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Tiré du site :

http://www.ourhollowearth.com/PolarOpn.htm

et de la remarquable la page :" Location and Size of the Polar Openings", voici :


Emplacement et taille des ouvertures polaires


Traduction faite par Eric G. ( rico911@noos.fr).



    Les ouvertures polaires se sont créees quand la Terre s’est formée, en raison de la force centrifuge qui aurait éloigneé la matière de l’axe de rotation laissant un creux de l’astre et des pôles, le long de l’axe polaire. Les prémices de création de la Terre générant cet astre creux, a connu au fur et à mesure une accumulation progressive de poussière, matière venant de l’espace.

    Si ces suppositions sont exactes, alors l’ouverture des poles était à l’origine au niveau de son axe polaire Nord-Sud. Cependant à ce sujet, il existe des preuves dans l’histoire geologique que la Terre a été déviée par le passage proche de plalnètes (de taille des comètes), provoquant l’inclinaison de l’axe d’un côté. La pyramide de Gizeh, dont cet auteur pense qu’elles datent d’avant le déluge & Noé, a une orientation de construction et un alignement avec l’axe de rotation originel. Quand le passage d’entrée de cette pyramide a été découvert, on a vite réalisé qu’elle pointait en direction de ce qui était alors l’Etoile du Nord, (pas l’etoile Polaire d’aujourd’hui); la position a été décalée et l’écart de quelques dedrés indique que l’axe de la Terre aurait pû s’incliner après la construction de la pyramide.

    Les passionnés de la Terre Creuse pensent initialement que les ouvertures polaires sont centrées au dessus des pôles.

    Cependant, il a été mis en évidence depuis le début intensif des explorations polaires que les ouvertures ne sont pas centrées au niveau des poles.Les Etats Unis ont une base permanente en Antarctique, des explorateurs multiples passent au pole Nord. Le dirigeable d ‘Amundsen en 1926 qui vola du Spitzberg jusqu’en Alaska, au dessus du pole, Wally Herbert et ses chiens de traineau faisant le chemin inverse, ou encore le brise-glace touristique russe "The Yamal" qui emmène les gens au pole chaque année, au nord de la Terre Frantz Josef. Ce service est proposé par ADVENTURE ASSOCIATES Pty Ltd, 197 Oxford Street Mall, Bondi Junction, Sydney NSW 2022, Australia, Postal Address: PO Box 612 Bondi Junction NSW 1355 Australia, Ph: (+61 2) 9389 7466 Fax: (+61 2) 9369 1853, un voyage de 19 jours pour 15950 $ ou 18950 $ pour un voyage au pôle Nord avec un cout supplémentaire pour le trajet de chez vous à Murmansk, en Russie. Tout comme Bradley Air Service à Resolute Bay dans le nord canadien (819-252-3981) qui , régulièrement, vole vers le pôle Nord avec des touristes ou scientifiques et aventuriers, à bord. Voyages de 24000$ pour 2 jours, avec excursion à skis au pôle selon la météo. Deux autres formules plus honéreuses sont proposées par High Arctic International (819-252-3616) : un voyage de 7 nuits ($8,650 par pers.) basé à Resolute Bay, et Arctic Odysseys (206-455-1960) (à 11,000 $) basé en dehors de Medina, état de Washington. Ces séjours débutent chaque avril et inclut des visites au pole nord geographique et magnétique, en chien de traineaux le long de la côte nord-ouest du Groenland avec des haltes de nuit sur l’ile d’Ellesmere, à la base Eureka Weather et le Fjord Grise. (voir Outside Magazine, déc 93, p.50)

    Il y a tout de même des événements anormaux qui indiquent que l’ouverture des poles existent : le vent chaud du Nord en hiver, ou les ouragans foehn en hiver doux, qui viennent du Nord, les bois blottants à branches vertes rapportés des courants du Nord, la migration des oiseaux et animaux, les émanations de vent solaire des régions polaires qui font apparaître les aurores captées ensuite dans la ceinture de van Hallen.

L’ouverture polaire Nord


    Ma dernière estimation de la position de l’ouverture du pole Nord est basée sur plusieurs considérations. Il y a le cas des aviateurs russes perdus qui ont volé du nord de la Russie et qui ont disparu quelque part entre la Mer de Kara (du côté russe du pole et del’Alaska), événement rapporté par Vilhajalmur Stefansson dans son livre "UNSOLVED MYSTERIES OF THE ARCTIC" (voir photos plus bas).



    Ensuite, nous avons l’histoire d’Olaf Jansen dans laquelle il décrivait leur voyage de 1829 à travers l’ouverture polaire nord, dans son petit voilier cheminant de par les glaces vers le nord-est de la Terre Franz Josef. Récemment, Jan Lamprecht (dans son livre "Hollow planets" ) :



décrit les témoignages de Cook, Peary, et autres explorateurs, comme le Col Green de l’US Navy, concernant un mirage de terre au nord-ouest d’Ellesmere dans le nord Canadien. Jan évoque aussi les témoignages des soviétiques ayant vu la terre de Sannikov au nord du pays, l’expédition transpolaire du dirigeable d’Amundsen en 1926, partant du Spitzberg vers le pole, et du pole vers 100 miles ouest de Point Barrow en Alaska, ce qui indiquerait que l’ouverture du pôle nord serait nécéssairement sur un côté de cette ligne de vol. L’explorateur arctique anglais Wally Herbert utilisa aussi cette trajectoire seulement à partir d’Alaska vers le Spitzberg, en sens inverse.

    Si on dessine une ligne nord-est en partant de la Terre Franz Josef et une autre nord ouest partant d’Ellesmere Island vers le mirage de l’ile de Crocker (décrit dans "Hollow planets" de Jan Lamprecht), les deux droites se coupent à environ 141° de longitude Est et 84,4 de latitude Nord, supposons que ce soit ici le centre des ouvertures polaires. D’ici en suivant la trajectoire de vol transarctique d’Amundsen (dont son point de départ était 100 miles à l’ouest de Point Barrow), il y a un peu plus de 300 miles. La position est aussi à 386 miles du pole nord geographique. Supposons que l’ouverture polaire est symetrique avec une surface courbée au lieu d’un trou précipité directement aux tréfonds de la planète.

    Comme la plupart de l’atmosphère est localisé dans les 45 premiers miles d’altitude, alors l’ouverture est sans doute deux fois plus grande aux ouvertures polaires qu’à leur plus petit diamètre d’entrée ( estimé à 90miles environ). Ce qui placerait l’envergure de la circonférence de ses bords à 900 miles (des sommets extrêmes). Le pole Nord géographique serait sur le bord d'un disque de 600 miles diamètre peut-être même légèrement là où l’ouverture polaire commence à s’incurver.



    Dans ce schéma de l’ouverture du pole Nord, l’épaisseur de la croute terrestre est évaluée à 800 miles, si l’écorce terrestre était plus épaisse, disons 1000 à 2000 miles, l’ouverture serait trop flagrante pour être cachée/ masquée dans l’Océan Arctique.Donc, les 800 miles estimés sont une d'échelle raisonnable. Au début de l’incurvation vers l’ouverture, le diamètre est de 890 miles, à 570 miles du Pole Nord (1/4 de la route vers l’ouverture), on parviendrait à une mer ouverte, puis au centre de l’ouverture polaire, le diamètre se rétrécie à 90 miles. Sur une carte, le pole Nord géographique serait à 58,94 miles avant le début de l’incurvation. La distance qui sépare le pole Nord géographique à la position 84,4°N est de 5,6°. Sachant qu’un degré polaire= 68,939 miles, cela positionne le centre de l’ouverture à 386,0584 miles du pole Nord. Cette position pourrait se corréler avec celle de la disparition des aviateurs russes de la Mer de Kara et Alaska. C’est aussi la même région où le brise-glace russe emmène ses touristes au nord de la Terre Franz Josef. Cette position estimée placerait d’ailleurs l’ouverture du coté russe de la trajectoire d’Amundsen, et serait également dans la région où Peary a vu le mirage de l’ile de Crocker depuis la côte ouest d’Ellemere Island au Nord canadien.



    Un indicateur nous montre que la courbure de l’ouverture prend déjà forme près du pole.l’erreur de navigation d’Amundsen pour rejoindre l’Alaska. Ils avaient suivi une ligne de vol depius le Spitzberg jusqu’au pole et du pole vers Point Barrow en Alaska, mais en arrivant en Alaska, ils furent surpris de réaliser qu’ils étaient 100 miles trop à l'ouest de Point Barrow, approchant même la Mer de Bearing sans y voir Point Barrow. Ceci peut indiquer que proche du pole, ils ont dû plonger en longeant l’incurvation de l’ouverture, modifiant la trajectoire réelle de vol. Pour le cas de Wally Herbert et ses chiens de traineau, et concernant son passage à travers le Spitzberg , il a dû rebrousser chemin parce qu’il croyait avoir dépassé le pole, il avait même du mal à le situer précisément car la hauteur du soleil varie beaucoup à l’horizon pendant la journée ; ceci indique qu' Herbert était situé quelque part dans l’incurvation de l’ouverture alors qu’il cherchait la position du pole avec son sextant.

    A la page 66 de "The Smoky God", Olaf Jansen a mentionné que lui et son père ont quitté la Terre Frantz Josef pour leur expédition vers la Terre creuse ; " il semble que nous soyons dans un fort courant nord-nord/est ". L’ile qu’ils ont trouvé le 3è jour au nord-est de Frantz Josef, n’est pas sur nos cartes aujourd’hui. Ils ont trouvé une accumulation de bois flottant sur les rivages du nord de cette ile, des troncs de conifères de 2 pieds de diamètre et 40 de long. Ceci les a encouragé à poursuivre vers le nord. De plus, quelques jours après (à la page 84), Olaf signale ".. nous avons réalisé que nous naviguions légèrement nord-nord/est " .Si on peut considérer cela comme une indication de la direction qu’il empruntait, alors l’ouverture du pôle nord serait localisée au nord-est de la Terre Frantz Josef, dans la même zone que la disparition des aviateurs russes, comme décrit dans le livre de Vilhajalmur Stefansson "UNSOLVED MYSTERIES OF THE ARCTIC" (Voir plus bas), et aussi dans la même direction que l’Amiral Peary et Cook lorsqu’ils ont vu le mirage de l’ile de Croker depuis la côte ouest d’Ellesmere.

    L’explorateur arctique norvégien, le Dr Fridtjof Nansen, relate plusieurs événements anormaux lors de son expédition le plus au nord, à bord de son navire le "Fram".

    De tous les explorateurs que nous ayions répertoriés, Nansen est le seul à être allé aussi près de l’ouverture du pole Nord, sans la découvrir, ni y entrer. Quelques unes des observations de Nansen confortent la localisation possible de l’ouverture du pôle, au nord des iles de Nouvelle-Sibérie :

    -D’abord, Nansen a découvert une portion substantielle d’océan ouvert au nord des iles de Nouvelle Sibérie. En opposition, lors de son passage au nord de la Norvège et de la Russie vers les iles de la N-Sibérie, il a dû rester près des côtes pour laisser passer la glace. Et plus tard, au nord des iles de la N-Sibérie, en sept. 1893, en cheminant vers le nord, ils n’ont pas trouvé de glace jusqu’à 79° de latitude Nord. Seulement après 7 jours de route vers le nord là où s’étale l’océan ouvert, ils ont atteint la banquise au nord des iles de la N-Sibérie.

    - Ensuite, à leur surprise, sur la banquise, ils ont trouvé un nombre important d’oiseaux de races différentes (snipes, mouettes) , ainsi que des renards, morses et ours polaires qui indiquaient qu’ils étaient à proximité de terres au nord.

    - Ils ont passé l’hiver avec leur bateau pris dans la glace, et en attendant la fin de saison, ils ont entrepris des mesures & observations scientifiques. Ils ont trouvé des roches, de grande quantité de boue et des bois flottants sur plusieurs icebergs, ce qui indiquait à Nansen que la plupart de la glace Arctique proviendrait d’une rivière, peut-être plus au nord qu’ils ne l’étaient ensuite, sur une terre non-cartographiée.

    - Au milieu de l’hiver, le 17 janv. 1894, à 79° Nord- 135°29"E, les observations de Nansen montrent qu’un vent du nord montait la température, tandis qu’un vent du sud la baissait, indiquant que l’air chaud venait du nord en hiver (peut-être d’une terre plus au nord réchauffée par un soleil intérieur). Curieusement, Nansen a découvert que la tempéraure de l’eau de l’océan était aussi plus chaude au fur et à mesure qu’il mesurait profondément dans la glace ; tout comme la température de l’air au dessus de la glace quand elle fut mesurée depuis le bateau : elle était plus chaude que près de la glace.

    -Ensuite à 80°1’’Nord, les 16-19 fevrier, quand Nansen se situait à 303 miles du centre de l’ouverture (selon mon estimation de sa localisation), il a vu un mirage du soleil. Ils étaient problablement sur le bord de l’ouverture polaire. Ils ont pensé que cela devait être un mirage de notre propre soleil. Mais il y a une possibilité que cela puisse avoir été un mirage du soleil interieur. A la page 162, Nansen a noté "Lundi 19 fevrier.. Hier et aujourd’hui encore, nous avons vu le mirage du soleil, aujourd’hui il était haut au dessus de l’horizon et semblait former un rond, une forme de disque". Il remarqua qu’il était brumeux, avec une couleur rouge floue, identique à la description du soleil interieur donné par Olaf Jansen, dont le père pensait aussi la 1ère fois, qu’il s’agissait d’un mirage, lorsqu’ils l’avaient aperçu pendant leur séjour de 1829 vers le monde intérieur (à travers l’ouverture du pôle Nord, au nord-est de la Terre de Frantz Josef).

    - L’été arrivant, Nansen sortit sur la banquise et a trouvé une substance identique au pollen qui semblait couvrir la glace de part et d’autre, d’une couleur brunâtre. L’explorateur de la terre creuse Olaf Jansen, explique que les côtes nord du monde intérieur, sont couverts de vastes prairies où poussent les fleurs, dont le pollen est transporté le long des glaces arctiques par l’ouverture polaire. Puis de la poussière volcanique est tombée sur le Fram et s’est posée partout, causant inconfort et irritation. Nansen écrit dans son journal de bord: " rentrons à la maison. Pourquoi restons nous ? Il n’y a rien sauf de la poussière, de la poussière." Il a dû y avoir une eruption volcanique à ce moment là dans le continent interieur, près de l’ouverture du pôle, car il n’y en avait aucune à la surface. La poussière a dû voler et être transportée à travers l’ouverture polaire jusqu’à la glace et jusqu’au navire de Nansen, le Fram.

    Avant son expédition Arctique, Nansen était allé en Russie consulter leurs experts et connaître leur opinion sur le mirage de la terre de Sannikov, au nord des iles de N-Sibérie. Ces dernières sont des iles qui même aujourd’hui sont couvertes d’ossements de mammouths et autres animaux de la terre interieur, dont Olaf Jansen prétend qu’ils tombent dans des crevasses de glace des rivières de la terre intérieure, qui les emportent au delà de l’ouverture du pôle, où ils sont congelés et acheminés plus tard à la mer et éventuellement terminent leur course sur les rivages du nord Arctique. Rappelez-vous le rhinocéros laineux, le lion des steppes, le dain géant, le mammouth, le renard et le cheval d'une race résistante que les scientifiques affirment être préhistoriques ont été découvert conservés dans la glace arctique.Récemment, ces scientifiques ( these scientists) avaient essayé de trouver quelques restes de ces animaux exotiques congelés et préservés dans la glace Arctique. lls veulent relever des échantillons de chair congelée pour cloner ces animaux exotiques et commencer une sorte de Jurassic Park. Savent-ils qu’il existe déjà un Jurassic Park, à l’intérieur de notre Terre creuse, qui peut être atteint par l’ouverture du pôle Nord, au nord des iles de N-Sibérie, là d’où viennent toutes les carcasses exotiques congelées?

    Au côté opposé de l’Arctique à partir des iles de N-Sibérie, le Lt Green de l’US Navy avait accompagné Mc Millan dans son expedition au nord-ouest de l’île d’Ellesmere, en suivant le mirage de l’ile de Crocker, que Peary avit vu au Cap Thomas Hubbard, en chemin vers le nord pour découvrir le pole. Mc Millan était revenu après avoir parcouru 120 miles sur la banquise, car le mirage de l’ile de Crocker continuait d’apparaître même plus au nord quoiqu'il avance. Plus tard Lt Green publia un article dans le "Popular Science Monthly", en décembre 1929, révélant qu’il était convaincu que l’ile de Crocker existait encore et qu’il avait même persuadé la Navy de construire un dirigeable (le ZR-1) qui irait tenter un survol de la terre.

    Voici la carte Arctique du Lt Green, montrant la position estimée de cette terre inconnue, que McMillan et ses eskimos interprétaient en mirage :



    Dans les régions du monde au climat plus chaud, un mirage ressemble à de l’eau à l’horizon car il reflète le ciel bleu. Mais en arctique, un mirage est dû à de l’air chaud et humide qui, venant de monde intérieur, sort de l’ouverture du pôle. Cette couche d’air chaud au-dessus de l’air froid près de la glace, provoque des mirages ou des réflections du sol (ou de la glace) sur l’océan - non pas le ciel, comme dans les régions plus chaudes où la température de l’air devient aussi plus froide avec l’altitude. C’est d’ailleurs exactement le contraire dans les cas de l’Arctique et Antarctique : la chaleur, l’humidité de l’air émanant de l’intérieur du creux de la Terre par les ouvertures polaires, monte au dessus des glaces et sert de bouclier d’air qui reflète les objets du sol. Jan Lamprecht, dans son livre "Hollow Planets" , donne des preuves solides que le mirage de la terre de Crocker vu par Peary et celui de la terre de Bradley vu par Cook, peuvent facilement avoir été une double image inversée de terre, le long de l’ouverture polaire, située quelque part au nord-ouest de l’ile d’Ellesmere, dans une région que Lt Green a nommée sur sa carte "Zone inexplorée". Remarquez que mon estimation de la position de l’ouverture polaire est dans la "zone inexplorée" de Green. Quoiqu’il en soit, la terre que Green pensait localiser, est située justement le long de l’ouverture polaire.

    Une autre histoire curieuse liée à la position estimée de la Terre de Crocker, par Lt Green, est la disparition de la colonie Viking du Groenland. En 985 ap J.C, Eric Le Rouge découvrit le Groenland et s’y installa avec d’autres résidents Viking d ‘Islande. La colonie Groenlandaise était composée de 2 implantations sur la côte ouest du Groenland, une plus au nord que l’autre, et tous restètent plusieurs siècles , mais ensuite comme l’Europe subissaient la guerre et les maladies telle la peste, les norvégiens perdirent contact avec leurs colonies arctiques en Islande et au Groenland. Le dernier bateau connu, est revenu de leurs colonies en 1410. Quand les > Ages Sombres furent passés, le Groenland fut redécouvert, avec l’établissement de la 1ère implantation moderne de Hans Egede, en 1721. Tout ce qui pouvait être retrouvé des pionniers Viking fut des ruines et des animaux. Même l’auteur Vilhajalmur Stefansson, qui traite de l’Arctique dans son livre "UNSOLVED MYSTERIES OF THE ARCTIC" ,

  

a conclu que la disparition de la colonie Viking, était un mystère. Les colons Viking ont apparemment migré de plus en plus au nord où ils chassaient et pêchaient plus facilement, jusqu’à ce qu’ils disparurent.

    En essayant de déterminer où la colonie Viking du Groenland est allée, Lt Green dit avoir étudié et repertorié les traditions Eskimo. Les Eskimos disent que les Vikings avaient migré plus loin vers le nord et qu’un jour ensuite leurs hommes ont trouvé un paradis au nord – un endroit dont les Eskimos ont toujours entendu parlé, mais s’en sont toujours écartés pensant que des mauvais esprits l’habitaient. Les premiers explorateurs Vikings revinrent et racontèrent au reste de la colonie, leur merveilleuse découverte. Tous se préparèrent, chantant tout heureux, et prirent le départ vers le nord sans jamais revenir. La tradition Eskimo dit qu’au delà de la glace au nord-ouest, dans la direction de l’ile de Crocker (vu par Peary) et de l’ile de Bradley (vu par Cook), se trouve " une terre chaude recouverte de verdure toute l’année, peuplée de gros caribous et de bœux musqués". La tradition s’étend, "Ils en parlent même à ce jour, le long de la voie ferrée cotière du nord". Le Lt Green montre cette voie ferrée sur sa carte. Elle est située dans la partie ouest du Groenland, s’étend autour de l’ile d’Ellesmere, puis sur la banquise en direction du nord ouest vers la terre dont Green parle en "Zone Inexplorée". Il s’agit de la même zone que j’ai estimée pour l’ouverture polaire.

    Jan lamprecht a une carte à la page 193 de son livre, " HOLLOW PLANETS " montrant la position et les directions des témoignages de mirages de terres anormales dans l’Arctique, introuvables sur une carte actuelle. En prenant ces témoignages et en les croisant avec les positions estimées et leurs points d’observations, nous avons alors une autre indication de la position de l’ouverture polaire. Soit : au nord des iles de la Nouvelle-Sibérie, là où les russes ont vu le mirage de la terre de Sannikov, au nord-ouest de l’ile d’Ellesmere, là où ont témoigné l’Amitral Peary , Lt Green et Mc Millan pour l’ile de Crocker . L’ile de Bradley a aussi été vue dans ce périmètre par l’explorateur polaire Dr Cook. A partir d’Alaska, de la Baie d’Harrisson, le Capitaine Keenan a aussi vu une terre vers le nord-ouest. Si on dessine une droite sur chacune de ces positions où les témoignages ont eu lieu, en direction des terres ou mirages observés, nous arrivons à nouveau à la zone que j’ai determinée pour l’ouverture du pôle nord :

141° E de longitude, 84,4° N de latitude.


L'ouverture polaire sud

    La récente image satellite de l’Antarctique publiée par la NASA (RadarSat image of Antarctic by NASA), contient une zone circulaire de basse réflection-radar, que je considère comme un candidat possible à l’ouverture du pole Sud.

    Dans la photo satellite suivante, j’ai placé un cercle rouge sur la zone estimée. La 1ère image n’est pas retouchée. La seconde image comporte un cercle rouge correspondant à l'emplacement possible de l'ouverture polaire sud.

  


    Cette zone circulaire da basse reflection-radar près du centre de l’image semble avoir environ 400 miles de diamètre. Cette localisation de l’ouverture du pole Sud est située dans la même région que la zone elliptique de l’image d’Apollo17 (Apollo 17 image).

    L’ouverture sud est symétriquement opposée à celle du pole Nord. J’avais située plus haut celle-ci à: 141° de longitude Est par 84,4° de latitude Nord, donc l’ouverture polaire Sud est située à l'opposé à 180° :



soit : 39° de longitude Ouest par 84,4° de latitude Sud


    Article mis en page le 08/05/04 , et revu le 02/06/05, et revu le 17/05/06 , et revu le 20/10/08.

IDYLLE Fred

fred.idylle@orange.fr

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