm sont remplacés par un petit u.

Sur le site :


, on decouvre, le diamètre de Clavius et de Rutherford :

      On voit ainsi que, selon la prise de nos mesures le cratère Clavius messure 225 km de large, notre Rutherford mesurerait alors : (225X26)/110= 53,1818, et avec l'imprécision de nos mesures, nous arrondissons volontier à 53 km, bien que le site en question, nous donne pour Rutherfurd (en anglais) : 75 km.

     Avec nos mesures approximatives, nous en déduisons alors, pour l'arche qui donne 5 mm sur notre image imprimée, et Rutherford 15 mm : (53 x 5 )/ 15 = 17, 66 soit arrondi à 17 km, pour l'arche en question ...


     Donc en conclusion, cette arche est bien gigantesque, et ce ne sont pas de minus entrepreneurs, qui l'ont érigée... n'est-ce pas !!!

           En terminant, nous avons une petite pensée pour le regretté de Stanley Kubrick dont l'admirable film "2001 L'odysée de L'espace" nous a fait rêver en son temps. Or le scénario de ce film est d' Arthur C. Clarke (membre de l'Académie Astronautique, inventeur des satellites artificiels, prix kalinga de vulgarisation) qui avait imaginé, comme par hasard, que c'était justement dans le cratère Clavius (qui contient Rutherford) que l'on avait découvert un monolithe en forme de parallélépipède, signe du passage sur la Lune, d'une civilisation très avancée. L'auteur a pourtant choisi, ce cratère parmi des milliers d'autres. Comme le hasard fait bien les choses, ne trouvez-vous pas?

        Finalement tout ce qui précède, montre de manière irréfutable, que certaines photos des télescopes, et celles de sondes spatiales, sont trafiquées à souhait, pour les rendre totalement naturelles et les vrais conspirationnistes sont ceux qui manipulent ces photos de la Lune pour que l'on ne sache pas que nous ne sommes que des minables, mesquins, minus (les 3 m ), vis à vis d'êtres très évolués qui pourraient comme dans les temps anciens, nous aider si l'on n'était pas devenus de belliqueux va-t-en-guerre, sous la férule des dirigeants assoiffés d'or maudit, et de gloire éphémère, de nos communautés à la dérive.

      Disons aussi ici, que si l'astrophysicien américain Robert Jastrow, n'a jamais fait allusion dans les 3 ouvrages signalés plus haut, aux diverses structures insolites du cratère Rutherford, c'est pour une raison bien précise, car selon nous, il a dû certainement découvrir cela, en choisissant scrupuleusement les images à paraître dans son ouvrage.

      Cependant, il ne pouvait en parler à l'époque, où il n'était pas du tout très prudent pour un astronome d'évoquer, la présence d'extraterrestres, autour de nous. Il a donc, si l'on peut le dire ainsi, jeter en douce "une bouteille à la mer", et c'est ARTivision, qui l'a très heureusement récupérée. Point barre...


    Mais, le site ARTivision, n'est pas resté inactif à ce sujet, car d'abord nous avons contacté le 30/06/2003, les Editions du Seuil à Paris, sises à l'époque au 27, rue Jacob, Paris 6e, éditeurs en 1972 en français du livre, de Robert Jastrow, et nous avons hélas, fait chou blanc, car les responsables de cette maison, n'ont pas su nous dire, où se trouvait actuellement, ce précieux négatif, et pourtant notre missive possédait une très haute priorité, et nous avions bien précisé que notre recherche était de la plus haute importance. Cependant, ils n'ont même pas été capables de nous fournir l'adresse, (qu'ils ont obligatoirement connue), de l'éditeur américain du livre qu'ils ont traduit.

      Ces responsables de la Maison en question, et les bien-pensants blasés actuels(astronomes, astrophysiciens et consorts chroniqueurs des choses de l'espace, qui ont eu en mains l'ouvrage en question ), et qui n'ont pas reconnu, cette admirable "bouteille à la mer", de Mr Robert Jastrow, ont donc lamentablement loupé le coche, que le site ARTivision, avait conduit juste devant leur porte, et, ils s'en mordront bientôt les doigts jusqu'à l'os, car le Temps du Grand Déballage est arrivé, et ils ne pourront même pas prendre le train en marche, et l'on sait déjà pourquoi !

          Bravo tout de même, par anticipation donc, aux intrépides internautes infographistes, qui réussiront à reconstituer en 3 D, le précieux négatif en question.

       Mais, pour les quidams ignares blasés du système, voilà un complément d'information, qui confirme parfaitement l'initiative bien secrète lancée en douce, par Mr Robert Jastrow avec cette superbe "bouteille à la mer" :

        En effet, voici cependant, pour les très irréductibles sceptiques un petit plus, montrant une activité archéologique et technologique remarquable sur la Lune :


   

       Mais, vous avez aussi, ce que la Chaine ARTE, évite soigneusement de montrer dans ses reportages sur l'espace :


       Cette image est tirée, de l'ouvrage, du très grand chercheur et ami, que fut Alfred NAHON et intitulé on le sait, "La Lune et ses défis à la Science ", en 1973 .

      Ici, on voit clairement,
un engin excavateur gigantesque qui triture le sol lunaire (voir la structure très insolite au centre du cercle), sur un contrefort du cratère Copernic, déjà bien raboté, sur sa droite, n'est-ce pas !!!

    Selon nous, cet engin excavateur gigantesque, ne se déplace certainement avec des roues et un moteur thermique utilisant des énergies fossiles, déjà démodées sur Terre.

      Il est donc bien plus certain, que l'engin en question, utilise un moyen antigravitationnel non connu de nous, pour extraire du sol du cratère, des minéraux, utiles aux occupants de la Lune.

      Mais, analysons maintenant, la structure bizarre, placée à l'intérieur du cercle de l'image, déjà vue plus haut :


    N'empêche, qu'il faut vraiment, vouloir imiter l'autruche, pour dire, que ceci qui suit, est tout à fait naturel :

     Si l'on sait que ce cratère Copernic, mesure environ 93 km, un calcul élémentaire donne pour la largeur de l'engin excavateur, près de 12,4 km, que nous arrondissons volontier, à cause de l'imprécision de nos mesures à : 12 km....

       Comment donc, il se fait, qu' un engin de près de 12 km, est passé totalement inaperçu, dans les colonnes des revues d'astronomie et consorts analogues ?

      Bien sûr, aucune autre photo moderne de Copernic, ne nous présente ce super engin excavateur, et par exemple, voici une comparaison avec une photo de Copernic (à gauche), tirée du site moderne :



Le rabotage latéral blanchâtre de droite, est dès lors, très clairsemé, et bien sûr, le bidule excavateur a totalement disparu.

     Mais, ce que le puriste, doit aussi savoir, c'est que cette image de Copernic, est tirée d'abord, de l'ouvrage très scientifique, publié chez l'Editeur D. Reidel Publication à Dordrecht, en 1969, du grand astronome et mathématicien tchèque Zdenek KOPAL
, qui vivait alors en Angleterre:

       Le 4/12/2017, nous avons eu le privilège de recevoir par internet, son livre très savant, tel que :


      Et, pour ceux qui lisent bien l'anglais, il y a dans cet ouvrage à la page 251, une sublime comparaison, à la même échelle, du cratère Copernic, à deux époques différentes, et avec deux télescopes du moment. A vous de juger, les différences et d'en déduire, les raisons :


      Nous avons surtout souligné en rouge, que la photo de droite vient de l'Observatoire français du Pic du Midi. Le mot "récent", pourrait signifier, une date entre 1967 et 1968. Mais cela pourrait être, une toute autre date.

      Nous formulons donc ici déjà, le grand espoir qu'un courageux infographiste, pourra enfin, nous mettre en 3 D, le bidule excavateur en question, qui est, on le voit bien, tout à fait hors-normes
.

      Mais ces derniers temps, en fouillant dans nos dossiers, à la recherche d'une information sur le Yéti, Super Hasard, a encore marqué un grand coup.

      En effet, nous sommes tombés sur un curieux article concernant la Lune, du Science et Vie n° 495 de Décembre 1958 , où figure devinez quoi... le fameux cratère Copernic.

      Voici d'ailleurs, les deux premières pages 98 et 99 de l'article en question :


      On voit alors en haut et à droite, de la photo de la Lune, le cratère et question :


      Inversons l'inage, pour qu'elle soit dans le même sens, que celle évoquée plus haut :


On observe alors le fait que le contrefort droit de Copernic est tout aussi raboté en Décembre 1958 , que sur cette photo tirée, 11 ans plus tard, du livre de l'astronome Zdenek KOPAL
déjà présenté plus haut :


Rapprochons ces deux images, pour mieux voir cela :

  

      Le Truc de copernic manque donc sur la photo de gauche, qui nous dit-on vient de l'observatoire Wilson qui on, le sait est situé en Californie :


Il serait donc utile n'est-ce pas, de savoir à quelle date exacte (avant Dec 1958) le cliché de gauche a éte pris à cet pbservatoire Wilson ? Comme vous le voyez, sur ARTivision, chaque petit détail a son importance , et doit être exploré à fond, pour en tirer sa substantifique moelle, en temps utile.

      Tout ce qui précède, selon nous bien sûr, met au pied du mur, toutes sortes de conféries religieuses ou pas (jihadistes décérébrés belliqueux et va-t-en-guerre qui préfèrent tuer leurs compatriotes pour des idées stupides et anachoniques), prenez en donc, de la graine, car vous etes exactemement, au même niveau que deux tribus amérindiennes voisines d'Amérique du nord, ( par exemple les Sioux et les Comanches), qui s'entretuaient à l'époque de Christophe Colomb, à l'aide de flèches bien aiguisées et empoisonnées, pour une vulgaire et futile question de zone d'influence, ou d'une infignifante limite territoriale.

     C'est alors qu'arrivent, à leur plus grande stupéfaction, ceux appelés au Nord, pudiquement les pionniers, et au sud les conquistadors, munis de chevaux effrayants, de canons tonitruants, et de fusils qui tuent à de longues distances, et envahisseurs qui chassent sans remords les belligérants, dont nous venons de parler, pour s'emparer de leurs précieuses terres, faisant l'objet des litiges évoqués entre les deux tribus.

     Que pensez-vous qu'il arriva ? Croyez-vous vraiment que ces amérindiens vont continuer à se battre entre eux, sous le regard cynique et amusé, de leurs envahisseurs ?


     Nous pensons au contraire, que ces deux peuples amérindiens vont vite s'unir pour faire front, sans doute hélas d'une manière dérisoire, à la nouvelle menace venue de l'Est....

      Mais, sachez, Messieurs les va-t-en-guerre, qu'il ne vous reste que peu de temps pour agir dans le même sens que ces améridiens, et vous allez vite, savoir pourquoi !!


     De même, Messieurs les gilets jaunes et autres anarchistes, réclamant le suicide de leurs fréres de misère terrestres, ou autres consorts intellectuels bien intégrés dans cette socièté désabusée, qui s'en va à vau-l'eau, ne soyez plus comme des quidams blasés qui cherchent à lire un DVD, avec un gramophone (de 1920 réservé aux disques de 78 tours), mais, montez donc, un peu plus, le niveau de vos légitimes revendications, et, vous obtiendrez, bien plus, que des miettes économiques, à savoir l'énergie gratuite... et tout le reste, viendra ensuite par-dessus.


        Nous voilà déjà arrivés, au 28 Avril 2019, et après avoir démontré qu'en Très Haut Lieu, on nous prenait assurément pour des débiles mentaux, que l'on peut noyer à foison d'images truquées de la Lune, nous allons, poursuivre notre investigation dans un domaine, bien plus, terre à terre, mais tout aussi manipulé à la barbe des médias pourtant, on le sait bien, toujours plus assoiffés de sensationnel, et médias, qui se sont faits bernés tout autant....

        Là, cependant, les journalistes blasés d'ARTE et leurs consorts affiliés, ne pourront pas du tout , démentir la démontration des experts scientifiques cités:

      Commençons, si vous le voulez bien, par l'affaire dite conspirationniste par les détracteurs de tout bord, de l'assassinat du Président Kennedy, le 22 novembre 1963 à Dallas.

      On devine aisément que le Gouvernement, avait tout intérêt à éliminer la thèse du complot, pour tout mettre sur le dos du malheureux quidam du coin Lee Harvey Oswald
.

     Rappelez-vous, que, la commission Warren, organisme juridique qui a étudié l'affaire, voulant à tout prix nier, la manifestation évidente d'un complot, a tout fait, pour conclure qu'il n'y avait eu que trois coups de feu, et donc qu'il n'y avait eu qu'un seul tireur, et un seul assassin : Lee Harvey Oswald.

     Pourtout des témoins ont dit avoir entendu 4 coups de feu, et il y aurait même eu des enregistrements que l'on s'est vite évertué à faire disparaître.

     Dans son numéro de Décembre 1964, la revue Science&Vie, (que l'on ne peut nullement caractériser de conspirationniste), nous avait alors bien expliqué, que même avec 3 coups de feu, d'après des rapports de spécialistes en balistique, que "Lee Oswald n'a pas pu tuer John F. Kennedy"...

     Voici quelques éléments de ce Science&Vie d'importance :

     Et en pages 112 et 113, on découvre ceci :


     Donc on voit bien ici que le site ARTivision applique strictement ici, l'adage : "qu'il vaut mieux ne pas être plus royaliste que le roi", et Messieurs les bien-pensants, qui évitent absolument de parler dans les médias, de cet incontournable article du Science&Vie de Déc.64 tournez alors votre langue 7 fois dans son palais, avant de bomber le torse, et de parler pour ne rien dire de bon, sur cet assassinat.... Point Barre...

     Pourtant l'affaire a bel et bien été étouffée et classée sans suite, par les juristes américains bien en place, à l'époque, et on le sait, beaucoup d'autres affaires encore plus sordides, ont été à l'ordre du jour, après cela.

     Mais cet article d'ARTivision, a justement pour objet, pour les puristes qui veulent plus de détails, d'en dire davantage, en transcrivant ici les déclarations d'un membre des Services Secrets Britanniques, que l'on peut alors trouver dans le n° 32 de la revue Planète de Janvier-Février 1967:


      Et voilà, de quoi il s'agit : ( Attention ce texte est comme un vrai polar. Il est un assez long et pour éviter la saturation , prière d'y aller, petit à petit par intervalles.)



     Et voilà, ce qu'on trouve en page 48, et suivantes :

La plus honteuse farce de l'histoire des États-Unis.

Le bouc-émissaire de Dallas.


.
...................................................................suite coupée ................................................

      Voir la suite à notre article clef :


      Bien sûr, nous attendons donc, avec ferveur, sur le sujet évoqué ci-dessus, les réponses claires et nettes, des propagandistes notoires des nombreuses émissions actuelles, sur cette affaire dite bien vite, par eux, conspirationniste...

     Dans le même contexte, est-il encore besoin d'évoquer ici, l'effroyable affaire du 11 Septembre 2001, que les conjurés médiatiques des émisions actuelles (radios et télévions ), osent placer dans une théorie du complot bien adéquate, pour eux, afin de ne pas remettre en question, la douce sérenité de cocons feutrés, intellectuels et sociaux.

      Pour mémoire, voici une superbe image tirée du livre de lecture de Sixième de Larousse 1977, montrant magnifiquement, les tours jumelles bien avant leur totale destruction et quelle superbe inspiration n'est-ce pas, a enveloppé ce photographe à ce moment là ?


      N'ayant aucune compétence technique, pour détortiquer les rapports professionnels, produits à l'occasion de cette affaire, disons seulement qu'il nous semble tout à fait impossible, que quelques terroristes, même très outillés, aient pu détourner aux USA, le méme jour, dans la matinée, 4 avions gros porteurs de leurs destinations régulières, à la barbe des très nombreuses agences de renseignement...( FBI, CIA, NSA... etc...) ultra-Secrètes du Pays.

      De plus, on sait que La Tour 7, s'est effondrée toute seule, sans qu'aucun avion ne l'ait touchée, et de plus des pilotes d'avions très chevronnés ont déclaré à l'URL :


que l'exploit qui consistait à précipiter deux gros porteurs, sans aucun guidage électronique calibré, sur les tours en question, était un fait, tout à fait impossible. Et aux dernières nouvelles, on parle de supers hologrammes, et qu'il existerait justement, des images, où l'explosion a eu lieu, juste avant l'impect de l'avion sur la tour, et voyez donc ainsi, cet entrefilet en page 15 de la revue TopSecret n°98 d'Août-Sept 2018 :

   

     Mais, pour le novice ingénu, qui découvre à peine ARTivision, par ce volet 4, de notre article, présentons seulement, à nouveau, comme dans le premier volet, seulement quelques éléments significatifs de cette affaire tout à fait navrante de Pearl Harbor :

      Nous espérons bien sûr, que là, les journalistes d' ARTE et consorts affiliés réfléchiront 7 fois plutôt qu'une, avant de traiter les historiens contemporains, de lanceurs de "fake news" .

     Pour ëtre plus clair encore, lisons maintenant bien attentivement, ce petit texte tiré, de notre Petit Dictionnaire Larousse en couleurs de 1988 :


      Bien sûr, les mots clefs ici sont soulignés en rouge. par surprise, et de très nombreux livres scolaires, ont repris cette expression.

     Et même, un film spectacuaire de 2001, nous en parle aussi :


      Cependant, nous avons aussi dans notre bibliothèque, les ouvrages intitulés Quid 1997 et Quid 2002, où l'on découvre en pages 1997 et 1080, à peu près, dans les mêmes termes, ceci :


      Autrement dit, si cela est vrai, le film en question et le Larousse de 1988, ont loupé le coche lamentablement, car nous avons bien la preuve que les Américains ont berné le monde entier en 1941, pour cette affaire de Pearl Harbor, et donc, il n'est pas étonnant , qu'ils aient récidivé, plus tard, pour d'autres affaires notoires...

     En effet, nous savons maintenant que les américains n'ignoraient pas du tout, que les japonais avaient décidé d'attaquer Pearl Harbor, le 7 Décembre 1941, car les Services Secrets Américains, aidés en douce par ceux de la Grande Bretagne, avaient cassé, quelques temps au paravent, les codes de communications ultra-perfectionnés des japonais.


     Toujours à l'affût des mystifications, que nous opèrent ceux qui nous dirigent, nous allons exposer ici un fait relatif à un documentaire vu le 25/12/2015, (par le plus grand des hasards), sur la Chaîne Histoire, à 23 heures.

     En effet, il s'agit du documentaire intitulé "Histoire de comprendre", un volet toujours très bien fait du grand historien Alexandre ADLER, et où ce dernier affirme que les américains savaient parfaitement que les japonais allaient attaquer Pearl Harbor le 7 Décembre 1941, et donc ils ont préféré laisser détruire pas moins de 15 navires et 188 avions, et surtout laisser massacrer près de 2403 (chiffre du Quid 2002 page 693b), de leurs concitoyens, pour simplement justifier ensuite, leur entrée dans le conflit de la deuxième Guerre Mondiale, et mettre ainsi ouvertement en branle leur industrie d'armement, pour enrichir davantage les "marchands de canons", qui soutenaient, évidemment en douce, cette opération.

     L'émission Histoire de comprendre est, nous dit-on, sur le site https://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_de_comprendre , une émission courte (10 minutes environ), produite et diffusée par la chaîne française La Cinquième de 1997 à 2001, puis rediffusée sur la chaîne Histoire, présentée par Alexandre Adler, traitant de sujets historiques controversés du XXe siècle.

     Et voici ce qu'on dit d' Alexandre ADLER à https://fr.wikipedia.org/wiki/Alexandre_Adler


     C'est donc pour nous, une sérieuse référence, et nous pensons que cet historien sait de quoi il parle, en déclarant cette forfaiture de 1941, des dirigeants américains.

     Mais c'est le Dimanche soir du 23 Juillet 2017, que nous avons eu la grande opportunité, de visualiser le documentaire suivant :


     Nous y avons appris, qu'environ une heure avant l'attaque de Pearl Harbor du 7 Décembre 1941, un destroyer de l'US Navy, avait coulé un mini submersible japonais, qui circulait dans la région.

     Ce documentaire de La National Geographic, nous montrait qu'avec des moyens très sophistiqués, l'on avait retrouvé ce mini sous-marin, avec un trou de 10 cm environ, dans sa coque. Ce documentaire insistait aussi, sur le fait historique très important, de cette découverte, et surtout on apprenait que pourtant, La Base de Pearl Harbor, n'a pas été immédiatement avertie, alors qu'elle aurait due être placée en alerte maximum...


     Et puis, en cherchant sur Google cette affaire de mini sous-marin de Pearl Harbor, voici ce que nous avons trouvé sur le site :


Un sous-marin japonais découvert à Pearl Harbor

Par Jean-Dominique Merchet, le 30 Août 2002, à 00:47

     Par 366 mètres de fond au large de l'île hawaïenne d'Ohau, une équipe de chercheurs américains de l'Hawaii Undersea Research Laboratory vient de retrouver l'épave d'un sous-marin de poche japonais, coulé lors de l'attaque de Pearl Harbor. Cette découverte est historique, car ce submersible a été coulé par un destroyer de l'US Navy, une heure avant l'offensive aérienne japonaise du 7 décembre 1941. Il s'agit donc du tout premier acte de la guerre du Pacifique. En plus de l'aviation, la marine japonaise avait envoyé cinq mini sous-marins dans la rade de Pearl Harbor. Ces «Type A», qui mesuraient à peine 24 mètres de long, n'embarquaient que deux hommes d'équipage. Leur mission fut un échec total, puisqu'après avoir échoué dans leur action, aucun ne put regagner le large où les attendaient leurs sous-marins de transport. Trois d'entre eux avaient précédemment été retrouvés, dont un échoué sur une plage. Il en reste donc toujours un au fond.
Jean-Dominique Merchet


     Que dire de plus, sinon que de prononcer, les mots des anglo-saxons, quand ils sont embarrassés par une situation : No Comment.

      Nous pouvons alors, très honnêtement, désormais appliquer, une fois encore ici, le dicton, que chacun connaît, et qui a déjà été, présenté, dans plusieurs de nos articles :

"Qui vole un jour un œuf, peut aussi voler un autre jour un bœuf. "

      Cela signifie aussi en clair, que, si les américains nous ont bluffés pour Pearl Harbor, en Décembre 1941, alors il n'y a aucune raison de ne pas croire, qu'ils l'ont aussi fait pour l'affaire Roswell en Juillet 1947, ou encore pour l'assassinat du Président Kennedy, le 22 Novembre 1963 à Dallas au Texas, ou encore pour leur prétendu débarquement sur la Lune en Juillet 1969, ou encore pour l'affaire du 11 Septembre 2001... etc...


     Que celui qui a su lire, ce qui précède, avec une attention très soutenue, en tire les éclaircissements qui s'imposent, et surtout, le désir latent d'en savoir plus, documents à l'appui.

       Mais cependant, il nous appartient aussi ce jour, (sans changer les formes et la taille de l'écriture), de présenter les méditations en date du 27 et 28 Avril, du Très Grand Maître de Findhorn, qui nous explicite clairement l'attitude à adopter pour établir sur cette planete une paix vraiment durable.
:


     Les bien-pensants et consorts intellectuels blasés, nous diront vite fait, que cette méditation ne fait que reprendre le thème évoqué dans les œuvres célèbres Candide et Zadig, de notre grand écrivain assez contestataire Voltaire du 18 e siècle, à savoir :

"Tous les événements sont enchaînés dans le meilleur des mondes possibles".

     Pourquoi pas !!!

     Seulement voilà, le site ARTivision, retient avant tout, dans cette affaire, cette affirmation :

Tu verras toujours que
ce qui se ressemble s'assemble,


     Il est donc bon, de rappeler ici, que le Webmaster de ce site, aime à poursuivre sa quête du Graal de la Connaissance, toujours en solitaire, et on le sait bien, il n'appartient à aucun parti politique, à aucun groupement, ne rentre dans aucun forum, aucun réseau, (pas de Twitter ni de Facebook..etc..), et ne pratique aucune religion...

        Ce Webmaster, on le sait, aime à fouiller dans les vieux documents, qu'il a la très grande chance, de posséder, pour y trouver la preuve que le Passé de la Terre, fut bien plus fabuleux, que ne sauraient l'imaginer, nos meilleurs mentors de la Science-Fiction... ( et par exemple nous possédons le N° 1 de début Mai 1947, de la revue Sciences et Avenir , qui se pose justement des questions très judicieuses sur l'expédition extraordinaire High Jump de 1946, de l'Amiral Byrd en Antarctique...

        Mais lisez plutôt aussi ceci, qui corroborre parfaitement les paroles vues ci-dessus, du Grand Maître de Findhorn, concernant ce qu'est la Vie, et ce que devrait être, notre compétence pour mieux l' appréhender :

Q u'attends-tu de la vie?
T'attends-tu au meilleur.
ou es-tu de ceux qui ont toujours peur que le pire arrive,
que les choses tournent mal ?
Si oui, tu mérites ce qui t'arrive,
car tu attires à toi ce que tu aimes
ou ce que tu détestes et crains.
Lorsque ta conscience est négative,
tu attires à toi la négativité comme un aimant attire l'acier,
et tu te trouveras en compagnie d'âmes qui te ressemblent,
car qui se ressemble s'assemble.
Lorsque ta conscience sera d'amour,
quand tu seras débordant des joies de la vie
et quand ton cœur sera rempli de gratitude pour tous et tout,
tu te surprendras à attirer vers toi
les âmes heureuses, et joyeuses

qui irradient I'amour et la joie où qu'elles aillent.
Ta vie sera remplie de ce que la vie peut offrir de meilleur.
Pourquoi ne pas voir le meilleur en chaque situation ?
Visualise le meilleur
qui est attiré à toi maintenant.


La petite voix : Eileen Caddy. Le Souffle d'or (1994).
Méditation pour le 26 Décembre, après adaptation d'ARTivision.


      Mais, les amis du site ARTivision, savent que c'est exactement ce que vous avons révélé, dans notre conte mystico-ésotérique, en date du 10/05/03, et placé à :


     En voici, quelques bribes significatives :

Question du candide :

     " Une question me tracasse cependant : Si DIEU reste en contact permanent avec nous, pourquoi la vie nous abandonne-t-elle à un moment donné et pourquoi doit-on mourir ? DIEU lui, on le sait, ne meurt pas, et il est éternel. Pourquoi pas nous ? "

Réponse du Maître :

" Votre question est cruciale et, de nombreux philosophes et écrivains ont examiné ce sujet, dans de multiples ouvrages.

    D'une part, même si votre corps disparaît physiquement, votre esprit est lui, éternel et il saura vous trouver un autre corps en temps voulu, ne vous inquiétez pas. Nous ne pouvons aborder ici aujourd'hui cette notion de re-structuration moléculaire et psychique dans le Temps, du corps physique.

     D'autre part, il est écrit dans l'un de vos textes sacrés : Au Commencement était "le Verbe". Mais que signifie "le Verbe"? Tout ce qui existe dans l'univers est parti de la pensée de Dieu ( La Source), de son " Verbe", qui est la vibration première à la base de toute chose. Vos savants ont bien montré par exemple que le son est formé d'un ensemble de vibrations que l'on peut décomposer aisément. Ils ne vont tarder à découvrir que la pensée est aussi formée d'un ensemble de systèmes vibratoires très subtils, qui agit directement sur son environnement matériel et matière qui est, somme toute, une condensation énergétique donc aussi vibratoire. Autrement dit tout vibre à différents niveaux dans l'Univers. Si donc vous prononcez les mots de mort, de décrépitude, de déliquescence, etc.. vous allez créer un vortex vibratoire où ces concepts seront efficients et vous participerez à son évolution. C'est exactement ce qui se passe quand vous allez habiter dans un pays étranger et vivre au cœur même de ses ressortissants (et non pour y vivre à l'écart avec votre communauté habituelle), vous ne vous apercevrez, même pas, que vous prenez l'accent des autochtones, et c'est quelqu'un d'autre qui vous le fera remarquer. Ce qui s'est passé c'est que votre corps tout entier et surtout vos cordes vocales, sont entrés en résonance parfaite, avec le niveau vibratoire du système dans lequel vous êtes plongés. (Additif du Webmaster : Et au niveau cosmique, on voit bien là que : Tout ce qui se ressemble s'assemble)

    Il en résulte que vous subissez inéluctablement et tout ce qui est vivant également (les plantes, les amimaux) les contraintes vibratoires du milieu dans lequel vous évoluez et si le concept de mort, y a été construit et admis comme infaillible, vous l'assimiler et vous mourrez. C'est aussi simple que cela. Mais rien n'est plus difficile que d'éradiquer de votre langage et de votre civilisation des concepts et des images qui ont été érigés et galvaudés depuis des lustres, surtout maintenant que les moyens de diffusion de l'information sont très multiples. Vous pensez bien que ce n'est pas demain la veille, que vos radios, télés, journaux, etc.. supprimeront de leurs expressions verbales et iconographiques les notions de mort, de décrépitude de violence et d'agressivité tant physique que morale ...etc...

         De même tant que vous n'aurez pas compris qu'il faut fuir toute information vous apportant des images montrant la Peur, la Haine, les crimes, les massacres, etc ..( Ce que hélas nos médias actuels s'évertuent à diffuser largement), en somme tout ce qui est négatif, vis à vis de l'Esprit d'Amour, vous pataugerez dans la violence jusqu'au cou et ce sera vous-mêmes, qui en serez responsables, en créant ce qu'on appelle un égrégore vibratoire de basse énergie ( Note du webmaster : certains l'appellent le Diable), qui vous réclamera toujours plus de sang.


        La Source vous a donné votre libre arbitre, ELLE ne saurait vous l'enlever, en vous promettant une punition quelconque. Votre seule punition, est celle que vous avez vous-même, choisie. Mais rassurez-vous, vous avez encore le moyen d'agir sur cette situation ( et il faut faire cependant très vite, car le temps presse) en refusant d'accepter de regarder des films noirs et d'épouvante, de lire des romans funestes où règnent violence, crimes et exactions de toute nature, d'écouter de la musique qui déprime déjà les plantes, etc... (Utiliser un vérographe moderne ultra-sensible pour cela), alors et alors seulement, il vous sera peut-être possible de retrouver assez tôt, Paix et Sérénité , au sein d'un Âge d'Or retrouvé... "


    Reprenons aussi cependant, pour compléter ce qui précède, les paroles d'un autre très Grand Maître, exprimées dans l'ouvrage : "Nouvelles Révélations" de Neale Donald Walsch, publié aux Editions Ariane au premier trimestre 2003.

     Début de citation :

     - Les pensées enracinées dans la Peur produisent une énergie qui contracte, referme, attire, court, cache, entasse et blesse.

     - Les pensées enracinées dans l'Amour, produisent une énergie qui s'étend, s'ouvre, envoie, reste, révèle, partage et guérit...


     - Le secret de la Vie n'est pas d'avoir tout ce que la société actuelle par sa nature, nous porte à désirer, mais plutôt de désirer tout ce que l'on a en Soi et dont on ignore souvent la nature.


          Par exemple, si vous arrivez à projeter (mais il est inconnu de notre Science actuelle), votre corps astral (corps invisible fait d'énergie pure, dont nous parle si souvent l'inité Lobsang Rampa, et corps qui voyage hors de votre corps physique pendant votre sommeil), vous n'aurez plus besoin d'un poste de télévision, pour aller visiter n'importe quel lieu sur cette Terre, mais aussi, et cela est plus merveilleux, n'importe quel lieu, en dehors de la Terre."

          Fin de citation...

. À bon entendeur, salut !...


       Mais arrêtons là, SVP, ce Quatrième volet, de l'article et, pour éviter un trop long délai de chargement, plaçons la suite à :


       A suivre...

                    Fred IDYLLE

     Article mis en page le 10/01/2019, et revu le 12/01/2019, et revu le 14/01/2019, et revu le 15/01/2019, et revu le 16/01/2019, et revu le 18/01/2019, et revu le 20/01/2019, et revu le 23/01/2019, et revu le 25/01/2019, et revu le 27/01/2019, et revu le 29/01/2019, et revu le 30/01/2019, et revu le 08/02/2019, et revu le 10/02/2019, et revu le 13/02/2019, et revu le 15/02/2019, et revu le 17/02/2019, et revu le 19/02/2019, et revu le 20/02/2019, et revu le 21/02/2019, et revu le 23/02/2019, et revu le 26/02/2019, et revu le 27/02/2019, et revu le 28/02/2019, et revu le 01/03/2019, et revu le 04/03/2019, et revu le 05/03/2019, et revu le 07/03/2019, et revu le 09/03/2019, et revu le 11/03/2019, et revu le 12/03/2019, et revu le 15/03/2019, et revu le 16/03/2019, et revu le 17/03/2019, et revu le 18/03/2019, et revu le 19/03/2019, et revu le 21/03/2019, et revu le 22/03/2019, et revu le 24/03/2019, et revu le 26/03/2019, et revu le 27/03/2019, et revu le 28/03/2019, et revu le 31/03/2019, et revu le 03/04/2019, et revu le 05/04/2019, et revu le 07/04/2019, et revu le 11/04/2019, et revu le 12/04/2019, et revu le 15/04/2019, et revu le 17/04/2019, et revu le 18/04/2019, et revu le 20/04/2019, et revu le 22/04/2019, et revu le 24/04/2019, et revu le 28/04/2019, et revu le 07/05/2019, et revu le 06/07/2019.

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