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Fred.IDYLLE - COPY RIGHT 1997

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Avant-propos


   L'article qui va suivre est de Mr Jean ANNE , initiateur en Juin 1982 avec l'écrivain Guy Tarade et quelques  autres chercheurs  de L'Institut  pour la Recherche et la Connaissance des Sciences Avancées, (IRC) qui a fait depuis cette époque de nombreuses conférences et séances audiovisuelles dans Alpes-Maritimes et dans le Var.

    Mr Jean Anne fut  inspecteur général maritime pour toute la côte d'Afrique, des navires, cargos de commerce, lesquels dans les années 1960/1962 faisaient escale au Gabon pour y charger du bois vers les ports du Nord de l'Europe. En effet, Mr Jean ANNE ancien déporté et évadé, ayant appris la langue de Goethe  pendant ces moments tragiques, a su  inspirer confiance aux  commandants allemands de certains de ces navires et recueillir ainsi leurs incroyables confidences. Dans ce quatrième volet, il nous révèle certains secrets troublants qui s'attachent à ces confidences.


Un grand merci donc à Mr Jean ANNE pour son aimable participation culturelle à notre site.
L'ami Jean Anne, hélas a quitté ce monde le 17/01/03.



   

Le MYSTÈRE   et   le   SECRET

des     PIERRES

 

 

 

 

 

 

 

Si l’on considère tout ce que la surface de notre Planète révèle d’étrange et d’irrationnel, l’on reste confondu devant l’impuissance de la science face à d’innombrables points d’interrogation..

Si, délaissant les voies des écoles traditionnelles, l’on tente une approche sur le sentier de recherches bien moins conventionnelles, des éléments de réponses apparaissent progressivement.

C’est par de telles démarches, de longues et patientes analyses qu’il a été possible de réunir certaines hypothèses et aussi, le plus passionnant, quelques certitudes ..

Nous pouvons mieux comprendre pourquoi les mégalithes et aussi certaines constructions  mégalithiques cyclopéennes ont été implantés ou érigées  un peu partout sur la presque totalité de la surface de notre globe et, semble-t-il répartis un peu au hasard. Pour nous, maintenant, les mégalithes ont livré une partie de leurs secrets..

Il faut tout d’abord comprendre que les emplacements de ces mystérieuses pierres doivent être considérés comme de « Hauts Lieux ».

Leur caractère sacré est l’héritage occulte, fantastique, insolite et particulièrement impressionnant de tout un « Passé Inconnu »..

Epars à travers le monde, ces Lieux sont des jalons et des repères chargés d’un  Sens  venu d’un Ailleurs  inconnu : Des hiérophanies, manifestations du Sacré matérialisé et paré de légendes et de mythes. Au fil du temps, la perte progressive des Connaissances Originelles, ayant fait place à une ignorance superstitieuse, diverses pratiques plus ou moins barbares, des rituels païens ou profanes se sont succédés  sur ces lieux..

Face à ces pierres, l’homme éprouve un confus sentiment de fusion de lui-même avec la Nature et, s’il prend la peine de méditer quelques instants, il est inconsciemment absorbé par le Cosmos : Il s’abîme au plus profond de son moi  pour s’intégrer dans un Infini immense, transformé en une fraction infinitésimale de Temps.. semblant lui durer une Eternité, projeté en une boucle revenant sans cesse à son point de départ, telle une minuscule particule contenant en elle seule l’Univers tout entier, sans limites, car infini..

Les mégalithes ont toujours fasciné les hommes

Face à ces géants, ces blocs de dizaines de tonnes, masses minérales profondément plongés dans le sol, émergeant de la Nuit des Temps, l’individu, avec humilité, prend conscience de la faiblesse de son espèce..

Il doute que des ancêtres inconnus, malgré une vigueur légendaire, aient pu lever, transporter et assembler de tels monstres.. Mais rationnel, rejetant l’étrange et le surnaturel.. ne comprend pas mieux comment des ancêtres inconnus, guère plus forts que lui aient pu, en leur temps, effectuer un tel travail herculéen..

Comment ces pierres gigantesques sont-elles arrivées là.. et plantées très souvent fort loin de leurs lieux d’extraction..   

De savantes hypothèses ont été scientifiquement formulées, mais, à la réflexion, beaucoup semblent bien fragiles !

Alors, derrière et en deçà des Légendes et Contes de notre enfance, ne se cacherait-il pas l’ombre d’une Vérité originelle.. et  très pertinente ?

Toute une mythologie confuse est toujours associée à la présence de ces pierres.. Un mythologie de tradition orale, souvent superstitieuse, de mythes transmis à travers les âges par des récits légendaires..

Les landes désertes et sauvages, les rivières et les lacs perdus dans la brume des petits matins, encore frémissant de leurs séjours dans la nuit mystérieuse  et magique,  ne sont-ils pas les Lieux de prédilection où se retrouve et s’ébat tout un petit peuple étrange et puissant.. invisible au commun des mortels.

Les forêts profondes, serrées aux flancs de montagnes sévères, souvent inaccessibles et d’où émergent les ruines d’un château d’un autre Temps, ne sont-elles pas, elles aussi, le territoire de mystérieux nains et farfadets aux pouvoirs sans limites..

Ne sourions pas : De nos jours, sont encore nombreux les coins du terroir où se murmure encore à voix basse que l’on peut y rencontrer certaines nuits, au détour d’un chemin creux, sous la futaie ou près d’une source, au confins de la lande sauvage, l’un de ces êtres mystérieux et, pour les éviter, qu’il est préférable de faire un large détour !

Beaucoup de menhirs, dolmens, allées couvertes, cromlechs ou ensembles de pierres plantées, sont associés à la présence occulte de ces êtres invisibles aux dons surnaturels.. sans oublier certains assemblés ou érigés par Messire le Diable en personne..  La tradition populaire affirmant que ses travaux ne pouvaient être menés à bien qu’en une nuit sans lune.. oeuvres devant être impérativement achevées avant le premier chant du coq..

De leur coté, les Fées avaient tous pouvoirs sur les destinées des humains.. Elles occupent une place prépondérante dans nombre de tenaces Légendes.. De là à ce qu’elles soient associées à l’érection de nombreuses pierres, rien de bien extraordinaire !  Il y a toujours une Pierre de la Fée dans quelque coin de la plupart des cantons de nos campagnes..

D’ailleurs chacun sait que ces doctes Dames ont toujours eu le coup de baguette.. magique ! !

Pour elles ce n’était que jeu d’enfant que de déplacer sur des dizaines de lieues ces énormes blocs de pierre.. et de les assembler d’un coup de leurs quenouilles, d’où fusaient des flots d’étincelles magiques..

Il n’est que de parcourir les terres de France, d’Irlande, de Germanie, de Grande-Bretagne et des Pays Nordiques.. et de bien d’autres contrées, pour y dénombrer les mégalithes associés aux Fées, Nains ou Géants de toutes origines..

Parfois le Loup se trouve attribué le parrainage de certaines de ces Pierres, généralement plus petites et assemblées sur un même emplacement, surtout dans le Nord de la France..

Un point est très remarquable : La naïveté populaire, prompte à interpréter le rôle d’êtres surnaturels à travers les récits, est susceptible de fournir au chercheur d’intéressantes et fort précieuses informations, très pragmatiques et bien rationnelles..

Si ces êtres de Légendes avaient eu, à l’origine des faits réels, une autre apparence et que, si les quenouilles de ces braves dames mythiques avaient eu une autre dénomination que celle que la tradition orale contemporaine a pu attribuer à un instrument nous étant inconnu.. nous n’en serions que fort peu surpris !   

A ces Pierres de nombreuses et diverses superstitions sont attachées. Beaucoup procureraient guérisons et autres divers bienfaits.

Prés d’autres se dérouleraient, de nos jours encore, quelques pratiques moins innocentes et pas très avouables !

Il  est vrai que partout, la superstition a remplacé la connaissance de faits bien réels.. basées sur des applications des Lois Universelles de Sciences  bien connues d'hommes d'il y a oh combien de millénaires.. mais devenues incompréhensibles aux générations contemporaines ayant succédé à celles de très anciennes civilisations disparues et oubliées..

Ajoutons pour la beauté du récit, quelques menhirs fantasques qui auraient la faculté de se promener à la mi-nuit de la Saint-Jean ou la nuit de Noël. Au pays de Galles,en Grande-Bretagne, un menhir aurait la fantaisie une fois l’an d’aller boire à la rivière toute proche. Mais malheur au curieux qui voudrait surprendre cette « promenade » !!

Sans oublier une pierre, que tout un chacun peut voir sur la place de la Mairie du village de Gauchain-le-Gal, dans le Pas de Calais, village que traverse la Route Départementale 341, à env.20 km d’Arras,voie menant à Houdain et  Bruay-en-Artois (Carte Topographique IGN No.2).Cette pierre, que les habitants du lieu ont enchaînée à un bloc de béton, enterré dans le sol, entourée d’une grille.. venait très souvent, bien après le coucher du soleil, cogner violemment à la porte des maris infidèles ! Depuis que cette pierre de grès sphérique d’une quarantaine de centimètres de diamètre est ainsi attachée.. les volages autochtones mâles du village dorment en paix.. et leurs épouses aussi !

Nombreux sont les sites mégalithiques qui, de nos jours, sont l’objet ou le support de dévotions, de pratiques cultuelles, surtout druidiques, rattachées à la Culture celte et à l’adoration du soleil.

Les ancien initiés celtes, ayant conservé grâce à une parcelle de très anciennes traditions orales, perpétuant ainsi une petie partie des connaissances ancestrales de certaines Lois Universelles, bien que pouvant ne pas être systématiquement les planteurs de menhirs, les bâtisseurs des dolmens ou d’autres assemblages de pierres, tels les cromlechs, en connaissaient les propriétés énergétiques vibratoires : Ils les utilisaient à leur profit et à celui des populations locales..

Certaines « dévotions superstitieuses », mêlées à une crainte salutaire du lieu, ayant pris le relais des Connaissances originelles oubliées ou perdues, ont parfois évité les destructions de ces merveilleux témoins du passé, ordonnées par d’aveugles fanatiques religieux du début du christianisme.

Des recherches récentes prouvent que ces ensembles gigantesques ont été érigés par des ancêtres inconnus, probablement contemporains de Civilisations oubliées et ayant agi en ces temps reculés dans des buts bien précis : Mettre au service des Hommes les bienfaits d’une Science, très éloignée des connaissance et technologies actuelles.

Car, n’oublions pas que les Légendes et Contes merveilleux de notre enfance sont la transcription de très anciennes traditions orales, déformées au fil des âges, mais ayant puisé à une Source bien rationnelle.. restant à redécouvrir..

A part les mégalithes, sont éparses à travers le Monde des constructions monumentales, dont les bâtisseurs se sont inspirés des mêmes critères qui avaient guidé leurs prédécesseurs ayant érigé ou assemblé les Pierres levées.

Ces assemblages sont plus complexes, plus sophistiqués dirions-nous à présent : Ce sont les Pyramides, les Temples et les Murs cyclopéens..

Outre l’affectation de tombeaux ayant généralement été attribuée systématiquement à tout l’ensemble de ces constructions, certaines n’ayant jamais eu une destination funéraire, les Pyramides sont des Instruments géants : Des capteurs de radiations cosmiques, des condenseurs et des diffuseurs d’Energies...Dont les buts et finalités nous échappent encore ..

Nous sommes encore loin d’en soupçonner toutes les applications : Celles utilisées par nos très lointains Ancêtres.. Les chercheurs avertis ont été fort surpris que certaines fresques des Temples des époques pharaoniques les plus reculées, révèlent la Connaissance qu’avaient les Grands Initiés égyptiens de la génétique, de la science de la médecine, de la chirurgie la plus fine, de l'astro-physique et des mathématiques cosmiques.

Ils ne disposaient pas plus que nous de la science infuse.. Mais il est plus rationnel de penser qu’ils aient bénéficié d’une longue chaîne de Connaissances leur venant d’un certain passé..

Parmi les constructions mégalithiques, l’on ne peut pas ne pas citer les murs cyclopéens lesquels, tout en présentant un caractère de protection physique, ont eu avant tout la faculté de provoquer une concentration d’Energies, renforçant les Forces Telluriques.. dont bénéficiaient les occupants des lieux, abrités derrière leurs enceintes.

Car, tout comme les Pyramides et les Temples, les Murs, outre leurs positions cosmiques, ont également été assemblés sur des emplacements bien précis : Des points d’émergence du Géon, ces faisceaux d’Energies venant des profondeurs de notre Terre.

Par le suite, bien plus tard et plus proches de nous dans le Temps des hommes,  la plupart des Temples ont été érigés à des fins religieuses ou votives, pour honorer telle divinité dont on voulait s’attirer les bonnes grâces et la protection. Les participants aux cérémonies s’y déroulant étaient persuadés que plus le Temple était beau et  harmonieux   de Formes et de Proportions, que si le rituel était somptueux .. plus larges seraient les bienfaits dispensés !

Il se dégage de chacune de ces Pierres, solitaires ou assemblées, de ces constructions plus ou moins élaborées, tout un rayonnement, permettant aux officiants réunis sur ces emplacements, d’obtenir la formation d’Egrégores, de Vortex énergétiques, engendrant différant phénomènes naturels.. agissant sur le psychisme, le mental, l’Esprit et, aussi, sur le physique des fidèles assemblés là à certaines époques soigneusement déterminées..

Sur certains de ces emplacements des « miracles » pouvaient s’y produire : Hallucinations collectives, apparitions d’êtres étranges mythiques ou aussi guérisons « miraculeuses ».. Conjonction logique et bien rationnelle des Forces manipulées ou savamment maîtrisées.. que l’ignorante superstition populaire attribuait à la Déité ou au Saint Patron du lieu.. auquel la Pierre, l’Assemblage, le Temple, l’Eglise ou plus modestement la Chapelle Votive était consacré.

Pourquoi cet amalgame entre les Pierres levées et les assemblages mégalithiques et toute la gamme des Cathédrales, des vieilles Eglises et Chapelles de campagne, ayant été toujours construites sur des emplacements d’anciens Temples païens ou de dolmens parfois encore enfouis dans le sous sol ou sous leurs cryptes ?

Car, tout simplement, le but en était le même : CAPTER et UTILISER les RADIATIONS TELLURIQUES, MAGNETIQUES, RADIO-ACTIVES et d’autres non encore recensées, S’ECHAPPANT A LA VERTICALE DE CES "HAUTS-LIEUX SACRES", par ces sortes de « cheminées » invisibles...

Mais, pour capter et pouvoir utiliser ces radiations, certains autres Paramètres doivent y être  harmonieusement et très judicieusement réunis, afin d’engendrer une Symbiose énergétique particulièrement active..

Pour les Pierres et Ensembles Mégalithiques, trois facteurs doivent s’associer :

1. La FORME DE RADIATION, se dégageant sur le lieu ou dans un proche périmètre.

2. L’EPOQUE ou la DATE  déterminant le Flux vertical de tel ou tel Rayonnement et,

3. PRODUIRE UN VORTEX VIBRATOIRE SONORE : La Voix humaine, modulée : Chants oraisons psalmodiées, toutes formes de Prières, Incantations ou Mantras ou,  encore, à l’aide de vibrations sonores produites par des instruments à vent, à cordes ou à percussion. 

.A l’intérieur des enceintes bâties et érigées sur de Hauts-Lieux Sacrés : Temples, Cathédrales, Églises, Chapelles et autres Édifices consacrés, les Maîtres Batisseurs -Grands Initiés dans l’Art du Trait - ont toujours prévu une Architecture rigoureusement Harmonieuse si parfaite, que les PROPORTIONS DES VOLUMES ACTIVENT des ONDES DE FORMES, Énergies Statiques agissant sur les molécules constituantes de certaines Pierres granitiques, judicieusement réparties dans l’Ensemble, venant amplifier et focaliser les Radiations verticales naturelles telluriques du Lieu..

Dans le 1° cas - les Pierres et Ensembles Mégalithiques : Le but est de produire une « Vibration unique » en mettant en parfaite symbiose, par une seule émission harmonique, un flux de radiation et une vibration sonore humaine et/ou instrumentale.

Dans le 2° cas : A l’intérieur des enceintes bâties et érigées sur de Hauts-Lieux Sacrés : La symbiose d’une « Vibration Unique » est plus subtile à générer :

Les mêmes flux telluriques émis épisodiquement sous l’édifice considéré, se  combinent avec des rayonnements d’ONDES DE FORMES. Impossibles à étalonner scientifiquement faute de disposer d’appareils de mesures.. restant à inventer, car générées entr’autres par les proportions des volumes, dont les énergies peuvent être tout autant bénéfiques que nocives, ces deux paramètres faisant agir les vibrations moléculaires spécifiques du granit. A l’heure actuelle, seul étalonnage aléatoire possible et efficace.. mais non reconnu par la science de nos écoles, reste la radiesthésie pendulaire.

Quelles Connaissances devaient posséder les « Officiants Initiés » pour mettre en jeu une telle symbiose énergétique, savoir comment l’utiliser.. avec infiniment de Sagesse.. et ne pas jouer aux apprentis sorciers..

Notre structure mentale, imprégnée et entièrement conditionnée par un enseignement basé exclusivement sur les sciences humaines, ne permet que très difficilement d’assimiler certains aspects de Lois Universelles, déterminant les Ondes de Formes, les Ondes Nocives et encore bien d’autres " rayonnements" pour lesquels les instruments de mesures n’existent pas encore ( Au Moyen-Âge un Ohmètre, un Voltmètre et même un vulgaire Métrix que l’on trouve dans les rayons de chaque supermarché.. n’aurait servi à rien : La Fée électricité était encore inconnue.. Alors ?)   

Maintenant il s’agit de répondre à une très pertinente question :

Sur quels éléments peut-on fonder de telles affirmations ?

Ces réponses ne sont pas le fruit d’une imagination particulièrement fertile !!  Non, il ne s’agit que du résultat de longues et patientes recherches, au demeurant très passionnantes :

Un certain jour, au hasard d’une promenade, je me suis trouvé face à un menhir, planté là au beau milieu d’une lande bretonne. C’était ma première rencontre avec un mégalithe.. Depuis je n’ai eu cesse de comprendre pourquoi cette énorme pierre se trouvait ainsi, fichée en terre, dans un coin aussi éloigné de toute présence et habitation humaine.. Depuis ce jour d’été, durant plusieurs années j’ai effectué de nombreuses recherches sur les pierres levées et les ensembles mégalithiques, ce afin de comprendre POURQUOI ces pierres étaient là.. A quoi elles avaient bien pu servir dans le lointain passé des hommes..  Puisque personne, parmi mes contemporains, n’avait été - à mes sens - capable de proposer une explication ou une hypothèse qui tienne debout, encore moins la lecture de toutes les sornettes étalées dans les revues, dites scientifiques ou trouvées dans les livres écrits par des esprits forts et, ainsi qu’on le prétend, faisant autorité en la matière :

Cela allait de sites funéraires, aux rituels de sacrifices humains les plus grand-guignolesques où se trouvaient parfois aussi mêlées de bien curieuses - et pour certains lecteurs - de très alléchantes et croustillantes cérémonies à caractère sexuellement dépravées...

Sans me préoccuper de savoir par qui et comment ces pierres avaient été implantées, laissant de côté cette question, laquelle sans doute trouverait plus tard sa réponse, peut-être après avoir trouvé celle à ce que je pensais être primordial dans la chronologie de ma recherche.. je commençais un long périple au hasard de déplacements professionnels et de congés mis ainsi utilement à profit..

Ces recherches n’avaient pas pour objet de dresser un inventaire géographique des lieux mégalithiques. Ceux-ci sont disponibles un peu partout dans chaque région de France édités à la très louable initiative de quelques  passionnés ou par des promoteurs du tourisme local.

Par contre, en Grande-Bretagne, il existe de très sérieux ouvrages , chacun étant un inventaire complet et thématique, rigoureux et fort bien documenté sur tous les sites, y compris un de ceux-ci y ajoutant la description des ruines et traces de l’occupation de la fière Albion par les romains..

De mon menhir solitaire en Bretagne pour, plusieurs années plus tard, avoir terminé mon périple européen sur le site de la très curieuse pierre plantée de SOUILLAC, dans le Lot, prés de la Dordogne.. de patientes recherches sur le terrain, épluchant pas mal de vieux écrits, de savoureuses traditions locales, d’anciennes cartes et d’archives paroissiales, m’ont amenés par épisodes successifs à visiter de nombreuses implantations mégalithiques répertoriées.. ou aussi à en chercher intuitivement d’autres, hors des chemins habituels.

Au début, en marquant les différents sites de même dénomination sur les cartes IGN, de curieuses formations géométriques apparaissaient en reliant certains emplacements à d’autres, particulièrement ceux ayant la même relation toponymique, par exemple, le Loup, telle ou telle Fée, le Diable et d’autres..

C’était soit une longue ligne de plusieurs centaines de kilomètres, ailleurs un triangle parfaitement isocèle, ou encore deux points.. dont un troisième encore inconnu, révélait en utilisant le compas par la bonne vieille et tellement efficace méthode de la triangulation, révélait  l’emplacement d’une pierre parfois bien cachée dans les broussailles ou une autre perdue au milieux d’un vieux marais.. dont on avait depuis fort longtemps oublié l’existence..

Cela confortait l’hypothèse d’une intelligente relation dans l’implantation de ces mégalithes.. mais il manquait encore un maillon essentiel pour obtenir le premier élément de réponse exploitable...

En Octobre 1982, dans le quotidien Nice-Matin, paraissait sur quelques lignes une information par laquelle, sous le nom de «Projet Dragon», une équipe de scientifiques avait découvert que des émissions anormales d’ultrasons et de radiations d’intensités irrégulières et épisodiques en provenance du sous-sol étaient enregistrées à proximité et sur des sites mégalithiques en Grande-Bretagne !

Mais pourquoi "Projet Dragon " ? : Pour ceux ayant abordé le problème des radiations et autres manifestations telluriques, il n’est un mystère pour personne que le Dragon est la Bête Mythique par excellence, adoptée depuis des millénaires par certains peuples d’Extrême-Orient, comme le Symbole allégorique du tellurisme, en tout ce qu’il comporte d’aspects visibles et invisibles.. et transposées par certaines croyances religieuses durablement et solidement enracinées : N’en citons qu’une (et pas par hasard) celle de l’Archange Saint-Michel terrassant le Dragon !

Les chinois, par exemple, depuis des millénaires, ne construisent rien, ne prévoient aucune implantation de quelque nature que ce soit sans,  en tout premier chef, se préoccuper de l’environnement du sous-sol et de la qualité des radiations émises afin de déterminer au préalable la propriété bénéfique ou nocive de ces manifestations très subtiles.. que nous, occidentaux, négligeons dans la plus totale indifférence et avec tout le mépris que nos structures mentales formulent à l’égard de ce qui n’est pas scientifiquement et positivement révélé..

Il ne fallait donc pas plus que quelques lignes lues dans la Presse pour repartir en quête d’autres morceaux du puzzle, après avoir localisé certains participants à ce programme de recherches..

J’ai obtenu assez rapidement d’avoir accès aux résultats matérialisés par des bandes de papier d’ enregistrement  d’appareils de mesures "bidouillés" par des ingénieurs électroniciens de cette équipe.

Pour gagner un temps précieux - Ces recherches étant effectuées en dehors de leurs activités professionnelles propres durant les week-end et y sacrifiant tous  leurs congés et quelque soient les conditions météo - ils se faisaient ‘aider’ par un dénommé Tom Grave, radiesthésiste notoire, lequel leur indiquait à l’avance, sur cartes, les lieux où, suivant les époques, ils devaient aller enregistrer tel ou tel type de radiation !

Étaient utilisés des compteurs Geiger, des détecteurs d’ultrasons et des magnétomètres couramment utilisés en géologie. Tous ces appareils bricolés et modifiés pour pouvoir, sur place et dans toutes conditions, enregistrer sur bandes papier les détections relevées..

En résumant le plus brièvement possible  la synthèse de toutes ces investigations de plusieurs années d’un patient travail de fourmi , il a été constaté, à la lecture de tous les enregistrements systématiques effectués à différentes époques de l’année, que les impulsions d’ultrasons  atteignaient un maximum d’intensité et de durée lors des ÉQUINOXES, et, ce à proximité de très nombreuses pierres plantées.. et pratiquement nulles aux SOLSTICES !

· Sur les mêmes lieux, par contre les émissions du magnétisme montant du sous-sol décuplaient d’intensité durant les SOLSTICES. 

· En parallèle, à des distances variables des pierres, et suivant les sites, autour de nombreux mégalithes et à certaines périodes irrégulières de l’année, s’élevant en une sorte de couronne invisible, cylindre vertical de radiations actives, le compteur Geiger enregistrait UN MAXIMUM D’INTENSITÉ et  par contre, en même temps,  au centre du cercle formé par le menhir, le dolmen ou l’assemblage mégalithique, les radiations étaient pratiquement nulles .. et que, durant ce même temps , le CENTRE DU CERCLE ÉMETTAIT DAVANTAGE  D’ULTRASONS, que pendant les ‘périodes de repos’ !

Pour la petite histoire, il est assez curieux de savoir que le "Projet Dragon" est né d’un rapport, exhumé par hasard par un des scientifiques du futur projet Dragon des Archives du Ministère de l’Agriculture britannique, rédigé au siècle dernier par un inspecteur agricole régional, informant les fonctionnaires du Gouvernement de sa Très Gracieuse Majesté que des bergers se plaignaient que les vaches et les moutons refusaient systématiquement d’aller brouter l’herbe qui constituait - à cette époque bénie des consommateurs - leur seule et unique nourriture, à certaines période de l’année, autour des sites où ‘étaient plantées des pierres’ et exigeaient de savoir pourquoi et ce qu’il fallait faire... (A comprendre que, vu où ce ‘document’ a été trouvé.. les descendants des bergers attendent toujours la réponse !!)   

 

Tous ces phénomènes, en apparence inexplicables, renforcent la théorie suivant laquelle nos très lointains ancêtres inconnus - que nos livres d’histoire décrivent toujours comme des êtres simiesques et hirsutes, galopant derrière du gibier en brandissant d’impressionnants gourdins - étaient capables, non seulement de détecter une Force que l’on peut nommer ‘Energie Terrestre’  et d’ériger en ces points des pierres isolées ou assemblées.. ce suivant une finalité ou un usage dont eux seuls connaissaient le mode d’emploi...

Ceci exposé, d’autres questions précises restent encore sans réponse :  Qui étaient ces lointains ancêtres ? Ils étaient assurément contemporains  d’une civilisation géographiquement très étendue.. dont évidemment ne subsiste aucun souvenir dans la mémoire de nos contemporains. Des hommes ayant érigé un peu partout dans le Monde des mégalithes sous formes de menhirs, cromlechs, dolmens, allées couvertes, et autres cairns..

Comment beaucoup de ces mégalithes, pierres de plusieurs tonnes, certaines de dizaines de tonnes, ont-elles été acheminées de leurs sites d’extraction, parfois sur de grandes distances vers leurs sites d’érection ?

Transportées à travers monts et vallées escarpées, passant des cours d’eau, des marécages et, même pour quelques-unes, sur mer ou océan telles, par exemple le site de Nan-Madol de  l’île de Ponape (Pohn-ah-pay), à 6°.58 Nord et 158°.13 Est, en plein pacifique, archipel des Carolines, mégalithes assemblés en forme d’énormes murs de plus de 12 m. de haut et de 5 m.50 d’épaisseur et tirés au cordeau, constitués de gigantesques  pierres d’un peu plus de 10 m. de long.. n’existant pas à l’origine sur cette île de Ponape !

Elles proviendraient d’un îlot situé à une cinquantaine de miles à l’Ouest. Mais ceci reste un mystère pour tous les chercheurs.. Quelles finalités primordiales d’utilisation pouvaient justifier de telles entreprises, exigeant une aussi colossale dépense d’énergie humaine, sur une  île minuscule perdue en plein Pacifique.. ( Nous pensons toujours que les hommes de ces époques utilisaient des foules de travailleurs ou d'esclaves se tuant à la tâche..) mais rassurez-vous ! Ils n'étaient pas idiots.. mais savaient utiliser utiliser d'autres technologies..

Qui peut répondre ? Les dossiers restent ouverts aux hommes de bonne volonté.. et particulièrement à ceux osant défier la raison, en n’hésitant pas parfois à utiliser d’autres méthodes et moyens d’investigation que la science traditionnelle s’entête à ignorer.. Les "messages" que certains médiums dignes de foi ont "reçus" le confirment.. mais bien évidemment si vous pensez que tout ceci n'est que de l'affabulation née d'un esprit fertile.. tout juste bon à écrire des romans de fiction.. n'allez pas plus loin dans cette lecture.. allez à la pêche.. ou faire tout autre chose et laissez les véritables chercheurs, dont certains sont ou ont été des sommités scientifiques, continuer un travail pragmatique et rigoureusement rationnel

Jean  A n n e

 

 

 

et maintenant pour information, ci-après deux synthèse de fiches de travail...

 

1. Synthèse # 1. Fiche de Travail  Septembre 1986

Recherche : Sur Ligne de Force partant du S.W. de l’Angleterre  

Point sur le terrain : situé en latit. 51.1 N. - long.4.55 W vers Nord de la France (Pont d’intersection côtier en 50.35 N. et 1.38 E, se prolongeant au-delà suivant une inclinaison régulière et constante de 25° sud, vers l’Est.

Coïncidences :  Mégalithes - Lieux-dits associés ‘au Diable’ et ‘au Loup’

Références topographiques :  Cartes topographiques IGN au 100.000° série verte

No. 1 = Abbeville-Calais,    No.2 = Lille-Dunkerque.  No. 4 = Laon-Arras

Carte Michelin - France 999 - au 1.000.000°

Ouvrages de références :  Prehistorics leys in England & Wales - The secret country (More mysterious Britain) de J.& C.Bord -Ed.Granada GB - Leys Lines (their nature & porperties) de J.H. Fidler -Ed..Turnstone Press Ltd.-

Exposé

La ligne se trace en partant d’un point situé à 8 miles au N.E. de Pembroke, localité de l’extrème S.W. de la Nlle Galles du Sud (Grande Bretagne) au lieu-dit ‘the Devil’Quoit’ se traduisant par le ‘Palet du Diable’ (une pierre plate), pour aboutir au ‘Devil’s Dyke’ (la muraille du Diable) un assemblage de pierres mégalithiques situé à env. 5 miles au N. de Brighton, ville balnéaire du Sussex, ligne passant au dessus du site de la fameuse bataille de Hasting à l’extrème S-E. du conté de Kent, avant de franchir la côte de la Manche en ligne droite vers un point un peu au N. d’Etaples, sur la baie de la Canche  et au S. de Boulogne sur Mer, passant à la verticale du Mont de l’Epine et à quelques kilomètres de là, toujours en ligne droite vers l’Est, à l’intersection de RN 1, au lieu dit ‘La Malmaison’ (Maison du Mal ou du Malin) se trouve le ‘Cabaret à Leu’  (Le cabaret au Loup). Toujours sur la même ligne et dans la même direction (suivant toujours l’angle de 25° S.E.) et à 27 km. les deux menhirs d’Asq,  lesquels sont en alignement parfait latéral N.E., et, sur une perpendiculaire à 90°  et à 3 km.  se situent les ruines de l’Abbaye du Mont-St-Eloi. Haut lieu chargé de magnétisme  et aux  émissions telluriques puissantes et sporadiques. Placé au milieu des ruines, tout individu normal ayant la chance de pouvoir s’en faire ouvrir l’enclos  y ressent ‘un agréable confort’ et une détente physique et mentale.  

Puis, plus loin toujours en descendant la ligne suivie depuis la côte et à 6 km, l’on rencontre le dolmen de Frénicourt  et à 2 km au S.O., sur la place du village de Gauchain-le-Gal une pierre sphérique d’env. 40 cm de diamètre, pierre enchaînée par les habitants du lieu : Elle ne laissait pas dormir en paix les maris infidèles. Et plus loin, à 23 km du couple de menhirs d’Asq, au lieu-dit ‘Le Trou aux Loups’ se trouvent, formant un cercle parfait de 7 m. de diamètre, 5 bonnettes de pierres taillées de 1 m.60 de hauteur, semblant attendre le plateau qui devait se trouver posé sur des encoches taillées de 30 cm. de haut et de 20 cm d’évidement, sur la face interne supérieure de chaque bonnette. D’après la disposition des 5 pierres fichées en terre, à l’origine il devait y avoir 7 pierres. Une sixième est déterrée, posée sur le sol, à moitié recouverte par les herbes à quelques mètres de là. La  7°  est introuvable. Ce site se localise près du village de Camblain-l’Abbé.. à trois cents mètres au N. de l’autoroute A1.

A 3 km.5 toujours sur cette ligne, le dolmen du village de L’Ecluse.     Ce  mégalithe  est situé  à   la pointe N. d’un triangle isocèle de 3 km. d’apothème.    A l’angle Est,  se trouve le menhir du  village de Hamel et, à la pointe Ouest,  nous avons retrouvé  par  triangulation  sur carte   et   par rapport aux deux premiers, en plein dans le marais d’Ecourt-Saint-Quentin, sur une petite langue de terre et au milieu des broussailles, un 3° menhir sans nom, d’environ 2 m. de haut, hors du sol.

Et, continuant d’avancer vers le S.E., à 28 km.5  la  ‘Fontaine au Tertre’, dont l’emplacement  n’est mentionné que sur d’anciennes cartes, à l’emplacement d’une carrière,  était fort connue dans le passé pour ses ‘bienfaits’.  Ce lieu est localisé à 2 km. au S.O. de la célèbre Abbaye de Solesmes.. Ensuite cette ligne que nous avons suivie depuis la pierre plate  ‘Le Palet du Diable’ à Pembroke, en Grande-Bretagne, se prolonge  au travers de la forêt de Mortmal (une toponymie à souligner) pour aller continuer vers la Belgique et sans doute bien plus loin, mais nos investigations se sont arrêtées là.

Jean  A n n e

Septembre 1986

  Synthèse # 2.  Fiche de Travail  Août 1994

Etude Géologique :


Associée à la présence des mégalithes et des Lieux légendaires ou mythiques, matérialisés sur une Ligne de Forces partant de l’extrême S.E  de la Cornouaille britannique, jusqu'à la Forêt de Mortmal et au-delà, passant la Manche  séparant le Iles Britanniques du continent Nord-Européen.

La Manche ou le Channel (le canal), ce bras de mer est le résultat d’une subsidence née de la distension du Bloc Continental européen : Un bâillement océanique similaire à celui ayant ouvert le Golfe de Gascogne.

Pour la Manche, un phénomène ‘de ciseau’ qui, s’ouvrant progressivement, présente actuellement les deux pointes ouvertes dirigées vers l’Ouest avec, au N. le Cap Lizard en Cornouailles du Sud et, au S. la pointe N. de la Bretagne dont l’extrémité Ouest est l’Île de Ouessant.

L’ouverture de ce ‘ciseau’ débute dés le Primo-Trias, il y aurait 100 millions d’années, pour progressivement terminer ce lent mouvement de mâchoires probablement à la fin du Tertiaire ou plus certainement à la fin du Primo-Quaternaire.

La formation de l’angle oriental est beaucoup plus récente : Le Détroit du Pas-de-Calais s’est ouvert en une faille calcaire, dont les deux falaises, celles de Douvres en Grande-Bretagne au Nord et celles du Cap-Gris-Nez en France au Sud (celles de Douvres bien visibles à l’œil nu du Cap-Gris-Nez) n’étant distantes que d'environ 30 km., après la dernière glaciation , ce sous la poussée des eaux contenues en amont en un immense lac proglaciaire occupant actuellement l’emplacement actuel de la Mer du Nord et de la Mer Baltique et, conjointement, l’afflux des eaux d’un gigantesque ruissellement venant de l’Europe du Nord et, également d’une grosse partie de la Calotte Glaciaire : Enorme flux s’écoulant le long des côtes bordant l’actuelle Mer de Norvège. D’où la présence de vallées alluvionnaires, chenaux anastomosés (parallèles) formant le sol de ce canal marin.

Combien de temps a-t-il fallu pour que s’ouvre ce ‘couloir’ du Pas de Calais : La réponse reste à trouver.

Le plus étonnant est la présence de deux phénomènes géologiques sous-marins:

· Le premier, une faille sous-marine descendant vers l’Ouest, coupant le Canal suivant un axe incliné de 25 ° partant en face de Brighton, dans le Sussex, pour aboutir devant Etaples, à l’embouchure de la Vallée de la  Canche (qui en serait, en toute logique, le prolongement naturel) dans la Somme.

· Le second est un axe anticlinal (partie convexe d’un pli géologique simple) parallèle à quelques kilomètres au Nord de cette ‘Marche’, partant loin de l’intérieur des terres de la campagne anglaise, toujours suivant également une inclinaison de 25°  pour, passant par Hastings, traverser le détroit, à cet endroit large de  plus de 60 km., se prolongeant en une ligne droite au-delà de la côte française, qu’elle  coupe au Sud de Boulogne-sur-Mer.

Conclusions

Il est à remarquer que cet axe anticlinal géologique se confond avec la Ligne de Force,  sur laquelle se trouve tout le chapelet de Mégalithes et de Lieux-Dits  énumérés dans le texte ‘Le Mystère et le Secret des Pierres’

Ceci étant une explication de cela..

Pourquoi ne pas ajouter également que dans le Nord de la France, il existe depuis des millénaires une ‘Voie de Déplacement’ des populations successives, empruntée aussi par des invasions de peuples et peuplades venant de l’Est de l’Europe, Voie étonnante aux nombreuses Légendes et dont certains tronçons, en particulier un partant d’Arras, passant par le Mont-St-Eloi, sont encore visibles et utilisés comme route départementale, rigoureusement rectiligne, nommée ‘La Chaussée Brunehaut’.

Restent encore et toujours quelques questions sans réponses, parmi lesquelles une très pertinente:

Il  serait important de savoir si les implantations mégalithiques sur toute la longueur continue  de cette Ligne, tant de la Grande-Bretagne que du Nord de la France,  pourraient être antérieures au ‘déverrouillage’ du Détroit du Pas de Calais, dans cette éventualité, il pourraient logiquement  s’en trouver des restes au fond de la mer entre Etaples et Hastings,, sans doutes maintenant  recouvertes par les couches alluvionnaires.

Sinon, comment et par quels moyens, en ces temps reculés, nos lointains Ancêtres auraient-ils pu avoir connaissance de cet axe anticlinal géologique et que ce dit axe est le support ou le vecteur d’une importante Ligne de Forces tellurique dont il fallait canaliser et utiliser les émissions radioactives, magnétiques et ultrasoniques par l’implantation de mégalithes en les disposant et assemblant sur les points d’émergence.

Il serait simple de comprendre que si la ligne passait directement du Cap-Gris-Nez à Douvres, les ‘planteurs de pierres’ voyaient de part et d’autre du Canal les côtes respectives.. Mais que d’Etaples à Hastings cela est impossible aux sens de la vision humaine (même avec de très fortes jumelles !).. 

A moins, peut-être, de s’élever assez haut dans le ciel ?.

En  postulant pour cette d’hypothèse.. nous rejoignons les Pistes de Nazca au Pérou..(*)

 Tout point d’interrogation est la terminaison classique d’un travail de recherche.. jamais terminé et à suivre en attendant d’autres futures découvertes ou révélations de connaissances détenues par d’autre chercheurs..

    ************************************************

(*) Avant de clore la reprise de ce travail, de le mettre en forme aux normes informatiques, je voudrais ajouter que beaucoup d'énigmes , pour moi et une équipe de chercheurs complices de mes travaux de recherches, ont trouvé des réponses cohérentes.

 CONCLUSION  en forme de Thèse,   Hypothése... ou Synthése

Car il ne m'est plus possible d'ignorer qu'il y a plusieurs dizaines de millénaires, des civilisations humaines avaient à leur disposition les moyens matériels et toute une panoplie de technologies pouvant faire évoluer des "véhicules" sur terre, sur et sous les eaux des océans.. et dans le ciel. (Lire les autres travaux de recherches: AKALAL, Eux, Nous et Ailleurs.., l'Article que j'ai mis sur le Web début Déc.2001 après la disparition d'un de mes Amis, le pére STEVE, sommité de l'Archéologie dont les révélations qu'ils m'a confiées en 1985, à l'issue d'un peu plus de de deux années de travail en commun sont incontestables.. m'ayant permis de continuer avec obstination, humilité et acharnement un long travail de plusieurs années de recherches, à l'issue desquelles, je me permet de dire, que les Ovnis ne m'étonnent plus.   même ceux observés au cours du XX° siécle et encore maintenant en ce début du 3° millénaire (dont certains étant de ceux issus de la génération des armes secrètes du III° Reich par ex.  et, sans doute, s'envolant de Bases aussi secrètes .. et toujours restées en place .)

 

pas plus que pourquoi il  est impossible de trouver dans aucune bibliothèque une ligne publiée par l'Amiral Byrd sur ses "Étranges découvertes" aux Pôles,

pas plus que les pistes de Nazca lesquelles ont, pour moi, trouvé un embryon de réponse cohérente,

sans oublier les fameuses Cartes de Piri-Reis copiées il y a quelques siècles d'après des documents cartographiques dressés en leurs temps par des civilisations dont nous avons perdu la trace

 

et combien d'autres choses encore qui ne me reviennent  pas à l'esprit au moment où je termine ce travail

... Mais on ne peut pas parler de tout le même jour !!

Jean ANNE

ce 07 Janvier 2002   

Article mis en page le 23/01/02, et revu le 14/04/05, et revu le 17/06/08.

Pour tout contact : fred.idylle@orange.fr

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