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La pêche miraculeuse venue d'ailleurs.


I Introduction

    Alors que les catastrophes écologiques s'accumulent sur la planète, que l'on n'arrive pas réduire la cadence infernale des accidents de toute nature et surtout ceux lamentables d'un engin mécanique à quatre roues, parce que certains sont encore polarisés par ce besoin "d'être dans le vent" en répondant à une mode dérisoire, qui ne met souvent en exergue que le "Dieu moderne nommé Vitesse" et l'adulation de l'automobile, cela étant totalement généré par une société de consommation artificielle, il arrive que certains faits étranges viennent nous détourner de cette routine tourbillonnante trop habituelle, pour nous forcer à méditer davantage sur "la magie" ou peut-être, sur ce que l'on peut encore appeler parfois , l' irrationalité de notre environnement.

II Genèse de l'affaire

     Voila donc de quoi il s'agit : Nous avons eu l' heureuse opportunité de nous procurer ce jeudi là, le journal France-Antilles que nous n'achetons en principe que le Samedi où sont imprimés les programmes TV de la semaine. Ce journal a en effet publié le communiqué suivant émanant directement de l'Agence France Presse : (Les couleurs sont de nous bien sûr) :

JEUDI 12 DÉCEMBRE 2002 
FRANCE-ANTILLES

INSOLITE

Une pluie de poissons

    Des centaines de petits poissons sont tombés du ciel sur le village de Korona, dans les montagnes du nord de la Grèce, selon des images montrées hier par les télévisions grecques. Les villageois ont découvert cette pêche venue du ciel mardi, à quelque distance du lac Doirani, à la frontière gréco-macédonienne, alors que la région était la proie de violentes intempéries. Selon un météorologue de l'Université de Salonique, les poissons ont dû être"siphonnés" soit du lac proche, soit d'un autre, plus au sud, par une mini-tornade, un phénomène rare mais déjà observé.

    Fin du communiqué


     Certains ont pu cependant penser immédiatement, qu'il s'agit d'un canular, qui aurait mieux fait d'être diffusé, pour la circonstance, le premier Avril. Mais hélas pour eux, cela s'est bien passé en Décembre 2002 et en Grèce et les rares images de la télévision montrées à cet effet sont assez explicites quant au fait qu'il s'agissait bien de véritables poissons et non de vulgaires imitations en plastique.
    Cet étrange communiqué, est presque laconique, car nous aimerions en savoir bien plus sur un événement aussi exceptionnel et dont on a vite oublié le contexte dans les nouvelles des jours suivants, alors que d'autres concernant par exemple des actions terroristes ont été reprises sans arrêt pendant près d'une semaine.
    Evidemment les journalistes qui ont pignon sur rue, pourtant avides de sensationnel, n'ont pas jugés bon d'aller sur place pour enquêter plus avant sur cette affaire se contentant de l'explication facile et habituelle des autorités : la mini tornade.

    Mais un "envoyé spécial" pourrait découvrir une autre réalité bien moins orthodoxe que celle que l'on nous propose, (et c'est bien le cas de le dire, ici) pour "noyer le poisson".
     Ce communiqué ne nous dit rien, en effet, sur les rapports diffusés par la station météo du coin, sur les bruits de la prétendue tempête, entendus par les habitants ou même sur le son perçu lors de la "chute" des poissons, ni sur la nature de ces poissons, qui pourraient être soit d'eau douce, soit de mer, ni si ces poissons sont tombés avec de la boue, du sable, des algues, et de la vase, ce qui serait normal, si le fond d'un lac avait été aspiré par une mini trombe? Combien, pesaient les plus gros de ces poissons, étaient-ils tous aussi de la même espèce et de la même fraîcheur etc...?
    Donc ces éléments qui manquent dans ce communiqué nous interpellent maintenant, et ils auraient dû intriguer tout journaliste digne de ce nom, afin qu'il puisse nous éclairer plus avant sur cette affaire, et qui pourrait bien être le grain de sable qui vient gripper la machine bien huilée de rationalistes endurcis.

Hommage à Charles Fort


    En attendant d'autres informations plus pointues sur cet événement hors normes, nous allons cependant rendre hommage ici à Charles Fort (1874 -1932), cet  américain incomparable collectionneur  qui a rassemblé près de 25000 fiches sur des phénomènes analogues, ( voici une image du personnage Charles Fort )




dans un ouvrage intitulé "Le livre des damnés" sous entendu "Le livre des faits damnés" publié en anglais en 1919 par L'Editeur Boni & Liverrigtht, puis en 1941 par Holt, Rinehart & Winston , Inc et enfin en livre de poche par Charter Communication Inc, Ace Book n° 07063 (Voici la couverture du livre de poche Anglais:)




   Puis d'après les recherches approfondies de notre ami M.H., ce livre fut publié en France pour la première fois en 1955 dans une collection dirigée par Louis Pauwels . Et ce n'est qu'en 1967 que ce livre sera publié en France par Eric Losfeld Editeur "Le terrain Vague" 14 et 16, rue de Verneuil  Paris VIIe sous la traduction de Robert Benayoun. Nous ne savons pas si ce livre unique en son genre, existe en livre de poche français...Voici les couvertures de ces deux des ouvrages français en question:

  

Enfin M.H. nous apprend aussi qu'il existe en français un autre livre de Charles Fort: Lo ! le nouveau livre des damnés, publié chez Belfond, 1981: (Voici sa couverture :)



    Mais voici aussi une illustration significative publiée par la revue planète n° 29 de Juillet-Aout 1966:

    Pour vous en donner une courte idée, voici un passage du chapitre 7, du livre en question dont nous ne pouvons que vous recommander la lecture en entier en raison de son caractère unique en son genre: ( Les parenthèses en vert renvoient aux ouvrages de références consultés par Charles Fort) "

DES PLUIES D'ÊTRES VIVANTS
GRENOUILLES  ET POISSONS, TORTUES, LÉZARDS
ET ESCARGOTS
UNE SUPERMER DES SARGASSES
LA GRANDE ÎLE DE GENESISTRINE



       Des êtres vivants sont tombés sur la Terre.
    Pour préserver le système, on souligne généralement que crapauds et grenouilles (par exemple) ne sont jamais tombés du ciel, mais "se trouvaient au sol en premier lieu", ou bien"qu'un tourbillon les ayant soulevés quelque part, les a lâchés ailleurs". S'il se trouve en Europe un lieu où les batraciens abondent tout spécialement, l'explication scientifique s'arrangera pour que toutes les grenouilles, tombées du ciel sur le continent européen proviennent en droite ligne de ce grand centre grenouiller.
    Au départ, j'aimerais souligner une étrange anomalie que je suis à ma connaissance, le tout premier à percevoir, soit parce que je suis encore un primitf, soit parce que je suis intelligent ou peut-être mal ajusté  il n'y a jamais eu un seul rapport décrivant une chute de têtards.
    Un observateur (Leisure Hours 3, 779)  affirme que les crapauds ou grenouilles prétendument tombés du ciel ont dû tomber des arbres. Mais un nombre effarant de petits crapauds âgés de un à deux mois ont été vus tombant d'un grand nuage épais en Août 1804, près de Toulouse ((Lettre du professeur Pontus à M. Arago. Comptes rendus, 3-54. Notes and Queries, 8-6-104 et 8-6-190).
     "Se trouvaient-ils au sol en premier lieu ?" Et les petites grenouilles du plein cœur londonien, le 30 juillet 1838, après un orage violent (Notes and Queries, 8-7-437) . Et les crapauds découverts en plein désert après une longue averse (Notes and Queries, 8-8-493)?
    Je ne nie pas positivement, notez-le bien, l'explication conventionnelle de la "montée et de la descente" . Je crois au contraire que de tels épisodes se sont produits. Il y a dans le London Times  du 4 juillet 1883, le récit d'une averse de brindilles, de feuilles et de petits crapauds, au terme d'un orage sur les versants de l'Apennin. Semblables déchets me paraissent typiquement associés à une trombe. Tandis que les autres cas me paraissent associés, dirai-je à une migration ?
     Encore et toujours dans ces annales des damnés surgit la donnée de la ségrégation. C'est qu'une trombe est généralement conçue comme un état de chaos ou de semi-chaos."Un petit étang qui se trouvait sur le passage du nuage s'est trouvé vidé de son contenu par une succion puissante, l'eau transportée au-dessus des champs avoisinants avec une grande quantité de vase molle qui fut éparpillée au sol sur cent cinquante hectares." Telles sont les circonstances d'un véritable tourbillon. Mais l'imagination exclusionniste refuse de considérer la boue, les débris de fond d'étang ou les nénuphars, elle se concentre sur les tourbillons récolteurs de grenouilles.

    Dans tous les cas de chutes de batraciens attribuées à des trombes, la trombe n'est jamais identifiée ou localisée. Pourtant, un étang qui s'envole peut être aussi intéressant que des grenouilles qui pleuvent.Où vont les trombes, de quoi sont-elles faites ? Il me semble que quiconque a perdu un étang devrait se manifester. Je sais qu'une chute de grenouille, près de Birmingham, le 30 juin 1892, a été attribuée à une trombe maléfique mais on ne mentionne pas qu'un étang y ait contribué. Un seul détail frappe mon attention : les grenouilles auraient été blanches.
    J'ai bien peur qu'il faille livrer à notre civilisation des mondes nouveaux, où les grenouilles blanches auront le droit de vivre. En bien des occasions, des choses inconnues nous sont tombées de quelque part. Mais prenez-y garde : si des êtres vivants sont tombés sur terre(malgré tout ce que nous savons sur la vitesse d'accélération des corps en chute) et se sont propagés, alors l'exotique se fait indigène, et des lieux les plus bizarres, nous devons attendre le familier. Si des grêles de grenouilles sont venues ici d'ailleurs, tous les êtres vivants sur terre ont pu venir ancestralement d'ailleurs.
    Après l'un des pires ouragans dans toute l'histoire de l'Irlande, on a trouvé des poissons à "plus de quinze mètres du bord d'un lac" (Annals and Mag.of Nat. His., 1-3-185.) La plus célèbre chute de poissons survint à Mountain Ash, dans la vallée d'Abedare, Glamorganshire, le 11 février 1859 (Zoologist 2-677-1859-6493). Elle se localisait dans la propriété d'un Mr Nixon. Le docteur Gray, du British Museum, se hérissant d'exclusionnisme, conclut à une farce. "L'un des employés de Mr Nixon a dû jeter un seau sur un de ses camarades, sans se douter qu'il contenait quelques poissons". Mais un correspondant relevant cette version, déclarait avoir obtenu la même espèce de poisson à des distances considérables de ce "seau espiègle" . En fait, les poissons eux-mêmes, si l'on en juge par d'autres témoignages, étaient tombés par seaux (Annual Register,1859,14).Certains d'entre eux, encore vivants furent envoyés au jardin zoologique de Regent's Park, où on les identifia à des vairons et à des épinoches.
    Quoi qu'il en soit, l'hypothèse d'une trombe est mise en échec sérieux par deux détails. Le premier est que la chute, loin de présenter la dispersion voulue, eut lieu sur une bande étroite de quatre-vingt mètres de long sur douze de large. La seconde, incroyable, mais sur laquelle les témoignages affluent est que dix minutes après la première chute, une seconde se produisit au même endroit ! Même si une trombe pouvait rester axialement sur place, elle se déverserait toujours tangentiellement. Un autre témoin précise que les poissons avaient jusqu'à huit centimètres de long (Lettre de Mr Aaron Roberts, curé de St.-Peters, Carmathon. Cf. London Times, 2 mars 1859). Certaines personnes, croyant avoir affaire à des poissons de mer, les placèrent dans l'eau salée, où ils trouvèrent une mort instantanée. D'autres poissons, placés dans de l'eau fraîche, s'y comportèrent à merveille. Autre version : Les toits de certaines maisons en étaient recouverts (Lettre du vicaire Griffith. London Times, 10 mars 1859). L'évidence d'une chute de poissons est concluante. Il s'agissait de "gastérosteus leirus " (Rapport de 1'Association Britannique, 1859, 158.).
    Gasterosteus est le beau nom de l'épinoche.
    D'où le sens de totale perdition communiqué par cette explication : quelqu'un a arrosé l'un de ses amis avec un seau d'eau douce dans lequel nageaient des milliers de poissons de huit centimètres de long, dont certains recouvrirent le toit des maisons et d'autres restèrent en l'air dix minutes durant. Je préfère encore ma version, plus contrastée  le fond d'un étang supergéographique a brusquement cédé.
    Ce qui est extraordinaire, c'est que ces animaux vivants tombent sans se blesser. On a parlé d'herbe tendre, mais Sir James Emerson Tennant, dans son Histoire de Ceylan parle de poissons tombés intacts sur du gravier.  Dans cette région d'inertie que nous pouvons concevoir, dans cette zone qui est à la gravitation terrestre ce que la zone neutre d'un animal est à l'attraction magnétique,  j'accepte volontiers qu'il y ait des pièces d'eau, des espaces creux, des fonds d'étangs, non entourés de terre, de vastes gouttes d'eau qui flottent dans l'espace, des déluges d'eau et des chutes de poissons. Mais aussi des zones où les poissons sèchent et pourrissent, avant de retomber par l'effet d'une dislocation atmosphérique.
    A Rajkote, aux Indes, le 25 juillet 1850, " le sol était recouvert de poissons ", dont certains furent retrouvés sur le sommet de meules de foin (All the  year roud 8-255 ) . une autre chute à Calcutta le 20 septembre 1839, un témoin déclare  "Le fait le plus extravagant fut que les poissons ne tombèrent pas pêle-mêle, mais en droite ligne, sur moins d'une coudée de largeur"  (Living age 52-186). Toujours aux Indes, à Feridpoor, le 19 février 1830, certains poissons étaient tout frais, d'autres mutilés et en pleine putréfaction " (American Journal of Science). Rappelons que, dans les montagnes de l'Inde, le climat est très loin d'être torride et ne constitue pas une explication valable. Rappelons aussi, pour les tenants de la ségrégation en trombe, que les objets lourds sont toujours séparés, dans un tourbillon, des objets légers : certains de ces poissons pesaient deux fois moins que les autres...

    Fin d'une partie du chapitre.


    Nous n'allons pas évidemment vous transcrire tous les détails de ce chapitre deux fois plus long, pour ne pas évidemment nous attirer les foudres de l'Editeur français de ce livre.

    Bien qu'il nous faille encore rechercher des détails de cette affaire de poissons venus d'on ne sait où, il nous appartient maintenant déjà de nous interroger au sujet de "certaines portes" qui pourraient s'ouvrir inopinément dans notre univers immédiat. Les cinéastes, faute de mieux savoir ce que c'est, ne nous font-ils pas rêver parfois en parlant de "La porte des étoiles" ? Nous avons effleuré cette notion d'univers paralléles (qui pourrait être une explication plus logique aux cas évoqués ci-dessus par Charles Fort ) dans notre article placé directement à :

http://perso.wanadoo.fr/artivision/docs/unipara.html

Echos de Forum

    Mais pour clore pour l'instant, ce propos, voici une partie de la missive que nous avons reçue récemment de l'ami Joël Baran et concernant un texte qu'il a envoyé au forum du site: On nous cache tout :

----- Original Message -----
From: Joel Baran
To: idylle fred
Sent: Thursday, January 02, 2003 7:38 AM
Subject: 20030101 lettres magiques sons et crop

..... voici le texte du forum d'ONCT
 
Le bleu c'est de moi
Le vert c'est de Francis Gatti
Le rouge sont les passages clés de F. Gatti qui me semblaient importants.

Dans le site Casar (  http://perso.wanadoo.fr/casar/ ) , l'auteur Francis Gatti aborde dans le chapitre 8 de son ouvrage la question du télétransport d'objets. On notera dans ce genre de phénomènes qu'il y a plus souvent apparition subite que chute provenant du Village dans les nuages.

 Un autre indice que l'auteur met en évidence et qui pourrait peut-être constituer une éventuelle piste de recherches : le fait que les pluies d'objets, d'êtres ou de matières diverses apparaissent dans des zones ayant une forme géométrique. Se pourrait-il que cette caractéristique puisse correspondre à l'ouverture d'une sorte de " portail dimensionnel " ? Je ne peux m'empêcher d'évoquer un épisode de la série mythique " The Twilight Zone " où une petite fille s'était égarée dans une autre dimension suite à l'ouverture inopinée dans le mur d'une fenêtre en forme de parallélogramme. Un épisode réellement étonnant qui reviendra peut-être à la mémoire des trentenaires et plus qui ne loupaient pas un épisode de l'émission "Temps X" au début des années 80.

Francis gatti suspecte certains facteurs psychiques dans le déclenchement de ces phénomènes, comme dans l'affaire J.C. Pantel, mais en supposant que ce soit bien le cas, cela n'explique toujours pas la provenance et le caractère sélectif des êtres ou matières concernés. Une création ou plutôt une matérialisation du psychisme d'un être quelconque ? Pour les objets ou les matières, pourquoi pas ? Mais les êtres vivants comme les poissons ou les batraciens ?

Mais voici quelques extraits du chapitre : ( ... )

 Il semble que la télékinèse type poltergeist soit parfois responsable de déplacements à grande distance. Ce qui viendrait confirmer la phase II du transfert de masse qui semble se situer hors de l'espace. Ce dossier est assez mince, il faut le reconnaître, mais ce n'est pas une raison pour le minimiser. Tout d'abord, les apparitions inexpliquées d'objets pourraient être beaucoup plus fréquentes qu'on le pense mais notre logique nous interdit de les admettre étant donné qu'au départ notre première explication est de supposer que ces objets ont été déplacés par des forces conventionnelles.

Prenons par exemple l'incroyable quantité d'objets censés être tombés du ciel dont parle Charles Fort. Parmi ceux-ci beaucoup d'objets manufacturés.

La première réaction c'est de dire qu'une gigantesque tempête ou tornade a déplacé ces objets.

 Cette explication est très discutable pour beaucoup de cas mais il ne viendrait à l'idée de personne de contredire quelque chose de logique par quelque chose d'illogique quand aucune preuve ne peut être apportée.

 Il se pourrait bien que les travaux de Charles Fort soient beaucoup plus utiles a la science qu'on ne le pense à première vue.

Les pierres sculptées qui tombent du ciel, les pluies de viande, les objets de grande dimensions qu'on retrouve souvent après un orage ou une tornade pourraient provenir de transferts de masse naturels de type psychique.

 -Extrait du Daily Mirror du 10/12/1968:

 Ramsgate (Kent) Angleterre: Une quarantaine de pièces de cinquante pennies tombent d'on ne sait où par petites chutes qui ont duré une quinzaine de minutes. Les témoins sont formels :

On ne les voyait pas tomber, on les remarquait uniquement lorsqu'elles tintaient sur la chaussée .

 Extrait du San-Francisco Chronicle

 03/03/1929 Ville de Newton (New Jersey)

Une pluie de chevrotines envahissait par intermittence un bureau. Ce fut selon les témoins le plus grand mystère dans toute l'histoire de la ville.

On ne releva aucune trace de la manière dont les projectiles avaient pu s'introduire dans la pièce.Un cas identique est cité en 1876 avec des plombs de chasse qui se manifestèrent en plein jour; ceci pendant plusieurs heures. Cependant, lorsqu'on voulait les ramasser on ne retrouvait pas l'énorme quantité tombée au sol ; il n'en restait jamais plus d'une demi-douzaine. Le reste ayant disparu comme par enchantement..

 -Extrait de l'ouvrage 032/339: 1921, Pondichery dans un Ashram

 Pluie de morceaux de briques à l'intérieur de diverses pièces. On ne trouvait pas la cause.

Elles continuèrent de pleuvoir dans la cuisine et la cage d'escalier. Les hôtes se rendirent compte que les briques ne devenaient visibles qu'à la hauteur du toit, comme si elles ne prenaient leur existence qu'à ce niveau.

Quarante ans plus tôt le même phénomène avait eu lieu dans une classe de madras. Il avait duré cinq jours en présence de trente enquêteurs qui ne trouvèrent pas la cause.

Il est à noter ici que la réapparition du phénomène au même endroit est une constante qui se retrouve pour beaucoup de cas ovni.

 Si les chutes d'objets extérieures aux habitations peuvent être attribuées à des tornades. Il est difficile d'admettre que le phénomène dure plusieurs dizaines d'années avec réapparition de temps à autre au même endroit des mêmes objets comme ce fut par exemple le cas à Bijori en Inde où des perles multicolores tombent régulièrement du ciel. D'autres endroits de par le monde sont envahis par des perles (en Italie par exemple)

Les pluies d’objets (ou matières diverses) sont souvent localisées dans une zone ayant une forme géométrique.Si la matérialisation n'était pas prise en compte ces faits constitueraient une énigme encore plus grande que ce qu'elle est déjà. 

(...) Fin de l'extrait.

Je précise que le chapitre 8 se termine par des cas d'apparitions de personnes qui sont tout aussi surprenants.



    Fin du message au forum.

    Nous avons noté les propos suivants tirés de ce forum: " Un cas identique est cité en 1876 avec des plombs de chasse qui se manifestèrent en plein jour; ceci pendant plusieurs heures. Cependant, lorsqu'on voulait les ramasser on ne retrouvait pas l'énorme quantité tombée au sol ; il n'en restait jamais plus d'une demi-douzaine. Le reste ayant disparu comme par enchantement..". En 1971 ou autour de cette année (nous ne sommes pas très sûr) nous avons personnellement assisté pendant plusieurs jours à la chute impressionnante de pierres et de bouteilles sur une maison de la petite commune de Baillif de notre île à la tombée de la nuit vers 19 heures. C'était un vrai spectable et des dizaines de curieux s'asseyaient sur le bord de la rue en face de la maison pour entendre le fracas des pierres et des bouteilles qui tombaient sur le toit et cela pendant près d'une heure. Les autorités avait appelé les gendarmes qui avaient investi tous les environs pour attraper le coupable éventuel. Mais plus il y avait de représentants de la Loi, plus plus pierres et les bouteilles tombaient avec force et quantité. Cependant, il est à noter que très peu d'éléments arrivaient à rouler sur la route pourtant proche. Aucune étude n'a été faite sur ce cas qui a duré plus de 15 jours et l'on n'a jamais su ce qui provoquait ce phénomène.


III Conclusion.


    Comme vous le voyez donc, le hasard a encore bien fait les choses en nous mettant sous la main à temps, ce communiqué plutôt étriqué de L'AFP, qui nous donne aujourd'hui l'opportunité de vous présenter cet article, et ARTivision ne peut que s'en réjouir une fois de plus, pour poursuire sa quête inlassable d'une autre vérité se situant sans doute par delà le Temps et l'Espace. Mais le meilleur, ou peut-être le plus étrange, ne sont-ils pas encore pas à venir ? Qui peut le savoir...?

IV prolongement révélateur en date du 27/01/07


     Le 24/01/07, nous avons eu le plasir de revevoir la missive suivante du Canada :

----- Original Message -----
From: Laurent L.
Sent: Wednesday, January 24, 2007 1:09 AM
Subject: Pêche miraculeuse

Bonjour, M. Idylle,

    Pour ajouter à la pluie de poissons. Ça doit bien faire 10 ans. La
télévision canadienne a montré le tarmac de l'aéroport de Melbourne en
Australie, être le théâtre d'une pluie de poissons que les gens
ramassaient à pleins seaux. Les poissons avaient un longueur moyenne de
25 cm et leurs mouvements sur le sol montrait qu'ils étaient bienvivants.
J'ai vu ce reportage au petit écran, provenant sans doute de la télé australienne.
Je ne me souviens pas quel commentaire traditionnel
et idiot a alors été évoqué, comme explication. Pour ma part, je n'en
étais pas surpris, puisque j'avais lu Charle Fort bien des années avant.

    Un autre fait pour mettre dans votre carquois s'il vous est utile.
À la fin de 1972, quelques mois après la mort de mon ami Luc, il se
produisit un curieux phénomène chez sa mère. À cette époque, cette femme
hébergeait sa fille et ses trois enfants. Tous les cinq étaient attablés
dans la cuisine pour le repas du soir quand résonna un bruit de
canalisation brisée, comme des gouttes d'eau qui seraient tombées dans
le hall attenant. Après vérification, les témoins trouvèrent par terre
de petites billes granuleuses, métalliques et légères comme de
l'aluminium
. Il y en avait quatre ou cinq. Le phénomène se reproduisit
après, mais de façon plus discrète, une bille par-ci, une bille par-là.
J'ai même trouvé une bille semblable sur le trottoir. Pour la mère, il
était clair dès le début qu'il s'agissait d'une manifestation de son
fils Luc. Mais je pense que cette femme fervente et mystique avait des
dispositions psychiques capables de concrétiser de tels objets, comme le
font les enfants prépubères perturbés, surtout les petites filles, qui
provoquent sans le vouloir des pluies de pierres. Ces derniers cas sont
maintenant bien documentés. (Voir TOCQUET, Robert, Les Mystères du
surnaturel, Flammarion, coll. «J'ai lu», Paris, 1974.)


    Voici ce que j'en disais dans mon livre "Les rêves ne mentent pas"
(Robert Laffont, 1983).
    «Robert Toquet, qui a passé sa vie à chercher des explications
rationnelles à des phénomènes étranges sur lesquels il enquêtait, a
remarqué, par exemple, qu'une pluie de pierres est souvent causée par la
présence, à l'endroit où elle se produit, d'une personne,
particulièrement un enfant, émotivement perturbée . Ma conviction est
faite que certaines personnes servent de catalyseurs assez puissants
pour créer un précipité physique qui reflète l'état d'esprit de son
auteur, la plupart du temps inconscient du phénomène qu'il provoque.
Cause intérieure troublée, effet extérieur négatif.
 L'ampleur de certains phénomènes me porte à croire cependant que les
individus catalyseurs ne sont pas seuls en cause. Il s'ajoute à ces
derniers une impulsion psychique collective, et c'est par
l'intermédiaire de l'individu catalyseur que se produit le phénomène :
ampleur physique et symbolisme élargi.»


Bonne suite

    amitiés

    Laurent----------------------------------------------

V Nouveau prolongement révélateur en date du 15/06/2010.


    le 25/05/20, nous avons de nouveau reçu de Laurent du Canada la missive suivante :

----- Original Message -----

From: Laurent L....
To: Fred Idylle
Sent: Tuesday, May 25, 2010 4:52 PM
Subject: D'un certain intérêt.

    Bonjour, Fred,

    La régularité du phénomène est intéressante.

    On décrit une pluie poissons au Honduras dans le "Le grand livre du mystérieux", Sélection du Reader's Digest, Canada et Paris, 1985.

    La régularité du phénomène est intéressante.

    Laurent-----------


    Nous avons alors commandé ce super ouvrage qui n'était pas dans dans notre bibliothèque, et on y trouve, en effet ceci :



et en page 6 :

En page 184, on découvre cette introduction :

DES CHOSES BIZARRES VENUES D'EN HAUT


   Chaque année, au début de 1a saison des pluies, les habitants de Yoro, au Honduras, rassemblent tout ce qu'ils ont de seaux, de tonneaux et de filets dans l'attente des poissons qui vont tomber du ciel. Et chaque année, pour aussi longtemps que l'on s'en souvienne, les sardines sont tombées par tonneaux entiers. "L'averse de poissons", comme disent les Honduriens, commence vers 4 ou 5 heures du matin, et est suivie d'une tempête électrique. Les poissons sont retrouvés, vivants, sur une plaine herbeuse au sud-ouest de Yoro.

    En 1833, des paquets d'une substance laineuse ont recouvert des kilomètres de campagne près du village français de Montussan ; ailleurs sont tombées des bandes d'un matériau soyeux, comme d'une vaste mercerie aérienne.

    En de nombreux endroits de la planète sont tombées des quantités phénoménales de grenouilles et de crapauds; parfois aussi des escargots, des vers et des serpents. On a également vu du sang dégoutter du ciel, des grains et des haricots en tomber, mais aussi de la viande et de la graisse, comme si d'invisibles greniers et abattoirs naviguaient au-dessus de nos têtes.


    Ce sont ces cas et bien d'autres que l'on examinera dans ce chapitre. En termes de vraisemblance, ils vont du plus ou moins acceptable au totalement délirant. Et, à l'autre extrémité du spectre, on trouve des événements qui peuvent en fait appartenir à un autre domaine de l'inexplicable.

    On peut par exemple concevoir que des pierres non météoriques tombent du ciel, éjectées par un volcan. Mais que de telles chutes de pierres se produisent de façon répétée sur les deux mêmes toits adjacents sollicite sérieusement notre imagination; et que des grêles de pierres sélectionnent et poursuivent telle ou telle personne (comme ce fut 1e cas pour deux pêcheurs en 1957) dépasse déjà l'entendement. Mais que des pierres tombent d'un plafond intact ou à l'intérieur d'une tente (la victime étant cette fois un garçon de ferme australien, en 1957) fait passer de tels incidents du royaume matériel à celui des poltergeists.

    Fin de citation.

    Pour en savoir bien plus, prière évidemment, de se reporter à l'ouvrage en question.

    Finalement, il ne nous reste alors ici, qu'à reprendre à notre compte, une fois de plus, la célèbre phrase de Shakespeare, d'Hamlet à Horatio:

"Il y a plus de choses au Ciel et sur Terre, Horatio, que n'en rêve votre philosophie."


    Article mis en page le 03/01/03 et revu le 6 /03/03 puis le 14/04/05, puis le 27/01/07, puis le 16/06/08 , puis le 15/06/2010.

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