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Retour vers le futur à la découverte
des "capsules du Temps"

I Introduction.


            Une courte information de l' Agence France Presse (AFP) du vendredi 19 Mai 2000, va nous permettre aujourd'hui, de dévoiler l'un des plus grands mystères de la littérature mondiale que nous n'avons pourtant jamais abordé sur ce site, afin de ne pas choquer trop brutalement "les valeurs psychiques et psychologiques" des internautes, non préparés à ce genre de révélation, et qui nous font l'honneur de visiter épisodiquement notre modeste site, essentiellement réservé à ce que l'on peut appeler le "réalisme fantastique ésotérique".

     Rappelons qu'il ne s'agit pas ici de science-fiction, comme certains ont le droit de le croire, mais plutôt de "prospective intellectuelle" (l'entrée dans le troisième millénaire, nous y autorise) basée sur des faits dûment répertoriés dans la "littérature ésotérique" et dont l'ouvrage (hélas très rare) "les faits Maudits" de George Langelaan publié aux éditions "Planète" en 1967, a su, en partie, nous en faire l'écho.

     Pour ceux qui apprécient la bonne science-fiction, qui est toujours un excellent tremplin pour l'ouverture d'esprit qui semble faire tant défaut à certains quidams de nos jours, mentionnons le super article dans le n° 30 de fin 99 de la revue "Génération Série".

     D'ailleurs, tout ceci, nous invite à faire à la Spielberg, une plongée vertgineuse dans le Passé de la Terre, pour peut-être mieux appréhender notre Futur.

II La genèse de l' affaire.

     Voici donc cet article de L'AFP :

     VENDREDI 19 MAI 2000.
     

Vingt objets mis sous scellés pour un siècle.

     Vingt objets considérés comme les plus représentatifs du 20ème siècle ont été mis sous vitrine scellée pour 100 ans mercredi au musée Pointe-à-Callière, le musée d'archéologie et d'histoire de Montréal.
  Les vingt objets (réels ou modèles réduits) choisis par un jury avec le concours du grand public,sont censés refléter une valeur, un mode de vie, une invention ou un événement. Certains choix sont très banals, comme l'ampoule électrique, l'automobile, le téléphone ou l'avion. D'autres sont plus inattendus, tels le béret bleu des Nations unies, la bouteille de Coca-Cola, le bulletin de vote, la déclaration universelle des droits de l'Homme ou le sac à ordures.


     Fin de l'article de l'AFP.

     Ce n'est pas la première fois, de par le monde, que l'on enterre des objets en mémoire des générations futures, et nous nous demandons aujourd'hui, si ce réflexe anodin, ne cache pas un "atavisme légendaire", un peu comme l'instinct de l'oiseau qui construit son extraordinaire nid avec uniquement son bec et ses pattes (et que nous serions bien incapable de faire avec nos dix doigts) et nous allons donc tenter ici d'expliquer pourquoi ? Mais attention aux âmes sensibles, mieux vaut ne pas poursuivre la lecture de cet article.

     Le premier octobre 1971, le journal "Le Monde" que l'on ne peut taxer du qualificatif de "peu sérieux", publiait (chose très rare, et événement qui nous le pensons, ne s'est jamais reproduit depuis), une double page (p.16 et P.17) sur "La renaissance de l'occultisme" , où il est fait état "d'une nouvelle définition de l'homme et de ses pouvoirs", et où l'on peut lire aussi cette phrase surprenante, mais néanmoins admirable : "Rien n'est plus vrai que le merveilleux" qui aurait pu faire, à notre avis, l'objet d'une excellente dissertation philosophique au BAC. (Mais cela nous éloigne de notre sujet et pourrait faire l'objet d'un autre débat).

     L'article du "Monde", débute en tout premier lieu, par le paragraphe: "Le troisième Oeil du Lama", où il est question de l'écrivain Lobsang Rampa, auteur très controversé de l'ouvrage incroyable "Le troisième Oeil", paru en en Angleterre en 1956, et en France chez Albin Michel en 1957.

      L'auteur qui prétend être "la réincarnation d'un lama tibétain", nous donne alors un panorama entier de la vie tibétaine, avec un luxe de détails, qui a laissé pantois, les plus grands spécialistes de l'Orient, si peu nombreux à avoir visité cette contrée, longtemps fermée aux étrangers. (La française Alexendra David-NEEL avait dû se déguiser en homme, pour y pénétrer secrètement avant la guerre 14-18. Voir par exemple, à ce sujet, son ouvrage remarquable : "Voyage d'une Parisienne à Lhassa ou Mystiques et magiciens du Tibet" ).

      Pour ceux qui n'ont eu encore le privilège de lire ce "Troisième Oeil", on peut encore avoir la chance de le trouver hez les bouquinistes en livre de poche en "J'ai lu" sous le n° A 11 dans la collection "L'aventure mystérieuse du cosmos et des civilisations disparues" qui helas n'existe plus. Sinon se rabattre toutjours en "j'ai lu" sur la collection "l'aventure secrète" sous le n° 1829, ouvrage qu'il convient absolument de lire, avant que d'entamer les 18 autres livres qui suivirent, presque tous aussi fantastiques, les l'uns que les autres.

  

      Mais revenons à notre article de l'AFP avant d'expliquer pourquoi ce Lobsang Rampa a défrayé la chronique au début de la décénie 50.

      Dans un livre intitulé "La caverne des anciens" publié en Angleterre en 1963 et en J'ai Lu en 1972 n° A226, puis sous le n° 1828, cet auteur nous raconte que son maître initiateur, le Lama Mingyar Dondup l'a conduit, lui, avec quelques autres élèves très privilégiés dans les Hautes Terres du Tibet, pour visiter une extraordinaire caverne, où les générations précédentes ont justement scellés à l'intention des hommes du futur, des objets proprement incroyables .

     Donnons donc pour quelques lignes la parole au Lama L.Rampa :

     Le Maître (le Lama Mingyar Dondup), explique alors à ses élèves :

      " Je vais continuer mon récit, à présent dit-il. (Il reprit:) Voici ce que nous vîmes et entendîmes et ce que tu verras et entendras dans un avenir assez proche. Une haute civilisation existait en ce monde, il y a des millénaires. Les hommes pouvaient voler dans les airs sur des appareils qui défiaient la pesanteur; Ils étaient capables de construires des machines qui imprimaient des pensées dans l'esprit d'autres hommes_- des pensées qui apparaissaient sous forme d'images. Ils connaissaient la fission de l'atome et finirent par faire exploser une bombe qui détruisit le Monde, noya certains continents sous la mer, et fit surgir d'autres. Les populations furent décimées et c'est pourquoi toutes les religions parlent du déluge.

     Ces dernières paroles ne m'impressionnèrent pas.

- Seigneur, dis-je, nous pouvons voir des images de ce genre dans les Annales Akashiques. Pourquoi se donner le mal de gravir de dangereuses montagnes, simplement pour voir ce que nous avons sous les yeux, ici même?

- Lobsang, dit mon Guide d'un ton grave, nous pouvons tout voir dans l'astral et dans les Annales Akashiques, puisqu'elles relatent tous les événements du passé. Nous pouvons voir, mais nous ne pouvons pas toucher. Dans le voyage astral, nous sommes incapables de toucher quoi que ce soit . Nous ne pouvons même pas emporter une robe de rechange ou rapporter une fleur, ajouta-t-il en souriant. De même avec les Annales Akashiques, nous voyons tout, mais nous ne pouvons pas examiner en détail les étranges appareils accumulés dans cette grotte de montagne. Nous allons partir là-bas et examiner ces machines.

- Il est singulier, dis-je, qu'elles se trouvent uniquement dans notre pays!

     Oh! mais tu te trompes, répondit mon Guide.

     Il existe une salle similaire au pays d’Egypte . Il y a une autre salle contenant des machines identiques dans une contrée qu'on appelle l'Amérique du Sud; Je les ai vues, je sais où elles sont. Ces chambres secrètes ont été cachées par nos ancêtres afin que les objets façonnés par eux soient découverts par une génération ultérieure, en temps voulu.....

     Pendant des jours, je vécus dans la fièvre. J'étais tenu de garder le secret sur ce voyage. Les autres devaient croire que nous partions en montagne chercher des simples (Note du Webmaster : herbes médicinales). Même dans la ville aussi retirée que Lhassa, il se trouvait toujours des gens qui ne cherchaient qu'à s'enrichir; les représentants d'autres pays comme la Chine, la Russie et l'Angleterre, certains missionnaires et les commerçants venus des Indes désiraient, tous, savoir où nous gardions notre or et nos bijous, tous, cherchaient à tirer profit de n'importe quoi. C'est pourquoi nous gardâmes le secret absolu sur la nature de notre expédition.

     Deux semaines environ après cet entretien avec le Lama Mingyar Dondup, nous étions prèts à partir, prèts à faire la longue ascension, par des ravins mal connus et des sentiers rocailleux. Les communistes sont aujourd'hui au Tibet de sorte que je tairai l'emplacement de la caverne des anciens, car elle existe et si les communistes entraient en possession des engins qu'elle contient ils pourraient conquérir le Monde ( Note du webmaster : il convient de bien retenir cette déclaration pour comprendre en partie l'attitude actuelle de la Chine vis a vis du Tibet).

     Tout ce que j'écris est vrai, sauf en ce qui concerne la voie d'accès à la caverne. ...Puis après avoir franchi la corniche, je vis qu'il y avait effectivement une fissure dans la paroi rocheuse. Un Lama de haute taille me saisit aux épaules et me poussa par l'ouverture en disant d'un ton cordial :

- Entre le premier, tu pourras chasser les démons des rochers et nous protéger! C'est ainsi que moi, le membre le plus petit et le moins important de l'expédition, je fus le premier à pénétrer dans la Caverne des Anciens... Tout à coup la Lumière jaillit et je fut quasiment paralysé de terreur. Je demeurai immobile contre le mur, et contemplai le spectacle fantastique que j'avais sous les yeux.

     La grotte semblait être deux fois plus spacieuse que l'intérieur de la grande cathédrale de Lhassa. Contrairement à la Cathédrale qui baignait toujours dans une pénombre que les lampes à beurre s'éfforçaient en vain de dissiper, il régnait ici une clarté plus vive que celle de la pleine lune par une nuit sans nuage. Non, elle était beaucoup plus brillante; la qualité de la lumière avait dû me donner l'impression du clair de lune. Je levai les yeux vers les globes d'où jaillissait cette illumination. Les Lamas se pressaient autour de moi et comme moi, ils regardèrent d'abord la source lumineuse.

     Mon Guide prit la parole :

- Les anciens documents indiquent qu'à l'origine, cette caverne était beaucoup mieux éclairée qu'aujourd'hui, dit-il. Ces lampes brûlent de plus en plus faiblement au fur et à mesure que passent 1es millénaires.

     Pendant un long moment, nous demeurâmes immobiles et silencieux, comme si nous craignions de réveiller ceux qui dormaient là depuis d'innombrables années. Puis, mus par une même impulsion, nous avançâmes sur le sol de pierre pour aller voir la machine qui se trouvait la plus proche de nous. Nous l'entourâmes, redoutant de la toucher, mais très curieux de savoir ce qu'elle pouvait bien être. Ternie par le temps, elle semblait cependant prête à se mettre en marche immédiatement si l'on savait comment s'y prendre. D'autres appareils attirèrent notre attention.... Ces machines étaient beaucoup trop compliquées pour nous. Je me dirigeai vers une petite estrade carrée, large d’environ un mètre, posée sur le sol et entourée d'un garde-fou. Ce qui me parut être un long tube de métal replié partait d'une machine voisine et l'estrade était reliée à l'autre exirémité de ce tube. Distraîtement, je montai sur cette plate-forme, me demandant à quoi elle pouvait bien servir. Et je faillis mourir de frayeur: l’estrade tressaillit et s’éleva dans les airs. Je fus tellement épouvanté que je m’accrochai désespérément à la rampe...

     Les six Lamas levèrent sur moi des yeux consternés. Le tube s'était déplié et entrainait l'estrade vers l'une des sphères lumineuses. Affolé, je regardai par dessus le garde-fou. j'étais déjà à une dizaine de mètres du sol et l'ascension continuait. J'étais terrifié à l'idée que la source lumineuse allait me calciner, comme un papillon de nuit à la flamme d'une lampe à beurre. Il y eu un un click et l'estrade s'arrêta. La Lumière rayonnait à quelques centimètres de mon visage. Timidement j'étendis la main : La sphère était glacée...

     ...les autres lamas examinaient les étranges machines et s'efforçaient d'en découvrir l'utilité; Soudain , un cri nous fit nous retourner. Le Lama grand et mince se trouvait près du mur du fond et sa figure semblait prise dans une boîte de métal terni. Il se tenait là , tête baissée le visage complétement dissimulé. Deux de mes compagnons se précipitèrent vers lui et le tirèrent en arrière...Mon guide eut pitié de moi et me souleva jusqu'à ce qui semblait de toute évidence être des occulaires. Ayant posé les mains sur une poignée, comme on me l'indiquait, j'aperçus dans la boîte des hommes et des machines identiques à celles qui se trouvaient dans ce hall. Les hommes les manœuvraient. Je vis que l'estrade où j'étais monté jusqu'à la sphère lumineuse pouvait être dirigée à volonté et contituait une sorte "d'échelle" mobile ou plutôt d'appareil qui permettait de se passer d'échelle. Je remarquai que la plupart des machines étaient des modèles en état de marche tels que je devais en voir, quelques années plus tard, dans les musées scientifiques du monde entier. Nous nous dirigeâmes vers le panneau dont le Lama Mingyar Dondup m'avait parlé. A notre approche, il s'ouvrit avec un grincement qui parut si sonore dans le silence de cette grotte que nous bondirent tous d'effroi...Nous avançâmes péniblement et lorsque les dénivellelations se terminèrent, nous nous assîmes. A ce moment, nous entendimes une série de cliquetis comme du métal grattant du métal, et presque imperceptiblement, une lumière se glissa à travers l'obscurité et la dissipa. Nous regardâmes autour de nous et aperçûmes d'autres machines, aussi insolites que les précédentes. Il y avait aussi des statues et des dessins gravés sur le métal. Tout à coup, la lumière se concentra et forma un globe éblouissant, au centre du hall. Les couleurs clignotaient, sans raison apparente, et des bandes de lumière, également dépourvues de sens tournoyèrent autour du globe. Des images se formèrent, d'abord vagues et confuses, puis elles se prècisèrent, prirent un caractère de réalité et acquirent trois dimensions. Nous regardions de tous nos yeux...

     C’était le monde de jadis. A l’époque où il était encore très jeune. Des montagnes se dressaient là où s’étendent aujourd’hui des océans et où les agréables stations balnéaires sont devenues des sommets montagneux. La température était alors plus chaude et d'étranges créatures erraient dans la campagne. Ce monde était en plein développement scientifique. On y voyait des engins bizarres qui volaient à quelques centimètres de la surface lu sol ou à des kilomètres dans les airs. De grands temples dressaient leurs pinacles vers le ciel, comme pour défier les nuages. Bêtes et Hommes se parlaient télépathiquement. Mais tout n'allait pas pour le mieux; les politiciens se disputaient entre eux. Le monde était divisé en
deux camps dont chacun convoitait le territoire de l'autre. La suspicion et la peur étaient les nuages qui pesaient sur le commun des mortels. Les prêtres des deux camps proclamaient qu'eux seuls étaient les favoris des dieux. Dans les images qui se déroulaient sous nos yeux, nous vîmes ces prêtres tonitruer -comme à présent - et proposer leur propre méthode de salut, contre espèces sonnantes. Les chefs de chaque secte religieuse enseignaient que c'était un « devoir sacré » que de tuer l'ennemi. Et, en même temps, ils prêchaient que tous les hommes étaient frères. L'illogisme du fratricide ne leur venait pas à l'esprit.Nous fûmes témoins de terribles guerres dont la plupart des victimes étaient des civils. Les soldats, protégés par leurs armures, étaient généralement en sécurité. C'étaient les vieillards, les femmes et les enfants, les non-combattants qui souffraient. Nous aperçûmes des savants au travail dans les laboratoires, cherchant à fabriquer des armes encore plus meurtrières, des bombes de plus en plus grosses, de plus en plus dévastatrices. une séquence montrait un groupe d’hommes prudents qui dressaient les plans de ce qu’ils qualifiaient de "capsule du temps" ce que nous appelons "la caverne des Anciens" où ils pourraient stocker pour des générations futures des modèles de leurs machines, et un dossier complet et illustré de leur culture et de ses lacunes . D'immenses excavatrices creusaient la roche vivante. Des hordes d'hommes installaient les modèles et les machines. Nous les vîmes placer les sphères de lumière froide, substances inertes radioactives qui donnaient de la lumière pendant des millions d'années . Inertes en ce sens qu'elles ne pouvaient pas être nuisibles aux êtres humains, actives car la lumière continuerait à briller presque jusqu'à la fin des temps. Nous nous aperçûmes que nous pouvions comprendre le langage, car - l'explication nous vint à l'esprit - il nous était transmis télépathiquement. Des chambres telIes que celle-ci, ou "capsules du temps" se cachaient sous les sables d’Egyptes, sous une pyramide d’Amérique du Sud et en un certain point de la Sibérie. Chaque endroit était marqué par le symbole des temps le Sphinx . Nous vîmes les grandes statues du sphinx qui n'était pas originaire de l'Egypte, et il nous fut expliqué pourquoi il avait cette forme. Hommes et Bêtes conversaient et travaillaient ensemble en ces temps très anciens. Le chat était l'animal le plus parfait quant à la puissance et à l'intelligence. L'Homme est lui même un animal; c'est pourquoi les Anciens ont representé un chat de grande taille pour indiquer le pouvoir et l'endurance, et sur ce corps ils ont greffé les seins et la tête d'une femme. La tête pour évoquer l'intelligence et la raison humaine, et la poitrine pour marquer que l'Homme et l’Animal pouvaient tirer l’un de l’autre une nourriture spirituelle et mentale... Ce symbole était alors aussi commun que le sont aujourd’hui les statues de Bouddha, l’étoile de David ou le crucifix....

  Silencieusement nous passâmes dans la troisième salle, dont la porte s’ouvrit à notre approche.Elle contenait de nombreuses boîtes métalliques scellées et un appareil de "formes-pensé" qui nous expliqua comment ouvrir les boîtes et fermer l'entrée de la Grotte. Nous nous assîmes sur le sol et parlâmes de ce que nous venions de voir au cours de notre aventure.
  - C'est merveilleux! merveilleux! déclara un Lama.
  - Il n'y a
rien là de merveilleux, dis-je avec une certaine audace , nous aurions pu voir tout cela dans les Annales Akashisques. Pourquoi ne pas regarder ces images qui représentent la suite des temps? Nous saurions ainsi ce qui s'est passé après la fermeture de cette grotte.
  Les autres se tournèrent d'un air interrogateur vers le chef du groupe, le Lama Mingyar Dondup. Il inclina légèrement la tête et fit remarquer:   
"-Il arrive parfois que notre Lobsang montre une lueur d'intelligence! Mettons-nous dans l'attitude rituelle, et voyons ce qui va arriver, car ma curiosité égale la vôtre". Nous formâmes le cercle, chacun de nous regardant vers l'intérieur, et joignîmes nos doigts selon la manière appropriée. Mon Guide commença les exercices rituels de respiration et nous l'imitâmes. Lentement, nous perdîmes notre identité terrestre et ne fîmes plus qu'un avec l'Océan du Temps. Tous les événements qui se sont déroulés peuvent être vus par ceux qui ont la faculté de se rendre consciemment dans l’astral et revenir en emportant les connaisances acquises. On peut ainsi voir comme si on y avait assisté n'importe quelle scène de l'histoire, si éloignée qu'en soit l'époque... ..Nous vîmes un grand prêtre qui debout sur les marches d'une immence pyramide exhortait ses auditeurs, au combats; les images imprimées sur les rouleaux du temps continuèrent à ce dérouler changèrent et nous aperçûmes le camp adverse, dont les chefs vociféraient... le monde entier fut saisi d'un tremblement. un vertige nous prit, nous simples spectateurs. les ténèbres de la nuit tombèrent sur le monde. Des nuages noirs, piqués de flammes éclatantes, roulèrent sur le globe terrestre; les cités s'embrasèrent subitement et disparurent.
... Les rares survivants s'enfuirent en hurlant vers les montagnes qui venaient de surgir. d'autres, à bords de navires qui avaient on ne sait comment,achappé au désastre, atteignirent les hautes terres et se réfugièrent dans tout ce qui étaient susceptible de leur servir de cachette. La Terre elle-même
s'immobilisa, puis se mis à tourner dans le sens opposé à celui de sa rotation normale. En un clin d'oeil, des forets se transformèrent en amas de cendres. La surface de la Terre était désolée, rasée, dévastée, calcinée. Au fond des abîmes,ou dans les tunnels de lave des volcans éteints, se recroquevillaient et gémissaient de terreur une poignée d'êtres humains que la catastrophe avait rendus fous. Du ciel sombre tombait une substance blanchâtre, d'un gout agréable, et nourrissante."

  Arrêtons là, voulez-vous, le récit extraordinaire de ce Lama, pour laisser à ceux qui veulent en savoir plus, le soin de lire plus avant,"la Caverne des anciens", où ils découvriront bien d'autres étrangetés ?
...A ce propos, que pouvait bien être cette substance nourrissante qui tombait du ciel pour apaisser, un peu, la faim de ces affamés par suite des cataclysmes provoqués par les guerres stupides des humains ? Rappelons que les Hébreux ont eux aussi reçu, d'après l'Ancien Testament, cette providentielle manne tombée du ciel,lors de leur périeuse traversée du désert. Donc voilà une superbe coïncidence venant de deux sources totalement divergentes et qui ne peuvent avoir copié l'une sur l'autre...

  Le Lama L. Rampa nous avait décrit également dans son fameux "troisième Oeil" une autre caverne sous le Tibet où ont été conservé les restes momifiés et couverts d'une pellicule d'or d' êtres fantastiques qui ont disparu actuellement de la surface connue de la Terre :


"Regarde mon fils, me dit le doyen des Abbés. Ils vivaient comme des dieux dans notre pays à l'époque où il n'y avait pas encore de montagnes. Ils arpentaient notre sol quand les mers baignaient nos rivages et quand d'autres étoiles brillaient dans nos cieux. Regarde bien, car seuls les Initiés les ont vus.

J'obeis; J'étais à la fois fasciné et terrifié. Trois corps nus, recouverts d'or, étaient allongés sous mes yeux. deux hommes et une femme. Chacun de leur trait était fidèlement reproduit par l'or. Mais ils étaient immenses. La femme mesurait plus de trois mètres et le plus grand des hommes pas moins de cinq. Ils avaient de grandes têtes légèrement coniques au sommet, une mâchoire étroite, une bouche petite et des lèvres minces. le nez était long et fin, les yeux droits et profondément enfoncés. Ils ne pouvaient être morts, ils avaient l'air de dormir."

      Mais cette description ne vous rappelle-t-elle pas la physionomie de géants, eux, bien connus ?,... Des géants dispersés par centaines sur une petite ile perdue du Pacifique? : l'Ile de Pâques.

      Venons en maintenant au point cruxial, à savoir pourquoi ce lama a été si malmené par les médias. C'est là qu'il faut "attacher sa ceinture à cause des trous d'air" qui vont suivre. Après des enquêtes poussées de journalistes, il s'est avéré que ces livres extraordinaires avait été écrits par un anglais nommé Cyril HOSKINS qui n'avait jamais quitté l'Angleterre. Huées générales des médias et déception de certains lecteurs du "Troisième Oeil". D'autant plus que le livre suivant "Lama Médecin" encore plus révélateur, était déjà en circulation. L'auteur pressé de s'expliquer et traqué de toute part par les journalistes avides de scandales, est obligé de fuir et de se cacher. Pour faire taire la polémique l'auteur publie un troisième livre "Histoire de Rampa" où il dévoile que certaines initiations secrètes tibétaines se situaient à des niveaux tels que les occidentaux plutôt matérialistes auraient bien du mal à les comprendre, même si on voulait les leurs en donner des détails. Il explique alors, ce qui se passa, en ce qui concerne son arrivée en Angleterre, par le fait qu'en Orient, on admet qu'un esprit peut prendre possession d'un corps, s'il est plus fort que l'esprit qui habitait auparavant ce corps. Donc comme son enveloppe corporelle avait été fortement usée (il a été torturé par les japonais, se trouvait en plus à Hiroshima lors de l'explosion de la bombe américaine. .etc..) les grands Maîtres du Tibet ont décidé de lui rechercher un autre corps. Ils ont découvert en Angleterre un nommé Cyril Hoskins qui en avait marre de la vie ardue d'après guerre qu'il menait et avait décidé de se suicider. Comme il possédait quelques "harmoniques vibratoires" qui correspondaient à celle du Lama Rampa, il fut décidé en Haut lieu, (avec l'accord, pendant son sommeil, de l'esprit de Cyril, qui allait être, conduit en des lieux plus sereins où il pourrait se reposer pleinement,) d'opèrer un "transfert moléculaire subtil" de Rampa à Cyril , et à la suite d'un malaise de ce dernier en juin 49, la substitution s'opéra sans trop de problème...

  Nous avons passé sur bien détails extraordinaires, ce qui, peut-être, vous invitera à poursuivre la lecture de ce livre incroyable. Avouez cependant donc, que cela dépasse l'entendement du journaliste le plus imaginatif.

  Pour terminer il serait peut-être bon de transcrire ici, en résumé et en substance, la déclaration signée (on appelle cela un affidavit) de Madame S. KU'AN qui était à l'époque la femme de Cyril Hoskins et infirmière diplômée d'Etat:
   "Vers la fin de l'année 1947 mon mari alors Cyril Hoskins m'annonça un jour qu'il avait décidé de changer de nom. Il insistait pourtant beaucoup et cela me surprit, car nous n'avions aucun aventage à en retirer...l'idée s'imposait toujours à lui et il finit par changer de nom par un acte déclaratif unilatéra en adoptant le nom de Carl KuanSuo qu'il racourci ensuite en Ku'an car les gens n'arrivaient pas à prononcer KuanSuo. Il choisi ensuite pour écrire ses livres le nom de Tuesday Lobsang Rampa. Il désira alors se vétir à l'oriental et se comporter comme un oriental; Le 13 Juin 1949 il fut victime d'un leger accident dans son jardin. Une sorte de commotion cérébrale où il perdit tout souvenir de sa vie passée. En revanche il lui vint la mémoire complète d'un tibétain depuis la toute première enfance. Pedant plusieur jours,par la suite, il se trouva dans un état d'hébétude qui m'inquiéta, mais que j'attribuais aux soucis, au chomage et peut-être à la schizophrémie; Je fut cependant en mesure cependant de le renseigner sur sa vie passée, car afin de pouvoir continuer à vivre dans un pays occidental, il fallait que Kuan Suo fit semblant d'être toujours le citoyen anglais qu'il avait été.
  J'appris par la suite, en étudiant les moeurs orientales suivant les conseils de mon mari que
rien de tout cela ne me parait plus, désormais, du tout, étrange,et je sais maintenant qu'il peut se produire qu'une entité prenne possession du véhicule d'une autre entité; Ce phénomène a lieu effectivement quand la fin poursuivie se justifie. Dans certains cas, c'est le dédoublement de la personnalité, c'est à dire que le véhicule est dominé alternativement par l'une ou l'autre personnalité. Dans d'autres cas une entité unique contrôle deux véhicules différents. c'est dans sa forme la plus simple ce quise produit chez les jumeaux identiques où le lien télépathique puissant s'établit entre les deux, si bien qu'ils paraissent ne faire plus qu'un. Enfin il y a aussi le déplacement total dans lequel l'entité étrangère domine entièrement et chasse le locataire antérieur qui abandonne les lieux en laissant le véhicule derrière lui. C'est ce qui s'est produit dans le cas de Carl Kuan Suo, car depuis l'été 1949, toute sa façon d'être et ses manières sont devenues celles d'un oriental. Son aspect général et la couleur de sa peau ont subi également une transformation marquée."
  Ajoutons enfin au sujet du "dédoublement de la personnalité" ce petit texte extrait du "Nostra" n° 203 de Fev. 76:

"  La jeune fille Maria Alarico agée de 17 ans et de la ville de Catanzaro en Calabre, alors qu'elle traversait un jour, un pont de la région, s'évanouit brusquement et en se relevant changea étrangement de comportement. Elle déclara s'appeler Peppo Veraldi, mauvais sujet qui avait été trouvé la mort, le crane fracassé, il y avait quelques temps déjà,à cet endroit. Devant le curé du village, Peppo (par la bouche de Maria) déclara avoir été assassiné par ses acolytes de jeux. On fit venir la mère de Peppo qui reconnut la voix de son fils et aussi confirma des détails connus d'eux seulement. On arrêta les assassins et alors, seulement à ce moment, Peppo quitta le corps de Maria."

  Si nous avons tenu à reproduire cette information, ce n'est pas pour faire du sensationnel, comme certains vont encore être enclins à le dire, mais c'est parce qu'une telle aventure est arrivée en Guadeloupe, heureusement moins dramatiquement. Nous avons en effet, personnellement rencontré au début des années 70, un extraordinaire individu, qui s'appelait Emmanuel, boulanger-patissier de son état, et qui avait au moins cinq personnalités totalement différentes à son actif et en particulier arrivait, un certain Comte de Saint-Germain qui nous transmettait, de temps à autre, des messages par la bouche de ce médium. Il nous a ainsi expliqué bien des choses sur l'Atlantide, alors que nous ne lui avions jamais rien demandé et cela en utilisant des termes savants et un accent très recherché, alors qu'un autre personnage plutôt rustre, Isidore, n'utilisait lui que le créole pour s'exprimer...

  Emmanuel nous a fait faire par ailleurs, une vertigineuse plongée dans les entrailles de la Terre, que nous avons eu la chance d'avoir enregistrée et qui est tout simplement incroyable...

    Il est aussi, peut-être utile, que nous transcrivions ici, le paragraphe X de notre article :

http://www.artivision.fr/docs/Rampa.html


    Début de citation:

    ".. Quand Super Hasard, décide de monter le niveau, de cette affaire étrange de personnalités multiples d'un individu (Paragraphe en date du 10/02/2010) .


     Mais, il y a bien mieux, en Janvier 2010 :

     En effet, si vous n'avez pas vu téléfilm américain intitulé "Sybil "réalisé en 2007 par Joseph Sargent et basé sur le livre de la journaliste scientifique Flora Retha Schreiber intitulé aussi Sybil, paru aux USA en 1973, alors regardez bien ces deux photos :

 


     Sur la première photo, Margaux est bien officiellement qualifiée d'aveugle. Sur la deuxième photo, elle ne l'est plus, et peut vous décrire par exemple, votre habillement dans le moindre détail.

     Pour en savoir plus, lisez alors ceci que le 08/02/2010, nous avons reçu du fidèle ami Jérémy :

----- Original Message -----
From: Jérémy N...........
To: fred.idylle@wanadoo.fr
Sent: Sunday, February 07, 2010 7:45 PM
Subject: Une affaire de multiples personnalités.

          Bonjour Fred,

     J'étais en train de lire votre remarquable article concernant le Lama Rampa, et à la fin de votre article, vous parlez du cas de gens ayant des personnalités multiples. Il se fait que récemment, je suis tombé sur cette intriguante histoire, qui mérite vraiment d'être visionnée :

http://www.mystere-tv.com/trouble-de-la-personnalite-multiple-v564.html

     Vous souhaitant de bonnes choses, je vous dis à bientôt.

          Cordialement Jérémy.


     Merci mille fois à Jérémy, pour cette sublime vidéo.

     Le site ARTivision, qui justement le 8/02/2010 au matin, a dépassé le million de visiteurs, accorde dans cette affaire, très peu de crédit, aux déclarations des psychiatres et autres psychologues, mettant en avant, leurs bancales théories freudiennes, pour expliquer le phénomène. Pour ce site, il est de loin préférable, d'admettre simplement, que cette jeune fille, sensible à des vibrations très particulières, sert malgré elle, de canal privilégié à des entités évoluant dans un univers parallèle. Point barre.

     Affaire à suivre, bien sûr. "

Fin de citation:

III Conclusion.

     Que dire de plus, si ce n'est que, seuls des spécialistes, n'ayant pas peur de ternir leur réputation, peuvent ouvrir ce débat au plus haut niveau, et nous dire si tout ce qui précède a des chances d'être authentique (encore faudrait-il que l'on entende, au moins une fois, parler de cela et c'est le premier objet de cet article.) En cas de réponse positive, ne pourrait-on dire alors, désormais, que la réalité dépasse vraiment la fiction ?" A bon entendeur salut.

   Soulignons que Lobsang Rampa a quitté ce monde, le 25 Janvier 1981. Nous avons eu le privilège de rentrer en contact avec une de ses correspondantes Madame Colette Cyril Lefèvre qui nous a hélas aussi quittés en 88 et qui nous avait fait l'honneur de nous envoyer une énorme quantité de documents, dont deux lettres inédites de Rampa, que nous publierons sans doute un jour.

  ...Et comme les "initiés", le prononcent pour ceux qui nous ont quittés : "Paix à leurs âmes et surtout à leurs esprits."

 Fred IDYLLE


    Article mis en page le 21/05/2000 , et revu le15/07/2001, puis le 02/06/05, puis le 14/10/06 , puis le 11/02/07, puis le 18/04/2012.

fred.idylle@orange.fr

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