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A "La Recherche" du temps perdu pour découvrir la mer libre du Pôle Nord.


I Introduction.

     Le 22/02/07, nous avons eu le grand privilège de recevoir un nouvel article très intéressant de notre ami M.H. qui est, on le sait, particulièrement avisé et documenté. C'est lui qui, en effet, nous avait fait découvrir l'entrefilet surprenant "Tristes oasis" concernant l'Antarctique du "Science et Vie" n° 470 de 1956. Ce dernier n°, nous avait d'ailleurs en plus, conduit à un autre plus ancien le n° 449 de Février 1955, où nous avons découvert le super article " Une mission de 3000 savants à l'assaut des terres inconnues du Pôle Sud ".

     L'auteur Marcel Proust de l'ouvrage "A la recherche du temps perdu", se retournera probablement dans sa tombe, quand il apprendra que nous avons fait avec le titre de son livre, un très insolite jeu de mots, concernant une énigme plus que centenaire relative à notre planète.

     Comme le sous-entend en effet ce titre, certains chercheurs sont effectivement convaincus que cela a été une perte de temps, sinon une vraie illusion, de se lancer à la recherche de la mer libre du Pôle. Cet article (qui n'est qu'une synthèse restreinte des articles d'ARTivision sur le sujet pour un éventuel nouvel internaute venant de pénétrer dans ce site), va nous démontrer qu'il n'en est rien, et que le dicton : "Il n'y a pas de fumée sans feu" s'applique ici à merveille au sens propre, comme au figuré. Evidemment les fidéles lecteurs de notre site découvriront eux, dans cet article peu de nouveautés, mais vu l'importance des éléments pris en considération pendant ces dernières années, une petite récapitulation n'est pas, selon nous, surperflue, d'autant plus, que parait-il, le subconscient assimille plus aisément les données clefs lorsqu'elles font l'objet de certaines répétitions.

     C'est ainsi que nous avons pu lire le 22 Février courant dans la très sérieuse revue scientifique "La Recherche" n°406 de Mars 2007 :


, un article remarquable de Madame Fédérique Rémy, intitulé "Quand le Pôle Nord était libre de glace".

     Cet article est désormais disponible à l'adresse :

http://remy.omp.free.fr/FTP/histoire_de_la_glaciologie/Pole_Nord_libre_de_glace.pdf

     Disons d'emblée que nous aurions pu faire sur ARTivision un article analogue, mais nous aurions évidemment choisi plutôt le titre assez voisin : " Et si le Pôle Nord était libre de glace ? ", le point d'interrogation utilisé, n'étant pour nous, cela va sans dire, qu'une simple formalité sous-entendant une quasi certitude.

     Vous constatez aussi que cette affaire de mer libre au Pôle Nord, n'est même pas mentionnée sur la couverture de cette revue, alors que pour nous, elle est d'une importance capitale pour la connaissance de notre planète et même de notre système solaire.

     L'avenir jugera bientôt par exemple, s'il était plus important de partir en quête "du premier rayonnement de l'Univers", (article très spéculatif d'un prix nobel), plutot que de savoir vraiment, si la Terre est creuse, ou pas !!!

II La genèse de l' affaire.


      Cet article aurait pu parfaitement faire l'objet d'un simple nouveau paragraphe placé à la fin de notre article :

http://www.artivision.fr/docs/Hyperboree.html

car ce qui nous a d'abord frappé dans l'article de Madame Rémy, est le fait que l'illustration cartographique de 1616 placée en page 55, ressemble d'assez près, à celle de notre article cité Hyperborée.html, et illustration qui était elle, la représentation d'une carte de la région arctique faite, dit-on, parGérard Mercator en 1630:

 

     Autrement dit, on peut supposer que c'est Mercator qui aurait copié la carte du flamand Petrus Bertius. Merci donc d'abord à Mme Rémy , de nous apprendre cela. Le Pôle Nord serait alors, selon ces messieurs cartographes de l'époque, placé sur une île entourée d'une mer libre de glace reliée au reste du monde par quatre passages marins à travers la banquise séparée ainsi en quatre blocs principaux.

     Mais le 02/03/08 nous avons reçu de l'artiste ami Christian C..... , cette carte dite de Mercator issue de Bibliothèque Nationale, et carte qui elle, est datée de 1595 :


     Il nous appartient donc, dès lors, d'en tirer les conclusions qui s'imposent.

      C'est alors que pour débuter son article Mme Rémy, nous parle judicieusement de Jules Verne qui croyait aussi à cette mer libre aux pôles de la Terre. En effet le maître du fantastique français Jules Verne, semblait, on va le voir, bien renseigné sur les expéditions polaires de son époque, et il parle souvent dans certaines de ses œuvres, d'une mer libre de glace, à atteindre par les explorateurs tant au Pôle Nord (et aussi cela est plus surprenant) qu'au Pôle Sud.

     Pour bien montrer que Jules Verne s'appuyait sur des données pragmatiques pour affirmer l'existence de cette mer libre, voyons d'abord quelques passages de son livre "Les aventures du capitaine Hattenas" :

    Page 127

" En 1852, le capitaine Inglefield pénétra, dans l’entrée de Smith, jusque par soixante-dix-huit degrés trente-cinq minutes de latitude. Tous ces navires étaient anglais, et commandés par des Anglais, nos compatriotes.

     Ici Hatteras fit une pause.

Je dois ajouter, reprit-il d’un air contraint, et comme si les paroles ne pouvaient quitter ses lèvres, je dois ajouter qu’en 1854 l’Américain Kane, commandant le brick l’Advance, s’éleva plus haut encore, et que son lieutenant Morton, s’étant avancé à travers les champs de glace, fit flotter le pavillon des États-Unis au-delà du quatre-vingt-deuxième degré. Ceci dit, je n’y reviendrai plus. Or, ce qu’il faut savoir, c’est que les capitaines du Neptune, de l’Entreprise, de l’Isabelle, de l’Advance constatèrent qu’à partir de ces hautes latitudes il existait un bassin polaire entièrement libre de glaces.

Libre de glaces! s’écria Shandon, en interrompant le capitaine; c’est impossible!

Vous remarquerez, Shandon, reprit tranquillement Hatteras, dont l’oeil brilla un instant, que je vous cite des faits et des noms à l’appui. J’ajouterai que pendant la station du commandant Penny, en 1851, au bord du canal de Wellington, son lieutenant Stewart se trouva également en présence d’une mer libre, et que cette particularité fut confirmée pendant l’hivernage de sir Edward Belcher, en 1853, à la baie de Northumberland par soixante-seize degrés et cinquante-deux minutes de latitude, et quatre-vingt-dix-neuf degrés et vingt minutes de longitude; les rapports sont indiscutables, et il faudrait être de mauvaise foi pour ne pas les admettre.

– Cependant, capitaine, reprit Shandon, ces faits sont si contradictoires...

– Erreur, Shandon, erreur! s’écria le docteur Clawbonny; ces faits ne contredisent aucune assertion de la science; le capitaine me permettra de vous le dire.

– Allez, docteur! répondit Hatteras......
"

     Comme vous le voyez, les noms d'explorateurs écrits en rouge, semblent être effectivement des protagonistes d'expéditions polaires et également les noms géographiques en vert semblent prouver que Jules Verne était donc bien renseigné. Cependant, les historiens et les géographes du Net (ce que nous ne sommes pas) , pourrons nous dire un jour, s'il n'y a pas d'erreur sur le nom de ces explorateurs, de ces navires et de ces lieux cités.

    Page 130

      "Une fois à l’île Beechey, nous suivrons le canal Wellington aussi avant que possible, vers le nord, jusqu’au débouché de ce chenal qui fait communiquer le canal Wellington avec le canal de la Reine, à l’endroit même où fut aperçue la mer libre. Or, nous ne sommes qu’au 20 mai; dans un mois, si les circonstances nous favorisent, nous aurons atteint ce point, et de là nous nous élancerons vers le pôle. Qu’en pensez-vous, messieurs? "

– C’est évidemment, répondit Johnson, la seule route à prendre.
"

    Page 194

     "L’exploration du canal Wellington fut faite, en 1851, par le capitaine Penny, sur les baleiniers Lady-Franklin et Sophie; l’un de ses lieutenants, Stewart, parvenu au cap Beecher, par 76° 20’ de latitude, découvrit la mer libre. La mer libre! Voilà ce qu’espérait Hatteras"

    Page 211

     "Ce fut à cet endroit même que sir Edward Belcher passa son premier hivernage sur le Pionnier et l’Assistance. C’est de ce point qu’il organisa ses excursions en traîneau et en bateau; il découvrit l’île de la Table, les Cornouailles septentrionales, l’archipel Victoria et le canal Belcher. Parvenu au-delà du soixante-dix-huitième degré, il vit la côte s’incliner vers le sud-est. Elle semblait devoir se relier au détroit de Jones, dont l’entrée donne sur la baie de Baffin. Mais dans le nord-ouest, au contraire, "une mer libre, dit son rapport, s’étendait à perte de vue"."

    Page 327

"Mes amis, reprit Hatteras d’une voix presque suppliante, vous vous désespérez avant l’heure! Je vous proposerais de chercher au nord la route du salut, que vous refuseriez de me suivre! Et pourtant, n’existe-t-il pas près du pôle des tribus d’Esquimaux comme au détroit de Smith? Cette mer libre, dont l’existence est pourtant certaine, doit baigner des continents. La nature est logique en tout ce qu’elle fait. Eh bien, on doit croire que la végétation reprend son empire là où cessent les grands froids. N’est-ce pas une terre promise qui nous attend au nord, et que vous voulez fuir sans retour?..... "

      Vous avez bien lu que, Jules Verne juste avant 1866 date de publication de l'ouvrage en question, se posait la question de savoir si cette mer libre de glace n'enveloppait pas d'autres continents et d'autres peuples qui bénéficiaient d'une végétation ayant repris "son empire là où cessent les grands froids"

      Les historiens pourront nous dire, nous l'espérons, si Jules Verne a pu avoir en main l'ouvrage du Docteur Kane : " Arctic Explorations" , publié en 1856 (soit dix ans plus tôt) à Philadelphie, ou s'il a pu consulter les fragments de ce livre traduits par M de Lanoye dans le "Tour du Monde" en 1860 ?

      En effet voyons rapidement ce que nous dit Kane dans cet ouvrage tome I :

" Depuis la limite méridionale de cette banquise jusqu'à la région mystérieuse de l'eau libre , il y a à vol d'oiseau 180 km . N'eût-ce été la vue des oiseaux et l'affaiblissement de la glace, ni Hans ni Morton n'en auraient cru leur yeux, n'ayant aucune précision de ce fait..."

     Mais il y a bien mieux, après nous avoir parlé des découvertes de Scoresby, du baron de Wrangel, des capitaines Parry et Inglefield ayant proclamé l'existence de la mer libre du pôle, kane nous dit, en page 308 :

"....Toutefois la mer, que je me suis hasardé à appeler libre, a été suivie pendant nombre de kilomètres le long de la côte, et vue d'une élévation de 145 mètres, toujours sans limite et sans glace, se soulevant et se brisant contre les rochers du rivage "

    "Il est impossible, en rappelant les faits relatifs à cette découverte,- La neige fondue sur les rochers, les troupes d'oiseaux marins, la végétation augmentant de plus en plus, l'élévation du thermomètre dans l'eau, de ne pas être frappé de la probabilité d'un climat plus doux vers le pôle. Mais signaler les modifications de température au voisinage de la mer libre, ce n'est pas résoudre la question, qui reste sans réponse : Quelle est la cause de la Mer libre ? "

    Ce qui interpelle notre site ARTivision dans cette affaire étrange, c'est donc son côté hautement paradoxal : Comment des gens sensés ont-ils pu inventer une telle histoire, si certains d'entre eux n'avaient pas vraiment découvert cette mer libre de glace et les oasis qui l'environnent dans les régions polaires, alors que tout un chacun s'attend logiquement à ne trouver dans ce coin, où les température sont extrêmes, que de vastes étendues neigeuses et glacées à perte de vue. A notre avis, même un fou, ayant une imagination débordante, aurait du mal à élaborer une telle histoire. C'est exactement comme si vous découvrez par exemple, un jour en sortant d'une forêt dense et équatoriale du Kenya, un lac gelé de plusieurs km², sur lequel vous pouvez faire du patin à glace. Vous ne manquerez pas, c'est certain, de vous poser la question de savoir, quelle est l'origine de ce phénomène incroyable ? Vous n'aurez pas beaucoup d'hypothèses pour vous venir en aide dans ce cas-ci : Soit, le classique micro-climat exceptionnel (bien tiré par les cheveux ici) , soit l'action à distance d'un rayon réfrigérant extraterrestre. Il en a été de même, vous vous en doutez pour ceux qui ont été confronté avec cette affaire de mer libre inexplicable , et , on ne parlait pas encore d'extraterrestres.

   Comme nous pensons que les explorateurs qui ont découvert cette mer libre du Pôle, n'étaient plus fous que ceux qui les critiquent actuellement et qui préfèrent comme l'autruche fourrer la tête sous le sable, pour ne pas se poser des questions et heurter leur petit confort intellectuel, nous attendons vivement la prochaine théorie qui expliquera mieux que la Théorie de la Terre creuse , tous ces phénomènes bizarres qui se passent aux pôles de la planète Terre.

      Nous pourrions citer d'autres passages du livre important sur les aventures du capitaine Hattenas de Jules Verne , où il parle de la mer libre du pôle, mais pendant que nous y sommes, et surtout pour les internautes qui n'auraient pas encore pris connaissance de notre article : JulesVerneouverturespolaires.html, parfaitement en connexion avec celui-ci, nous lisons alors cette assertion extraordinaire dans le même ouvrage :

    Page 563

      " Enfin, de nos jours, on a prétendu qu’il existait aux pôles une immense ouverture, d’où se dégageait la lumière des aurores boréales, et par laquelle on pourrait pénétrer dans l’intérieur du globe... "

      Nous reviendrons évidemment plus bas, sur cette déclaration extraordinaire de Jules Verne que Mme Rémy a "oublié" de présenter dans son exposé... (Et on comprend cela parfaitement, car cette assertion contredit tout ce qu'elle a pu apprendre dans nos universités sur la structure interne de notre planète...)

     Mais pendant que nous sommes à Jules Verne , (et bien que Mme Rémy elle, ne parle que du pôle Nord), parlons aussi voulez-vous, de ce qu'il pense du Pôle Sud :

    - Dans son ouvrage "Les Enfants du capitaine Grant", l'auteur nous entretient aussi de la mer libre du Pôle Sud , car au chapitre 9, page 80, de l'édition en livre de poche, on trouve les mots : " - Bravo, mon ami répondit Paganel, et moi aussi j'aurai voulu savoir si le continent se prolongeait jusqu'au pôle, ou s'il existait une mer libre, comme le supposait Drake, un de vos compatriotes, mylord...".

    - Et dans son ouvrage l'ouvrage Le Sphinx des glaces, publié en 1897, l'on découvre encore au sujet de la mer libre du Pôle Sud , cette fois dans l' Edition Hachette 1981 ceci :

    Page 153 :

"- Avant un mois, j'espère avoir retrouvé, au delà de la banquise, la mer libre signalée avec tant d'insistance par Weddell et Arthur Pym, et nous n'aurons plus qu'à naviguer dans les conditions ordinaires jusqu'à l'ilot Bennet d'abord, jusqu'à l'île Tsalal ensuite. Sur cette mer largement dégagée, quel obstacle pourrait nous arrêter, ou même nous occasionner des retards ?.."


    Rappelons qu' Arthur Gondon Pym (dont Egard Poe raconte les aventures dans son livre surprenant "Les aventures d'Arthur Gordon Pym de Nantucket" paru en 1838, soit 59 ans avant le "Sphinx" de Jules Verne) était un vrai explorateur justement né à Nantucket aux USA.

    Page 163 :

      ...Puis dès qu'il a disparu , c'est la longue nuit qui commence, nuit souvent illuminée par les irradiations des aurores polaires ...."
     A l'approche de ces contrées antarctiques, il serait demandé ce que cachait le voile nébuleux qui en dérobait la plus grande étendue...Y découvrirait-il des éléments nouveaux dans le champ des trois règnes minéral, végétal, animal, des êtres d'une "humanité " spéciale, tel qu'affirme les avoir vus Arthur Pym? "

    Page 180 :

" - Sans doute , Monsieur Jeorling! Cependant, au delà de la banquise , c'est encore l'inconnu pour moi, comme pour tant d'autres  navigateurs !
- l'inconnu , ...  Non pas absolument, capitaine, puisque nous possédons les rapports très sérieux de Weddel et j'ajoute, ceux d'Arthur Pym.
- Oui!... je le sais!..ils ont parlé de la mer libre...
- Est-ce que vous n'y croyez pas ?...
- Oui!... J'y crois!... elle existe et cela pour les raisons qui ont leur valeur...."


     Autrement dit là encore Jules verne semble en connaître un rayon sur ce qui se passe aussi au Pôle Sud de la Terre...

     Mais dans le sillage de Jules Verne, restons voulez-vous, français, un peu encore, et découvrons ce que les explorateurs comme Gustave Lambert et Octave Pavy, nous disent au sujet de cette mer libre:

     Le 11 Février 2003, nous avons reçu de l'ami M.H . une importante missive dont voici quelques élements significatifs :

     " Beaucoup plus intéressant sur les plaques de rues en France, un nom revient souvent Gustave Lambert. Un hasard a voulu que je veuille en savoir plus. L'homme est décédé durant la bataille du château de Buzenval, situé sur le hameau du même nom (rattaché à Rueil-Malmaison), cet endroit fût le théâtre de violents combats pendant la guerre de 1870-1871 contre les Prussiens. Au cours de cette bataille périrent l'explorateur Gustave Lambert, le peintre Henri Régnault (Paris, 1843 - Buzenval, 1871), et le colonel de Rochebrune. Explorateur, oui, mais de quoi ? Du pôle Nord. Et devinez ce que Gustave Lambert est allé chercher en passant par détroit de Béhring ? : La mer libre du pôle .....

     Hydrographe et navigateur, Gustave Lambert revient du Détroit de Béhring où il a tenté de rejoindre ce qu'il imagine être la mer libre du pôle....

     Pour Octave Pavy qui assistait à l'une de ses conférences, c'est le coup de foudre. Le jeune homme fait un sort à ses aventures mondaines, il abandonne ses études de médecine dans le but, selon ses propres termes, " d'affirmer enfin aux extrémités mêmes du monde la puissance et l'énergie de l'homme", et de permettre ainsi à la France de damer le pion aux Britanniques et aux Américains dans la course au pôle. Octave, " doué d'une imagination facile à s'enthousiasmer, écrit un de ses amis, rêva de grandes entreprises, de voyages, de découvertes.". Le pôle nord devient son idée fixe. Comme l'aiguille aimantée de la boussole, jusqu'à la mort, il lui restera fidèle.

     Après la guerre franco-prussienne, Octave Pavy file aux États-Unis où il pense avoir de meilleures chances de financer, au départ de San Francisco, "l'Expédition Pavy au pôle Nord ". L'Académie des Sciences de la Nouvelle-Orléans le présente comme " un homme de culture littéraire et scientifique distinguée, d'une belle audace et d'une grande valeur personnelle ", on le dit " taillé dans le roc, avec une connaissance de la navigation obtenue en haute mer et un zèle que les rigueurs de l'Arctique ne sauraient entamer ". Plusieurs sociétés de géographie le soutiennent. Or, la veille du départ, le dépositaire des fonds se brûle la cervelle.
     Pavy est ruiné. Pour gagner sa vie, il donne des leçons de français puis devient pêcheur. Malmené par le sort, il garde un silence obstiné, jusqu'au jour où un pasteur l'aide à reprendre ses études de médecine. " Depuis quelque temps je tiens ma veine, écrit-il à son frère, et, si elle continue, je pourrai réaliser ce projet de dix ans d'incubation que les heures les plus noires (Dieu sait si j'en ai eues !) n'ont su déraciner. "
     L'homme est plus que jamais déterminé à inscrire son nom dans le grand livre de l'histoire. Il connaît tout de l'exploration polaire et suit de très près les expéditions en cours. On lui propose d'accompagner une expédition pour le Groenland où il décide de rester. Durant un an Octave Pavy va donc étudier la faune, la flore, et partager la vie quotidienne des esquimaux dont il apprendra la langue.
     C'est à Disko qu'il intègrera, en tant que chirurgien, la mission commandée par le lieutenant Greely en 1881. L'occasion est pour lui inespérée d'approcher l'océan glacial arctique et de vérifier sa thèse d'une mer libre de glaces. La cabane de Fort Conger qui sera construite à l'extrémité nord de la Terre d'Ellesmere, deviendra le camp de base idéal de ses futures tentatives pour atteindre le pôle. L'Histoire le placerait-il enfin face à son destin ?
     Non, son destin ne s'accomplira pas. Octave Pavy périra dans des circonstances absurdes et effroyables, oublié de tous. En effet l' expédition qui avait pour but de réaliser des recherches scientifiques sur le monde arctique, de cartographier la terre d'Ellesmere encore inconnue et de trouver une voie pour conquérir le Pôle Nord géographique avait établit un camp de base appelé Fort Conger, à 82° de latitude. En 1882, le bateau ravitailleur ne parvient pas à Fort Conger car les glaces lui interdisent le passage.
    L'année suivante, en 1883, le second bateau ravitailleur n'arrive toujours pas, et le lieutenant Greely décide d'abandonner le camp pour partir à la rencontre du navire et d'un hypothétique dépôt de nourriture… Cette décision aura pour conséquence d'entraîner 18 des 25 membres de l'expédition dans la mort, dont le docteur Pavy, qui s'était toujours opposé au totalitarisme du Commandant, et dont on ne retrouvera mystérieusement ni le corps, ni les journaux privés…

    Témoin gênant d'une histoire dominée par le mensonge, on le prétendra suicidé, son corps sera jeté à la mer et les trois classeurs qui rassemblaient ses notes personnelles seront portés disparus.

..     Des fidéles admirateurs du Dr Pavy ont crée un site :

http://www.aventurearctique.com/projet_futur/projet03/pavy02.htm


    où la plupart des informations précédentes sont tirées et il y est dit : "Seul demeure son rêve, son rêve fou dont nous nous sentons aujourd'hui encore les héritiers. Ce que l'injustice et la mort lui a empêché de réaliser, nous le lui apporterons. Nous ne voulons pas atteindre le pôle, mais réparer une blessure de l'histoire par le résultat de trois mois d'efforts dans des conditions souvent extrêmes, et conjurer l'oubli. Partir de Fort Conger (son camp de base) et atteindre le cap Sabine pour la simple beauté de l'acte. Porter sur 600 kilomètres la plaque que nous déposerons à l'endroit présumé où l'explorateur français a disparu, pour lui rendre le plus sublime des hommages.
      Et pour réussir là où ils ont échoué, nous repartirons en bateau vers la civilisation.
"

     fin du message de l'internaute M.H..

     Une histoire très héroïque comme vous le voyez et tout cela pour courrir derriére un phantasme de pseudo mer polaire ?

     Mais voyons un plus loin ce que nous dit encore docteur Pavy :

     Sur le site :
http://www.reveursdepoles.com/accueil.htm

on découvre ces propos admirables d'Octave Pavy concernant la mer libre du pôle :

     " Tout fait espèrer qu'avant peu un navire heureux et hardi tracera son sillage dans cette mer inexplorée, reconnaitra ces terres, habitées peut-être, et dont hier encore nous ignorons l'existence, affirmera enfin aux extrémités du monde la puissance et l'énergie de l'homme."

     Comme vous le voyez ces propos s'allignent parfaitement avec ceux, vus plus haut, de Jules Verne et justifient bien toute l'audace exploratrice et la volonté d'aller plus loin d'Octave Pavy et aussi d'ailleurs de bien d'autres explorateurs des pôles.

     Madame Rémy, pour donc éliminer rapidement cette affaire génante de mer libre, en arrive à nous dire brutalement :

     " Comment expliquer cette conception erronée ? Différents arguments peuvent être avancés. D'abord l'observation de la mer libre par quelques marins n'est pas généralisable. Il est tout à fait possible que certains tel William Baffin en 1616 aient rencontré des polynies , ces vastes trous d'eau libre dans la glace venant de remontées d'eau chaudes ou de vents locaux. De plus les scientifiques de l'époque, avaient relativement peu l'intuition de la variabilité climatique , très importante au Pôle. En effet d'une année sur l'autre les glaces peuvent reculer sur plusieurs milliers de kilomètres. Le moment est alors propices à une exploration maritime, événement ponctuel qui marque les esprits."

     Plus loin, pour en finir, avec cette affaire, Mme Rémy conclut :

     " Au début du XXe, les pionniers qui ont vaincu le Pôle Nord ont montré que la mer n'y est pas libre et que les glaces de mer le retrouvrent en permanence..."

     Autrement dit l'affaire de la mer libre est vite classée : Pas assez de d'observateurs qualifiés, confusion avec les polynies, bassins non glacés dues au climat polaire instable, à la remontée d'eau chaude et à des vents propices locaux. (Reste à savoir si l'effet de serre que l'on avance si souvent actuellement pour expliquer ce changement de climat, était déjà en vigueur au 19e siécle ? ). De plus, les pionniers modernes ont tout vu, tout su, et tout vaincu... , sauf peut-être qu'ils ne se sont pas demandés pourquoi les icebergs sont faits d'eau douce ( peut-être que le prochain article de Mme Rémy, nous l'expliquera un peu) et aussi, il est évident que ces pionniers du début du XXe n'ont pas eux connu certaines photos satellites de la Terre que nous verrons plus bas et qui nous interpellent au sujet de la configuration des régions polaires. Le meilleur est donc à venir...

     Mais, avant d'en dire plus, voyons encore, certains textes concernant cette mer libre : Voici un grand livre (36,5cm de long sur 26,5cm de large paru en 1987) intitulé "Les grands dossiers de l'illustration" : la conquête des pôles :

   


(Notre scanner n'a pu prendre que certaines données de ces pages).

     On trouve alors dans cet ouvrage géant, en page 22, ceci :

Visite du prince de Galles aux batiments destinés à l'expédition du pôle Nord : 5 juin 1875.

     " ... Dans le rapport qu'il a envoyé à l'amirauté anglaise le capitaine Nares, chef de l'expédition, a fait connaître qu'il a acheté des attelages de chiens esquimaux et engagé un guide esquimau du nom de Hans. Ce guide est célèbre pour avoir fait partie de l'expédition malheureuse du navire Polaris, envoyé, lui aussi à la recherche de la mer libre du pôle, et surtout pour en être revenu avec le lieutenant Tyson en se servant d'une banquise comme d'un immense radeau de sauvetage. C'est, parait-il un homme énergique et plein de ressources.

     L'Alert et le Discovery devant passer l'hiver dans des contrées où la température est extrêmement basse - le thermomètre y descend fréquemment jusqu'à 20 ,30, et quelquefois 40 degrès centigrades (note du Webmaster: et pourtant on ose parler de mer libre de glace dans la région !) - on a dû les munir d'abondantes provisions en vivres surtout en combustible, et ménager toute la place disponibledans les cales et les entreponts. Aussi la réseve d'eau a t-elle été réduite au strict nécessaire, et de temps en temps elle se renouvelle par les glaçons que les matelots recueillent au moyen de pics et de crocs , et qu'ils jettent dans un vaste bassin de tole entourant la base de la cheminée des chaufferies de l'Alert , pour en determiner la fusion au moyen de la chaleur perdue des divers foyers du bord. On sait que les glaçons flottant à la surface de la mer sont constitué par de l'eau douce , qui assure au explorateurs une grande facilité pour maintenir leurs réserves et alimenter les machines de leur navires, sans avoir recours aux dispendieux appareils distilatoires.
"

     Comme vous le découvrez ici, il y a bien une affaire surprenante des glaçons sur la banquise (comme les icebergs) qui sont faits d'eau douce. Pourquoi ces glaçons ne conservent-ils pas un peu du sel de la mer au moins dans leur partie inférieure ? Question clef à résoudre évidemment !!!Avis aux étudiants à la recherche d'une thèse originale...

     Poursuivons voulez-vous par quelques propos d'un certain C.F. des dossiers de l'Illustration :

Retour de l'expédition anglaise du pôle Nord :18 Nov 1876.

     " Il y a dix huit mois, nous informions nos lecteurs du départ de deux bâtiments anglais l'Alert et la Discovery, pour une expédition, vers le Pôle Nord. Cette expédition placée sous le commandement du capitaine Nares, devait se rapprocher autant que possible du pôle boréal, s'assurer si vraiment un passage existe, permettant l'accès dans une mer supposée libre autour du pôle, et si , de cette mer, on peut gagner l'océan pacifique.(Note du Webmaster : c'était pratiquement la vérification officielle des éléments pratiques de la carte du flamand Petrus Bertius de 1616 vue plus haut)

      Déjà depuis deux siècles de nombreux explorateurs anglais, allemands, russes, avaient tentés de résoudre le même problème et cherché le passage dit du Nord-Ouest, soit en s'aventurant par le nord de l'océan Atlantique, soit en essayant de pénétrer par l'océan Pacifique. Les navigateurs anglais Hudson, Bafin et Smith et le russe Behring sont restés les plus célèbres parmi les premiers chercheurs. De 1819 à 1845, Sir John Franklin fit plusieurs voyages, mais terminés par la disparition de ses deux navires l'Erebus et la Terror. Sir John Rose et d'autres navires anglais envoyés à la recherche de Franklin, ne retrouvèrent que des traces vagues de leur compatriote, mais s'avancèrent assez haut vers le nord pour dépasser les limites habitées par les Esquimaux. L'un des premiers revint avec cette opinion qu'une mer libre devait exister vers les pôles, mer débarassée des glaces, au moins pendant une partie de l'année par l'influence d'un courant chaud inférieur (Note du Webmater : Comme vous le voyez , c'est bizarrement justement ce que nous dit Mme Rémy).

Les témoignages des Esquimaux, et surtout les récits des baleiniers américains qui avaient été entraînés par des courants vers des parages inconnus, confirmèrent cette opinion , si bien que depuis une vingtaine d'années les expéditions au pôle nord se sont succédés presque sans interruption. (Note du webmaster: Ce sont les carnets de bord de ces expéditions qui seraient intéressants à éplucher). C'est d'abord le Polaris envoyé par les Américains à la recherche des débris de l'expédition de Franklin, qui s'avance au delà du 82 degré de latitude Nord, à un point qui jusque-là n'avaient jamais été atteint par aucun navire ; puis c'est la Hansa et la Germania, partis de ports allemands le Tégethoff, navire autrichien conduit par les capitaines Weyprecht et Payer. Enfin quelques explorateurs tels Hayes et le docteur Kane, ayant constaté l'impossibilité pour les batiments de dépasser certaines limites, à cause de l'épaisseur de bancs de glace, parvinrent à franchir quelques centaines de kilomètres en traîneau aucun de ces voyageurs ne put découvrir la mer libre et encore moins arriver au pôle.
"

     Vous constatez alors qu'en Novembre 1876, le journaliste inconnu C.F. de la publication "l'Illustration" prétend que ni Hayes, ni Kane ne purent découvrir la mer libre. Mais, dès 1868, la Libraire Hachette démentait catégoriquement ce que dit ce journaliste en publiant l'ouvrage surprenant d' Isaac Israël Hayes intitulé "La mer libre de pôle" Voyage de découvertes dans les mers arctiques exécuté en 1860-61 Paris, In-8 , 517 pages. Traduit de l'anglais par Ferdinand de Lanoy. Ouvrage illustré de 70 gravures sur bois et de 3 cartes, et où il n'existe aucune ambiguité sur le fait que l'auteur affirme être arrivé sur le bord de la mer libre :

     En effet, dans l'édition de 1877, que nous possédons, on trouve pages 188 à 189 :

     "Tout le démontrait : j'avais atteint les rivages du bassin polaire. L'océan dormait à mes pieds.... il m'était donc impossible d'aller plus loin. La crevasse dont j'ai parlé eût déjà suffit pour nous empêcher d'atteindre le nord de la baie; mais, au large, les glaces paraissaient encore en pire état. Plusieurs flaques d'eau s'ouvraient près du littoral, et sur l'une d'elles venait de s'abattre une bandes de "dovekies" ou de guillemots à miroir blanc. En remontant le canal kenedy, j'avais reconnu nombre de leurs stations d'été; cependant j'étais assez surpris de voir les oiseaux eux-mêmes à une époque si peu avancée de la saison. Les mouettes bourgmestres volaient au dessus de nous, se dirigeant vers le nord où elles cherchaient les eaux libres pour leur nourriture et leur demeure... "

Page 190

     Où après avoir hissé des drapeaux, Hayes déchira une feuille de son carnet de notes pour y inscrire les lignes suivantes :

" Ce point, le plus septentrional qu'on ait encore pu atteindre, a été visité les 18 et 19 Mai 1861 par le soussigné, accompagné de George F . Knorr, après un voyage en traîneau tiré par des chiens. De notre hivernage près du cap Alexandre , à l'entré du détroit de Smith, nous sommes arrivés ici par une marche de quarante six jours. Je crois, d'après mes observations, que nous sommes à 81 degrés 35 minutes de latitude septentrionale et à 70 degrés 30 à minutes de longitude occidentale. La glace pourrie et les crevasses nous empêchent d'aller plus loin. Le canal kennedy parait s'ouvrir dans le bassin polaire. Aussi persuadé qu'il est navigable en Juillet, Août et Septembre au moins, je retourne à ma station d'hiver pour essayer de pousser mon navire au travers des glaces après la débâcle de cet été. " signé J.J. HAYES

19 Mai 1861

     " Cette note placée dans une petite fiole apportée tout exprès, fut soigneusement déposée sous le cairn, puis nous poursuivîmes notre route en nous tournant vers le sud; mais je quittais avec répugnance ce lieu qui exerçait sur moi une facination puissante, et c'est avec des sensations inaccoutumées que je me voyais seul avec mon jeune camarade, dans ces déserts polaires que nul homme civilisé n'avait foulé avant nous. Notre proximité de l'axe du globe, la certitude que de nos pieds, nous touchions une terre placée bien au delà des limites des découvertes précédentes, les pensées qui me traversaient l'esprit en contemplant cette vaste mer ouverte devant nous, l'idée que peut-être ces eaux ceintes de glaces baignent des rivages d'îles lointaines où vivent des êtres humains d'une race inconnue: telles sont les considérations qui semblaient donner je ne sais quoi de mystérieux à l'air que nous respirions... "

Fin de citation

     Tout ce qui est raconté ci-dessus est superbement rassemblé dans une gravure montrant ce fantastique paysage qui à juste titre a suscité beaucoup d'émotion chez Hayes et son compagnon. Voici cette gravure :



    En analysant attentivement cette gravure dans ses détails les plus fins, on découvre effectivement au second plan une vraie mer libre et surtout des flopées d'oiseaux dont la présence en ces contrées ultra froides pose problème.

     Cette émotion toute naturelle exprimée ci-dessus par l'explorateur Hayes n'a pourtant pas plu aux bien-pensants explorateurs modernes des pôles. Dans l' Histoire Universelle des Explorations  (4e volume), voici un passage que nous avons trouvé sous la plume de Paul-Emile Victor :

CHAPITRE II


     " ...Un excès de littérature devaît entacher le renom de Hayes ; ses épanchements lyriques lui ont beaucoup nui dans l'esprit des spécialistes arctiques. Il eut de plus le tort de considérer comme acquise - et acquise par lui - l'existence de la mer libre du Pôle: The open polar Sea, dont il donna le nom pour titre à son ouvrage."

     L'avenir très proche, dira qui avait raison entre Hayes l'américain "explorateur intrépide et poète à ses heures " et P.E.Victor le français "connaisseur virtuel et résolument austère au lyrisme" , comme l'a été aussi, on aime à le rappeler, un certain Neil Armstrong après son "débarquement sur la Lune"...

     Mais comme nous n'avons rien à occulter, venant de ceux qui ne sont pas d'accord avec nous, voici sous la plume d'un certain Emmanuel Hussenet , un autre texte intitulé "La mer libre du pôle" totalement analogue à celui de Madame Rémy et que l'on peut découvrir sur le site :
http://www.reveursdepoles.com

et où on découvre :

     " Les découvertes ont en effet autant à nous apprendre sur la psychologie humaine que que sur la géographie: ce qui importe n'est pas, ainsi que l'a montré claude Levi-Strauss," comment les hommes pensent dans les mythes, mais comment les mythes se pensent dans les hommes, et à leur insu ". Comment ces mythes font vaciller la raison libérant l'imagination ert ... déchaînant les passions. A cette enseigne figure la recherche des passages : il y aurait, a-t-on cru, un lac où l'on pourrait naviguer jusqu'au pôle, et près duquel virait un peuple étrange, sous un climat étonnament tempéré. ce rève eu la vie longuemais, comme tous les rêves, il ne suportera pas la confrontation avec la réalité... "

     Voilà, ici on découvre que tout est affaire de psychologie et de mythe inconsistant... Le site ARTivision, nous aimons le préciser régulièrement, est un site qui se place hors de toute considération psychologique ou psychiatique à la "Freud" et c'est un site qui se base, dans la mesure du possible, sur des données très pragmatiques que tout un chacun peut se procurer dans les librairies et les bibliothèques. Et en ce qui concerne l'étude de cette affaire de mer libre, nous pensons, qu'il faut en priorité comparer entre elles toutes les expéditions polaires des nombreux et anciens explorateurs américains norvégiens, soviétiques, français (plutot rares ceux là )...etc, qui à leur grand étonnement ont découvert qu'au delà d'une certaine latitude à l'intérieur du cercle polaire nord, la température augmentait que l'on y découvrait une mer libre de glace et surtout que de nombreux oiseaux qui n'avaient rien à faire dans ces zones prétendues hyper-glacées à une moyenne de -30° par exemple sur la banquise polaire nord, s'y précipitaient et plongeaient en direction de cette mer libre . Ceci est donc un travail considérable et il faut s'en donner les moyens pour avancer dans cette connaissance.

     D'autre part nous pensons sur ARTivision, que légendes ont toujours au départ un fond de vérité, et qu'il est par exemple, impossible que les Dogons (voir notre article dogons.html ) aient pu imaginer de toutes pièces leur fantastique cosmogonie, ni d'ailleurs que les épopées indiennes du Ramayana et du Mahabharata ou autres textes du même accabit de la région (voir notre article aeronef.html ) , aient pu être des constructions relevant uniquement de la pure imagination. Nous affirmons que le Passé de la Terre est beaucoup plus extraordinaire que les meilleurs auteurs de Science-Fiction ne s'auraient l'inventer et nous dirons plus bas pourquoi !!! (Si vous trouvez, par exemple un auteur de science-fiction qui imagine dans une de ses œuvres, comme l'affirme Rose C., que la Lune a été téléportée à son emplacement actuel, nous nous ferons un devoir d'en parler dans notre article Roselune.html).

     Voici enfin pour terminer, un passage d'un autre texte publié dans le volume III de la gazette Forteenne de 2004 sous la plume d'un certain Theo Paijmans , et sous titre "L'amiral Byrd, la Terre Creuse et la nouvelle Atlantide" :

          "L'amiral Richard Evelyn Byrd (1888-1957) fut un explorateur de l'Antartique, un pionnier de l'aviation et un officier de la marine américaine. Le 9 Mai 1926, Byrd, en tant que navigateur, et Floyd Bennett en tant que pilote, réalisérent ce qui peut être considéré comme le premier survol de Pôle Nord, en quinze heures et demie. Ils volèrent de King's Bay , au Spitzberg (Norvège), jusqu'au Pôle Nord et revinrent. Qu'ils aient véritablement atteint le pôle fait l'objet d'une certaine controverse.(Note du Webmaster : Voir notre article Byrdpolemique.html ) En 1928, Byrd entama sa première expédition dans l'Antarctique, avec deux navires et trois avions. il organisa trois autres expeditions vers le Pôle Sud en 1933-1955 et 1939- 1941, la dernière, appelée Opération Highjump en 1946-1947, constituant la plus grande expédition antarctique à ce jour. Byrd fut aussi chargé de l'Opération Deep Freeze, qui établit des bases permanentes dans l'Antartique en 1955. hormis ces entreprises extraordinaires, les textes historiques ne mentionnent aucun événement anormal qui mériterait que l'on s'arrête une minute pour réexaminer ses explorations sous un éclairage foortéen..."

      Bravo pour ce récapitulatif des exploits de Byrd, mais Mr Theo Paijmans, qui dit n'avoir pas découvert de "textes historiques mentionnant un événement anormal", n'avait certainement pas encore, à l'époque où il écrivait son texte, lu notre article ByrdMercurio.html, où nous avons présenté ce document exceptionnel découvert par notre ami Renaud L . extrait du journal El Mercurio du 5 Mars 1947. Ce document fait en effet l'objet d'une mention dans plusieurs articles d'ARTivision :



      Donc cet entrefilet concernant l'amiral Byrd apparaît seulement en page 23 du journal "El Mercurio" de l'époque, ce qui prouve que la Direction lui avait accordé intêret très secondaire. Nous n'avons hélas pas d'information sur "la première page" de ce journal pour savoir, si au moins le nom de Byrd y était mentionné.

      Notre ami Renaud L. a bien voulu nous traduire ce texte en commençant par le titre :" L'amiral Richard Byrd signale l'importance stratégique des Pôles". A bord du Mont olympus en haute mer.

      La traduction des trois premières phrases, nous donne d'après Renaud L :"L'amiral Richard Byrd s'aperçu et rapporta qu'il est nécéssaire aujourd'hui que les Etats-Unis adoptent des mesures de protection contre la possibilité d'une invasion du pays par des avions hostiles provenant des régions polaires.
      L'amiral a dit ne pas vouloir effrayer personne, mais l'amère réalité est que s'il arrivait une nouvelle guerre, les Etats-Unis seront attaqués par des avions qui voleront au dessus d'un pôle ou des deux pôles. Cette déclaration fut faite par l'amiral comme récapitulation de son propre executif en tant qu'explorateur polaire dans un entretien exclusif pour l'International News Services...
"


     On constate que le journaliste Lee Van ATTA  (utilise comme l'a bien dit le regretté Jean ANNE dans son article euxnousail.html, le terme d'aviones. Encore faudrait-il savoir si Byrd, qui a dû répondre au journaliste en anglais, a bien utilisé ce terme d'avions ou le terme d'objets volants, comme le suppose Mr Eric E. Charon, sur sa page :

http://www.rense.com/general35/op.htm

intitulé : " How High Can You Jump? Operation "Highjump" & The UFO Connection", où l'on peut alors lire :

     "On 5 March, 1947 the "El Mercurio" newspaper of Santiago, Chile, had a headline article "On Board the Mount Olympus on the High Seas" " How High Can You Jump? Operation "Highjump" & The UFO Connection", on peut alors lire :

"On 5 March, 1947 the "El Mercurio" newspaper of Santiago, Chile, had a headline article "On Board the Mount Olympus on the High Seas" which quoted Byrd in an interview with Lee van Atta: "Adm. Byrd declared today that it was imperative for the United States to initiate immediate defense measures against hostile regions. Furthermore, Byrd stated that he "didn't want to frighten anyone unduly" but that it was "a bitter reality that in case of a new war the continental United States would be attacked by flying objects which could fly from pole to pole at incredible speeds". Interestingly, not long before he made these comments, the Admiral had recommended defense bases AT the North Pole. These were not "isolated" remarks... Admiral Byrd later repeated the each of these points of view, resulting from he described as his "personal knowledge" gathered both at the north and south poles, before a news conference held for International News Service."


    Texte anglais que notre ami canadien Robert Momer parfaitement bilingue a traduit ainsi :

    "Dans son numéro du 5 Mars 1947 "El Mercurio" , journal de Santiago du Chili, publait un article intitulé "A bord du Mont Olympus des Hautes Mers " où Byrd fut interviewé par Lee van Atta: "L'amiral Byrd a déclaré aujourd'hui qu'il était impératif que les Etats-Unis prennent les mesures préventives nécessaires contre toute attaque qui pourraient provenir de "régions hostiles". L'amiral a déclaré qu'il ne fallait pas sombrer dans le pessimisme, mais plutôt admettre la réalité, si "amère" soit-elle. En cas d'une nouvelle guerre, le territoire des États-Unis pourraient être attaqué par des objets volants succeptibles de se déplacer d'un Pôle à l'autre, à des vitesses incroyables."

    Il est intéressant de noter que, peu de temps avant de faire ces déclarations, l'amiral avait recommandé l'établissement de bases stratégiques de Défense au Pôle Nord. Byrd ne s'en tint pas là. Plus tard il souligna, à maintes reprises, lors d'une conférence devant "L'International News Service" que chacun de ces points de vue provenaient de "connaissances personnelles" acquises tant au Pôle Nord qu'au Pôle Sud.


    Fin de citation

     Commentaire à chaud du Webmaster:

1°) Dans la première phrase, les termes "des avions hostiles provenant des régions polaires" ont disparu du texte anglais et ont été remplacés simplement par l'expression "régions hostiles". Cette simplification est très regrettable, car ce qui est important est justement que la menace soit localisée en "provenance des régions polaires". D'où l'intéret, comme vous le voyez, dans ce genre d'histoire d'avoir le document d'origine sous la main.

2°) Dans la deuxième phrase, on découvre encore le terme "d'aviones", mais cette fois Eric E. Charon utilise le terme de by flying objects à la place du mot "avionnes" du texte ci-dessus.

3°) On note la présente dans le texte anglais de l'expression " from pole to pole" (d'un pôle à l'autre) traduisant les mots espagnols "sobre uno a ambos polos" N'étant pas qualifiés pour juger, nous laissons aux spécialistes le soin de répondre.

4°) L'expression "à des vitesses incroyables" n'existe pas dans le texte espagnol et donc, on n'en déduit qu'Eric E. Charon n'a pas eu le texte d'origine sous la main et l'a un peu infléchi à sa convenance.

5°) On peut alors supposer aussi que même si Byrd avait dit en anglais le terme "flying objects", le journaliste Lee Van ATTA pouvait-il à l'époque en espagnol, utiliser à la place "d'aviones", le terme en espagnol signifiant objets volants (sous entendu non identifiés, selon nous, bien sûr), que préconise Eric E. Charon ? Là est la question clef ?

     Pour avancer, plus précisément dans ce débat, il convient de se demander d'abord, si au moins, le terme "soucoupe volante", était déjà connu à l'époque où le journaliste Lee Van ATTA s'exprimait. Eh bien non, car c'est le 24 juin 1947 qu'un businessman américain nommé Kenneth Arnold, qui en volant dans son avion personnel au dessus des montagnes de l'Etat de Washington, aperçu alors 9 disques scintillants quittant le Mont Baker, et se dirigeant vers le Mont Rainier, en ayant l'air de se déplacer d'une manière erratique, comme des soucoupes ricochant sur de l'eau. Le lendemain la presse d'information relatait l'incident en utilisant le vocable "soucoupes volantes" devenu désormais célèbre. Et donc selon nous, on peut penser, que si Byrd s'exprimait en anglais, devant Lee Van ATTA en parlant de "flying objects", ce journaliste ne pouvait traduire cela, qu'en utlisant le seul terme espagnol, connu de lui à l'époque : "aviones".

     Hélas, on ne saura peut-être jamais ce qu'avait dit Byrd, à moins que l'on retrouve le texte de ses déclarations à "L'International News Service". Bon courage aux chercheurs éventuels, mais il subsiste toujours l'interrogation suivante : Comment l'amiral Byrd, l'un des plus titré des USA, ose avouer à la Presse sud-américaine, qu'en cas d'une guerre, son pays pourrait être attaqué par des objets volants  ou (des avions) susceptibles de se déplacer d'un pôle à l'autre ?

     En ce qui concerne l'opération Highjump évoquée plus haut par Mr Théo Paijmans, il faut aussi savoir que ce n’est pas sans une bonne raison qu'elle fut organisée à la fin de 1946 sous le commandement de l’amiral Richard Evelyn BYRD. Elle se composait en plus du navire amiral "Mount Olympus", de deux brise-glace le "Burton Island" et le "North Wind", les transports de troupes "Pine Island" et "Curritruck", les destroyers "Brownson" et "Henderson", le porte-avions "Philippine Sea" et quatre autres navires, "Cannistead", "Capacan", "Yancey" et le "Merrick", 4000 marines et 200 avions embarqués avec toute une logistique de guerre prévue pour une opération de plusieurs mois. L'opération partit de la base US de Norfolk en Virginie le 2 Décembre 1946 avec un objectif parfaitement ciblé, qui n'était certainement pas comme semble le croire Mr Théo Paijmans pour aller découvrir des km carrés de régions hyper-glacées ou pour mesurer la vitesse du vent et l'intensité des précipitations neigeuses du coin. Après avoir installé un camp de base sur une zone centrale à Little America, les zones est et ouest étant couvertes par des patrouilles maritimes et aériennes, le 13 Février 1947 les vols de reconnaissance sur l’objectif commencèrent, mais la perte d’avions et celle de militaires, sans doute occasionnées dit-on par les occupants de la base allemande ultra secrète Neu Schwabenland, obligèrent la gigantesque armada à battre en retaite et le 3 Mars 1947, ordre fut donné de regagner Norfolk.. Ce à quoi cette expédition fut confrontée restera longtemps encore un mystère bien épais...

     Nous avons donné dans nos articles Fouvolant.html et ByrdMercury.html des détails surprenants sur cette affaire extraordinaire de la base allemande de "NEU SCHWABENLAND", et des soucoupes volantes du même pays parfaitement opérationnelles à l'époque. Le remarquable site :
http://www.violations.org.uk/

, en plus de détails très pointus sur l'histoire des "Secrets du Troisième Reich", nous présente aussi la liste de plus de 50 sous-marins allemands U-boats, qui ont disparu d'une manière inexplicable à cette époque. Voir donc l'appendix I, du volet "The antartic Enigma" du Live IV et aussi dans l'appendix II, la liste des 7 sous-marins, dont on est sûr qu'ils ont été coulés et où .

    D'ailleurs cet échec de l'expédition de Byrd de 1947, n'a pas manqué d'interpeller certains journalistes de l'époque, et par exemple, même la revue à vulgarisation scientifique "Sciences et Avenir" de Mai 1947 dans son n° 1, que nous avons sous la main, se pose aussi des questions à ce sujet. En voici d'abord une partie de la couverture de cette revue qui à l'époque avait pour dimension 40,5 cm et 29,5 cm, ce qui dépasse de loin les capacités de notre scanner :



     Puis voici le début de l'article, suivi de sa fin, où l'on s'interroge sur les vraies motivations de cette expédition:





     Vous avez donc bien noté que devant l'incroyable armada mise en route par l'expédition de Byrd, une revue scientifique de 1947 se pose effectivement la question de savoir si cette expédition "n'avait pas d'autres visées non avouées". (À vous de juger sur pièces et croire ou non Mr Theo Paijmans qui prétend qu'aucun événement anormal n'est à signaler côté explorations de Byrd...)

     Donc d'après ce Mr Theo Paijmans, Byrd n'a rien vu de spécial aux pôles. Point final. Nous aimerions alors qu'il nous explique pourquoi dans le n° de Janvier 1956 "Sélection du Reader's Digest", que nous avons sur la main, nous découvrons à la page 7, un article de Richard Byrd à l'époque contre-amiral en retraite de la Marine des États-Unis et intitulé "Retour à L'Antarctique" et où Byrd nous fait la déclaration inouïe suivante :

     " Pour la première fois, nous possédions une image assez nette de la configuration du continent austral, mais il subsistait au delà du pôle , une région aussi vaste que les États-Unis, entièrement inconnue, et dont il n'existait aucune carte. "

   Évidemment Byrd ne parle pas de la découverte d'une quelconque végétation, mais vous avez bien noté le terme "au delà" et non "au-dessus" du pôle. Comment peut-il exister "au delà du Pôle", une immense région, surtout "inconnue", alors que chacun s'attend à n'y trouver, à perte de vue, que des étendues glacées et neigeuses très caractérisées ?

     Il ne faut pas oublier que Byrd était un militaire, soumis sans restriction, à une obligation de réserve, et c'est à nous qu'il appartient de bien analyser ses propos à double sens. A vous de juger, une fois de plus, tout cela !!!

     C'est ainsi que nous devons aussi tout faire pour confirmer ou infirmer une fois pour toute, l'assertion de F. Amedeo Giannini suivante :

      " Le 13 Janvier 1956, des membres de l'expédition des Etats-Unis ont accompli un vol de 4300 km à partir de la base de McMurdo Sound, située à 640 km à l'ouest du Pôle Sud et pénétré dans une terre sur une distance de 3700 km au-delà du pôle." . Message radio en provenance de l'expédition antarctique de Byrd, confirmé par la presse américaine du 5 Février 1956.

     Si cela est vrai, il doit bien exister un journal quelconque, daté du 5 Février 1956 qui pourrait le confirmer. Un super Bravo d'avance à l'internaute qui réussira à mettre la main sur un tel journal ...

     De plus, même si ces informations ne concernent pas la région polaire nord, on a le sentiment qu'elles peuvent aussi nous apporter un éclaicissement particulier sur ces affaires de mer libre qui embarassent les bien-pensants.

     Mais revenons justement à notre mer libre du pôle. Qu'avons-nous découvert ces temps-ci, sur cette affaire incroyable ? Les auteurs théoriciens précédents, opposés avec fermeté à cette notion, semblent n'avoir pas connu le texte suivant :

     En effet le 18 Mai 2003, nous avons eu le privilège de recevoir l'aimable missive suivante (les couleurs sont de nous, évidemment) :

----- Original Message -----
From : W.... T.....
To: fred.idylle@wanadoo.fr
Sent: Tuesday, May 18, 2003 8:43 PM
Subject: plus de glace au Pôle Nord

Bonjour Fred

     J'ai trouvé sur le site :http://www.cybersciences.com/Cyber/3.0/N1999.asp cet article plutôt bizarre. Et vous qu'en pensez-vous ?...

v.........t

 
  Pas de glace au Pôle Nord  

Une expédition qui s'est rendue au Pôle Nord cet été n'y a pas vu de glace. Là où aurait dû se trouver la banquise, il n'y avait que l'océan Arctique. Une première en... 50 millions d'années. 

États-Unis 

21/08/2000 - James McCarthy, un océanographe américain qui faisait route vers le Pôle Nord dans un brise-glace russe en compagnie d'un groupe de touristes a eu la surprise de sa vie. À son arrivée, début août, pas de glace. Il n'y avait que de l'eau, sur au moins deux kilomètres de largeur. Selon l'expert, ce serait la première fois depuis 50 millions d'années que le pôle n'est pas couvert par la banquise. D'autres spécialistes contestent : le mouvement des glaces crée parfois des trouées temporaires, même à cette latitude extrême.



Le paléontologue Malcolm C. McKenna, qui était aussi de l'expédition, croit toutefois que c'était la première fois que l'on trouvait les eaux du pôle libres de glace. Il ajoute que le navire russe n'a traversé que de la glace très mince pendant tout son voyage. Dans cette région, l'été, elle fait normalement au moins trois mètres d'épaisseur. Cette fois-ci, les touristes ont dû s'éloigner à 10 kilomètres du Pôle Nord avant de trouver de la glace assez solide pour pouvoir y marcher.

Autre détail troublant : des goélands ont été vus en train de voler au-dessus du Pôle. Là encore, ce serait une première. Ces oiseaux, qui se nourrissent de créatures marines, ne vivent habituellement pas des ces régions en principe couvertes d'une épaisse banquise.

Les participants de l'expédition voient dans toutes ces premières une preuve de plus de la fonte rapide de la calotte polaire. Des observateurs extérieurs croient plutôt que la banquise s'est temporairement déchirée lorsque la glace a été emportée par le vent ou les courants marins. Quoi qu'il en soit, tous les spécialistes s'entendent pour dire que la banquise recule, au moins à sa limite sud, et que son épaisseur a diminué d'au moins 40% depuis 50 ans. À ce rythme, elle pourrait complètement disparaître d'ici 2100

Philippe Gauthier


     Fin de citation

     En somme, ce communiqué ( qui parle souvent de première fois ) , montrant ainsi l'ignorance totale de ses auteurs, en matière de connaissance des récits concernant les explorations polaires, ne dit pas autre chose, sur la mer libre du pôle, que ce que raconte justement l'ouvrage du même nom, d' Isaac Israël Hayes présenté largement plus haut.

     En 1984, nous avons eu l'heureuse opportunité de découvrir l'édition de 1877 de cet ouvrage dans une vieille malle, à 600m de chez nous. Et donc, disons ici encore, bravo à Super Hasard, qui nous comble de joies et d'émotions.

     Si donc les observateurs modernes mentionnés dans ce communiqué sont tombés à la renverse à la découverte de cette mer libre, nous l'avons vu plus haut, elle était connue depuis des lustres par Jules Verne et par bien d'autres explorateurs américains, russes, français etc...A bon entendeur salut.

     Mais cette affaire apparemment banale de mer libre dans les régions polaires, cache, nous allons le voir, de nombreuses autres énigmes, dont dont évite de parler dans les millieux autorisés :

     Dans notre article :


, nous avons explicité les questions précises, que se posent le chercheur précurseur comme Williams REED dans son livre THE FANTOME OF THE POLES (fantômes des Pôles) , publié en 1906, ou encore un autre chercheur comme Marschall B.Gardner, dans son livre A JOURNEY TO THE EARTH'S INTERIOR : Have the poles really been discovered ? (VOYAGE À L'INTÉRIEUR DE LA TERRE, ou les pôles ont-ils vraiment été découverts) publié à compte d'auteur en 1920, à savoir en substance et en relation avec cette affaire de mer libre ( Nous recherchons évidemment toute thèse et rapport quelconques sur la question ) :

- Où se forment les icebergs et comment ?
- Pourquoi sont-ils faits d'eau douce ?
- Quelle est l'origine du ras de marée polaire et quelle est l'origine de la grande pression qui s'exerce sur la banquise arctique par temps calme ?
- Pourquoi certains observateurs ont-ils découvert qu'il faisait plus chaud près des pôles, qu'à 600 miles ou à 100 miles d'eux ?
- d'où viennnent la poussière noire, et colorée, le pollen et le bois mort flottant sur les icebergs et sur la banquise dans le Grand Nord ?


     Voyons par exemple, ce que nous dit l'explorateur Nansen en 1895, alors qu'il se trouvait autour du 85° de latitude Nord :

     " Pendant longtemps cette glace a dû être en mouvement et soumise à de terribles pressions. Sur plusieurs points, les monticules atteignent une hauteur de huit mètres et contiennent des strates de matière minérale. Un floe notamment est entièrement noirci par une substance inorganique ou organique. Le temps me manque pour examiner la chose."

     "... Après de longues recherches, je parviens à découvrir un passage à travers ce labyrinthe de glace. Au-delà quel n'est pas mon étonnement d'apercevoir un énorme tronc de mélèze de Sibérie dressé au milieu de la banquise . Nous le marquons des initiales : F.N.H.J.85°80'".

     Un tronc d'arbre à 85°80' de latitude Nord ? Nansen pense qu'il vient de la Sibérie!!! A vous de juger...

     Cette affaire énigmatique de la dérive de la glace polaire a été évoquée dans un article de la revue "Science et Avenir"142 Hors série d'Avril- Mai 2005, sous la plume de Marie Noelle Houssais.



     Dans ce remarquable numéro spécial, on étudie le fait scientifique, dans ses plus petits retranchements et tout étudiant en philosophie, selon nous, gagnerait à consulter cette revue, s'il avait à traiter un sujet du genre :" Les faits scientifiques, résultent-ils d'une interprétation de l'expérimentateur ? "

Mais revenons à notre affaire de mer libre :

     Dans cette revue, il y a en plus donc, un super article où Mme Marie Noelle Houssais fait état d'une théorie prétenduement bien structurée, expliquant que "la dérive de la glace polaire", mise en évidence par Fridtjof Nansen en 1896 après une dérive de son navire le Fram durant 35 mois sur la banquise, est due au vent du coin et à la force de Coriolis, bien connue et expliquée scientifiquement.



     Tout cela serait super, si les chercheurs hors normes, Williams REED et Marschall B.Gardner (voir le titre de leur ouvrage plus haut) eux, ne nous disaient pas (il y a plus de 90 ans ), que cette énorme dérive, ne peut venir que de puissants fleuves sous-marins issus de l'intérieur de la Terre, et de plus, ces fleuves sont à l'origine de la création des icebergs, quand ils gêlent à la sortie des ouvertures polaires où régne un froid terrible. (voir notre article:audelaGrandNord.html)


     Si cela est vrai, il est donc pour tout chercheur sur la question, de la plus haute importance d'avoir sous la main une étude officielle démontrant que les icebergs sont bien constitués d'eau douce. Avis aux amateurs....

     Mais pour être plus clair dans notre propos, grimpons voulez-vous jusqu'au niveau de nos satellites. Mais, , nous préférons avertir le novice profane qui entre pour la première fois dans le site ARTivision, de bien attacher sa ceinture, car il risque d'y avoir ici quelques turbulences.

     En effet, que découvre-t-on de la-haut, quand par chance l'image arrive à passer au travers des filtres et des caviardages des sbires des Forces Négatives de l'Ombre, émules attitrées de la Séparation des humains pour mieux les mener par le bout du nez ?

      C'est ainsi qu'il faut savoir d'abord que nous avons reçu, il y a déjà quelque temps une photo surprenante du Pôle Nord, obtenue dans des conditions étranges. Nous ne savons pas si elle est un habile montage ou pas. Certains internautes n'ont pas hésité à dire que c'est une photo trafiquée, mais selon nous, les gouvernements n'ont aucun intéret à diffuser une telle photo, même pour faire de la désinformation caractérisée.


     On découvre aussi cette cette photo sur le site de Suisse allemande :



     Cette photo aurait été captée dit-on par un radio-amateur d'Allemagne, qui a travaillé, il y a environ 10 ans, au Centre Spatial de Garchlingen ( Bayern ) et qui connaissait la fréquence du satellite qui survolait la région.

     Le 4 Aout 2004, nous avons obtenu d'un grand infographiste un rapport détaillé sur les propriètés de cette photo et nous notons ici, une partie , de la conclusion de cet infographiste :

"Hors dans ce cas, le film atmosphérique a une forme parfaitement régulière ne dépendant pas des irrégularités de la surface terrestre et son intensité ne dépend que de l'éclairage global du globe, et pas des points immédiatement en dessous, ce qui est normal pour une lumière réfléchie.

     Seule une image extrêmement complexe utilisant du Lancer De Rayon avec un module de calcul de diffraction associé à un nuage de particules fines peut donner ce résultat en synthèse.

     Mais vu la finesse des détails, il faudrait vraiment posséder une sacrée machine et d'excellents infographistes. De plus je persiste à dire que les outils d'imagerie ont la facheuse habitude à créer des dégradés parfaits,(la bande de dominante rouge aura toujours la même épaisseur que la bande de dominante bleu, et suivra parfaitement la courbure de la surface terrestre), et légèrement sursaturés en couleurs, à l'opposé d'un dégradé naturel où les couleurs sont beaucoup plus mêlées et diffuses...
"

     Si cela s'averrait vérifiable, nous serions là en présence d'un document exceptionnel et inestimable. Mais nous n'avons évidemment aucun moyen pour l'instant de certifier tout cela. Donc affaire à suivre de très près.

     Mais si la photo précédente reste sujette à caution, il n'en est pas de même pour celles-ci, qui sont elles, irréprochables :

 

     Ces 4 images du satellite de Saturne Titan (5150km) ( plus gros que Pluton ( 2280km ) et même que Mercure (4960 km) ), furent réalisées en début Juillet 04, par la sonde américaine Cassini Huygens lancée le 15 Octobre 1997 de Cap Canaveral Air Force Station, en Floride.

     Comme vous l'avez sûrement remarqué, ce qui surprend grandement sur ces premières photos de Titan de Cassini , c'est le point extrêmement lumineux que l'on aperçoit au bas de la planète. Cela va poser un gros problème aux astronomes et à ceux qui ne connaissent pas justement la théorie de la Terre creuse. Pour expliquer cela, on évoquera sans doute, encore, la présence d'un petit nuage blanc, comme pour Neptune, (ce petit nuage étant cette fois bizarrement bien circulaire) ou encore l'existence de glace dans une région polaire (explication évidemment non recevable ici)

     Si nous isolons le globe de couleur bleue et que nous l'imprimons un peu agrandi,


     Nous vous invitons donc, encore une fois, à bien revoir cet Oeil surprenant de Titan , extrêmement brillant , qui nous interpelle ci-dessus et où l'on voit nettement juste en dessous une sorte réverbération sur les couches de l'atmosphère de la planète prouvant que cette luminosité vient de l'intérieur . (voir le bout de la flèche rouge ci-dessous) :


nbsp;    En mesurant alors aproximativement le diamètre de ce globe sur notre papier, nous trouvons 52mm, et pour le diamètre du disque lumineux, nous trouvons environ 3 mm. Une simple proportion nous permet alors d'en déduire que le diamètre réel en km du disque lumineux serait environ: (5150 x 3 )/52 = 297, 11... km , que nous arrondissons à 300 Km vu l'imprécision de nos mesures.

     Il va s'en dire que, concernant ce disque extrêmement lumineux d'environ 300Km de diamètre, nous attendons avec ferveur, les explications (dans les revues spécialisées qui ont pignon sur rue ) de ceux qui raillaient la théorie des ouvertures polaires , que nous avons mise en exergue, très audacieusement dès le 17 Septembre 2000, dans notre article placé à :


     Le 12/11/2004, nous avons reçu d'un aimable internaute dont nous conserverons l'anonymat, un article particulièrement intéressant du journal "Le Monde" du 10/11/04, dont nous avons placé les éléments à :


      De l' article précédent, nous allons extraire surtout la phrase suivante qui a particulièrement retenu notre attention :

    " Les détails de l'atmosphère font également l'objet de toute l'attention des chercheurs. "Notamment une sorte de nuage" - que l'on appelle ainsi faute de pouvoir mieux le qualifier - qui ressemble à un système météorologique complexe, un vortex tournant autour du pôle Sud de la planète ".

     Nous notons donc bien, que Mme Athéna Coustenis, astronome à l'Observatoire de Paris et spécialiste de Titan, dit qu'elle ne sait pas comment qualifier ce disque extrêmement brillant que l'on aperçoit à ce pôle sud de Titan.

    Voilà donc, enfin une astronome qui avoue que sur Titan, il y a "une sorte de nuage" (mais elle évite de parler de son extrême brillance), qui se présente sous la forme d'un vortex tournant au pôle sud de la planète, et vortex qu'elle qualifie cependant de complexe météorologique. Pourtant il serait facile de déterminer si ce "vortex atmosphérique" se déplace au gré des courants comme le fait "la grande tache rouge" de Jupiter. Mais rien n'est mentionné à ce sujet. A vous de juger tout cela ...

     Mais attendons voulez vous, que Cassini Huygens, nous envoie d'autres photos plus précises de Titan et souhaitons que les plus révélatices ne soient pas purement et simplement escamotées par ceux-la même dont le devoir serait de les expliquer à l'humanité. D'ailleurs, on sait que la mission de Cassini doit se poursuivre jusqu'au 1er juillet 2007. La sonde doit tourner 74 fois autour de Saturne et s'approcher régulièrement de ses gros satellites et Titan sera ausculté 44 fois et nous nous étonnons d'ailleurs grandement que jusqu'à présent (depuis 2004) aucune photo du Pôle Nord de Titan ne nous soit pas encore parvenue. A vous de juger donc encore un peu tout cela ...

     Mais comme disent les anglo-saxons lorsqu'ils veulent rester attentifs : Wait and See.

    Dès le 16/09/04, nous avons contacté un astrophysicien éminent et aussi d'autres personnalités importantes pour savoir ce l'on pourrait dire sur cette affaire qui dépasse l'imagination des meilleurs auteurs de Science-fiction.

    Nous leur avons demandé, concernant cette affaire, une explication qui pourrait être, selon eux, orthodoxe (ou officielle), et nous n'avons jusqu'à présent reçu aucune réponse . Cela dénote, selon nous, mis à part un manque de courtoisie notoire, une incapacité flagrante à répondre à la question posée. A vous de juger.....

    Nous avons aussi scruté avec attention les réactions des revues spécialisées à ce sujet (voir ainsi notre article à Byrdsuiteplus.html) et nous pouvons alors affirmer, par exemple, que certaines revues bien connues ont carrément pratiqué, "la politique de la bouche cousue", pour ne pas avoir à se prononcer sur une affaire qui dépasse l'entendement des plus aguerris.

    Mais il faut aussi d'ailleurs savoir que la planète Mars n'a rien à envier à Titan (et les astronomes se sont bien gardés à l'époque de s'exprimer clairement là- dessus et c'était déjà à l'époque aussi la politique de la bouche cousue) sur cette calotte polaire qui brille souverainement, alors que la région concernée est dans l'ombre :


    Nous insistons sur le fait que cette photo ne vient pas de la NASA (qui camoufle et vérouille absolument tout cela), mais du télescope du Pic du Midi en France.

    Il y a encore mieux car nous avons aussi reçu cette extraordinaire photo de Mars, prise le 31 Aout 2003 par le "Griffith Satellite Observatory", lors de la fameuse opposition de 2003, où Mars était alors au plus près de la Terre à environ 56 millions de km :


    De même on note encore le fait que cette photo ne vient pas non plus de la NASA, mais vient aussi d'un télescope et était visible sur le site suivant qui n'est hélas, plus fonctionnel et tout a disparu totalement.


     Dès le début de 2006, nous disions qu'il nous fallait donc tout faire ( Si un internaute ou un de ses amis pouvait en faire de  même de son côté, ce serait formidable)  pour contacter le Griffith Observatory afin de retrouver les références exactes de cette incroyable photo, qui est placée chez nous à :

    Il est bien aussi à remarquer qu'une telle photo, (à notre connaissance, mais un cas pourrait peut-être nous avoir échappé ), ne fut jamais diffusée dans les médias qui ont pignon sur rue et pour cause. Vous pouvez chercher dans revues spécialisées bien connues,  aucune d'entre elles n'a osé en parler, même à titre de curiosité, car leurs journalistes  n'ont aucune explication orthodoxe à présenter sur le cas de cette incroyable brillance du pôle Mars. Alors il est préférable dans ce cas de se taire  et de fourrer la tête sous le sable comme l'autruche pour ne pas voir l'inexplicable.

     Mais le 30 Août 2010, Super Hasard est venu, à notre aide pour nous offrir sur le plateau d'argent, les caractéristiques tant recherchées depuis des années, de la fameuse photo .

     En effet, en tapant sur GOOGLE, entre guillemets :

http://www.jplrecclubs.caltech.edu/astron/images/din/Griffith/Griffith.html

, nous sommes tombés alors, sur le site de Merlin placé à :


, où il est écrit, en dessous de la photo :

Mars, Su 083103 - Griffith Satellite Observatory
Telescope: 127mm f/12.1 Maksutov.

, ce qui signifie que cette photo de Mars, fut réalisée le Dimanche 31 Août 2003, par le - Griffith Satellite Observatory, avec un Telescope: 127mm f/12.1 Maksutov.

     Donc un Grand Bravo à Merlin, qui a eu à l'époque, avant la disparition du site, l'idée géniale de noter les caractéristiques de la fameuse photo en question. Toutes nos missives en direction du - Griffith Observatory - , sont demeurées sans réponse, sans doute parce que nous n'avions pas l'e-mail du Centre Principal.

     Mais Super Hasard a fait encore plus fort : En effet le 09/09/2010, nous avons reçu d'un aimable internaute, la missive très importante suivante :

----- Original Message -----
From: S.. U...
To: fred.idylle
Sent: Thursday, September 09, 2010 5:02 AM
Subject: Cela pourrait très certainement (énormement) vous intéresser.

          Bonjour M Idylle,

     Comment vous expliquer ? Il existe un site de sauvegarde sur le net qui permet parfois de retrouver d'anciens sites disparus, c'est celui-ci :



     On peut y retrouver (parfois) certaines pages disparues.....

     J'y ai donc mis l'adresse suivante:
www.jplrecclubs.caltech.edu/astron/images/din/Griffith/Griffith.html
que vous donnez sur votre site.

     Voici le résultat :



http://web.archive.org/web/*/http://www.jplrecclubs.caltech.edu/astron/images/din/Griffith/Griffith.html      Veuillez cliquer sous "2004", il y a deux pages de cet ancien site, qui pourraient vous intéresser je crois....

     Mais vous connaissez peut être déjà ce site, veuillez alors ne pas tenir compte de ce mail.

           Très cordialement.

           S... U....

PS : Je tiens à m'excuser pour mon dernier mail, mais je n'avais plus d'ordinateur chez moi, j'en ai un nouveau depuis.


     Fin de citation.

     Comme c'est étonnant, c'est bien la page que nous recherchions depuis le début de 2006.

     Extrayons en, la partie qui nous intéresse :



     Une modeste traduction des 7 premières lignes (dont nous connaissons déjà une partie) donne alors ceci :

Dimanche 31 Août 2003 , par le - Griffith Satellite Observatory, avec un Telescope: 127mm f/12.1 MaksutovAppareil. Appareil photo: Creative Pro EX webcam.

     C'est la meilleure image de Mars qui se compose de plusieurs dizaines d'images sélectionnées, alignées et empilées à partir d'une séquence de prises faites à 12h05. Ce fut peu de temps après l'opposition célèbre cette année (2003 rappel), quand Mars est passé à environ 34.6 millions de miles de la Terre. Un dispositif Barlow x 3, a été utilisé pour donner une taille conséquente à l'image. Le Nord est en haut et l'Est est à gauche.


      Remarquons que l'Est devrait être à droite, et donc il faut renverser la photo pour que le Pôle Nord soit en haut.

     Nous nous posons alors la question, de savoir pourquoi un site aussi bien fait et aussi utile a pu disparaître aussi souverainement et pourquoi nous n'avons reçu aucune réponse aux adresses Griffith, que nous avions contactées ? Grâce à l'internaute S...U..., tout devient désormais plus pratique et explicatif. Bravo aussi donc, pour sa trouvaille et surtout pour son initiative en direction d'ARTivision.

     Le 26/09/2010, nous avons eu l'idée de rechercher le nom véritable de cette surprenante image de Mars sur le site en question, en cliquant sur l'image et puis ensuite sur Propriétés. Et non seulement nous avons trouvé son nom : Mars083103.jpg, mais en plus, nous avons trouvé aussi, en réfléchissant un peu, son adresse Web actuelle :


, ce qui nous donne alors ce superbe spectacle qui en mettant l'Est à droite, donne pour le Pôle Nord de Mars:


     Comme on le voit, sur ARTivision chaque chose arrive, en temps voulu, n'est-ce pas !!.

     Cependant compte tenu de ces nouvelles données précises, il conviendrait de demander au moins à :

dans quelle revue scientifique ou autre, cette étrange photo, a pu être publiée ? Avis aux chercheurs et même aux amateurs qui s'interrogent vraiment sur tout cela ...

     Mais il y aussi cette affaire de lueur inexplicable au pôle sud d' Encelade, l'une des lunes de Saturne :


, affaire que nous avons présentée sous la forme du paragraphe " Autre prolongement révélateur significatif en date du 21/03/06", dans notre article : Byrdsuite.html, et, il nous semble utile, de transcrire aussi ici, la superbe information reçue d'un fidel internaute :

----- Original Message -----
From: Philippe B......
Sent: Tuesday, March 13, 2007 9:21 AM
Subject: Un petit plus pour Byrdsuite.html

Bonjour Fred,

A propos d'Encelade (source : http://planet-terre.ens-lyon.fr)





    Merci pour ce site passionnant, qu'est ARTivision !

    Vives cordialités..
    Philippe D.......


        Fin de citation.

     Vous avez donc bien lu, nous l'espérons, la conclusion de cet étrange entrefilé du site en question : " Il y a donc une autre source de chaleur que le soleil près du pôle Sud ".

      Que ceux, compte tenu de ce nouveau fait, qui refusent encore la théorie des planètes creuses avec un soleil central, s'évertuent désormais, à en élaborer une nouvelle plus significative et si possible non fantaisiste, et nous seront alors heureux d'en présenter ici, le concept. A bon entendeur salut...

     Mais pendant que nous y sommes et à l'intention spécifique de Mme Frédérique Rémy qui probablement n'a jamais visité le site
ARTivision (et pour cause, et nous espérons qu'un aimable internaute pourra lui transmettre l'URL de cet article) voici une courte récapitulation concernant Mercure et Céres :

     Pour Mercure, le même phénomène apparaît aussi, et, on ne saurait parler d'une calotte polaire de glace brillante, vu sa proximité avec le Soleil. D'ailleurs, ce n'est qu'en 1965, qu'on a découvert que Mercure est animé d'un très lent mouvement de rotation sur lui même et de ce fait ne présente pas toujours la même face au soleil, contrairement à ce que l'on pensait auparavant, ce qui permettait d'admettre l'existence de régions totalement plongées dans l'obscurité (Le livre d'Albert Ducrocq "l'humanité devant la navigation interplanétaire " chez Calmmann-Levy de 1947, nous est, et sera encore bientôt, très utile à ce sujet). Or donc, nous dit en substance, la revue "Science & vie" n° 883 de Fév. 92 dans un article de J.R. Germain intitulé "De la glace sur Mercure: " Le 8 Août 1991 à la faveur d'une fenêtre particulièrement propice, Mercure qui passait au plus près de la Terre, présenta son pôle Nord face à nous. Les Astronomes, Martin Slade du Jet Propulsion Laboritory et Duane Muhleman du Californian Institute of Technologie décrochèrent alors un puissant signal radar 500 000 W ) au radiotélescope de Goldstone en Californie. Le signal réfléchi est récupéré par les 27 antennes du Very Large Array, un réseau de télescope de 25 m de diamètre chacun déployé au Nouveau-Mexique...."

   L'article nous dit que l'on distingua alors nettement une zone ovale brillante de 640 x 300m inexplicable, que l'on devrait attribuer à une calotte glaciaire. (voir la photo pôle Mercure:)


   On trouve aussi dans cet article: " Mais voilà, Mercure n'a pas de saisons, possède de forts écarts de température entre la nuit et le jour et des températures qui peuvent atteindre les 430°C. Autant dire que ces conditions ne sont pas réellement propices à la formation de la glace."

   Mais l'auteur ajoute une phrase très révélatrice. "Sans compter que Mariner 10, la seule sonde à avoir jamais frôlé Mercure, n'a détecté aucune anomalie de ce type lorsqu'elle a survolé une partie du pôle en 1974 ". Nous en reparlerons.

   Nous avons appris par la suite, qu'en 1993, il allait y avoir une nouvelle fenêtre d'observation pour ce même pôle Nord et en 1994 une autre pour le pôle Sud, qui est pourtant parait-il très difficile à observer.

   Nous avons en vain attendu, que la "Presse spécialisée", nous transmette les résultats de ces observations, de 93 et 94, mais hélas jusqu'à ce jour, ce fut le mutisme le plus complet. Pourquoi ? 

Pour Céres :     Le 09/09/05, nous avons eu le privilège de recevoir de l'ami Claude....le message suivant :

----- Original Message -----
Sent: Friday, September 09, 2005 1:34 PM
Subject: nouvelobs.com quotidien temps réel vous informe...

Pas beaucoup d'explication sur la tache de lumière !!!

La vraie nature de Cérès

Lire : http://permanent.nouvelobs.com/cgi/mail/qobs_test?rub=sciences&cle=20050909.OBS8748&date=2005.0909

    Amitiés

    Claude




    Et pour vous éviter d'aller patrouiller sur le Net, voici de quoi il sagit :

© Le Nouvel Observateur
 
La vraie nature de Cérès

Hubble a observé Cérès pendant une rotation complète (9 heures) afin de confirmer l’homogénéité de sa forme. (NASA/ESA/Parker, Thomas, McFadden)
 
 

L’astéroïde Cérès, le plus gros représentant connu de la ceinture principale d’astéroïdes située entre Mars et Jupiter, aurait pu être une planète. Si Jupiter ne s’était pas formée, si du même coup elle n’avait pas empêché nombre d’objets de la cette ceinture de continuer à grossir en acquérant de la matière, Cérès serait peut-être devenu une planète. La forme sphérique de l’astéroïde accrédite l’hypothèse d’un objet homogène, possédant un cœur et un manteau, selon une étude publiée cette semaine dans la revue Nature.

De nouvelles observations menées en décembre 2003 et janvier 2004 par le télescope spatial Hubble montrent que Cérès est un objet sphérique, pas aplati, suggèrant que sa forme est contrôlée par une force de gravité. De plus sa rotation correspond à une distribution homogène de la matière, expliquent Peter Thomas (Cornell University) et ses collègues.

Cérès pourraient donc être composé de deux couches : un cœur rocheux et un manteau riche en glace d’eau. Une structure comparable à certaines lunes glacées du système solaire. Pour se faire une idée plus précise et plus définitive, les chercheurs attendent avec impatience la mission Dawn, conçue pour rendre visite à Cérès et à Vesta, et qui se mettrait en orbite autour de Cérès en 2015.

Cécile Dumas
(09/09/05)

    Vous constatez effectivement, comme le souligne l'internaute Claude, que dans cet entrefilet, il n'est question nulle part de cette lumière éclatante qui éclabousse Cérès. Est-ce un reflet de la lumière lointaine de notre Soleil sur de la glace de l'astéroide? Aucune suggestion, ne nous est proposée. A vous de juger ce mutisme notoire.

    Nous avons aussi reçu d'autres aimables internautes, cet entrefilet qui est tiré du journal "20 minutes TOULOUSE", qui est offert gratuitement . Il est daté du 13 septembre 2005 :



    Vous voyez que là nous apprenons que le diamètre de Cérès mesure 930 km et surtout que les astronomes n'ont pour l'instant aucune explication à proposer au sujet de cette tache blanche très lumineuse qui apparaît sur les photos.

     Nous avons évidemment fait un petit calcul qui tient compte du diamètre de 930 km de Cérès et de celui de la Terre de 12760 km . Or d'après le livre "La Terre creuse" de Raymond Bernard, le diamètre du soleil intérieur de la Terre ferait 960 km . Donc toute proportion gardée, le diamètre du soleil intérieur de Cérès , serait donnée par l'expression: ( 960 x 930) / 12760. Le résultat est donc voisin de 69,968 ...km , soit en arrondissant à 70 km .

    Nous n'avons évidemment aucun moyen de savoir si cela est suffisant pour donner cette éclatante lumière que l'on aperçoit sur les images montrées.

    Donc il faudrait pour en être convaincu pouvoir filmer l'autre hémisphère de Cérès et voir ainsi si l'on y découvre aussi une lumière éclatante similaire.

    Donc en terminant disons que cette affaire de lumière étrange aux pôles de ces astres, ne peut que nous interpeler à juste titre, même si d'autres interlocuteurs n'y voient que des aurores polaires magnétiques parasites.

III Conclusion.

    Nous pourrions de même parler de Vénus, Jupiter, Saturne , etc ... qui présentent d'étranges lueurs aux pôles et que l'on a vite aussi attribué à des aurores polaires, sans d'ailleurs en connaître la vraie raison, mais il faut bien arrêter cet article déjà trop long.

    Remercions donc Mme Frédérique Rémy, et Mrs Emmanuel Hussenet et Théo Paijmans et de bien d'autres protagonistes fervents inconditionnels de l'illusion attachée à la mer libre du pôle, de nous avoir fourni ici l'opportunité de faire ce court résumé d'une thèse vraiment extraordinaire qui prétend que notre planète est bien creuse et qu'elle posséde en son centre un soleil qui permet d' y entretenir chaleur et civilisations. C'est d'ailleurs aussi, ce Soleil qui est à l'origine des aurores polaires évoquées justement ci-dessus.

    Mais rappelez vous, que plus haut, nous avions dit "qu'il n'y avait pas de fumée sans feu". C'est donc bien, ici au sens propre , qu'il faut appliquer, ce dicton. (voir d'ailleurs à la fois, le terme et l'article :SmokyGod.html)

    En fin de compte, pour terminer, on pourrait aisément imaginer, d'une part, que notre planète se présente extérieurement, vraiment comme une pomme, et ici, l'analogie est cependant remarquable (et nous avons pour cela supprimé la tige) pour l'œuvre du peintre surréaliste belge Magritte, bien que pour la Terre, la concavité soit certainement moins prononcée.


et d'autre part intérieurement, comme une sorte de géode, où le plus beau se trouve à l'intérieur, sous une forme lumineuse et cristalline, dès qu'une"source brillante", y est introduite. Mais , pour la Terre, il faut transmettre un super bravo à Celui qui a su si bien y placer un admirable Soleil ....

   


    Nous pensons cependant que "cette recherche n'a pas été uniquement du Temps perdu", comme pourrait le laisser croire le titre de cet article, et que bientôt, on en comprendra le fondement sous-jacent...

    Nul doute, en effet, qu'un jour les sages de l'intérieur ouvriront les portes physiques et psychiques permettant l'entrée de leur monde de Paix et d'Harmonie, mais, ce ne sera, que si nous arrivons à supprimer au moins, sur cette planète, nos actions négatives et stupides, souvent cupides (guerres, crimes, assassinats, agressions, violences, actions kamikazes, viols, suicides,..etc.. et tout cela quotidiennement.) qui prouvent, s'il en était besoin, que notre niveau d'évolution, et surtout, celui de ceux qui nous dirigent, laisse encore beaucoup à désirer...

    Il va sans dire, que si la Terre est vraiment creuse et qu'une civilisation avancée s'est développée depuis des lustres à l'intérieur, en intervenant épisodiquement dans les affaires des terriens de l'extérieur (voir la présence des Dieux de nos légendes), toute la conception historique de notre Passé est à revoir. De plus, il est évident que nos dirigeants sont au courant de cette affaire au plus Haut Niveau et qu'ils nous la cachent pour de vulgaires questions de stratégies militaires et d'hégémonie politique et économique (même Google nous présente des photos truquées des pôles de la Terre : voir nos articles Affairegravaslune.html et Byrd.html ).

    Seule la prise de conscience au niveau mondial, que l'on nous cache une vérité souvereine (tant sur la connaissance de la Lune que celle de cette Terre) et aussi le fait d'apprendre que nous ne sommes pas le nombril de la création, pourront nous forcer à admettre que le choix d'une vie meilleure existe bien quelque part sur cette planète (les terres habitables de l'intérieur seraient, parait-il, bien plus immenses que celles de l'extérieur que nous polluons si largement) et qu'il est parfaitenemt vain et inutile de s'arracher les yeux et de se marcher sur le corps sur cette planète.(Prenons donc le temps de vivre, d'apprécier la beauté de la Nature et évitons même déjà, par exemple, de nous entretuer sur les routes dans nos automobiles qui ne seraient probablement, pour les habitants de l'intérieur, que des boîtes rampantes à 4 roues).

    Les circuits puissants d'information qui existent actuellement, ne tarderont pas "à casser" les blocages sournoisement mis en place par ceux d'En Haut qui nous mentent, et vont les obliger à "lâcher prise" et à "retourner leur veste". Notre avenir en dépend et nous devons principalement tout faire pour en être les acteurs. A bon entendeur salut....

    Pour en savoir modestement un peu plus, sur cette affaire extraordinaire, il conviendrait d'approffondir dans la mesure du possible, nos articles :

http://www.artivision.fr/docs/Byrd.html
http://www.artivision.fr/docs/Byrdsuite.html
http://www.artivision.fr/docs/Byrdsuiteplus.html
http://www.artivision.fr/docs/Byrdalice.html
http://www.artivision.fr/docs/Byrdalicesuite.html
http://www.artivision.fr/docs/merlibre.html
http://www.artivision.fr/docs/merlibresuite.html
http://www.artivision.fr/docs/audelaGrandNord.html
http://www.artivision.fr/docs/terreSannikov.html
http://www.artivision.fr/docs/ouverturespolaires.html
http://www.artivision.fr/docs/SmokyGod.html
http://www.artivision.fr/docs/ByrdMercurio.html
http://www.artivision.fr/docs/imagepolesud.html
http://www.artivision.fr/docs/rencontrecertaintype.html
http://www.artivision.fr/docs/JulesVerneouverturespolaires.html
http://www.artivision.fr/docs/Thalasso.html
http://www.artivision.fr/docs/affaireWilkins.html
http://www.artivision.fr/docs/connaitrelevrai..html
http://www.artivision.fr/docs/lettreouverteauPrinceAlbertII.html
http://www.artivision.fr/docs/mammouth.html
http://www.artivision.fr/docs/Siragusaepopee.html
http://www.artivision.fr/docs/Agartha.html
http://www.artivision.fr/docs/Hyperboree.html
http://www.artivision.fr/docs/Rampa.html
http://www.artivision.fr/docs/Observationsboreales.html
http://www.artivision.fr/docs/Histoirereptilienne.html
http://www.artivision.fr/docs/Buffon.html
http://www.artivision.fr/docs/Nostramystere.html
http://www.artivision.fr/docs/Greenarticle1926.html

http://www.artivision.fr/docs/biblioterrecreuse.html

     Mais dans la liste précédente (déjà conséquente) nous n'avons pourtant pas placé la page :


     En effet, nous avions dès le 10 Novembre 2000, reçu par la poste d'un très aimable internaute suisse, le "Carnet de bord ou journal", attribué à l'Amiral Byrd et correspondant à sa célèbre expédition du 19 Février 1947. Cependant ce prétendu journal de bord de Byrd serait parait-il très suspect, car le style du langage employé , ne correspond pas à la culture d'un amiral américain, bien que de nombreux sites anglais en parlent comme par exemple les sites :



     La vérité approche à grand pas , et on saura sans doute bientôt qui a vraiment écrit cet énigmatique journal.

IV Quand une actualité dramatique nous interpelle.


     Nous avons parlé dans le paragraphe précédent d'actions négatives (en particulier les suicides) qui montrent qu'il y a encore du chemin à faire pour nous hisser au niveau spirituel requis pour avoir le droit de pénétrer dans le monde intérieur de la Terre. L'actualité nous invite à vous présenter l'entrefilet suivant :




     Vous avez bien lu nous l'espérons, que la Direction de l'entreprise en question, a conçu un plan qui consiste à "faire en sorte qu'on écoute, qu'on échange et qu'on valorise davantage les équipes dans la vie au travail"

     Nous suggérons alors que cette valorisation du travail soit d'abord basée sur le fait (pratiquement démontré sur ARTivision) que l'espoir de côtoyer un jour proche une vie meilleure et paradisiaque existe bien quelque part sur cette Terre et que les tribulations "d'une méthode de travail" et "d'un programme de redressement quelconque", les deux très aléatoires dans le temps, ne valent vraiment pas que l'on y sacrifie sa précieuse vie, où il nous reste tant de merveilles à découvrir . Nous sommes persuadés que les hauts dirigeants sont parfaitement au courant de cette affaire de Terre creuse et qu'ils se taisent à cause d'un stérile conformisme politique et économique. A quand un courageux haut dirigeant comme Mr Paul Hellyer, ancien ministre canadien (voir à ce sujet notre article dilhisto.html ), ou même plus récemment comme Monseigneur Corrado Balducci, théologien du Vatican, qui a déclaré le 7 mai 2006 à la télévision italienne RAI2 : "L’Eglise ne peut maintenant plus nier qu’il existe des ovnis". A bon entendeur salut !!!

     Ah !  Il nous semble cependant, opportun de transcrire ici ces paroles de sagesse que nous avions préséntées, il y a déjà près de 5 ans dans notre article lettreouverteTF1.html :

   Un élève inquiet demande à un Maître dont il veut suivre l’enseignement :

    « Pourquoi Maître, ne puis-je, dans ce monde, connaître le vrai Bonheur ? »

   Le Maître lui dit alors :

 
" C’est parce que tu cherches à connaître qui tu es à travers les autres, plutôt que de permettre aux autres de connaître qui ils sont, à travers toi.

  C’est en toi que se trouve ton extase. C’est là que tu te rappelleras à nouveau
qui tu es et tu verras alors que tu n’as rien besoin d’extérieur à toi. En effet rien d’extérieur à toi n’est comparable à ce qui est en toi…. 

   Un génie n’est pas quelqu’un qui crée une réponse, mais bien celui qui découvre que la réponse
a toujours été là. Il ne crée pas la solution, mais la trouve…

   Une chose que la plupart d’entre vous ont oubliée, c’est que toute chose existe dans l’
Éternel Instant Présent. On y trouve, toutes les solutions , toutes les réponses, toutes les expériences, et toute compréhension. En vérité, vous n’avez rien à créer. Il vous suffit de devenir conscients du fait que tout ce que vous voulez , tout ce que vous cherchez , a déjà été crée… et c'est en réalisant que  tout est déjà à vous que vous n'aurez plus besoin de rien.


   C’est pourquoi il a été dit dans vos livres sacrés : «
Avant même que vous ayez demandé, je vous aurai répondu »...le secret de la vie n'est pas d'avoir tout ce que l'on désire,  mais bien de vouloir tout ce que l'on a.

  D’après une adaptation des pages du livre « L’amitié avec Dieu » de Neale Donald Walsch aux Editions Ariane 1er trimestre 2000.

   Et dire qu'il y a encore des gens qui se suicident et se font hara-kiri pour avoir adulé, un peu trop, certaines choses  qui sont bien  extérieures à eux... Ah s'ils avaient su cela avant ...

V Prolongement en date du 23/03/07: Quand Adama, le Télosien confirme les propos d'ARTivision .


     Nous découvrons ce jour ces propos très opportuns d'Adama extraits du livre d'Aurelia Louise Jones : Telos tome III publié en début 2006, aux Éditions Ariane ouvrage que nous vous invitons évidemment à lire plus avant après, si ce n'est pas déjà fait :

" Á Telos, nous suivons avec intérêt les réactions de milliers de gens qui ont pris connaissance de notre enseignement en lisant notre premier ouvrage(Note du Webmaster: Telos: Révélations de la nouvelle Lémurie d'Aurélia Louise Jones et de Dianne Robbins publié aux Editions Ariane 2002). Parmi eux, bon nombre, sinon tous, ont vécu une ouverture du cœur. Leur mémoire s'est réveillée et nous avons été témoins des larmes d'espérance et de nostalgie que la plupart ont versées en parcourant ces données qui décrivent notre vie à Telos et dans la nouvelle Lémurie. Ils ont tous pris conscience qu'un autre mode de vie est non seulement possible sur terre, mais en voie de se concrétiser pour ceux qui acceptent l'amour du Soi. Si nous avons atteint le niveau de la grâce divine que nous connaissons aujourd'hui, c'est uniquement parce que, il y a fort longtemps, nous avons aussi eu à nous "abandonner" à la volonté céleste. Ce faisant, notre vie est progressivement passée d'une splendeur à une gloire plus grande encore. Et voilà ce que nous vous invitons aussi à faire en ce moment, avec notre coup de main. Nous avons déjà cheminé sur ce chemin, tels des éclaireurs, afin que vous puissiez suivre nos traces en nous tenant la main. Puisque nous vous prêtons main-forte, la voie sera beaucoup plus aisée qu'elle ne l'a été pour nous. Pour ceux qui désirent se joindre à nous et jouir du type d'existence que nous menons, la voie de l'amour et de l'abandon représente la clé du retour à leur domicile céleste.

     Laissez-moi décrire notre passage à la lumière, il y a 12 000 ans de cela. Vous serez peut-être étonnés de découvrir qu'après la destruction de notre continent, il nous a fallu résoudre nos problèmes exactement comme on l'exige de vous à l'heure actuelle. Et nous avons eu à le faire dans des circonstances beaucoup plus difficiles et souffrantes que celles que vous avez à affronter à ce jour puisque, en une seule nuit, nous avons perdu tout ce à quoi nous nous étions toujours identifiés en Lémurie. Et plus douloureux encore, nous avons été brutalement séparés de presque tous ceux que nous avions aimés. La splendeur de la Lémurie, le travail de siècles entiers, les éléments de notre vie quotidienne s'étaient soudainement volatilisés. Il ne nous restait que "nous", l'aspect divin du Soi auquel il fallait s'abandonner afin de recevoir de nouveau "tout" du Créateur. Telos n'était pas la cité glorieuse et somptueusement belle d'aujourd'hui. Loin de là ! C'était alors une immense grotte au creux de la montagne que nous avons convertie en une ville afin de sauver un petit pourcentage de notre population et les vestiges de notre civilisation. Du point de vue du développement, cette cité était plutôt primitive par comparaison à la beauté et au confort de la surface, et très loin de ce qu'elle est maintenant.

     En une seule nuit, il nous a fallu accepter un niveau de vie de beaucoup inférieur ; nos difficultés durèrent longtemps. Avec grand courage et détermination, nous avons poursuivi la recons truction de notre cité pour nous abriter et offrir un point d'ancrage aux générations futures qui allaient renaître au sein de la civilisation lémurienne. Après avoir tout perdu, sauf nous-mêmes, nous avons travaillé dur pendant des siècles à guérir les blessures de nos pertes et à façonner une structure nouvelle et plus stable. Plusieurs ouvrages seraient nécessaires pour relater les épreuves que nous avons eues à surmonter.

     Notre retour à la maison, il y a très longtemps, mes chers amis, ne fut pas aussi simple que vous l'imaginez. Par rapport aux obstacles que nous avons eus à affronter, vous êtes tous sur des "avenues fleuries". Nous vous demandons donc de ne pas vous décourager devant ce que vous avez à vivre, de vous abandonner tout simplement au processus en acceptant délibérément les événements imminents. Ces derniers visent à vous délivrer des chaînes que vous avez forgées. Ouvrez votre coeur à l'amour et ayez confiance que votre passage à la lumière ne s'opérera pas sans effort conscient. Chose certaine, les récompenses offertes à ceux qui persisteront jusqu'au bout seront toutefois magnifiques.
"

     Mais plus haut nous avons aussi les propos d'un Maître nommé Cusco, vivant au cœur de la cité souterraine situé sous Machu Picchu :

     "Nous travaillons aussi avec la couleur. Du fait que votre monde souffre d'une pollution si grave et qu'il reste si peu d'oxygène dans l'atmosphère, si des millions d'anges et d'êtres ascensionnés n'approvisionnaient pas l'oxygène et ne purifiaient pas l'air, la vie dans votre dimension ne serait plus possible en plusieurs régions.

     Lorsque vous dormez la nuit, nous émettons d'immenses faisceaux d'une fréquence lumineuse verte spécifique dans votre ciel. Cela a pour but de purifier l'air, de restaurer et de réparer l'atmosphère terrestre, sans quoi, le taux de mortalité sur cette planète serait chaque jour mille fois plus élevé à l'échelle globale. Il existe également plusieurs équipes d'êtres provenant d'autres cités de lumière qui accomplissent un travail similaire, même s'il est un peu différent du nôtre. Un grand nombre d'entre nous contribue à votre bien-être en aidant au bon fonctionnement de la Terre et de l'humanité jusqu'au jour de la grande purification, qui approche à grands pas. Attendez-vous à ce qu'elle survienne d'ici la fin de cette décennie, pas après.


Fin de citation

     Ah... cette planète, que de soucis, elle cause à tous ces Maîtres qui veillent sur elle...Voici d'ailleurs un petit échantillon qui tombe à pic, pour nous faire prendre conscience de ce qui nous pend lamentablement au nez.



     Et évidemment, il ne s'agit pas d'un poisson d'Avril. Nous ne parlons même pas des manigances réalisées en Haut Lieu pour réduire la population mondiale comme par exemple l'affreux "Projet Camelot" présenté par le site :

 traduit heureusement sur le site :

     Rappelons aussi, en passant, que d'après les ummites (voir notre article : ummo), le SIDA aurait été provoqué par un accident de laboratoire dans un centre de recherches d'apprentis sorciers ...

     Souhaitons donc vraiment que l'épilogue de tout ce contexte effroyable soit vraiment proche, comme le sous-entend plus haut le Maître nommé Cusco. Ouvrons donc l'œil et le bon, mais aussi et surtout notre cœur, si confiant en des lendemains meilleurs...

     Nous demandons pour terminer à l'auteur et l'éditeur du livre Telos , tome III, leur grande indulgence pour ces emprunts littéraires illustrant si souverainement notre propos.

     Mais, justement concernant cette affaire de SIDA, nous recevons déjà ce 2/04/07, le message suivant, plus explicatif de l'ami écrivain Hervé G........dont le site est à http://phase.over-blog.net :

---- Original Message -----
From: hervé
To: fred.idylle@wanadoo.fr
Sent: Monday, April 02, 2007 5:13 AM
Subject: SIDA

          Cher Ami,

     Concernant le Sida, qui est un virus, de source scientifique et pour combattre n'importe quel virus, il faut en découvrir le foyer ( la matrice) pour en fabriquer le vaccin. Comme ce foyer n'a à ce jour jamais été découvert dans la nature et pour cause... S'il provient d'un laboratoire, seuls les géniteurs de ce terrible fléau peuvent mettre un terme au développement de cette maladie. Mais alors ils se rendraient coupables de leurs fautes. Le Sida serait une arme militaire à la base, conçue pour démanteler une armée ennemie et aussi plus tard pour réguler la démographie dans certains pays, où la sexualité est débridée, une forme de contraception virale qui ne connait pas de frontières.

     Amitiés

     Hervé G.........


     De mieux en mieux, n'est-ce pas ? Avec cela, pensez-vous que ceux de l'intérieur devraient, nous recevoir les bras ouverts ?

VI Prolongement en date du 04/04/07 : Le Voyage du "NORGE", du Spitzberg à l'Alaska par le Pôle Nord.


     Au réveil ce matin, il nous vient l'idée de redevenir un peu plus pragmatique en quittant les sentiers plutôt philosophiques du paragraphe précédent. En effet Madame Frédérique Rémy, pourrait nous reprocher de n'avoir pas parlé d'une seule expédition qui a traversé de part en part, le bassin polaire nord, et qui n'a rien remarqué de particulier. Par exemple, on connaît la traversée aéronautique en Mai 1926 du dirigeable "Norge" et qui n'a pas parlé de mer libre et encore moins de trou polaire.

     Voyons donc ce qu'on en dit dans le journal "l'Illustration" de l'époque :

DU SPITZBERG A L'ALASKA PAR LE PÔLE : LE VOYAGE DU "NORGE"

22 MAI 1926

     " L'audacieuse entreprise d'Amundsen s'est terminée par le succès le plus éclatant. Parti le 11 Mai du Spitzberg à bord du dirigéable le Norge (prononcez Norgueu), le célèbre explorateur est arrivé quatre jours plus tard sur les bords du détroit de Béring, après avoir traversé le bassin arctique tout entier en passant par le pôle. Un trajet à vol d'oiseau de 3.400 kilomètres environ, de 3.900 et même beaucoup plus, d'après le colonel Nobile, en faisant entrer en ligne de compte la dérive sous la poussée du vent. 3.400 et 3.900 kilomètres représentent respectivement les distances de Paris au centre du Sahara et au Tchad.

     Grâce aux radios émis par l'aéronef et aux télégrammes d'une expédition de reportage envoyée à la baie du Roi par le journal d'Oslo, Aftenposten, il est dès à présent possible de présenter un récit succinct de ce voyage extraordinaire.

     Auparavant, donnons quelques précisions sur le Norge, son personnel et son équipement. Le dirigeable mesure de bout en bout 106 mètres et possède un volume de 18.500 mètres cubes; sa limite de charge est 10,3 tonnes métriques. Avec ses trois moteurs il atteint 115 kilomètres à l'heure, et avec deux seulement, 70 kilomètres; à cette dernière allure la consommation horaire d'essence et d'huile s'abaisse à 95 kilos. Etant donné le trajet à effectuer, près de 7 tonnes de carburant et de lubrifiant furent embarquées.

     L'équipage comptait 16 hommes : 9 Norvégiens, un .Américain, Lincoln Ellswotth, mécène de l'expédition, le colonel Nobile, capitaine du dirigeable, et 5 mécaniciens italiens.

     Dans une entreprise aussi aventureuse, il faut prévoir les accidents. Aussi, pour le cas où le dirigeable ferait naufrage sur la banquise, emportait-on deux mois de vivres, des traîneaux, des skis, des canots pliants, des tentes, bref, tout le matériel nécessaire pour opérer la retraite à travers le grand désert polaire...

     Ainsi que nous l'avons déjà annoncé, le 7 mai, à 6 h. 15, le Norge arrivait à la baie du Roi, au Spitzberg. Cette année comme l'année dernière, lors de son raid en avion, Amundsen avait choisi comme base d'opérations Ny Aalesund, le charbonnage norvégien installé sur les bords de ce fjord pittoresque. En conséquence, près de ce village on avait dressé pendant l'hiver un hangar en charpente recouvert de toile, ainsi qu'un mât d'amarrage pour le cas où le vent ne permettrait pas d'amener l'aéronef dans ce hall.....

      A partir de la fin de Mai, le bassin arctique est durant tout l'été presque constamment recouvert d'épaisses brumes ; il importait donc de se presser pour pouvoir prendre l'air avant l'établissement de ce régime éminemment défavorable à la navigation aérienne.

     Dans la soirée du 10 mai, les météorologistes chargés de la prévision du temps ayant annoncé la présence de hautes pressions dans le bassin arctique, par suite, selon toute probabilité, un régime de calme dans cette région, Amundsen commande de prendre les postes d'appareillage. Mais à peine les préparatifs sont-ils commencés que la brise "force", pour employer l'expression maritime. Dans ces conditions, le départ est contremandé. Les heures s'écoulent tristes et lentes ; pour tous la déception est grosse, surtout après le succès de Byrd deux jours auparavant. Brusquement. dans la matinée du 11 mai, la brise mollit, le ciel se dégage et, bientôt, un soleil radieux luit dans un air cnlme Il n'y a plus à hésiter. On rappelle aux postes d'appareillage et, à 9 h. 35, la délicate sortie du hangar est heureusement terminée. Immédiatement, au bruit des hurrahs, les "couleurs" des trois nations dont des membres participent à l'expédition - Norvège, Etats-Unis et Italie - sont hissées à la poupe du dirigeable, puis, à 10 heures, le solennel "Lâchez tout!" retentit. Le Norge s'élève alors à une centaine de mètres, en route vers l'embouchure du fjord ; une demi-heure plus tard, il a disparu de l'horizon de Ny Aalesund. La grande expédition est commencée, une des plus hardies qui aient été conçues depuis que l'homme a conquis le domaine de l'air.

     Une fois sorti de la baie du Roi, le dirigeable suit vers le Nord la côte Ouest du Spitzberg, et, après avoir survolé l'île des Danois, s'engage au-dessus de la grande banquise, le cap droit vers le pôle.

     A 14 heures on est au 82°30' de latitude par 9° de longitude Est. Le temps reste clair, la brise faible ; le Norge tient admirablement la route. Les dernières terres du Spitzberg ont disparu ; maintenant, dans toutes les directions, un horizon blanc ; partout, des crêtes ou des monticules formes par le chevauchement des glaces dans les spasmes qui les agitent sous la poussée des vents et des courants marins. A chaque instant, on aperçoit des ours fuyant, effrayés par le vrombissement des moteurs. L'an dernier, à l'occasion du raid en avions d'Amundsen, le gouvernement norvégien a émis des timbres représentant un de ces animaux regardant voler un aéroplane. La conception de l'artiste s'est donc trouvée réalisée cette année, à cela près que le monoplan était remplacé par un dirigeable.

     A 15 h. 30, le Norge atteint le 83°30' par 10° de longitude Est. Depuis l'observation de 14 heures, il a donc été déporté dans 1'Est d'une douzaine de kilomètres. Le ballon continue ensuite sa marche vers le Nord, le long de ce méridien jusqu'aux approches du pôle, où il est encore légèrement déporté dans l'Est.. La route suivie par l'expédition entre le Spitzberg et le pôle est donc presque rectiligne.

     A mesure que l'on avance, le froid devient de plus en plus vif, sans cependant atteindre une rigueur gênante : 9° sous zéro à 14 heures, puis - 12° pendant le reste de la journée.

     A minuit, le 89° de latitude est franchi. Le moment solennel approche. Le ciel est légèrement brumeux, néanmoins la visibilité reste bonne. Enfin, le 12 mai, à, une heure, le lieutenant Rüser-Larsen, qui remplit, les fonctions d'officier des montres à bord du Norge, annonce l'arrivée au pôle Nord. La victoire est remportée !

     Aucune terre ne marque l'emplacement du sommet boréal de l'axe de rotation du globe, comme Peary l'avait d'ailleurs précédemment constaté. Rien que la banquise toujours en lent mouvement de translation. Aujourd'hui, le gisement de ce point mathématique est occupé par un glaçon, demain il le sera par un autre que la dérive des eaux aura poussé à la place du premier. Que le Norge ait atteint le pôle, l'abondance et la précision des observations exécutées par le lieutenant Riiser-Larsen en donnent la preuve certaine ; non seulement cet officier a soigneusement surveillé la marche du ballon à l'aide du compas ordinaire, d'un compas solaire, d'un dérivomètre et d'un compteur de vitesse. mais encore a d'heure en heure déterminé sa position par des azimuts et des relèvements goniométriques sur la station de T. S. F. de la baie du Roi.

     Une fois au pôle, le Norge décrivit plusieurs circuits au-dessus de ce point, puis successivement Amundsen, E1lsworth et Nobile lancèrent par-dessus bord, sur la banquise, les pavillons de leur pays.

     Cette émouvante cérémonie terminée, tous les membres de l'équipage vinrent successivement présenter leurs félicitations à Ellsworth. Ce jour-là, le mécène de l'expédition entrait dans sa quarante-septième année. Fêter son anniversaire par la conquête du pôle constitue un événement que l'on ne saurait qualifier de banal ; sous ce rapport, le sympathique Américain détient un record qui ne lui sera pas ravi de sitôt.

     L'expédition n'a point, semble-t-il, aperçu le drapeau américain que le lieutenant Byrd avait laissé tomber sur la glace lorsqu'il crut être arrivé au but ; les radios lancés par Amundsen sont muets sur ce point. La chose n'a pas en soi une très grande importance. Depuis les controverses auxquelles le voyage de Peary donna naissance, il est en effet admis que, pour l'arrivée au pôle Nord, dont le gisement ne peut être déterminé qu'au prix d'observations précises. les explorateurs bénéficient d'un battement de plusieurs kilomètres.

     Dans le trajet, entre le Spitzberg et le pôle, le 11Torge Z marché à des allures très différentes. Pendant le` quatre premières heures, sa vitesse horaire a dépas~é 100 kilomètres ; à là h. 30, elle a atteint le maximum que les moteurs pouvaient donner, soit 114 kilomètres. puis, à partir de 20 heures, 'elle a été réduite à 67, enfin 60. probablement en vue d'économiqnt l'essence. D'autre part, durant cette partie du voyage, la hauteur à laquelle le ballon a navigué a été fort variable : 400 â 800 mètres.

     Du pôle, le cap fut mis droit au Sud sur la pointe Barrow, le cap le plus septentrional de l'Alaska. Un, radio daté du 12 mai, 3 h. 20, annonçait que le ballon fait bonne route dans cette direction à la vitesse de 80 kilomètres. Depuis, aucun message du Norge n'avait été reçu. Cette absence de renseignements commençait à éveiller des craintes, lorsque le 14, à 6 heures (temps de Greenwich), l'aviateur américain Wilkins stationné à la pointe Barrow pour prendre son vol lui aussi, vers l'extrême Nord, aperçut le ballon à 10 milles au large de la côte de l'Alaska. Le Norge faisait alors route dans le Sud. Après cela, pendant deux jours, ce fut de nouveau un silence complet. Du cap Barrow Nome, sur les bords du détroit de Béring, terminus du voyage, la distance tance à vol d'oiseau est seuiement d'un millier de kilomètres ; aussi bien l'anxiété grandissait, quand un télé gramme annonça l'arrivée rie l'expédition â Teller, au Nord de Nome, le 15 mai à 2 heures du matin (temps local) , soit à 13 heures (temps de Greenwich). Au-dessus de l'Alaska, l'expédition avait été mise en péril par des brumes et par de furieuses tempêtes de neige ; à plusieurs reprises l'enveloppe du ballon fut crevée par des glaçons formés sur les apparaux. La dernière partie du voyage nous promet un émouvant récit d'aventure dramatiques.

     Reconnaître la région ignorée comprise entre le pôle et dont d'impénétrables banquises défendent l'accès par voie de mer, tel était le principal objectif d'Amundsen en entreprenant son raid aéronautique. Ce problème, l'explorateur norvégien a-t-il pu 1e résoudre ? Sur ce point, les télégrammes parvenus jusqu'ici manquent de précision.

     En tout cas, l'expédition a accompli un magnifique exploit. Dans ce succès. à ses trois dirigeants revient une part de gloire égale. Si l'honneur de la concention et de l'organisation appartient à Amundsen, par ses libéralités Ellsworth a permis la réalisation du programme et Nobile en a assuré l'exécution par une technique admirable.

     Ceci est simplement un récit préliminaire. L'Illustration avant acquis le droit de reproduction des photographies prises au cours de cette randonnée à travers le monde des glaces, nous aurons l'occasion de compléter cet aperçu lorsque, dans une quinzaine, les premiers documents iconographiques de l'expédition nous parviendront.

Charles Rabot."     
     Sur notre carte d'Air France vue à Byrd.html (où subsiste la trace rouge de la ligne d'Air France passant "par le pôle"), traçons en bleu l'itinéraire du dirigeable en question :



Et si nous juxtaposons la super carte tirée du site :

http://www.ourhollowearth.com/PolarOpn.htm



     Nous voyons alors que, comme par hasard, le trajet du Norge passe juste à côté du "trou polaire" et vu l'altitude de croisière du dirigeable et le systeme brumeux et nuageux du coin, il est fort possible que l'équipage n'ait absolument rien découvert, si ce n'est une lueur boréale caractéristique de l'endroit survolé. Pour le savoir, il faudrait bien sûr, avoir sous la main, le carnet de bord du commandant de l'expédition.

    D'ailleurs vous avez bien noté ce paragraphe :" A partir de la fin de Mai, le bassin arctique est durant tout l'été presque constamment recouvert d'épaisses brumes ; il importait donc de se presser pour pouvoir prendre l'air avant l'établissement de ce régime éminemment défavorable à la navigation aérienne."

     Mais d'où vient ce brouillard latent dans la zone polaire, et de plus ces icebergs faits d'eau douce (dont on ne parle pas ici dans ce texte de l'Illustration) d'où viennent-ils ?

     La réponse ne serait-elle pas dans ce paragraphe tiré du Livre jaune n° 6 publié par les Editions Félix, en l'an 2000 ? :

" Mais qui peut dire d'où viennent les icebergs ? Ils ne viennent pas de la mer, car l'eau de mer est salée, et les icebergs ne contiennent que de l'eau douce, sans exception. La pluie ? "Comment cinq centimètres de précipitation annuelle peuvent-ils créer de tels monstres de glace, comme nous les trouvons dans l'océan Arctique ?", se demande le chercheur Bernacchi, qui a exploré le pôle Sud avec Borchgrevink, de 1898 à 1900. Il n'y a pas de réponse rationnelle à cette question. Il a vu un iceberg de 80 kilomètres de large sur 650 kilomètres (!) de long, un iceberg qui va de Paris à Toulouse, qui s'est formé à la suite de cinq centimètres de précipitations annuelles ? Si on part du fait qu'il existe bien un pôle Nord et qu'il est recouvert de glace, comme tout le monde semble le supposer, d'innombrables explorateurs ont dû être pris d'hallucinations à partir de 80° de latitude nord. Ou alors, ils étaient en pleine possession de leurs moyens, et la théorie du pôle couvert de glace ne tient plus. Tous ceux qui vivent dans le grand Nord ont pu constater qu'il y a beaucoup de brouillard dans l'Arctique en hiver. Si la banquise avait été entièrement solide, il n'y aurait pas assez d'humidité dans l'air pour la formation de brumes et de brouillards. L'explorateur américain Dr. E. Kane, qui a découvert le glacier de Humboldt et qui a exploré la zone du pôle Nord entre 1833 et 1855, a écrit ceci il y 150 ans "Il y a des indices qui montrent clairement qu'il doit y avoir un océan dans le nord, les brumes et les brouillards que nous avons vus souvent en hiver nous le confirment" ".

      Vous avez aussi noté le paragraphe : " L'expédition n'a point, semble-t-il, aperçu le drapeau américain que le lieutenant Byrd avait laissé tomber sur la glace lorsqu'il crut être arrivé au but ; les radios lancés par Amundsen sont muets sur ce point. La chose n'a pas en soi une très grande importance. Depuis les controverses auxquelles le voyage de Peary donna naissance, il est en effet admis que, pour l'arrivée au pôle Nord, dont le gisement ne peut être déterminé qu'au prix d'observations précises. les explorateurs bénéficient d'un battement de plusieurs kilomètres. "

     Autrement dit bien que le Norge ait tourné en rond autour du Pôle Nord (dont le gisement dérive sans cesse), aucune preuve du passage de Byrd au pôle, n'a pu être déteminée et que ce pôle mythique n'est accessible en fait qu'à plusieurs km près, malgré toutes les mesures et précautions prises pour le localiser.

     Mais, en ce qui concerne le fait que les occupants du Norge n'ont pas pu apercevoir le trou polaire, il existe encore une raison plus extraordinaire que toutes les autres (et qui est une exclusivité d'ARTivision sur le Net Français et qui fut présentée dès le 17/09/2000 à notre article Byrd.html).

     Mais, rendons donc d'abord à "César, ce qui lui appartient" : C'est en 1979 que Mr Siragusa (si critiqué par les journalistes ignares ) a présenté page 193, dans le livre de Victorino Del Pozo, publié par COSMICA BP 31 13190 Allauch 1979, l'image surprenante suivante :


    Comme vous le découvrez dans la légende des photos ci-dessus, Siragusa (qui n'avait pas la langue dans sa poche) affirme que " ces photos démontrent que le Pôle Nord, sous l'effet d'une dilatation de la matière qui est élastique, s'ouvre périodiquement et personne ne s'en rend compte ". Il dit aussi dans le livre en question "qu'au centre de la Terre vivent des êtres de deux à cinq mètres de hauteur au teint parfaitement blanc et que leur proportion sont déterminées par l'effet de la force centrifuge contraire à la notre". (Avouons donc ici que ce ne sont pas des déclarations de ce genre qui font la une, même des journaux à sensation.)

     Rappelons aussi que la photo ci-dessus, montrant un trou noir inexplicable, fut présentée dès le 20 Mai 1972, (d'après la revue Ondes Vives n° 75 en Juillet 1972) lors d'une conférence qui eu lieu à Paris, salle Marchesseau 26 Rue d'Enghien.

     Tout cela serait considéré, comme de la pure Science-Fiction, s'il n'y avait pas cet extraordinaire cliché :


     Des nuages tourbillonnent autour de l'ouverture. Il est à noter que les clichés ci-dessous ont été pris en période de nuit polaire, et on y voit sans contestation aucune, que le diamètre de l'ouverture, n'est pas le même pour chaque photo.

     Mais, concernant ce cliché, reprenons ici, le petit historique que nous fait aussi le Livre Jaune n°6 des Editions Félix :

  "Quand la NASA a remplacé en 1977, au bout de dix ans de service, le satellite géostationnaire ATS III par un satellite plus moderne, le GEOS 8, elle a ordonné la destruction des 4 500 clichés faits par ATS III. Les images n’auraient aucune valeur météorologique “prétendait la NASA”. Enfreignant l'ordre de ses supérieurs, le responsable scientifique du département, le Dr. Locke-Stuart, a ramené chez lui plus de mille clichés et il les a soigneusement archivés. Pour quelle raison, donc ? Jan Lamprecht, spécialiste en informatique et originaire d'Afrique du Sud, pense en connaître la raison. Depuis des années il est à la recherche de tous les indices qui pourraient prouver que les planètes sont creuses et qu'elles ont des ouvertures à leurs pôles. Il a mis par la hasard la main sur une photo prise par l'ATS III, qui montre clairement une dépression en forme de tourbillon dans la région du pôle (revoyons ci-dessous, au bout de la flèche rouge, l' image trou polaire nord que nous avons présenté dans le précédent volet:Byrd.html )

  Grâce à ses contacts avec le Goddard Space Flight Center, la station de contrôle des satellites ATS, il a pu se procurer un autre cliché. Cette image, prise de côté, montre qu à l'endroit où se trouve le pôle, il y a en fait un trou dans le globe terrestre. Après des semaines de longues recherches, un initié de la NASA a découvert pour Lamprecht d'autres clichés qui montrent une ouverture au pôle , il a pu démontrer qu'ils ont également été pris par l'ATS III et qu'ils sont soigneusement gardés par Locke-Stuart. Stuart se montre très réservé sur ces clichés “sans valeur”, et il ne les montre pas volontiers. Les images prises par le satellite GEOS 8 ne montrent plus de dépression tourbillonnante aux pôles, ce qui est étrange. Même la courbure de la Terre est complètement arrondie. Sur les anciens clichés d'ATS III, on voyait une nette courbure, qui n'existe pas officiellement. Cette courbure "inexplicable" a un sens, quand on sait que les pôles terrestres sont aplatis, car la Terre se courbe vers l'intérieur, en direction de l'ouverture. Les photos d'ATS III montrent également des dépressions atmosphériques, comme si des masses d'air et des nuages étaient aspirées par l'ouverture des pôles. On ne voit rien de tout cela sur les images récentes de GEOS 8. Richard Hoagland, auteur du best-seller "The Mars Connection", pense en connaître la raison. Dans une interview de 1977, diffusée dans le Art Bell Show, il disait que les photos étaient censurées avant d'être montrées à l'opinion publique. Toutes les images envoyées par les satellites météorologiques passent dans un grand ordinateur qui corrige les phénomènes qui ne correspondent pas à la doctrine officielle. Après quoi les clichés sont renvoyés dans l'espace vers un autre satellite qui les retransmet à la Terre. C'est seulement à ce stade que les clichés (falsifiés) sont disponibles pour le public. Il n'y a que la NASA qui a accès aux données envoyées par le premier satellite. Il y a des voix qui s'élèvent pour dire qu'en Europe, les photos des satellites sont également truquées, pour cacher l'ouverture des pôles à l'opinion publique.... 

"Fin de citation"

    Donc, et voilà où nous voulions en venir, ces occupants du Norge, auraient bien pu passer sur le bord de l'ouverture polaire, au moment où elle était presque fermée, et alors, il n'y aurait même pas eu d'aurore boréale visible.

    Nous avons poussé aussi l'audace à demander à l'entité transcendante Soria, quel était, en fait, le diamètre des ouvertures polaires que divers auteurs présentaient avec des mesures différentes. Et voici la réponse qui nous fut faite et qui nous causa une très grande émotion :

     " Ami de la Terre"

     L'ouverture des Pôles utilise la respiration de votre Terre. De ce fait son diamètre évolue au rythme des mouvements.
     L'ouverture se dilate et se rétracte constamment. Aussi les deux mesures ne sont pas fausses. La terre dans son ensemble use du mouvement dilatation, rétractation, mais en réalité cette planète s'expense. Dans quelques décénies, son diamètre ne sera plus celui de cet instant.

     Au plaisir de l'échange.

       Scientifique Soria.


     Que dire de plus devant tant de révélations fantastiques ? Sinon ce que disent souvent les anglosaxons embarrassés : No Comment.

A vous de juger, une fois de plus, tout cela !

VII Prolongement en date du 19/04/07 : Une affaire de magnétisme ciblé et de pesanteur sélective.


        Ce paragraphe pourrait fort bien s'insérer à la suite de notre article : Byrd.html, mais il a tout aussi sa place ici, car cet article ,on le sait, est une sorte de courte synthèse de la théorie de la Terre creuse.

       Le 17/04/07, nous avons eu le plaisir de recevoir d'un aimable internaute du Canada, la missive suivante :

----- Original Message -----
From: a......canada.com
To: fred.idylle@wanadoo.fr
Sent: Tuesday, April 17, 2007 1:34 PM
Subject: Terre creuse

       M. Idylle,

       Voici un petit plus pour votre article sur les planètes creuses :

http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Science-Sante/2007/04/16/002-MGS-mars-fin-autopsie.shtml

       En voici un extrait à la fin du texte : " La sonde a également permis de mieux comprendre le champ magnétique martien qui ne serait pas globalement généré par le noyau de la planète, mais par des zones localisées dans la croûte. "

       Au plaisir...


       Que pouvons dire déjà de cette affaire ? On sait en effet, que Mars a un champ magnétique presqu'inexistant et que par conséquent les sublimes aurores polaires (reliées, nous dit-on, au flux solaire et au magnétisme de la planète) qui caractérisent notre belle Terre, ne devraient être qu'insignifiantes sur Mars. Or d'après le site vu plus haut :

http://www.jplrecclubs.caltech.edu/astron/images/din/Griffith/Griffith.html

, Mars, à environ 56 millions de km, nous montre ceci :


       Il va sans dire que l'aurole polaire, visible ici , ne correspond pas du tout à la formulation minimisée venant d'être citée, mais au contraire cette aurore polaire, nous éblouit par sa magnificence hors-normes.

       Mais, comme nous ne sommes pas qualifiés pour jongler avec les données magnétiques et le flux solaire d'une planète, nous pouvons néanmoins expliquer, plus avant, comment de la même manière, le centre gravitationnel de la Terre, ne se trouve pas, lui non plus, placé au centre du prétendu noyau évoqué ci-dessus, mais également dans la proche croute terrestre.

       Cette nouvelle localisation de l'origine de la pesanteur terrestre (il en sera de même, toute proportion gardée, pour Mars) est explicitée clairement dans l'ouvrage la Terre creuse de R. Bernard paru aux Editions ALbin Michel en 1971 ( et pratiquement hélas introuvable en France dans les librairies même spécialisées). 

       Cet ouvrage nous dit effectivement (on y parle aussi, bien sûr, du pôle magnétique de la Terre), qu'en matière de  pesanteur appliquée à la Terre creuse, c'est la masse de la Terre qui seule intervient dans la gravitation qui s'exerce sur elle, et que par conséquent, si la Terre est creuse, l'organe fondamental de pesanteur  est la sphère de révolution centrée à 650 km de la surface extérieure, comme de celle de l' intérieur de la Terre, comme l'indique grosso modo en rouge le schéma en coupe centrale longitudinale tiré de la page 64 de ce livre :



   Il va de soi que la planète Terre a su adapter la vitesse de sa rotation sidérale journalière, à cette situation pour que les éléments de sa surface extérieure ne soient pas éjectés par la force centrifuge, ni ceux  de la surface intérieure a contrario , applatis comme des crêpes sur leur paroi interne.

     Les mers extérieures et  intérieures  sont donc plaquées sur l'écorce, grâce à cette sphère de gravité à 650 km de profondeur.  Et, il en est de même des fleuves qui sortent des ouvertures polaires et qui gèlent à l'extérieur en fabriquant les fameux icebergs.  La profondeur moyenne des mers extérieures (3800m),  ne représenterait alors en fait que 0,29 % de l'épaisseur prétendue de la croute terrestre ce qui en fin de compte est encore très faible. Donc l'attraction gravitationnelle pourrait encore bien se faire sans encombre. 
 
    De plus comme on le sait , la Lune , joue un role fondamental dans cet équilibre et l'on se demande (faisons ici une petite digression appropriée) , d'ailleurs scientiquement toujours, comment elle a pu être capturée par la Terre pour se placer sur une orbite formant un cercle presque parfait, nécessitant un freinage rigoureux lors de la satellisation, alors que les satellites des autres planètes décrivent généralement des ellipses plus ou moins étirées ?  
 
      La probabilité d'une telle capture est donc pratiquement nulle.  Mais de plus cet événement devient carrément miraculeux  quand on sait que la Lune possède ce que l'on appelle une rotation obligée, ce qui signifie qu 'elle tourne sur elle-même dans le même temps qui lui faut pour effectuer sa révolution autour de la Terre, soit environ 27,3 jours (exactement 27 Jours, 7 heures 43 minutes et 11,5 secondes). La conséquence de cette rotation, dite aussi synchrone est que la Lune nous présente toujours la même face. Si la Terre avait une rotation obligée autour du soleil, elle présenterait toujours le même hémisphère grillé face au soleil et l'autre resterait dans la nuit glacée perpétuelle. 
 
     Que de mystères nous interpellent ? Peut-être que notre article :
 
http://www.artivision.fr/docs/Roselune.html 

pourrait en résoudre certains...

     Article mis en ligne le 09/03/07, puis revu le 15/03/07, puis le 18/03/07, puis le 23/03/07, puis le 28/03/07, puis le 01/04/07, puis le 02/04/07, puis le 04/04/07 , puis le 05/04/07, puis le 9/04/07, puis le 15/04/07, puis le 19/04/07, puis le 26/04/07, puis le 30/06/07, puis le 09/02/08, puis revu le 10/03/08, puis revu le 23/06/08, puis revu le 03/02/09, puis revu le 26/03/09, puis revu le 02/09/2010, puis le 11/09/2010, puis le 28/01/2011, puis le 12/10/2011, puis le 30/11/2012.

IDYLLE Fred

fred.idylle@orange.fr

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